New Digital Africa (NDA), groupe technologique panafricain actif sur l'ensemble de la chaîne de valeur des services et infrastructures numériques, et Forward Global, acteur européen de référence en cybersécurité, nouent un partenariat stratégique à l'occasion du Cyber Africa Forum (CAF), du 23 au 25 juin à Cotonou (Bénin). Cette alliance vise à proposer une offre unifiée combinant puissance de déploiement local et capacités opérationnelles avancées face aux cyber-menaces.
Selon plusieurs études sectorielles, le marché africain de la cybersécurité devrait atteindre 1,28 milliard de dollars d'ici 2030, contre environ 680 millions en 2025. Une dynamique qui s'explique par l'essor des services numériques, la modernisation des infrastructures critiques et la multiplication des cybermenaces.
C'est dans ce contexte que s'inscrit le partenariat entre NDA et Forward Global. En résonance avec la thématique de cette édition du Cyber Africa Forum – « Résilience des écosystèmes numériques : de la nécessité de changer de paradigme » – ce partenariat entend répondre à la demande croissante d'accompagnement à haute valeur ajoutée, à la fois des institutions publiques et des entreprises exposées, avec :
D'un côté, New Digital Africa, présent dans 4 pays avec plus de +130 collaborateurs, via ses filiales Dataconnect – fournisseur de services en infrastructures de connectivité, cloud et cybersécurité certifiés ISO 27001 et PCI DSS – et Devolution, spécialiste de la digitalisation, des données et des solutions applicatives sectorielles.
Et de l'autre, Forward Global, qui réunit 120 ingénieurs et experts, réalise chaque année 1 500 missions cyber auprès de 200+ clients clés et mobilise des solutions en cybersécurité offensive, la réponse aux incidents (CSIRT), la récupération des données (Databack) et la surveillance continue des vulnérabilités (Ambionics).
Forward Global dispose des agréments CESTI (Centre d'évaluation de la sécurité des technologies de l'information), PVID (Prestataires de vérification d'identité à distance) de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI, France). Forward Global est également un Prestataire de confiance en matière de réponse aux incidents de sécurité (PRIS) qualifié par l'ANSSI et dispose de la Certification IEC-17025.
Jean Jacques N'Docho, Directeur Général Adjoint du Groupe New Digital Africa, en charge de la Technologie et des Opérations, a déclaré : « Cette couverture intégrale du cycle Cyber – de l'anticipation à la remédiation, en passant par la détection, la réponse opérationnelle et le conseil stratégique – repose sur l'articulation de deux visions complémentaires : offensive et défensive. Ensemble, elles permettent de proposer des dispositifs robustes, capables d'accompagner la croissance économique, de garantir la continuité d'activité et de faire face à l'émergence de menaces transnationales toujours plus sophistiquées. »
Ambionics : vers une approche continue de la résilience applicative
Présentée pour la première fois à un public de décideurs, experts techniques et responsables de la sécurité numérique africains, Ambionics incarne pleinement l'appel à « changer de paradigme » formulé cette année par le CAF.
Alors que la majorité des organisations se limitent encore à des audits ponctuels, tandis qu'en parallèle, les surfaces d'attaques évoluent constamment – notamment sous l'effet de la généralisation des API, du shadow IT et du cloud hybride – la plateforme propose un service de pentest en continu des actifs applicatifs exposés, alliant l'expertise humaine à des capacités d'automatisation avancées.
Plus spécifiquement, Ambionics cartographie chaque semaine les vecteurs visibles et invisibles, identifie les vulnérabilités émergentes (y compris 1-day et 0-day), et conduit des tests d'intrusion en boîte noire et grise. Les alertes, contextualisées en temps réel, sont directement exploitables par les équipes techniques. Un contre-audit hebdomadaire garantit par ailleurs la fiabilité des résultats et la priorisation des actions correctives, réduisant ainsi drastiquement les temps de réaction.
