Par une lettre en date du 23 juin 2025 envoyée aux Directeurs départementaux des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, la ministre Véronique Tognifodé a clarifié les bases de traitement et de paiement des indemnités d'heures supplémentaires au personnel enseignant en poste dans les établissements publics. Selon les dispositions des articles évoqués dans la lettre, seuls trois catégories d'enseignants peuvent bénéficier des indemnités d'heures supplémentaires. Il s'agit des enseignants en situation de classe, les enseignants nommés gestionnaires comptables et exerçant cumulativement le métier d'enseignant dans leur établissement et les enseignants au poste de responsable administratif et pédagogique dans un établissement scolaire.
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La maison des jeunes de Natitingou a servi de cadre, vendredi 27 juin 2025, au lancement du projet gouvernemental de fleurissement des villes. L'initiative portée par l'Agence nationale du paysage (ANAP), en collaboration avec la Société des infrastructures routières et de l'aménagement du territoire (SIRAT), vise à fleurir 7 villes du Bénin avec 50 000 plants de bougainvillier et de laurier.
« Intergénérationnelle, planter aujourd'hui, transmettre pour demain », c'est autour de ce thème que la directrice générale de l'ANAP a procédé au lancement du projet gouvernemental de fleurissement des villes. Cette initiative vise à réinventer les villes à travers des gestes citoyens accessibles à tous. Il s'agira de faire participer chaque citoyen, engager la jeunesse, sensibiliser à la préservation des espaces verts, et de créer un cadre de vie agréable et moderne.
Au total, 7 villes à savoir, Cotonou, Porto-Novo, Abomey-Calavi, Sèmè-Kpodji, Parakou, Natitingou et Ouidah sont concernées par le projet qui permettra la mise en terre de 50 000 plants de bougainvillier et de laurier pour embellir 15 000 maisons.
Selon la directrice de l'ANAP, des plants seront donnés dans les maisons à la demande de ceux qui le désirent. « Nous avons prévu que 290 km de rues dans les sept villes seront végétalisés avec nos plantes. Nous avons un an de campagne de sensibilisation pour accompagner le projet sur l'importance et le bien-fondé de la floraison de nos villes », a-t-elle clarifié.
Autorités communales et cadres à divers niveaux et agents des eaux forêt et chasse, ont marqué de leur présence, la cérémonie officielle de lancement du projet.
F. A. A.
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Ça sent l'été ! Les grillades battent leur plein aux États-Unis. Partout dans le pays, voisins et amis se retrouvent dans leur jardin ou dans des parcs publics pour cuisiner en plein air. Au menu, non seulement des hamburgers et des hot-dogs, mais aussi le délicieux barbecue.
Le barbecue, fait de viandes fumées et cuites lentement sur de la braise de bois ou de charbon, est une tradition du 4-Juillet. Ce jour-là, 54 % des grils américains sont sortis de leur housse par leurs propriétaires qui cuisent de la viande et des légumes pour leurs amis et leur famille, selon la Hearth, Patio and Barbeque Association.
Les origines du barbecue à l'américaine
Préparer un barbecue le jour de la fête nationale américaine est un hommage approprié, car cette cuisine reflète la riche histoire culturelle et la variété géographique des États-Unis.
Selon Steven Raichlen, auteur de The Barbecue Bible et animateur de l'émission télévisée Project Smoke, le nom « barbecue » vient du mot « barbecoa » des Indiens Taïnos, et a été utilisé pour la première fois en 1516 par un explorateur espagnol pour décrire les techniques de cuisson autochtones qu'il avait observées dans les Caraïbes.
Les premiers cuisiniers à adopter les techniques amérindiennes de la cuisine à la broche construisaient des plateformes surélevées ou creusaient des fosses peu profondes pour fumer et griller les viandes, explique l'historien culinaire Adrian Miller dans son ouvrage Black Smoke : African Americans and the United States of Barbecue. M. Miller indique que le barbecue a progressivement vu le jour dans les années 1700, lorsque les esclaves africains préparaient des repas pour les colons britanniques en Virginie.
