La visite du président Tebboune en Tunisie a été bien fructueuse en terme d’accords signés. À son arrivée à Tunis, et après un long entretien avec le président Tunisien, le président Tebboune a présidé une cérémonie de signature de 27 accords.
Le président Tunisien Kais Saied, ainsi que son premier ministre, n’ont pas manqué d’évoquer les villes frontalières des deux pays. Le « jumelage entre wilayas frontalières » figurait dans ces accords, a indiqué le président Tunisien.
« Ce n’est pas une décision politique »Le président Tebboune, après la cérémonie de la signature des accords, et le banquet préparé à son honneur, a tenu à rencontrer des représentants des ressortissants algériens installés en Tunisie. Au cœur de cette rencontre, le sort des frontières terrestres entre l’Algérie et la Tunisie, fermées depuis près de deux ans.
Le chef de l’État a tenu à préciser qu’il ne s’agit nullement d’une fermeture politique ou bien sécuritaire, mais d’une décision liée à la situation sanitaire inquiétante à cause de la pandémie de la covid-19. « Concernant la fermeture des frontières, ce n’est ni une décision politique ni une décision sécuritaire, il s’agit d’une décision sanitaire, c’est tout », a déclaré hier le président Tebboune, depuis Tunis.
La pandémie, toujours selon le chef de l’État, « a été forte chez nous en Algérie, mais aussi en Tunisie », ce qui a poussé les deux pays à prendre leurs précautions.
Vers une ouverture progressive ?Le prolongement ou non de cette décision est soumis à l’évolution de la situation sanitaire dans les deux pays. Le président Tebboune précise que « plus on vaccine les Algériens et les Algériennes, plus les frontières vont s’ouvrir ». Le président Parle ensuite d’ajouter « un ou deux avions par semaine », et « d’ouvrir la route ».
Le chef de l’Etat évoque ensuite l’instauration d’un pass sanitaire. « Celui qui termine sa vaccination il est libre, il entre quand il veut et il sort quand il veut ».
Le chef de l’État rappelle enfin « qu’on a commencé à ouvrir. On a ouvert les frontières aériennes, puis on a relancé les traversées maritimes…., pour les frontières terrestres, ça sera la même chose sauf que dans le contexte actuel, même des grands pays européens préfère fermer et garantir sa sécurité. On ne peut pas prendre une décision sentimentale et déboucher sur une catastrophe ».
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Raphaël Glucksmann, homme politique français et un eurodéputé, a publié hier, jeudi 17 décembre, sur son compte Instagram un post qui a fait le tour de la Toile. Connu pour ses engagements et actions humanitaires, Raphaël a appelé hier à une solidarité massive en faveur de « Idris Hassan ».
Il s’agit d’un Ouïghour de 34 ans qui risque une extradition vers la Chine après avoir mis à nu les crimes du Parti Communiste Chinois contre l’humanité. En effet, Idris Hassan dont le nom est orthographié par la Chine « Yidiresi Aishan », est un informaticien et militant pour les droits humains, établi en Turquie avec sa femme et ses trois enfants depuis 2012.
Il a été arrêté au Maroc à la demande des autorités de Pékin et il risque d’être renvoyé en Chine, a écrit Raphaël dans son post. La décision de l’extrader est tombé hier ce qui expose le jeune Ouïghour au danger de « l’enfermement, la torture et la mort ».
Cette arrestation dont a été victime le jeune Ouïghour le 19 juillet 2021 à l’aéroport de Casablanca en provenance d’Istanbul, est par ailleurs, le fruit des pressions exercées par les autorités chinoise sur les organisations internationales, notamment Interpol qui avait émis un « notice rouge ».
Une erreur d’Interpol ?Il convient de préciser cependant que l’organisation internationale de coopération policière a « depuis annulé la notice rouge émise dans le cadre de l’affaire le concernant, en se fondant sur de nouvelles informations reçues par son secrétariat », a indiqué Amnesty International. Cela n’a pas empêché le Maroc de maintenir « idriss Hassan » en prison et d’être favorable à son extradition.
De ce fait, le militant chinois, membre de la minorité musulmane des Ouïghours risque la prison à vie au Xinjiang après avoir été accusé « d’actes terroristes » de la part des autorités de son pays.
« J’ai parlé à Idris. Il est terrorisé à l’idée d’être extradé. À chaque fois qu’il entend des pas dans le couloir de la prison, il a l’impression que quelqu’un vient le chercher pour l’envoyer en Chine » a confié son avocat au média français Libération.