Loïc Bénis, Directeur des Opérations de la filiale Lexfo, Forward Global : « Ambionics facilite la collaboration entre RSSI, équipes de développement, métiers et direction générale. Pour les organisations critiques africaines – banques, assurances, opérateurs, institutions publiques – il s'agit d'un levier de cyber-résilience, dans un contexte où les failles applicatives sont à l'origine d'une large part des compromissions observées sur le continent, et notamment dans les secteurs Finance, Télécoms et Énergie. Ambionics s'intègre dans un écosystème complet de solutions proposées par Forward Global. »
À propos de New Digital Africa (NDA)
Fondé en 2012, New Digital Africa est un groupe technologique panafricain engagé dans l'accélération de la transformation numérique des entreprises à travers le continent. Il opère sur l'ensemble de la chaîne de valeur digitale, en alliant infrastructures de pointe et services à haute valeur ajoutée. Porté par une vision d'innovation et d'impact, le Groupe ambitionne de devenir un investisseur stratégique de référence au service du développement d'une économie numérique souveraine et durable en Afrique.
Le groupe international Forward Global
Forward Global est un groupe international, dont le siège historique est en France, disposant de quatre bureaux principaux à Paris, Bruxelles, Londres et Washington. Acteur de référence de la gestion de risques avec plus de 400 collaborateurs, Forward Global est une « société à mission » qui propose une offre intégrée sur l'ensemble des trois grands risques, numérique, économique et informationnel. L'objectif du groupe est de réduire les risques auxquels sont exposés les dirigeants, les entreprises et les institutions, d'accompagner leurs réflexions et de renforcer leurs positions stratégiques.
La gestion du risque informationnel : ce pôle regroupe les activités de relations publiques du groupe auprès d'une centaine d'entreprises et d'institutions. Il associe des équipes de haut niveau en matière de communication stratégique, de communication digitale, d'affaires publiques, ou encore de communication judiciaire. Au-delà des dossiers opérés sous la marque Forward Global, il regroupe les marques DGM Conseil, 35°Nord et CEIS. Ce pôle, de près de 180 personnes, opère en France, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, à Bruxelles, et en Afrique.
La gestion du risque numérique : ce pôle agit à la fois sur la prévention des risques (audit, évaluation en continu, anticipation des menaces, détection des fuites de données...) et la réponse à incident. Il intervient également au plan stratégique dans le cadre de missions d'étude et d'accompagnement (cartographie des risques, analyse des menaces, organisation d'exercices de crise...). Il regroupe les marques Lexfo, Databack, Ambionics, Ubik Academy, Lexhunt, CEIS, Calypt et Uncovery ainsi que le Forum inCyber, qui rassemble chaque année plusieurs dizaines de milliers de visiteurs pour ses éditions européenne (à Lille, en France) ou nord-américaine (à Montréal, au Canada), et constitue l'évènement le plus important pour les professionnels de la cybersécurité́ et les acteurs de la confiance numérique.
La gestion du risque économique : ce pôle rassemble les activités d'investigation dans des contextes pré́-contentieux (litigation support), pré-contractuels (éthique des affaires et conformité́) ou pré́-investissement M&A Intelligence), le centre d'étude des risques pays (notamment l'Observatoire des Pays arabes) et toutes les activités de lutte contre la fraude, contre les marchés illicites (contrefaçon, piratage de contenus) et la criminalité organisée. Il opère sous les marques Leakid, Rivendell, OPA, Forward Risk & Intelligence, CEIS et Brod Global Intelligence. Il réunit plus de 90 collaborateurs en France, à Bruxelles, aux Etats-Unis, au Canada et en Afrique.
Le gouvernement ne pourra pas tenir ce mercredi 25 juin 2025, la session ordinaire du Conseil des ministres. Et pour cause, l'absence du chef du territoire ntional.