Au XIXe siècle, les immigrants allemands ont ajouté la saucisse aux viandes traditionnelles. Arrivés en grand nombre au Texas à cette époque, ils ont travaillé comme bouchers, ouvrant la voie au barbecue contemporain de style texan, explique M. Raichlen. C'est l'une des nombreuses variétés régionales qui se sont développées au fur et à mesure de l'évolution des méthodes de cuisson.
Dans les États de Caroline du Nord et du Sud, le porc a la vedette, tandis que plus au sud, en Alabama, en Géorgie et dans le Mississippi, le poulet est aussi prisé que le porc. À l'ouest, la poitrine de bœuf, la saucisse et les travers de porc forment la fameuse « Texas Trinity ».
Si la disponibilité du bétail a influencé le choix de la viande, les variétés régionales de bois ont également donné naissance à des saveurs différentes. La viande cuite au bois de caryer dans le Sud n'a pas le même goût que celle cuite au bois de mesquite ou de chêne au Texas, ou d'érable dans le Nord.
Cela dit, affirme M. Raichlen, l'ingrédient le plus important du barbecue est le savoir-faire unique de la personne qui cuisine. « C'est vraiment une façon américaine de s'alimenter et de manger, explique-t-il. On est ouverts aux saveurs du monde entier, on les goûte et on les adopte. »
Perpétuer la tradition
Ewald's Bar-B-Q à Perryville, dans le Missouri, propose tout un assortiment de recettes classiques, telles quedu por c, de la dinde fumée et du bœuf effilochés ou émincés. Cette grande variété tient à son fondateur, Ewald Buchheit, qui a beaucoup voyagé aux États-Unis et et qui était cuisinier dans l'armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il a ouvert le restaurant, situé à une heure au sud de Saint-Louis, en 1946, avec « l'équivalent de 100 dollars de viande et les doigts croisés », raconte son petit-fils Eric Buchheit, qui dirige aujourd'hui Ewald's avec ses parents. « Les connaissances qu'il avait acquises quand il était militaire ont joué un rôle déterminant, ajoute-t-il. Et l'entreprise a décollé. »
Certes, la technologie a évolué : finie l'époque de la fosse en briques dans une cabane au fond d'un jardin, où Ewald a perfectionné son style, et bonjour le fumoir moderne. Pour autant, beaucoup de choses restent les mêmes. Le barbecue d'Ewald se cuit toujours sur du bois de caryer, et la famille sert les recettes qu'il confectionnait, comme la salade de chou et la salade de pommes de terre à l'américaine.
Il y en a pour tous les goûts, des saveurs « un peu plus douces, genre Kansas City » à un « mélange de Memphis et de Kansas », explique Eric Buchheit. Mais le barbecue n'est pas seulement une question de saveur, de bois ni même de viande, assure-t-il : c'est aussi ce que l'on ressent quand on le mange — et qu'on le cuit ensemble. « Il n'y a pas de règles pour le véritable barbecue américain », assure M. Buchheit, dont le restaurant est une affaire familiale depuis 79 ans. « On met tout dans le fumoir, et si on y ajoute de l'amour, de la famille et de bons moments, alors c'est un barbecue. »
Lauren Monsen et Lenore T. Adkins, rédactrices à ShareAmerica, ont contribué à cet article.
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Le patrouilleur de haute mer Commandant Bouan va accoster ce lundi 30 juin 2025, à Cotonou, où il restera jusqu'au 4 juillet.
Du 30 juin au 4 juillet 2025, le patrouilleur de haute mer Commandant Bouan sera escale à Cotonou. Cette mission s'inscrit dans le cadre de l'opération Corymbe, visant à renforcer la coopération maritime régionale et à lutter contre les trafics et l'insécurité croissante dans le Golfe de Guinée.
Lancée depuis plusieurs années, l'opération Corymbe accompagne les efforts des pays d'Afrique de l'Ouest pour assurer la sécurité maritime face à de multiples menaces : pêche illicite, piraterie, brigandage maritime, narcotrafic et migration irrégulière.