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La nuit d’hier jeudi a été secouée par des coups de feu qui ont causé la mort de deux jeunes citoyens à Bab El Oued. De l’autre côté de l’arme, se tenait un policier. Il s’agit d’un incident dont les faits ont été largement relayés, depuis hier à 22 h, par plusieurs pages sur les réseaux sociaux.
Il aurait fallu attendre la matinée d’aujourd’hui, vendredi 17 décembre, pour que la Direction Générale de la Sûreté Nationale s’exprime à ce sujet.
En effet, dans un communiqué de presse publié aujourd’hui, la DGSN a confirmé que deux personnes sont décédées et que deux autres, et parmi eux une jeune fille, ont été blessés par des coups de feu tirés par un policier pendant la nuit du jeudi 16 décembre à Bab El Oued.
Le policier en garde à vueLe communiqué de la DGSN affirme qu’une « enquête a été ouverte à la suite d’un incident qui a causé la blessure par balles, ayant entrainé la mort, de deux personnes, ainsi que des blessures légères de deux autres personnes, dont une fille, jeudi dernier dans la nuit du 16 décembre 2021, vers 22 h, à Bab El Oued, Alger ».
Le communiqué assure que le policier ayant tiré les coups de feu a été « placé en garde à vue ». Le mis en cause « s’est présenté de son plein gré devant les services de la police judiciaire », souligne la même source, qui ajoute que les deux personnes blessées ont été prises en charge par les éléments de sécurité.
La DGSN a fait également savoir que dès qu’un nouvel élément sera confirmé à propos de cette affaire, il sera communiqué afin d’informer l’opinion publique. Le communiqué de la police a enfin présenté ses « sincères condoléances aux familles des deux victimes ».
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Soziale Sicherung spielt eine zentrale Rolle bei der Erreichung mehrerer sozial- und umweltbezogener Ziele der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Daher gewinnt dieser Ansatz in den internationalen Debatten an der Schnittstelle von Klimawandel und Entwicklung zunehmend an Bedeutung. Dabei wird davon ausgegangen, dass unterschiedliche Programme zur sozialen Absicherung die Kapazität vulnerabler Gruppen fördern können, wenn es um Bewältigung, Anpassung und Transformation angesichts von Klimafolgen geht. Weiterhin können soziale Sicherungsprogramme einen gerechten Übergang zu einer grünen Wirtschaft erleichtern, zur Erreichung von Umweltschutzzielen beitragen, die Widerstandsfähigkeit über verschiedene Generationen hinweg stärken und auch die Bewältigung nicht-ökonomischer Klimafolgen unterstützen. Aktuell verfügen viele der Entwicklungsländer, die am schwersten von Klimafolgen betroffen sind, jedoch nur über rudimentäre soziale Sicherungssysteme. Diese müssen klimasicher gestaltet werden, etwa indem die mit dem Klimawandel verbundenen Risiken in Richtlinien, Strategien und Mechanismen zur sozialen Sicherung berücksichtigt werden. Doch um die soziale Absicherung auszubauen, ein nationales soziales Sicherungsnetz zu etablieren und Klimafragen darin einzubeziehen, bedarf es umfangreicher zusätzlicher Finanzierungsquellen.
Dieses Papier analysiert das Potenzial der wichtigsten multilateralen Klimafonds, die unter dem Dach der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) eingerichtet wurden, soziale Sicherung im Rahmen klimapolitischer Maßnahmen zu finanzieren. Damit einhergehend wird gezeigt, wie wichtig es ist, soziale Sicherung in die nationalen Klimapläne (Nationally Determined Contributions, NDCs) der Länder einzubeziehen, damit diese dafür Zugang zu Klimafinanzierung erhalten.
Vor diesem Hintergrund entwickelt das Papier Empfehlungen für Regierungen, Durchführungsorganisationen der Entwicklungszusammenarbeit sowie für Finanzierungsinstitutionen.
Bislang fehlen gezielte Investitionen, mittels derer der Grüne Klimafonds (GCF), der Anpassungsfonds (AF) und die Globale Umweltfazilität (GEF) Klimaaspekte in Programme, Richtlinien und Mechanismen zur sozialen Sicherung einbringen könnten. Grundsätzlich können diese Klimafonds Regierungen darin unterstützen, Klimafragen in soziale Sicherungssysteme zu integrieren und die Ziele der sozialen Absicherung mit nationalen Klima- und Umweltstrategien abzustimmen. Dies wiederum kann den Ländern helfen, ihre Kapazitäten zur Bewältigung der sozialen und immateriellen Kosten des Klimawandels zu stärken.