Patrice TALON en voyage au Brésil. Mais avant de rallier Brasilia, la capitale brésilienne, le chef de l'Etat a fait une escale en Côte d'Ivoire dans la matinée du mardi 24 juin 2025.
Selon la Présidence de la Côte d'Ivoire, TALON et OUATTARA se sont entretenus sur la coopération entre le Bénin et la Côte d'Ivoire. Des sujets d'intérêt sous-régional étaient également au menu des échanges entre les deux chefs d'Etat.
Après l'escale en Côte d'Ivoire, l'avion transportant le président de la République a atterri dans soirée du mardi au Brésil.
Depuis son arrivée au pouvoir en 2016, le gouvernement ne s'est jamais réuni en Conseil des ministres en l'absence du président TALON.
F. A. A.
Le chef de l'Etat Patrice Talon s'est envolé pour Brasilia, la capitale brésilienne ce mardi 24 juin 2025.
Patrice Talon hors du territoire national. Le chef de l'Etat effectue depuis ce mardi 24 juin, une visite officielle au Brésil. Cette visite du président de la République fait suite à celle effectué en 2024, du 22 au 24 mai. Elle sera surement l'occasion pour le président de relancer la coopération entre le Bénin et le Brésil dans plusieurs domaines.
F. A. A.
Son Excellence Mohammed Saeed Al Kaabi, Ambassadeur des Émirats arabes unis (ÉAU) en République du Bénin, a participé à la séance inaugurale de la 5ᵉ édition du Cyber africain Forum (CAF), dont les travaux ont débuté le mardi 24 juin 2025 à Cotonou au Sofitel Hôtel.
Dans son intervention lors de la session d'ouverture de la 5ᵉ édition du Cyber africain Forum, Son Excellence Mohammed Saeed Al Kaabi a présenté l'expérience pionnière des Émirats arabes unis dans les domaines des technologies numériques, de la recherche scientifique et de la promotion de l'innovation, à travers l'adoption de stratégies nationales ambitieuses pour la transformation numérique, le renforcement de l'infrastructure cybernétique et le développement des compétences humaines, tout en mettant l'accent sur les partenariats internationaux et l'échange d'expertises.
Le diplomate émirati a souligné que la numérisation est devenue un levier fondamental pour atteindre les Objectifs de développement durable, tout en constituant un pilier de la croissance économique et de la construction de sociétés intelligentes.
L'ambassadeur a également mis en avant la vision stratégique à long terme des Émirats, incarnée dans la Vision Émirats 2071, la Stratégie nationale d'intelligence artificielle et la Stratégie du gouvernement numérique 2025, qui ont placé lee ÉAU parmi les pays les plus avancés au monde dans divers domaines.
Son Excellence a réaffirmé l'intérêt porté par les Émirats à renforcer leurs relations avec les pays africains amis dans les domaines de la numérisation et de l'innovation, à travers des projets communs, le transfert de connaissances et le renforcement des capacités.
La séance inaugurale s'est distinguée par la présence du Ministre des Affaires étrangères et de la Ministre du Numérique de la République du Bénin, ainsi que des Ministres du Numérique de la Côte d'Ivoire et de la République démocratique du Congo. De nombreux responsables d'institutions officielles, des entreprises technologiques de la région ouest-africaine, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédités au Bénin ont réhaussé de leur présence la cérémonie d'ouverture du CAF.
Au quartier Djèroga, dans l'arrondissement de Bougou, commune de Djougou, deux jeunes hommes ont perdu la vie par noyade dans un puits ce lundi 23 juin 2025.
Lundi noir à Djougou. Dans cette commune du département de la Donga, deux jeunes hommes ont perdu la vie dans un puits à Bougou. Selon Banouto, l'un des jeunes est un gardien et devrait se rendre au terrain de sport pour l'entraînement. En attendant son second pour le remorquer, il prend la route et fini sa marche au bord d'un nouveau puits, près d'une nouvelle maison en construction. Quelques minutes plus tard, son second, un jeune étudiant, arrive sur les lieux et aperçoit les chaussures de son frère.
