La vente en ligne de toute sorte de médicaments sur les pages web et réseaux sociaux prend de plus en plus de l’ampleur. Face à cette situation, le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens (CNOP) et le Syndicat national des pharmaciens d’officine (SNAPO), dénoncent et mettent en garde.
Dans un communiqué commun rendu public hier vendredi, ces deux organisations professionnelles dénoncent cette pratique. « La Commission nationale de coordination CNOP-SNAPO dénonce la vente en ligne, sur les pages web et réseaux sociaux, des médicaments », peut-on lire dans le document.
Selon la même source, il s’agit notamment des immédiatement « introduits de manière frauduleuse sur le territoire national, ce qui constitue un danger réel pour la santé de nos concitoyens par l’introduction de produits prohibés, non autorisés ou contrefaits ».
Nécessité « du respect des pratiques commerciales et déontologiques »Lors d’une réunion tenue au siège de l’Ordre des pharmaciens, la commission a également dénoncé « la vente concomitante par certains distributeurs et la vente en packs imposées aux pharmaciens, notamment lorsqu’il s’agit de médicaments essentiels en rupture ou sous tension ».
Dans ce sens, les deux organisations déplorent « la perturbation du marché du médicament, causée par certains spéculateurs, notamment par la rétention des produits ». En outre, elles « dénoncent les pratiques déloyales, entre autres le compérage, la concurrence anti-déontologique et la recherche de la clientèle par des procédés réprimés par la loi ».
Ainsi, la Commission nationale de coordination CNOP-SNAPO exige, à travers son communiqué, « le respect des pratiques commerciales et déontologiques par les laboratoires et établissements pharmaceutiques ».
Par ailleurs, l’on a également noté « qu’enfreindre les règles de l’exercice pharmaceutique, expose son auteur à des sanctions disciplinaires, allant de l’avertissement à la fermeture de l’officine ou de l’établissement ».
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On the morning of 11 December, the armed formations in Luhansk region twice denied, and once delayed, the Mission’s passage to government-controlled areas. The SMM patrols were travelling from non-government-controlled areas.
The first denial occurred at 09:06, at the checkpoint of the armed formations near the southern edge of the disengagement area near Zolote. The second occurred at 11:04 at a checkpoint of the armed formations on road T-0504 about 1.5km south-west of Molodizhne. Members of the armed formations cited a “lack of security guarantees” on the first occasion and “orders from their superiors” on the second.
At 09:25, the passage of another SMM patrol travelling through the checkpoint of the armed formations south of the Stanytsia Luhanska bridge was delayed for about 46 minutes. Members of the armed formations cited a “lack of prior notification”. The SMM had preannounced its passage as a temporary, COVID-19 related courtesy.
For recent restrictions faced by the Mission when crossing the contact line, see SMM Spot Reports 27/2021, 28/2021, 29/2021, 30/2021, 31/2021, 32/2021, 33/2021, 34/2021, 35/2021, 36/2021, 38/2021 and 39/2021.
The Mission again notes that such denials and delays not only restrict the SMM’s freedom of movement across the contact line, but also prevent the SMM’s logistical operations, which are essential for the effective functioning of the Mission.
The OSCE Permanent Council Decision No. 1117 specifies that the SMM shall have safe and secure access throughout Ukraine. Unrestricted and unconditional access to all areas is essential to ensure effective monitoring and reporting of the security situation, as well as other mandated tasks. The mandate also tasks the Mission to report on any restrictions of its freedom of movement or other impediments to fulfilment of its mandate.
Après la hausse des cas de contaminations enregistrée dans les établissements solaires notamment ceux de Tizi-Ouzou et Oran, la question de la vaccination des enfants refait surface.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Santé a affirmé hier, 10 décembre que son département a étudié les récents évènements relatifs à la situation épidémiologique en Algérie, plus particulièrement dans le milieu scolaire.
Aujourd’hui, samedi 11 décembre, le même responsable est revenu avec de nouvelles déclarations. En effet, Abderrahmane Benbouzid a mis fin au débat en déclarant qu’il n’y pas pour le moment de campagnes de vaccinations destinées aux élèves.
Cependant, le responsable n’a pas omis d’apporter quelques précisions. « Si une décision relative à la vaccination des élèves s’impose, la priorité serait accordée aux enfants souffrants de maladies chroniques », a précisé Benbouzid avant d’ajouter que l’Algérie utiliserait à cet effet le vaccin Sinovac.
Ainsi, « les autorités sanitaires s’appuieront sur des essais cliniques et sur les résultats des autres pays au cas où la vaccination des enfants deviendrait nécessaire en Algérie », poursuit le responsable.
