Si certains en doutaient, la rupture est désormais officialisée. Moins de deux mois après avoir été exclus avec fracas du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), des frondeurs du parti d'Ali Bongo Ondimba ont constitué, dimanche à Libreville, leur propre formation politique, le Rassemblement héritage et modernité.
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L’enquête ouverte par les services de gendarmerie aboutira à l’interpellation des mis en cause et la saisie d’un téléphone portable contenant les photos de la victime.
La semaine dernière, le tribunal criminel près la cour d’Oran a examiné une affaire dans laquelle quatre jeunes hommes étaient poursuivis pour tentative d’attentat à la pudeur sur mineur, prise de photos compromettantes et chantage. Les faits remontent à mai 2015 lorsqu’une femme se présente à la gendarmerie de Sidi Chahmi pour porter plainte contre quatre jeunes hommes, H. A., B. S. A. et les frères B. N. et B. A., qui, a-t-elle déclaré, ont conduit son fils de force dans une habitation située dans un bidonville de haï Nedjma et ont abusé de lui. Elle soulignera que ces agresseurs ont également contraint son enfant à porter des dessous féminins et l’ont pris en photos pour, par la suite, le faire chanter.
C’est, a-t-elle dit, ce que lui a confié son fils qui se trouve dans un état de choc émotionnel. L’enquête ouverte par les services de gendarmerie aboutira à l’interpellation des mis en cause et la saisie d’un téléphone portable contenant les photos de la victime. Lors de la confrontation, la victime présumée reconnaîtra trois suspects en expliquant que H. A. ne faisait pas partie de ceux qui l’avaient kidnappé. À la barre, les inculpés tenteront de se disculper des charges qui pèsent sur eux et trouveront une aide aussi surprenante qu’inattendue de la part de la victime qui innocentera H. A. et minimisera les actes des trois autres. L’avocat de la victime déposera même une requête stipulant que la victime a décidé de ne pas se constituer partie civile. L’explication résiderait dans le fait que le père de la victime, incarcéré dans le cadre d’une affaire de stupéfiants, connaît les quatre mis en cause et aurait insisté auprès de son fils pour qu’il ne les charge pas. Estimant que ce revirement de dernière minute n’enlève rien à la gravité des charges, le représentant du ministère public requiert la peine de 10 ans de réclusion criminelle contre les quatre inculpés. Au terme des délibérations B. N., considéré coπmme le meneur du groupe, est condamné à un an de prison ferme alors que les trois autres sont acquittés.
Sur invitation du président algérien Abdelaziz Bouteflika, le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, s'est rendu à Alger ce lundi pour une visite de quatre jours. La coopération économique, la médiation régionale ou encore la lutte contre le jihadisme seront à l'ordre du jour.
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Sur invitation du président algérien Abdelaziz Bouteflika, le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, s'est rendu à Alger ce lundi pour une visite de quatre jours. La coopération économique, la médiation régionale ou encore la lutte contre le jihadisme seront à l'ordre du jour.
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En Afrique, l'année 2016 est marquée par quasiment une vingtaine d'élections présidentielles.
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ALGER – Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a déploré lundi à Alger, que l’activité de transplantation d’organes sur donneurs décédés en Algérie soit en deçà des besoins des nombreux malades, en attente de greffes.
S’exprimant à l’ouverture du séminaire international sur la « coordination hospitalière pour le prélèvement multi-organes » sur donneur décédé, le ministre a relevé qu’ »en dépit des avancées enregistrées dans le domaine des transplantions d’organes, l’activité demeure en deçà des besoins exprimés par les nombreux malades, en attente de greffes« .
Il a cité, à ce propos, les pathologies des insuffisances rénales et des insuffisances hépatiques, pour lesquelles les greffes effectuées jusque-là, sont essentiellement sur donneurs vivants.
Corroborant ses dires par des statistiques, M. Boudiaf a fait savoir que pour la greffe rénale, la moyenne annuelle tourne, au mieux, autour de 230 greffes, ce qui est « très peu comparativement aux demandes éligibles potentielles », se comptant par plusieurs milliers.
« Cette situation montre les limites de la greffe à partir de donneurs vivants et indique de façon claire que la seule alternative est dans la mise en place d’un cadre organisationnel adéquat assurant le développement de la greffe d’organes, de tissus et de cellules à partir de donneurs en état de mort encéphalique », a-t-il poursuivi.