Au bord du puits, il entend les cris d'appel au secours de ce dernier, et décide de le sauver. Une fois à l'intérieur, il se rend compte qu'il ne peut pas le sauver comme il l'avait pensé.
Alors que les deux jeunes se débattaient pour sortir du puits, le voisinage a été alerté. Malheureusement, ceux qui sont venus en renfort n'ont pu sauver les deux jeunes. Leurs corps inertes ont été sortis de l'eau sous le regard impuissant des témoins, leurs parents et proches.
Les autorités locales ont alerté la police qui s'est déplacée sur les lieux. Après le constat, le procureur a ordonné la remise des dépouilles aux familles éplorées pour inhumation.
F. A. A.
Le président béninois Patrice Talon a été reçu par son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, ce mardi 24 juin 2025, à Abidjan.
L'axe Cotonou-Abidjan se renforce. Le président ivoirien Alassane Ouattara et Patrice Talon, chef d'Etat du Bénin ont abordé, à Abidjan, ce mardi 24 juin 2025, plusieurs sujets d'intérêt commun.
Les deux chefs d'État ont échangé sur la sécurité régionale, la lutte contre le terrorisme, la libre circulation des personnes et des biens, le développement économique, selon une publication de la présidence ivoirienne sur sa page Facebook.
Ce n'est pas la première fois que les deux chefs d'État se rencontrent pour ces questions. Leur dernière entrevue officielle remonte au 21 juin 2023 à Abidjan. À l'époque, ils avaient affiché une volonté commune d'intensifier la coopération bilatérale et de défendre une position commune au Sommet de Paris sur le financement du développement.
M. M.
Ce mardi, le Président de la République, @AOuattara_PRCI, a eu un entretien avec son homologue béninois, @PatriceTalonPR, sur le renforcement des relations bilatérales ainsi que sur la situation dans la sous-région. pic.twitter.com/pk2J9MMxBm
— Presidenceci (@Presidenceci) June 24, 2025
Un ressortissant malien a été interpellé à l'aéroport international de Cotonou pour usage de faux document de voyage. Le prévenu a comparu, mardi 24 juin 2025, devant le Tribunal de première instance de Cotonou.
L'homme d'origine malienne, arrivé au Bénin pour célébrer la Tabaski avec ses proches, détenait un passeport équato-guinéen portant le prénom Miguel.
Le système de contrôle de l'aéroport l'a toutefois identifié comme étant déjà passé par Cotonou sous le nom de Mohamed, avec un passeport malien. C'est ce qui ressort des faits reconstitués lors des débats au Tribunal ce mardi 24 juin 2025.
A la barre, le prévenu a reconnu les faits. Il a expliqué avoir obtenu ce second passeport lors d'un séjour en Guinée équatoriale, où il a eu une relation avec une ressortissante de ce pays, mère de ses enfants. Il a affirmé avoir voulu bénéficier des avantages liés à la nationalité équato-guinéenne.
En larmes, l'homme a plaidé la clémence du tribunal.
Le ministère public a requis une peine de 24 mois d'emprisonnement avec sursis, assortie d'une amende de 500.000 FCFA.
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 1er juillet. En attendant, le prévenu a été reconduit en détention.
M. M.
Un jeune chauffeur de camion-citerne a comparu ce mardi 24 juin 2025 devant le Tribunal de première instance de Cotonou. Il est poursuivi avec mandat de dépôt pour avoir siphonné 200 litres de gasoil.
En pleine mission de livraison, un jeune conducteur de camion-citerne est surpris en train de siphonner du gasoil. Les faits se sont déroulés au parc de Maro Militaire, point de départ de la livraison.
Le chauffeur attendait les documents du chargement ainsi que les coordonnées de la station-service destinataire à Akpakpa.