« Depuis juin 2013, les États riverains du Golfe de Guinée, dans le cadre du processus de Yaoundé agissent ensemble, en lien avec les organisations nationales et régionales, pour mieux lutter contre l'insécurité maritime », informe un communiqué de l'Ambassade de France au Bénin.
La France contribue à la « sécurisation des voies maritimes en partenariat avec les marines militaires locales en déployant régulièrement des bâtiments dans la zone et partage son expertise dans le domaine maritime : lutte contre l'insécurité maritime et promotion de l'action de l'État en mer ».
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Les Rencontres contemporaines de Cotonou (RCC), grand évènement culturel jamais organisé autour de l'art contemporain s'est achevé jeudi 26 juin 2025, avec des performances de plusieurs artistes.
Fin de la première édition des Rencontres contemporaines de Cotonou. Démarré depuis le 26 mai 2025, l'évènement culturel qui a rassemblé des artistes provenant de six pays africains, et des experts européens et africains, s'est achevé jeudi 2025 juin 2025, à l'annexe de la Galerie Arts Vagabonds à Cotonou.
Pour Christel GBAGUIDI, initiateur de l'évènement, c'est un pari gagné car, les objectifs fixés ont été majoritairement atteints. Il a évoqué à titre illustratif, la résidence de création qui a couvert la période du 26 mai au 8 juin ; les œuvres réalisées à cette occasion ont été exposées à la première Galerie Arts Vagabonds. L'exposition en 2e plan de l'artiste camerounais, Barthélémy TOGUO, un baron de l'art contemporain sur le continent africain, a été effective, et de grandes figures de l'art contemporain telles que Kossi ASSOU du Togo, et Charly d'ALMEIDA du Bénin, ont marqué l'évènement de leur présence.
Selon Christel GBAGUIDI, une dizaine de projets spéciaux ont été réalisés dans le cadre de ces rencontres marquées également par une marche verte.
L'art contemporain sera célébré de façon annuelle. C'est la grande annonce faite par le délégué général. Mais avant la prochaine édition, les artistes seront mis en résidence, et un colloque de redéfinition du plan stratégique sur les RCC prévu pour se tenir entre septembre et octobre 2025. Cette rencontre fait-il savoir, sera l'occasion pour le conseil africain de décider du type d'action à mener le plus vite possible.
Des artistes fiers d'avoir participé à l'évènement
C'est une fierté pour Reine E. KEEN, artiste camerounaise d'avoir participé à cette première édition des RCC. Le séjour à Cotonou a été très enrichissant ; les RCC ayant permis de rencontrer des « aînés » (de grands artistes) qu'elle n'aurait jamais imaginé rencontrer. Une prise de contact qui, dit-elle, rassure et l'encourage à persévérer dans le secteur de l'art contemporain. Elle a formulé le vœu que l'évènement perdure.
A cette cérémonie de clôture, Aurélie RUBY, poétesse, actrice, et performeuse française a expérimenté l'écriture instantanée s'inspirant de la photo d'une artiste photographe qu'elle n'avait jamais vue. En plus de cet exercice, avec Reine, elle a présenté sans aucune préparation, une conversation poétique entre la femme noire et la femme blanche. Un exercice intéressant mais assez difficile que les deux artistes ont eu le plaisir à présenter au public à la cérémonie de clôture des RCC qui se veut être un espace d'échanges et de partage entre les aînés et la jeune génération.
F. A. A.
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Dans plusieurs communes des départements de l'Atacora et de la Donga, des jeunes ont vu leur quotidien transformé grâce au projet MADE « Maçons de Demain : former et insérer dans l'écoconstruction ».