Il a estimé qu’à ce titre, la situation des insuffisants rénaux chroniques « est édifiante, dans la mesure ou sur les quelques 23.000 patients actuellement dialysés ou en pré-dialyse, seul un tiers sont éligibles à la greffe », au regard de l’âge avancé du reste des malades.
Pour l’actualisation du cadre juridique régissant l’activité de greffe
Plaidant pour une « actualisation du cadre juridique régissant l’activité de greffe et organisant les conditions du prélèvement », M. Boudiaf a insisté également sur une coordination hospitalière qui permette « à tous les intervenants de maîtriser les codes et protocoles en la matière ».
A ce propos, il a appelé à une « adaptation des urgences hospitalières pour une plus grande efficacité » de sorte à influer « positivement » sur les proches du donneur décédé potentiel, en les amenant à consentir au prélèvement.
Il a rappelé, dans ce cadre, l’expérience menée par le département qu’il dirige en 2002 et ayant révélé que la société « est favorable » au don d’organes, en même temps qu’elle a démontré « les freins qui limitent le développement du prélèvement à partir de donneurs décédés ».
« Tous les services des urgences, et plus particulièrement ceux des centres agréés pour les prélèvements, doivent s’organiser pour que les équipements nécessaires au diagnostic de la mort encéphalique soient accessibles en H24 », a-t-il insisté, notant que le donneur potentiel « peut se présenter à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit ».
Les centres de prélèvement appelés à assurer toutes les étapes des greffes
Dans le cadre du projet d’établissement, le ministre a insisté sur la mission incombant aux centres de prélèvement, à savoir « être en mesure d’assurer toutes les analyses biologiques nécessaires dans des délais médicalement acceptables ».
Le développement de la greffe à partir de donneurs décédés « devra être le fait d’un véritable plan de développement », a-t-il également préconisé, soulignant qu’avec la mise en place de l’agence nationale des greffes, les moyens sont « en passe d’être réunis pour assurer un démarrage effectif et pérenne » de cette activité.
La mise en place des banques de tissus ainsi que la mise sur pieds d’une logistique codifiée s’agissant du transport des organes, des receveurs ou la mobilisation des transplanteurs, font également partie de ces moyens, a noté le ministre, s’engageant à « accompagner durablement » l’agence des greffes par une stratégie de sensibilisation et de communication.
Abordant la dimension religieuse de la question, le ministre de la Santé a considéré que « contrairement à l’idée répandue, celle-ci ne pose aucun problème », arguant de ce que le Haut Conseil Islamique (HCI) ainsi que le fonds documentaire des institutions islamiques de référence « vont dans le sens de la promotion du prélèvement d’organes, se référant en cela à la position encourageante de Cheikh Hamani ».
La rencontre d’aujourd’hui réunit des spécialistes dans le domaine des greffes d’organes venus de France, du Maroc et de Tunisie afin de partager leurs expériences et accompagner le ministère de la Santé dans sa démarche de développement de cette discipline.
ALGER – L’Algérien Abdelmalek Sayah, a été élu Secrétaire général de la Fédération internationale des organisations des donneurs de sang (FIODS), indique lundi un communiqué de la Fédération algérienne des donneurs de sang.
M. Sayah, membre du bureau fédéral de la Fédération algérienne, été élu à l’unanimité, lors de l’Assemblée générale de l’institution internationale dont les travaux se sont déroulés vendredi et samedi dans la capitale portugaise, précise-t-on.
La Fédération internationale des organisations des donneurs de sang regroupe 80 pays dont l’Algérie.
Un militaire radié de l'armée béninoise s'est reconverti en braqueur. Depuis, il opère et ne laisse que des victimes après chacune de ses opérations. Son dernier acte est un braquage opéré il y a un mois à la Boa de Sainte Cécile avec le jeune Achille Bocovo tué sur le champ. Le dangereux militaire a semé la police ce jour là. Mais les enquêtes l'on rattrapé. L'ancien militaire reconverti en braqueur vient d'être appréhendé. Il a été arrêté et mis sous mandat de dépôt sur instructions du Procureur de la République. Pour mémoire, le braqueur Achille Bocovo s'était servi de l'arme du dangereux militaire radié pour tirer à bout portant sur l'agent de sécurité en faction devant cette institution financière. Les enquêtes se poursuivent pour remonter le réseau et appréhender les autres éléments de la bande s'il en existait. Jusque-là, le braqueur s'oppose à décliner sa vraie identité.