C'est alors que le Chef service qualité de la société d'hydrocarbures remarque du carburant au sol. En s'approchant, il découvre un dispositif installé sur la citerne. Le chauffeur aurait utilisé ce montage pour remplir le réservoir de son propre camion, d'une capacité de 200 litres.
Le chauffeur est immédiatement arrêté. Le camion et sa cargaison sont immobilisés.
À la barre ce mardi 24 juin 2025, le mis en cause se défend. Il dit être tombé en panne. Selon lui, il voulait juste prélever un peu de gasoil pour redémarrer le moteur et assurer la livraison.
La société, elle, n'y croit pas. Elle estime que si le chauffeur était réellement en panne, il n'aurait pas rempli tout le réservoir. Elle parle de détournement de carburant destiné à la vente.
L'entreprise réclame 2.000.000 FCFA de dommages et intérêts.
L'affaire est renvoyée au 15 juillet 2025 pour la suite des débats.
M. M.
La coopération dans le domaine sécuritaire se renfirce entre le Royaume du Maroc et la République française. Un Plan d'action conjoint a été signé, mardi 24 juin 2025, à Rabat, entre les services de la Sûreté nationale et la Direction Générale de la Police nationale française.
Le Plan d'action conjoint a été signé, mardi dernier, à Rabat, entre le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi, et le Directeur général de la Police nationale française, Louis Laugier.
Le document a été signé à l'occasion de la rencontre de M. Hammouchi avec M. Laugier, qui était accompagné de l'Ambassadeur de la République française à Rabat et d'une importante délégation sécuritaire comprenant plusieurs directeurs des directions centrales de la Police nationale française, précise le Pole DGSN-DGST à travers un communiqué.
Le plan d'action jette les bases d'une feuille de route conjointe dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée transfrontalière dans les deux pays frères, indique la même source.
Ce plan conjoint tire son importance du fait qu'il permet l'institutionnalisation des mécanismes de la coopération distinguée établie depuis des décennies entre les services sécuritaires marocains et français. Par ailleurs, il favorise le développement et l'élargissement des domaines de cette coopération de sorte à baliser la voie à la création de groupes de travail conjoints afin de faire face aux différents défis liés au crime organisé, dont la traque des fugitifs et des personnes recherchées au niveau international.
Des perspectives prometteuses
Ce plan ouvre aussi des perspectives prometteuses en matière de coopération sécuritaire et d'assistance réciproque entre les services de police du Royaume du Maroc et ceux de la République française, pour la hisser à la hauteur des relations distinguées unissant les deux pays amis, et d'un partenariat stratégique durable dans les domaines de la formation, d'échange d'informations, d'assistance technique et de coopération opérationnelle.
La visite de travail du Directeur général de la Police nationale française dans le Royaume vise à consolider la coopération sécuritaire et renforcer les mécanismes d'assistance mutuelle dans les divers domaines de coopération policière bilatérale.
M. Laugier a exprimé sa profonde gratitude aux services marocains de sûreté nationale et de surveillance du territoire pour leur rôle dans l'appui à la sécurité française dans la lutte contre la menace terroriste, la traque et l'interpellation de plusieurs individus recherchés par la justice française dans le cadre d'affaires liées au crime organisé et la sécurisation des Jeux olympiques de Paris.
Il a assuré de la volonté et de la disposition de la France à offrir toute forme d'appui possible en vue d'aider la police marocaine en matière de protocoles de sûreté pour sécuriser les manifestations sportives internationales que le Maroc abritera à l'avenir.
Reconnaissance et confirmation du rôle pionnier des services de sûreté nationale
En marge des séances de travail tenues entre les deux parties, l'Ambassadeur de la République française à Rabat, Christophe Lecourtier, a remis les insignes d'Officier de la Légion d'Honneur, dont les autorités françaises ont décoré le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi.