Folgende Maßnahmen werden empfohlen:
• Finanzierungsinstitutionen sollten in ihren Portfolios zur Risikominderung und zum Risikomanagement ausdrücklich auf Möglichkeiten zur Finanzierung von Projekten und Programmen zur sozialen Sicherung hinweisen
• Nationale Regierungen und Organisationen der internationalen Zusammenarbeit sollten auf Klimafonds zurückgreifen, um in die Stärkung sozialer Sicherungssysteme zu investieren, auf eine verbesserte Koordination von Initiativen für eine soziale Absicherung hinwirken und das Potenzial von NDCs nutzen, soziale Sicherung klimaresilient zu gestalten.
• Die Befürworter einer Politik der sozialen Sicherung sollten zwei zentrale Prozesse nutzen, um soziale Absicherungen im Kontext der Klimapolitik zu stärken: die Klimakonferenzen unter dem Dach der UNFCCC und die Wiederaufbauprogramme infolge der COVID19-Pandemie.
Soziale Sicherung spielt eine zentrale Rolle bei der Erreichung mehrerer sozial- und umweltbezogener Ziele der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Daher gewinnt dieser Ansatz in den internationalen Debatten an der Schnittstelle von Klimawandel und Entwicklung zunehmend an Bedeutung. Dabei wird davon ausgegangen, dass unterschiedliche Programme zur sozialen Absicherung die Kapazität vulnerabler Gruppen fördern können, wenn es um Bewältigung, Anpassung und Transformation angesichts von Klimafolgen geht. Weiterhin können soziale Sicherungsprogramme einen gerechten Übergang zu einer grünen Wirtschaft erleichtern, zur Erreichung von Umweltschutzzielen beitragen, die Widerstandsfähigkeit über verschiedene Generationen hinweg stärken und auch die Bewältigung nicht-ökonomischer Klimafolgen unterstützen. Aktuell verfügen viele der Entwicklungsländer, die am schwersten von Klimafolgen betroffen sind, jedoch nur über rudimentäre soziale Sicherungssysteme. Diese müssen klimasicher gestaltet werden, etwa indem die mit dem Klimawandel verbundenen Risiken in Richtlinien, Strategien und Mechanismen zur sozialen Sicherung berücksichtigt werden. Doch um die soziale Absicherung auszubauen, ein nationales soziales Sicherungsnetz zu etablieren und Klimafragen darin einzubeziehen, bedarf es umfangreicher zusätzlicher Finanzierungsquellen.
Dieses Papier analysiert das Potenzial der wichtigsten multilateralen Klimafonds, die unter dem Dach der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) eingerichtet wurden, soziale Sicherung im Rahmen klimapolitischer Maßnahmen zu finanzieren. Damit einhergehend wird gezeigt, wie wichtig es ist, soziale Sicherung in die nationalen Klimapläne (Nationally Determined Contributions, NDCs) der Länder einzubeziehen, damit diese dafür Zugang zu Klimafinanzierung erhalten.
Vor diesem Hintergrund entwickelt das Papier Empfehlungen für Regierungen, Durchführungsorganisationen der Entwicklungszusammenarbeit sowie für Finanzierungsinstitutionen.
Bislang fehlen gezielte Investitionen, mittels derer der Grüne Klimafonds (GCF), der Anpassungsfonds (AF) und die Globale Umweltfazilität (GEF) Klimaaspekte in Programme, Richtlinien und Mechanismen zur sozialen Sicherung einbringen könnten. Grundsätzlich können diese Klimafonds Regierungen darin unterstützen, Klimafragen in soziale Sicherungssysteme zu integrieren und die Ziele der sozialen Absicherung mit nationalen Klima- und Umweltstrategien abzustimmen. Dies wiederum kann den Ländern helfen, ihre Kapazitäten zur Bewältigung der sozialen und immateriellen Kosten des Klimawandels zu stärken.