Âgé de 30 ans, Pierre Welaka a été formé aux métiers de la pierre et de l'écoconstruction à Djougou. Maçon de formation, il a découvert une autre manière de construire à travers le programme MADE. « On nous a donné la formation sur comment tailler les pierres et comment construire avec les pierres. Ils nous aussi ont formé sur la fabrication des briques de terre comprimée (…) et l'élévation des murs », raconte-t-il. Depuis la fin de sa formation, ses compétences sont de plus en plus recherchées. « Ce projet m'a permis de gagner des chantiers dans mon village plus que mes collègues parce que j'ai des expériences », a-t-il confié.
Pierre Welaka, Bénéficiaire du Programme MADEPierre fait partie des bénéficiaires d'un programme visant à favoriser l'insertion professionnelle des jeunes dans le secteur du bâtiment et à appuyer le développement des filières territoriales d'écoconstruction. La troisième et dernière phase du programme initié en 2016 et piloté par Acting for Life est consacrée depuis 2022 au projet MADE « Maçons de Demain, former et insérer dans l'écoconstruction. Ce projet cofinancé par l'Agence Française de Développement (AFD) a permis de former les jeunes en situation de vulnérabilité à la maçonnerie et à l'écoconstruction.
Moudachirou Boukari, père de famille, avoue avoir été sceptique au début. « On croyait que c'était de l'amusement. Mais à la fin, j'ai compris que c'était du concret. ». Aujourd'hui, il en tire de vrais bénéfices. « Je gagne mieux ma vie maintenant. J'ai oublié la souffrance que j'ai enduré lors de la formation », a-t-il indiqué. Moudachirou envisage déjà de construire sa propre maison avec des matériaux locaux en 2026.
Moudachirou Boukari, Bénéficiaire du Programme MADEAvec un diplôme en maçonnerie obtenu en 2019, le jeune Sadji Safinou a lui aussi suivi la formation en écoconstruction en 2020 à Natitingou. « Quand je suis revenu, tout le monde cherchait à voir quelle connaissance j'avais pu acquérir. Effectivement, tout le monde a apprécié le travail que j'ai fait », se souvient-il. Safinou a déjà construit deux bâtiments en matériaux locaux.
Sadji Safinou, Bénéficiaire du Programme MADEAu Centre de formation professionnelle de Djougou, Timothée Aballo, formateur en écoconstruction, est fier des résultats obtenus. « Ils ont eu une formation d'une durée de 6 mois. Ils ont eu un chantier sur lequel ils se sont formés pour mieux prendre la main », a indiqué le formateur.
Une dynamique à renforcer
À la tête de la commune de Ouassa-Péhunco, le maire Orou Maré Koto se réjouit de cette dynamique. Pour lui, l'écoconstruction représente une réelle opportunité locale : « C'est très pratique et l'autre chose encore, c'est la création d'emploi parce qu'à travers cette activité, nos jeunes ont aujourd'hui trouvé de l'emploi », a relevé le président de l'Association des communes de l'Atacora et de la Donga.
Plus qu'un choix écologique, l'écoconstruction offre également une meilleure durabilité que les bâtiments en ciment. A l'en croire, le manque d'information, la réticence au changement, le coût du matériel ou encore l'absence de normes officielles freinent encore l'adoption à grande échelle. Il estime que les collectivités doivent montrer l'exemple. « Si l'administration adopte l'écoconstruction, les particuliers suivront », a-t-il affirmé.
Dans les régions de la Kara et des Savanes (Togo), de Bandiagara (Mali), des centaines de jeunes ont été aussi formés. Face aux défis climatiques, économiques et sociaux, le projet MADE montre qu'une autre manière de bâtir est possible. À condition que les collectivités, les acteurs privés et les citoyens s'en saisissent pleinement, cette dynamique pourrait transformer durablement nos territoires.
Akpédjé Ayosso
Le bilan des victimes du drame du stade 5 juillet s’alourdit. Un nouveau cas de décès a été enregistré aujourd’hui, augmentant ainsi le nombre des […]
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Le Ministère de la Défense Nationale (MDN) a annoncé aujourd’hui les conditions et modalités d’inscription pour l’année scolaire 2025/2026 aux écoles des Cadets de la […]
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