La partie française a affirmé que l'attribution à M. Hammouchi de la plus haute et prestigieuse des décorations françaises constitue une reconnaissance et une confirmation du rôle pionnier qu'assument les services de sûreté nationale dans le cadre des efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
Cette distinction témoigne également de l'efficacité de l'assistance mutuelle en matière de sécurité entre les deux pays, au service des questions de sécurité commune.
Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire a eu avec M. Laugier des entretiens sur l'évaluation du niveau de coopération bilatérale dans le domaine sécuritaire, l'examen de diverses questions d'intérêt commun et l'exploration de nouveaux mécanismes visant à renforcer l'assistance entre les deux parties afin de garantir les plus hauts niveaux de préparation pour neutraliser les différents risques et menaces sécuritaires.
La visite du Directeur général de la Police nationale française illustre l'importance et le niveau de coopération entre les services de sûreté nationale du Maroc et de la France. Elle traduit également la volonté des deux parties de renforcer l'assistance mutuelle et la coopération opérationnelle afin d'atteindre le plus haut niveau de préparation pour faire face aux différentes menaces et risques qui guettent la sécurité des deux pays.
Les résultats de la première session à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'université de Parakou, suscitent beaucoup de commentaires et des inquiétudes. Sur un total de 2482 étudiants inscrits en première année, seuls 6 ont pu valider toutes les unités d'enseignement (UE), et passent en année supérieure.
Des résultats catastrophiques en première année à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'université de Parakou. Pour la première session de juin 2025, seuls 6 étudiants passent en deuxième année sur un effectif total de 2482. Les 2476 restants doivent revenir composer pour la seconde session.
La faculté selon le doyen, Moctar Adamou, est habituée à ce genre de résultats.
Dans une interview à La Nation, il explique que le système LMD adopté depuis 2012 serait la cause. « Ce n'est plus le système traditionnel qui voulait qu'avec 10 de moyenne, vous passiez. Avec le LMD, ce n'est pas le cas. Ici, il s'agit d'unités d'enseignement avec de grands regroupements effectués par matières », a-t-il expliqué. A l'en croire, en première année, par exemple, il y a environ 13 regroupements ; et pour valider la première session, il faut avoir eu la moyenne dans chacune des 13 unités.
Il a par ailleurs précisé qu'avec le système LMD, les textes appliqués au Bénin exigeaient que l'on laisse l'étudiant qui arrive à éliminer 85 % des unités, aller en année supérieure. Mais, la première expérience en 2019 a montré que ceux qui avaient été déclarés admissibles à la première session avec des reprises dans quelques matières, ne sont plus venus composer à la seconde session. Selon les explications du doyen, ces étudiants déclarés admissibles, pensent disposer de tout leur temps et lorsqu'ils le voudront, ils viendront composer dans les matières qu'ils doivent reprendre. Pour cette raison, sa faculté a fait le choix, depuis 2020, de considérer qu'un étudiant a validé la première session s'il a validé toutes les unités. D'après lui, c'est mieux d'obliger les étudiants n'ayant pas validé les 100 % des unités à venir en éliminer le maximum, au cours de la seconde session ou à défaut, leur accorder « un taux honorable » qui dépasse les 85 %, pour leur permettre d'être rachetés.
Selon les nouvelles règles, il n'est pas possible pour un étudiant de quitter la deuxième année pour la troisième année, alors qu'il lui reste encore des matières à reprendre en première année. D'où la nécessité de l'obliger à faire des efforts pour éliminer le maximum d'unités en première année.
F. A. A.
A partir de ce mercredi 25 juin 2025, les préparatifs entrant dans le cadre du 65e anniversaire de l'indépendance du Bénin démarrent sur l'esplanade de l'Amazone. Ces préparatifs selon la Société de la logistique des évènements entraineront une perturbation de la circulation sur le boulevard de la Marina à hauteur de cette esplanade.