Folgende Maßnahmen werden empfohlen:
• Finanzierungsinstitutionen sollten in ihren Portfolios zur Risikominderung und zum Risikomanagement ausdrücklich auf Möglichkeiten zur Finanzierung von Projekten und Programmen zur sozialen Sicherung hinweisen
• Nationale Regierungen und Organisationen der internationalen Zusammenarbeit sollten auf Klimafonds zurückgreifen, um in die Stärkung sozialer Sicherungssysteme zu investieren, auf eine verbesserte Koordination von Initiativen für eine soziale Absicherung hinwirken und das Potenzial von NDCs nutzen, soziale Sicherung klimaresilient zu gestalten.
• Die Befürworter einer Politik der sozialen Sicherung sollten zwei zentrale Prozesse nutzen, um soziale Absicherungen im Kontext der Klimapolitik zu stärken: die Klimakonferenzen unter dem Dach der UNFCCC und die Wiederaufbauprogramme infolge der COVID19-Pandemie.
Soziale Sicherung spielt eine zentrale Rolle bei der Erreichung mehrerer sozial- und umweltbezogener Ziele der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Daher gewinnt dieser Ansatz in den internationalen Debatten an der Schnittstelle von Klimawandel und Entwicklung zunehmend an Bedeutung. Dabei wird davon ausgegangen, dass unterschiedliche Programme zur sozialen Absicherung die Kapazität vulnerabler Gruppen fördern können, wenn es um Bewältigung, Anpassung und Transformation angesichts von Klimafolgen geht. Weiterhin können soziale Sicherungsprogramme einen gerechten Übergang zu einer grünen Wirtschaft erleichtern, zur Erreichung von Umweltschutzzielen beitragen, die Widerstandsfähigkeit über verschiedene Generationen hinweg stärken und auch die Bewältigung nicht-ökonomischer Klimafolgen unterstützen. Aktuell verfügen viele der Entwicklungsländer, die am schwersten von Klimafolgen betroffen sind, jedoch nur über rudimentäre soziale Sicherungssysteme. Diese müssen klimasicher gestaltet werden, etwa indem die mit dem Klimawandel verbundenen Risiken in Richtlinien, Strategien und Mechanismen zur sozialen Sicherung berücksichtigt werden. Doch um die soziale Absicherung auszubauen, ein nationales soziales Sicherungsnetz zu etablieren und Klimafragen darin einzubeziehen, bedarf es umfangreicher zusätzlicher Finanzierungsquellen.
Dieses Papier analysiert das Potenzial der wichtigsten multilateralen Klimafonds, die unter dem Dach der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) eingerichtet wurden, soziale Sicherung im Rahmen klimapolitischer Maßnahmen zu finanzieren. Damit einhergehend wird gezeigt, wie wichtig es ist, soziale Sicherung in die nationalen Klimapläne (Nationally Determined Contributions, NDCs) der Länder einzubeziehen, damit diese dafür Zugang zu Klimafinanzierung erhalten.
Vor diesem Hintergrund entwickelt das Papier Empfehlungen für Regierungen, Durchführungsorganisationen der Entwicklungszusammenarbeit sowie für Finanzierungsinstitutionen.
Bislang fehlen gezielte Investitionen, mittels derer der Grüne Klimafonds (GCF), der Anpassungsfonds (AF) und die Globale Umweltfazilität (GEF) Klimaaspekte in Programme, Richtlinien und Mechanismen zur sozialen Sicherung einbringen könnten. Grundsätzlich können diese Klimafonds Regierungen darin unterstützen, Klimafragen in soziale Sicherungssysteme zu integrieren und die Ziele der sozialen Absicherung mit nationalen Klima- und Umweltstrategien abzustimmen. Dies wiederum kann den Ländern helfen, ihre Kapazitäten zur Bewältigung der sozialen und immateriellen Kosten des Klimawandels zu stärken.
Folgende Maßnahmen werden empfohlen:
• Finanzierungsinstitutionen sollten in ihren Portfolios zur Risikominderung und zum Risikomanagement ausdrücklich auf Möglichkeiten zur Finanzierung von Projekten und Programmen zur sozialen Sicherung hinweisen
• Nationale Regierungen und Organisationen der internationalen Zusammenarbeit sollten auf Klimafonds zurückgreifen, um in die Stärkung sozialer Sicherungssysteme zu investieren, auf eine verbesserte Koordination von Initiativen für eine soziale Absicherung hinwirken und das Potenzial von NDCs nutzen, soziale Sicherung klimaresilient zu gestalten.
