Le gouvernement a approuvé, mercredi 28 mai 2025, le document de Politique nationale de Promotion et de Développement des petites et moyennes entreprises 2025-2034.
La Politique nationale de Promotion et de Développement des petites et moyennes entreprises 2025-2034 est élaborée dans une démarche inclusive et participative. Elle précise « les repères stratégiques devant guider les interventions relatives aux micros, petites et moyennes entreprises sur la période visée ; lesquelles sont attendues, à l'horizon 2034, pour être compétitives dans un cadre institutionnel adéquat et un environnement des affaires favorable à la création de la richesse, d'emplois décents et durables ».
« Son approbation permettra ainsi de disposer d'une orientation nationale en matière de promotion et de développement des micros, petites et moyennes entreprises, tenant compte des mutations socio-économiques afin de mieux répondre aux nouveaux défis de développement de notre pays », informe le communiqué.
Le ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi veillera à sa mise en œuvre, en liaison avec les autres ministres concernés.
A.A.A
En Conseil des ministres, mercredi 28 mai 2025, le gouvernement a entériné la création de la Société Béninoise d'Infrastructures maritimes et fluvio-lagunaires.
Les statuts de la Société Béninoise d'Infrastructures maritimes et fluvio-lagunaires ont été approuvés en Conseil des ministres du 28 mai 2025.
La Société « aura pour mission d'élaborer et de mettre en œuvre les stratégies à long terme de protection de la côte béninoise. Celles-ci peuvent combiner les dragages des fonds marins ou lagunaires, la recomposition du territoire et la préservation des espaces naturels. Elle s'occupera, par ailleurs, de la construction et de l'exploitation d'un chantier naval, avec pour responsabilité d'entretenir les engins flottants nationaux et d'assurer leur navigabilité », précise le gouvernement.
Le Conseil a instruit les ministres concernés à l'effet de prendre les dispositions appropriées en vue de son opérationnalisation diligente.
M. M.
Le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) vient de publier une étude inédite sur un phénomène céleste rare observé en Algérie : […]
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La coopération économique et sociale au centre de la rencontre entre l'Ambassadeur des Émirats Arabes Unis et le Président du Conseil économique et social (CES) au Bénin. Son Excellence Mohamed Saeed Al Kaabi a rencontré, ce mardi 28 mai 2025, Son Excellence Conrad Gbaguidi, au siège de l'institution à Cotonou.
Au cours de la rencontre de ce mercredi entre Son Excellence Mohamed Saeed Al Kaabi, Ambassadeur des Émirats Arabes Unis et Son Excellence Conrad Gbaguidi, Président du CES, les discussions ont porté sur les relations bilatérales entre les deux pays et des moyens de les renforcer davantage dans divers domaines, notamment économiques et sociaux. Plusieurs questions d'intérêt commun ont également été abordées.
Les deux personnalités n'ont pas manqué de souligner la nécessité de consolider la coopération institutionnelle et l'échange d'expertises au service des intérêts des deux peuples amis.
Son Excellence l'Ambassadeur Al Kaabi a exprimé la volonté des Émirats Arabes Unis de développer davantage la coopération avec le Bénin, saluant le rôle du Conseil économique et social dans l'appui aux politiques de développement du pays.
Pour sa part, Son Excellence Konrad Gbaguidi a salué la coopération avec les Émirats Arabes Unis, en mettant en valeur leurs efforts en matière de développement aux niveaux régional et international.
Le Président du CES a exprimé le souhait de bénéficier de l'expérience des institutions similaires aux Émirats et d'établir avec elles un partenariat efficace et constructif.
Par Caroline Mbugua HSC, Senior Director, Public Policy and Communications.
Un proverbe africain dit : « Celui qui ne saisit pas l'opportunité aujourd'hui ne pourra pas saisir celle de demain. » Cela signifie que le moment d'agir pour combler la fracture numérique, c'est maintenant. Les Fonds de Service Universel (FSU) ont le potentiel de favoriser l'inclusion numérique en Afrique, mais cela ne sera possible qu'avec les réformes nécessaires pour améliorer leur efficacité. Une réelle volonté politique est indispensable pour permettre ces réformes et libérer tout le potentiel des FSU.