En vue de faciliter la circulation aux usagers de la route lors des préparatifs de la fête de l'indépendance sur le boulevard de la Marina, un nouveau plan de circulation est établi. Il s'agit selon la Société de la logistique des évènements, de la mise en place d'un décalage de la circulation sur la chaussée gauche pour les usagers venant du port autonome de Cotonou et sur la chaussée droite pour ceux venant de Novotel. Cette portion selon le communiqué en date du 18 juin, servira de voie à double sens pendant les travaux.
Il est recommandé aux usagers de se conformer à cette modification de la circulation. « Les gros-porteurs ne sont pas autorisés à emprunter cette déviation. Ces derniers sont priés de passer par d'autres voies », précise le communiqué signé de Roukiyath Mamah-Djiman.
AFG Assurances Bénin a dévoilé, jeudi 19 juin 2025, une version enrichie de sa plateforme digitale OREMI avec de nouvelles offres digitales. La cérémonie tenue à Epitech Bénin, a été aussi l'occasion de récompenser les lauréats du Hackathon « Level Up L'Assurance Digitale ».
Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉL'assurance change de visage au Bénin grâce à la plateforme digitale ‘OREMI de AFG Assurances Bénin. Lancée en 2021, OREMI s'améliore afin d'être plus accessible. Avec son nouveau bouquet de services, elle incarne plus que jamais la vision de AFG Assurances Bénin ; celle d'une compagnie orientée satisfaction client.
« OREMI, c'est votre ami. Elle permet à tout assuré de pouvoir faire le parcours digital de bout en bout et de se faire délivrer les attestations d'assurance automobile, moto, voyage, et bien entendu la multirisque habitation », a affirmé Aziz Soumaila, Directeur commercial de AFG Assurances Bénin. À compter de ce jour, poursuit-il, l'application digitale OREMI intègre trois nouvelles solutions digitales. Il y a AFG Assist Auto, eConstat Amiable et AFG Répar Express.
AFG Assist est un service d'assistance automobile pour venir en aide aux assurés en cas de panne ou d'accident, avec un dispositif de dépannage rapide activable via l'application. Avec AFG eConstat Amiable, il est désormais possible à deux assurés AFG impliqués dans un accident (sans dommages corporels), de faire leur constat eux-mêmes sans intervention policière. Quant à AFG Répar Expess, il permet de faire réparer son véhicule entre 2 à 7 jours, grâce à un réseau de garages partenaires agréés. Selon le Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉ, ces services sont « des solutions digitales, gratuites, faciles d'accès et efficaces, qui réduisent les pertes de temps, allègent les démarches, et accompagnent l'assuré quand ça compte vraiment ». « Grâce à cette approche, AFG s'impose aujourd'hui comme la première compagnie d'assurance digitale du Bénin, avec une ambition tenue : faire du règlement des sinistres un véritable facteur de différenciation, et désormais, un levier de transformation digitale dans le secteur », a-t-elle déclaré.
Trois équipes de jeunes étudiants primées
En prélude au lancement de ses nouvelles offres, AFG Assurances Bénin a organisé en partenariat avec Future Studio le hackathon « Level Up l'Assurance Digitale ». Pendant trois jours, 28 étudiants de différentes écoles répartis en équipe de quatre, ont réfléchi sur des solutions concrètes pour améliorer l'application digitale OREMI. Les trois premières équipes Kola, Zénith et Essor ont été primées pour la qualité de leurs idées. « C'est une très belle expérience et j'ai beaucoup aimé. On avait des mentors et on a eu l'envie d'amener OREMI plus loin », a confié Haidarath Seidou, designer de l'équipe Kola et étudiante à Epitech Bénin.
Représentants des trois équipes priméesÀ travers OREMI, AFG Assurances réaffirme son ambition de réinventer la relation entre l'assureur et l'assuré, en plaçant l'écoute et l'innovation au cœur de son action. « J'invite toute la population béninoise à nous faire confiance, à rejoindre la famille AFG pour bénéficier de plus d'innovation à travers notre application », a ajouté le directeur commercial de AFG Assurances Bénin, Aziz Soumaila.