• Die Befürworter einer Politik der sozialen Sicherung sollten zwei zentrale Prozesse nutzen, um soziale Absicherungen im Kontext der Klimapolitik zu stärken: die Klimakonferenzen unter dem Dach der UNFCCC und die Wiederaufbauprogramme infolge der COVID19-Pandemie.
Soziale Sicherung spielt eine zentrale Rolle bei der Erreichung mehrerer sozial- und umweltbezogener Ziele der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Daher gewinnt dieser Ansatz in den internationalen Debatten an der Schnittstelle von Klimawandel und Entwicklung zunehmend an Bedeutung. Dabei wird davon ausgegangen, dass unterschiedliche Programme zur sozialen Absicherung die Kapazität vulnerabler Gruppen fördern können, wenn es um Bewältigung, Anpassung und Transformation angesichts von Klimafolgen geht. Weiterhin können soziale Sicherungsprogramme einen gerechten Übergang zu einer grünen Wirtschaft erleichtern, zur Erreichung von Umweltschutzzielen beitragen, die Widerstandsfähigkeit über verschiedene Generationen hinweg stärken und auch die Bewältigung nicht-ökonomischer Klimafolgen unterstützen. Aktuell verfügen viele der Entwicklungsländer, die am schwersten von Klimafolgen betroffen sind, jedoch nur über rudimentäre soziale Sicherungssysteme. Diese müssen klimasicher gestaltet werden, etwa indem die mit dem Klimawandel verbundenen Risiken in Richtlinien, Strategien und Mechanismen zur sozialen Sicherung berücksichtigt werden. Doch um die soziale Absicherung auszubauen, ein nationales soziales Sicherungsnetz zu etablieren und Klimafragen darin einzubeziehen, bedarf es umfangreicher zusätzlicher Finanzierungsquellen.
Dieses Papier analysiert das Potenzial der wichtigsten multilateralen Klimafonds, die unter dem Dach der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) eingerichtet wurden, soziale Sicherung im Rahmen klimapolitischer Maßnahmen zu finanzieren. Damit einhergehend wird gezeigt, wie wichtig es ist, soziale Sicherung in die nationalen Klimapläne (Nationally Determined Contributions, NDCs) der Länder einzubeziehen, damit diese dafür Zugang zu Klimafinanzierung erhalten.
Vor diesem Hintergrund entwickelt das Papier Empfehlungen für Regierungen, Durchführungsorganisationen der Entwicklungszusammenarbeit sowie für Finanzierungsinstitutionen.
Bislang fehlen gezielte Investitionen, mittels derer der Grüne Klimafonds (GCF), der Anpassungsfonds (AF) und die Globale Umweltfazilität (GEF) Klimaaspekte in Programme, Richtlinien und Mechanismen zur sozialen Sicherung einbringen könnten. Grundsätzlich können diese Klimafonds Regierungen darin unterstützen, Klimafragen in soziale Sicherungssysteme zu integrieren und die Ziele der sozialen Absicherung mit nationalen Klima- und Umweltstrategien abzustimmen. Dies wiederum kann den Ländern helfen, ihre Kapazitäten zur Bewältigung der sozialen und immateriellen Kosten des Klimawandels zu stärken.
Folgende Maßnahmen werden empfohlen:
• Finanzierungsinstitutionen sollten in ihren Portfolios zur Risikominderung und zum Risikomanagement ausdrücklich auf Möglichkeiten zur Finanzierung von Projekten und Programmen zur sozialen Sicherung hinweisen
• Nationale Regierungen und Organisationen der internationalen Zusammenarbeit sollten auf Klimafonds zurückgreifen, um in die Stärkung sozialer Sicherungssysteme zu investieren, auf eine verbesserte Koordination von Initiativen für eine soziale Absicherung hinwirken und das Potenzial von NDCs nutzen, soziale Sicherung klimaresilient zu gestalten.
• Die Befürworter einer Politik der sozialen Sicherung sollten zwei zentrale Prozesse nutzen, um soziale Absicherungen im Kontext der Klimapolitik zu stärken: die Klimakonferenzen unter dem Dach der UNFCCC und die Wiederaufbauprogramme infolge der COVID19-Pandemie.