L'accès universel au haut débit est essentiel à la transformation socio-économique de l'Afrique – pourtant, une fracture numérique importante continue de freiner le continent. Bien que la plupart des pays africains aient mis en place des Fonds de Service Universel pour combler cette lacune, un récent rapport de la GSMA révèle une déconnexion inquiétante entre les fonds collectés et leur impact réel sur l'expansion du haut débit. Entre 2018 et 2022, plus de 1,5 milliard de dollars ont été accumulés à travers les FSU en Afrique, mais une grande partie de ces fonds reste inutilisée. L'inactivité, le manque de transparence et les ingérences politiques continuent de nuire à leur efficacité.
Malgré les progrès considérables réalisés au cours de la dernière décennie, l'Afrique reste la région la moins connectée au monde. Selon les dernières données de la GSMA, environ 1 milliard de personnes en Afrique ne sont toujours pas connectées à l'Internet mobile – un défi qui s'explique à la fois par un déficit de couverture (environ 160 millions de personnes vivent en dehors des zones desservies par le haut débit mobile) et, surtout, par un déficit d'usage : environ 800 millions de personnes vivent dans des zones couvertes, mais n'utilisent pas ces services. La couverture du haut débit mobile est passée de 56 % en 2012 à 87 % fin 2023 – mais cette avancée reste inégale. Des pays comme la République Démocratique du Congo (54 % de couverture) ou le Burkina Faso (30 %) sont encore très en retard par rapport à des leaders régionaux comme le Maroc ou l'Afrique du Sud, qui ont réduit leur déficit de couverture à moins de 1 %.
Le problème n'est pas le manque d'ambition, mais celui de l'exécution. Aujourd'hui, 51 des 54 pays africains ont mis en place ou envisagent de créer un FSU, financé par des prélèvements sur les revenus des opérateurs télécoms, allant de 0,2 % à 3,5 %. Mais selon le rapport de la GSMA sur les FSU en Afrique, plus de 265 millions de dollars restent inutilisés dans 12 pays. Seuls 30 % des FSU publient des rapports réguliers, et environ 20 % rencontrent des difficultés pour collecter les fonds de manière cohérente. Avec 70 % des fonds gérés par les régulateurs, le risque d'ingérence politique est réel – détournant souvent les fonds vers des projets à court terme ou à visée électorale.
Pourtant, il existe des exemples clairs de ce qu'il est possible d'accomplir lorsque les FSU sont bien gérés. Au Nigeria, le Fonds de Fourniture de Services Universels a soutenu le Centre des Technologies Émergentes pour stimuler l'innovation numérique. Au Zimbabwe, le FSU a permis d'équiper 60 écoles rurales en laboratoires TIC, au bénéfice des élèves et des communautés environnantes. Au Ghana, le réseau partagé soutenu par le FSU a déjà connecté 3,4 millions de personnes sur plus de 1 000 sites. Ces projets démontrent le pouvoir transformateur d'un FSU bien gouverné.
Fondamentalement, le mécanisme des FSU vise à compléter les politiques fondées sur le marché pour combler le déficit d'accès, en incitant les fournisseurs de services à déployer des infrastructures et des services dans les zones reculées et mal desservies. Les données du rapport de la GSMA « Réformes politiques des FSU en Afrique pour améliorer leur efficacité » montrent que de nombreux FSU sous-performent et ne remplissent plus leur rôle. Face à l'urgence de combler les déficits de couverture et d'usage, il est devenu impératif de réformer en profondeur les aspects structurels et opérationnels des FSU africains, ou bien d'envisager leur abandon. La volonté politique des gouvernements et des décideurs est une étape essentielle vers la réforme des FSU. Elle est primordiale pour améliorer le cadre juridique des FSU, si nécessaire, et garantir le respect des principes fondamentaux d'un FSU efficace : responsabilité, clarté, neutralité de service, transparence, durabilité et visibilité.
Au-delà de cela, des mesures spécifiques doivent être prises pour lever les freins à leur performance et explorer de nouvelles approches pour optimiser l'usage des FSU.