L'application Oremi by AFG (https://oremi.afgassurances.bj/) est disponible sur android (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.devs41.oremi) ; iPhone (App Store : https://apps.apple.com/bj/app/oremi-by-afg/id1608579815?l=fr-FR).
Un policier pour abus de fonction risque deux ans de prison ferme et plusieurs millions FCFA d'amende. Trois autres personnes, dont un Zémidjan qui sont de simples civils, sont également poursuivis dans le cadre de saisie irrégulière de colis de faux médicaments.
Accusés d'avoir mené une opération irrégulière de saisie de faux médicaments dans le département du Zou, un policier et trois civils jugés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Ils sont en détention provisoire depuis le 14 février 2025. L'homme en uniforme est poursuivi pour abus de fonction. À ses côtés, deux prévenus sont poursuivis pour complicité d'abus de fonction et un conducteur de taxi-moto pour complicité d'exercice illégal en pharmacie.
Selon les faits présentés par le ministère public, il est reproché au policier et ses deux présumés complices d'avoir arrêté le conducteur de taxi-moto qui a transporté trois sacs contenant de faux médicaments depuis la localité de Kpédékpo. La marchandise de faux médicaments devrait être livrée à sa propriétaire au quartier Sodohomè à Bohicon. Le parquet spécial indique que sur informations de ses deux complices, le policier aurait irrégulièrement arrêté la moto ainsi que les faux médicaments pour demander au conducteur de payer. Le Zémidjan n'a pu rien payer et l'information a été portée à la hiérarchie.
Selon le ministère public, la perquisition menée par la police républicaine au domicile du policier a été infructueuse. Mais, le troisième substitut du procureur spécial près la CRIET affirme que les deux présumés complices ont confirmé les faits. Le parquet spécial apprend que le policier, principal prévenu, a mené cette opération de saisie de faux médicaments en violations des règles.
Peine de prison ferme requise
Le ministère public a requis que le policier soit retenu dans les liens de prévention des faits d'abus de fonction. Il a sollicité sa condamnation à deux ans de prison ferme et à cinq millions FCFA d'amende.
Pour ses deux présumés complices, le ministère public a demandé de les retenir dans les liens de complicité d'abus de fonction. Il a requis contre eux un an de prison ferme et un million FCFA d'amende chacun. Quant au conducteur de taxi-moto, le ministère public a demandé à la Cour de le retenir dans les liens de complicité d'exercice illégal de pharmacie. Il a requis six mois de prison ferme à son encontre.
Dans une dernière prise de parole après les réquisitions du parquet spécial, le policier mis en cause a contesté les faits tels que présentés par le ministère public. Il a souligné qu'il ne connait même pas les présumés complices du dossier et que pour les mêmes faits ont lui attribuent trois différentes heures.
Le verdict du procès est attendu pour le lundi 21 juillet 2025, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Un motocycliste transportant de l'essence de contrebande communément appelé ‘'kpayo'' a percuté un piéton dans la nuit du lundi 23 juin 2025, au quartier Albarika, dans la ville de Parakou. Le bilan provisoire fait deux blessés graves et des dégâts matériels.
Après Adja-Ouèrè, dans le département du Plateau le weekend écoulé, le transport de l'essence de contrebande fait encore des dégâts à Parakou. A Albarika, un quartier situé dans le premier arrondissement de cette ville située dans le Nord-Est du Bénin, un motocycliste transportant le liquide inflammable a percuté un piéton. Le choc a provoqué un incendie. Deux blessés graves ont été enregistrés. L'un brûlé au 3e degré, et l'autre avec une fracture au pied, renseignent nos sources.
Une équipe de sapeurs-pompiers s'est dépêchée sur les lieux pour maîtriser les flammes. La motocyclette transportant les bidons d'essence a été consumée.
F. A. A.