Soziale Sicherung spielt eine zentrale Rolle bei der Erreichung mehrerer sozial- und umweltbezogener Ziele der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung. Daher gewinnt dieser Ansatz in den internationalen Debatten an der Schnittstelle von Klimawandel und Entwicklung zunehmend an Bedeutung. Dabei wird davon ausgegangen, dass unterschiedliche Programme zur sozialen Absicherung die Kapazität vulnerabler Gruppen fördern können, wenn es um Bewältigung, Anpassung und Transformation angesichts von Klimafolgen geht. Weiterhin können soziale Sicherungsprogramme einen gerechten Übergang zu einer grünen Wirtschaft erleichtern, zur Erreichung von Umweltschutzzielen beitragen, die Widerstandsfähigkeit über verschiedene Generationen hinweg stärken und auch die Bewältigung nicht-ökonomischer Klimafolgen unterstützen. Aktuell verfügen viele der Entwicklungsländer, die am schwersten von Klimafolgen betroffen sind, jedoch nur über rudimentäre soziale Sicherungssysteme. Diese müssen klimasicher gestaltet werden, etwa indem die mit dem Klimawandel verbundenen Risiken in Richtlinien, Strategien und Mechanismen zur sozialen Sicherung berücksichtigt werden. Doch um die soziale Absicherung auszubauen, ein nationales soziales Sicherungsnetz zu etablieren und Klimafragen darin einzubeziehen, bedarf es umfangreicher zusätzlicher Finanzierungsquellen.
Dieses Papier analysiert das Potenzial der wichtigsten multilateralen Klimafonds, die unter dem Dach der Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (UNFCCC) eingerichtet wurden, soziale Sicherung im Rahmen klimapolitischer Maßnahmen zu finanzieren. Damit einhergehend wird gezeigt, wie wichtig es ist, soziale Sicherung in die nationalen Klimapläne (Nationally Determined Contributions, NDCs) der Länder einzubeziehen, damit diese dafür Zugang zu Klimafinanzierung erhalten.
Vor diesem Hintergrund entwickelt das Papier Empfehlungen für Regierungen, Durchführungsorganisationen der Entwicklungszusammenarbeit sowie für Finanzierungsinstitutionen.
Bislang fehlen gezielte Investitionen, mittels derer der Grüne Klimafonds (GCF), der Anpassungsfonds (AF) und die Globale Umweltfazilität (GEF) Klimaaspekte in Programme, Richtlinien und Mechanismen zur sozialen Sicherung einbringen könnten. Grundsätzlich können diese Klimafonds Regierungen darin unterstützen, Klimafragen in soziale Sicherungssysteme zu integrieren und die Ziele der sozialen Absicherung mit nationalen Klima- und Umweltstrategien abzustimmen. Dies wiederum kann den Ländern helfen, ihre Kapazitäten zur Bewältigung der sozialen und immateriellen Kosten des Klimawandels zu stärken.
Folgende Maßnahmen werden empfohlen:
• Finanzierungsinstitutionen sollten in ihren Portfolios zur Risikominderung und zum Risikomanagement ausdrücklich auf Möglichkeiten zur Finanzierung von Projekten und Programmen zur sozialen Sicherung hinweisen
• Nationale Regierungen und Organisationen der internationalen Zusammenarbeit sollten auf Klimafonds zurückgreifen, um in die Stärkung sozialer Sicherungssysteme zu investieren, auf eine verbesserte Koordination von Initiativen für eine soziale Absicherung hinwirken und das Potenzial von NDCs nutzen, soziale Sicherung klimaresilient zu gestalten.
• Die Befürworter einer Politik der sozialen Sicherung sollten zwei zentrale Prozesse nutzen, um soziale Absicherungen im Kontext der Klimapolitik zu stärken: die Klimakonferenzen unter dem Dach der UNFCCC und die Wiederaufbauprogramme infolge der COVID19-Pandemie.
Le président Patrice Talon sera devant les députés mercredi 29 décembre 2021 à Porto-Novo pour délivrer son message sur l'état de la Nation.
Discours annuel du président Patrice Talon sur l'état de la Nation. Sauf changement d'agenda, le chef de l'État sera devant la Représentation nationale le mercredi 29 décembre 2021.
Réélu en avril 2021 à la tête du Bénin pour un second mandat, Patrice Talon va se conformer une sixième fois à cette exigence constitutionnelle (message sur l'état de la Nation). Selon l'article 72 de la Constitution, « le président de la République adresse une fois par an un message à l'Assemblée nationale sur l'état de la Nation. Il peut aussi à tout moment adresser des messages à l'Assemblée nationale. Ces messages ne donnent lieu à aucun débat ; ils peuvent toutefois inspirer les travaux de l'Assemblée ».
A.A.A