Dans cette optique, les FSU doivent être soutenus par des structures de gouvernance indépendantes, afin d'assurer une prise de décision équitable et transparente. Une approche fondée sur les données, comme les cartes de couverture utilisées en Ouganda, permet de cibler les investissements vers les zones les plus délaissées. Une concertation active avec les parties prenantes, comme le conseil multi-opérateurs au Ghana, renforce la confiance et l'alignement du secteur. Le soutien aux dépenses opérationnelles (OPEX) est également essentiel à la durabilité des projets. Par ailleurs, des modèles innovants comme le mécanisme « pay or play » du Maroc – où les opérateurs peuvent choisir entre un paiement financier ou la mise en œuvre directe de projets – offrent flexibilité et créativité.
Au-delà des FSU, des réformes politiques complémentaires sont aussi nécessaires pour améliorer l'accès au haut débit et encourager son adoption. La réduction des taxes spécifiques au secteur, comme au Bénin, ou l'exonération des frais de spectre en zones rurales, peuvent significativement réduire les coûts de déploiement. L'accélération des procédures d'autorisation pour les pylônes et les fibres optiques peut aussi jouer un rôle déterminant.
En résumé, les FSU devraient servir de catalyseurs à long terme pour l'investissement dans les infrastructures numériques. Cependant, ce potentiel reste largement inexploité. L'Afrique a urgemment besoin de passer d'une logique d'accumulation passive de fonds à une stratégie de déploiement stratégique et transparent. En revitalisant les FSU et en alignant les cadres politiques plus larges, nous pouvons libérer tous les bénéfices socio-économiques que la connectivité universelle peut offrir à tous les Africains.
Le Document de Programmation Budgétaire et Économique Pluriannuelle 2026-2028 a été transmis à l'Assemblée nationale à l'issue du Conseil des ministres du 28 mai 2025.
Le gouvernement a transmis à l'Assemblée nationale le Document de Programmation Budgétaire et Économique Pluriannuelle 2026-2028. Ce document servira de support au débat d'orientation budgétaire. Il arrive dans un contexte favorable. En 2024, l'économie béninoise affiche une croissance de 7,5%.
Le Conseil des ministres souligne que cette performance est portée par une « amélioration de la productivité agricole, l'essor industriel, la relance du commerce ».
L'inflation reste maîtrisée à 1,2 %.
« Ces performances économiques remarquables sont réalisées dans un environnement sous-régional et international incertain. D'où la nécessité de maintenir une trajectoire budgétaire soutenable et de renforcer la planification à moyen terme », précise le gouvernement.
Le Conseil a instruit le ministre de l'Economie et des Finances et le ministre de la Justice et de la Législation, aux fins de prendre les dispositions en vue de l'organisation du débat d'orientation budgétaire avec les députés.
M. M.
En Conseil des ministres, mercredi 28 mai 2025, le gouvernement béninois a actualisé les modalités de commercialisation des logements économiques en location-achat.
Dans le but de faciliter l'accès du plus grand nombre des concitoyens aux logements économiques, le Conseil des ministres a procédé à une actualisation des modalités. Les ajustements effectués portent sur l'extension de la location-achat des logements économiques à la diaspora béninoise (tous les Béninois résidant à l'extérieur) et aux personnes admises à la retraite ; la durée de remboursement des logements économiques qui est portée à vingt (20) ans, au lieu d'une durée précédemment fixée à dix-sept (17) ans ; le taux d'actualisation appliqué pour le calcul des mensualités qui est abaissé à 4,5% au lieu de 6,5%.
« Ces nouvelles modalités s'appliqueront à l'ensemble du programme, y compris à l'offre de logements de la Caisse nationale de Sécurité sociale, dans un souci d'harmonisation et de cohérence, au service de l'intérêt général », informe le Conseil des ministres.
Quant aux prix de cession des logements économiques en achat au comptant, ils restent inchangés et conformes à la décision du Conseil des Ministres du 25 septembre 2024. « De même, restent inchangées, les modalités d'acquisition des logements sociaux (de type D) dédiés uniquement aux agents de l'Etat éligibles, et cédés par voie de location-achat pour des mensualités de 97.000 FCFA sur une durée de 25 ans », ajoute le Conseil des ministres.