La vaccination des enseignants débutera demainDans le même contexte, le ministre de la Santé a indiqué qu’une campagne de vaccination destinée aux enseignants, débutera demain, dimanche 11 décembre, au sein des établissements scolaires, et ce, dans l’objectif d’assurer une sécurité sanitaire et pourquoi pas une immunité collective.
En effet, le taux de vaccination en Algérie est de 27 %, un chiffre insuffisant face au danger des mutations et apparitions de nouvelles souches, à l’instar de « Omicron ». En conclusion, rappelons que 13 millions de doses de vaccin anti-covid sont actuellement disponibles en Algérie.
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(Par Roger Gbégnonvi)
Depuis leur signalement dans le parc national de la Pendjari le 1er mai 2019, on savait que les semeurs de mort et de désolation reviendraient. On les attendait sans les espérer. Car le mal n'est jamais à espérer. L'homme s'attend à lui. Il se présente. L'homme le combat.
Et l'homme au Bénin va maintenant combattre les terroristes infiltrés chez lui par ses frontières nord. Ce ne sont pas des djihadistes. Il serait temps en tout cas de quitter ce vocable ambigu qui porte en filigrane la foi en quelque Dieu et le zèle à son service. Or il n'en est rien. Dans l'histoire des hommes, des Croisades à la Sainte Inquisition en passant par La Saint-Barthélemy, et faisant plus tard un détour par les lieux du nazisme et du fallacieux « Gott mit uns » (Dieu avec nous), etc., de très nombreux terroristes ont pris et prennent encore l'Immaculé Manteau de Dieu pour commettre sur l'homme les pires atrocités. Seuls ceux du Burundi-Rwanda, où l'on ignore Dieu transcendant et parents ascendants, n'invoquent aucun subterfuge vertical ou horizontal, opportuniste et mensonger : si la présence sur terre de leurs voisins les agace, ils les poursuivent et les abattent même dans les églises. On peut leur savoir gré d'assumer leurs haines et leurs horreurs. Au demeurant, si l'on croit en Dieu, on doit Le respecter assez pour ne pas Le dire commanditaire ou co-auteur de nos turpitudes rances, Le respecter assez pour désapprouver saint Augustin qui, dans La Cité de Dieu, se plaît à « reconnaître cette Providence qui se sert du fléau de la guerre pour corriger, pour broyer la corruption humaine ». Non, ce n'est pas possible, sinon il faudrait donner aux hommes comme modèles à imiter les puissants guerriers et tous les massacreurs aux petits pieds, au motif qu'ils promeuvent l'amélioration de l'homme. Non, les morts ne s'améliorent pas. Mais les vivants, au vu du mal perpétré par eux ou par leurs semblables, peuvent s'amender et prendre toutes mesures pour contrecarrer tout mal futur d'où qu'il vienne. Le mal ne produit pas le bien. Et l'homme doit empêcher le mal partout.
C'est ce que fait et fera le Bénin. La mesure-phare, le maître-mot, c'est l'unité du pays. Cette unité, qui ne signifie pas monolithisme, a sauvé le Bénin de la terreur programmée par certains de ses enfants il y a peu. Ses enfants ! Car le mal vient toujours d'abord de l'intérieur. « C'est dans le mur fendillé que s'introduit le margouillat », et « la tortue visée au cou se sait trahie par quelqu'un des siens ». Son unité a sauvé le Bénin il y a peu. Son unité renforcée est son rempart contre les terroristes sans foi ni loi à ses frontières.
Le renforcement de son unité passe justement en tout premier lieu par un plus grand respect de la loi et des institutions de la République, de sorte que nul Béninois ne puisse se dire ou se sentir victime de quelque désastreux deux-poids-deux-mesures. A chacun selon son dû en toute justice. Et, justement, le renforcement de l'unité du Bénin passe en second lieu par la recherche constante de la justice sociale. « Les pauvres, vous les aurez toujours avec vous », fait dire l'évangéliste Matthieu à Jésus le Christ (26/11). C'est tout simplement un appel pressant à ne jamais baisser les bras en matière de recherche de la justice sociale parce que, en cette matière, il y aura toujours à faire pour et par les hommes. « Donnez-leur vous-mêmes à manger ! », fait encore dire Matthieu à Jésus le Christ (14/16).
Campé sur son unité renforcée grâce à une recherche assidue de la justice sociale et grâce à un plus grand respect de la loi et des institutions de la République, le Bénin a d'ores et déjà vaincu le terrorisme sur ses frontières. L'unité renforcée des Béninois sera du plus grand encouragement pour les soldats béninois au front, sera le plus beau trophée que les Béninois offriront aux soldats béninois qui, au risque de leur vie, sont au service de la sécurité et de la liberté des Béninois, les armes à la main, et le drapeau national haut porté.