Des mesures ont été prises, mercredi 28 mai 2025, en Conseil des ministres pour la réfection des toitures de salles de classe décoiffées dans cent trente-cinq (135) Collèges d'Enseignement Général (CEG) sur l'étendue du territoire national.
Au Bénin, des toitures de salles de classe sont décoiffées dans plusieurs communes du Bénin. Des charpentes ont été endommagées par les orages ou les vents violents. Il est également noté des dégradations d'autres natures par endroits. Le gouvernement béninois a répertorié 135 répartis CEG dans 53 communes et 11 départements pour bénéficier exclusivement des réfections de toitures.
Dans le but de favoriser la poursuite des activités pédagogiques dans de bonnes conditions, l'Agence pour la Construction des Infrastructures du Secteur de l'Education a été instruite aux fins des diligences à accomplir. Le Conseil a marqué son accord pour la contractualisation avec diverses entreprises en vue de leur réalisation dans les délais prescrits.
A.A.A
Le ministère de l’Éducation nationale a fixé la date des épreuves de rattrapage pour les trois paliers de l’enseignement primaire, moyen et secondaire au 23 […]
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La 13e Rencontre internationale des hauts représentants chargés des questions de sécurité se déroule à Moscou. Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi, qui effectue du 27 au 29 mai 2025, une visite de travail en Russie, représente le Royaume du Maroc aux travaux de ce ce forum.
Cette 13e Rencontre internationale des hauts représentants chargés des questions de sécurité, tenue à Moscou, revêt une importance particulière en matière de sécurité. Elle est marquée par la présence de chefs et de responsables chargés des services de sécurité et de renseignement représentant plus de 100 pays du Sud, de l'Est et des pays de la Communauté des États indépendants (CEI), en plus de plusieurs organisations internationales et régionales, dont l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), l'Union économique Euro-asiatique (UEE), l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et d'autres organisations internationales s'activant dans des domaines en lien avec la sécurité.
Organisée par le Conseil de sécurité russe, cette réunion se tient régulièrement depuis 2010 en tant que forum stratégique de coordination et d'échange de vues entre différents pays sur les moyens de développer des mécanismes collectifs pour faire face aux risques mondiaux croissants et d'examiner les politiques internationales visant à neutraliser les menaces émergentes, contribuant ainsi à la consolidation de la paix et de la sécurité mondiales.
Ce Forum présidé par le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Sergueï Choïgou, a été marqué par la présence du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
Le président de la Fédération de Russie dans son allocution d'ouverture en visioconférence a souligné que la nouvelle architecture de sécurité mondiale doit être juste et équitable, notant que tous les Etats doivent disposer de garanties solides pour assurer leur propre sécurité, sans compromettre les intérêts et la sécurité des autres Etats.
Le président Vladimir Poutine s'est félicité de la participation des services de sûreté et de renseignement des pays de l'Est et du Sud qui, selon lui, représentent la plus grande partie du système sécuritaire mondial. Ces pays, a-t-il indiqué, soutiennent le principe d'une souveraineté équitable et juste et mettent en avant leur propre modèle de développement.
Les travaux de cette 13e Réunion ont été marqués par des séances plénières et des conférences thématiques sur diverses questions relatives à la sécurité mondiale, dont la montée de la menace terroriste qui se manifeste par l'émergence de fiefs régionaux et de nouveaux foyers d'organisations terroristes, les dangers accrus des crimes et les cyberattaques ciblant les infrastructures vitales et sensibles des Etats, en plus des intersections et ramifications transnationales du crime organisé.
La coopération juste et équitable entre les pays est le gage du succès de toute structure sécuritaire commune
Au cours du Forum, le Directeur général de Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire du Maroc a affirmé que la neutralisation des dangers et menaces stratégiques croissantes demeure tributaire de la création d'une infrastructure sécuritaire commune et indivisible, avec le concours des services de sûreté et de renseignement nationaux en coopération et en coordination étroites avec leurs homologues dans différentes régions du monde.
M. Hammouchi a souligné que la coopération juste et équitable entre les pays est le gage du succès de toute structure sécuritaire commune visant à endiguer les menaces et défis stratégiques à l'heure actuelle, relevant que "le devoir de vigilance sous-tendant notre action proactive et notre responsabilité commune nous impose d'échanger les informations au sujet de l'ensemble des menaces sécuritaires identifiées ou potentielles, ainsi que leur partage de manière sécurisée et immédiate au service de notre sécurité collective, sur la base du principe gagnant-gagnant".
En marge de ce forum international de Moscou, le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire a tenu d'intenses rencontres bilatérales avec les chefs et membres de plusieurs services sécuritaires et de renseignement de pays frères et amis, dont le Service fédéral de sécurité de Russie (FSB).
Ces entrevues ont été axées sur nombre de questions d'intérêt commun ainsi que sur les moyens de raffermir la coopération bilatérale pour faire face aux risques et menaces émergents.
La visite de travail de M. Hammouchi à Moscou confirme la place de choix et le rôle agissant du Maroc dans le domaine de la coopération sécuritaire internationale, tout comme elle reflète la crédibilité dont jouissent les services de sécurité marocains auprès de leurs partenaires internationaux, en tant qu'acteurs majeurs dans les efforts communs visant la préservation de la sécurité et de la stabilité internationales.
Dans sa rubrique « La pépite de Djellit » d’une émission sportive diffusée sur Canal+Sport, le journaliste de l’Équipe, Nabil Djellit, a présenté Adel Boulbina. Le moins […]
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Le gouvernement béninois a décidé, mercredi 28 mai 2025, en Conseil des ministres de la réalisation des travaux d'urgence de réparation des dégradations critiques relevées sur le réseau routier national.
Des routes dégradées seront bientôt réfectionnées. Selon le Conseil des ministres, des dégradations ont été relevées au niveau de trente (30) ouvrages dans les communes de Toucountouna, Cobly, Kérou, Copargo, Kandi, Banikoara, Parakou, Cotonou, Abomey-Calavi, Porto Novo, Avrankou, Ouinhi, Djidja, Klouékanmè, Comè et Grand Popo. « Elles portent sur des ouvrages défectueux, des ouvrages partiellement ou totalement effondrés et des équipements de sécurité (glissières et garde-corps) endommagés par les usagers », informe le Conseil des ministres.
Le gouvernement a donc prévu des travaux sur des tronçons de routes classées non revêtues, les axes Toucoutouna-Pèporiyakou, Cobly-Matéri, Kérou-Kaobagou, Parakou-Binassi-Pèrèrè-Nikki, Katagon-Avrankou, Avakpa-Tokpota.
Quant aux routes revêtues, il s'agit des axes Kandi-Banikoara, Godomey-Calavi, Kpédékpo-Bohicon, Bohicon-Dassa, Abomey-Azovê, Ouidah-Comè-Grand-Popo et du pont Martin Luther King à Cotonou.
Les tronçons de pistes rurales Fowa-Singré-Anandana et Comè-Kpablè seront aussi impactés par les travaux.
Le Conseil a marqué son accord pour la contractualisation avec les entreprises retenues qui devront les exécuter conformément aux exigences de leurs cahiers de charges.
A.A.A
Le Centre Hospitalier International de Calavi (CHIC) annonce son ouverture progressive à compter du 2 juin 2025. Cette nouvelle marque une étape majeure dans le renforcement du système de santé au Bénin.
Le CHIC ouvre ses portes à travers ses premières consultations et examens. Neuf (09) spécialités médicales seront accessibles pour les consultations à savoir : rhumatologie, cardiologie, pneumologie, diabétologie, médecine interne, néphrologie, oncologie médicale, ophtalmologie et hépato-gastroentérologie. Ces services permettront de répondre aux besoins croissants en soins spécialisés.
Le CHIC propose également une gamme d'examens en imagerie médicale avec des équipements modernes pour la radiographie, l'échographie, le scanner et l'IRM, garantissant des diagnostics précis et rapides. Les premières consultations et examens sont sur rendez-vous de 8 heures à 17 heures du lundi au vendredi.
Le gouvernement algérien, sous la houlette du Premier ministre Nadir Larbaoui, a tenu ce mercredi 28 mai 2025 une réunion cruciale. Plusieurs sujets étaient à […]
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