Toutes les nouvelles relatives à l'Union européenne en français dans une liste.
Consultez également les nouvelles de l'Union européenne en anglais en allemand et en hongrois.

Vous êtes ici

Union européenne

Le FMI dit prôner une politique budgétaire neutre en zone euro

Euractiv.fr - ven, 27/01/2017 - 09:03
Le Fonds monétaire international a dit jeudi prôner une politique budgétaire neutre dans la zone euro et non pas expansionniste comme l’a suggéré la Commission européenne.
Catégories: Union européenne

Allemagne: un élu de l'AfD «relativise» la Shoah en marge d'une commémoration

RFI (Europe) - ven, 27/01/2017 - 07:27
L'Allemagne commémore l'holocauste nazi, ce vendredi 27 janvier. Cette journée donne lieu à de nombreuses cérémonies au Parlement, le Bundestag, comme dans les camps de concentration nazis. Une polémique s'est développée autour des propos d'un élu de la droite populiste Alternative pour l'Allemagne (AFD) accusé d'avoir relativisé l'holocauste. Le mémorial du camp de Buchenwald a décidé de déclarer l'intéressé persona non grata.
Catégories: Union européenne

Rencontre Merkel-Hollande : le couple franco-allemand encore au cœur de l'Europe

Toute l'Europe - ven, 27/01/2017 - 07:00
Vendredi 27 janvier, Angela Merkel reçoit François Hollande pour un déjeuner de travail à Berlin. La conclusion d'une semaine de rencontres franco-allemandes dans le cadre du 54e anniversaire du traité de l'Elysée. Et une occasion pour les deux dirigeants de réintensifier leur collaboration à deux mois des célébrations du 60e anniversaire du traité de Rome. En dents de scie depuis le début du quinquennat, la relation entre la France et l'Allemagne demeure toutefois la base de la stratégie européenne des candidats français à la présidentielle et le prisme par lequel s'envisage l'avenir de l'UE.
Catégories: Union européenne

Belgique: le scandale Publifin pousse un ministre à la démission

RFI (Europe) - ven, 27/01/2017 - 01:42
En Belgique, le Parti socialiste de Wallonie est au centre d’une tourmente politico-financière qui vient de provoquer la démission ce jeudi 26 janvier d'un ministre.
Catégories: Union européenne

Theresa May veut renforcer la «relation spéciale» entre Londres et Washington

RFI (Europe) - jeu, 26/01/2017 - 18:15
La Première ministre britannique Theresa May s'est envolée jeudi 26 janvier pour les États-Unis, où elle sera le premier dirigeant étranger à rencontrer vendredi le président américain Donald Trump, afin d'ébaucher la future relation commerciale entre les deux pays. Mais cette visite provoque un certain malaise au Royaume-Uni où Donald Trump n'est que peu apprécié.
Catégories: Union européenne

Vidéo d'une réunion d'une commission - Jeudi 26 janvier 2017 - 11:06 - Sous-commission "Droits de l'homme"

Durée de la vidéo : 70'
Vous pouvez télécharger manuellement cette vidéo au format WMV (734Mb)

Clause de non-responsabilité : L'interprétation des débats facilite la communication mais ne constitue en aucun cas un enregistrement authentifié des débats. Seuls le discours original ou la traduction écrite révisée du discours original peuvent être considérés authentiques.
Source : © Union européenne, 2017 - PE
Catégories: Union européenne

L'agenda européen : Trump / Brexit / Hollande-Merkel / Sommet de La Valette / CETA

Toute l'Europe - jeu, 26/01/2017 - 17:00
Chaque semaine, l'agenda européen liste les principaux événements politiques à venir. A suivre : Theresa May rend visite à Donald Trump, les Français votent pour le second tour de la primaire à gauche, l'Assemblée nationale se penche sur l'idée d'un référendum en France pour valider le CETA, et les Vingt-Huit se retrouvent à Malte pour un sommet consacré à l'avenir de l'Union européenne et à la crise migratoire.
Catégories: Union européenne

Communiqué de presse - Les priorités de la présidence maltaise débattues en commissions - Commission de l'industrie, de la recherche et de l'énergie - Commission des transports et du tourisme - Commission du marché intérieur et de la protection des...

Parlement européen (Nouvelles) - jeu, 26/01/2017 - 16:17
Les priorités de la présidence maltaise du Conseil des ministres de l’UE seront présentées en commissions parlementaires par les ministres maltais lors d’une série de réunions prévues en janvier.
Commission de l'industrie, de la recherche et de l'énergie
Commission des transports et du tourisme
Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs
Commission de l'agriculture et du développement rural
Commission du développement régional
Commission de l'emploi et des affaires sociales
Commission de la culture et de l'éducation
Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures
Commission du développement
Commission des affaires juridiques
Commission du commerce international
Commission des affaires étrangères

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Catégories: Union européenne

Cavale de Salah Abdeslam en Belgique: reconstitution de la fusillade à Forest

RFI (Europe) - jeu, 26/01/2017 - 14:52
Une reconstitution a eu lieu ce jeudi 26 janvier dans l'une des dernières caches de Salah Abdeslam en Belgique. C'est le seul suspect toujours en vie des attentats de novembre 2015 à Paris. Cette reconstitution était menée dans le cadre de l'enquête, dans un appartement de la rue du Dries, à Forest, en région bruxelloise. Sur place, des policiers francais et belges, comme lors de l'opération menée il y a un presque un an.
Catégories: Union européenne

Brexit: le projet de loi sur la sortie de l'UE divise les parlementaires

RFI (Europe) - jeu, 26/01/2017 - 14:41
Le gouvernement britannique présente ce jeudi 26 janvier un projet de loi pour déclencher l'article 50 et débuter le processus de retrait de l'UE. Le secrétaire d'Etat chargé du Brexit David Davis a annoncé qu'il s'agirait d'un texte très simple. Mais les parlementaires qui doivent l'adopter ont, eux, prévenu qu'ils feraient tout pour compliquer le processus en déposant des amendements tandis que d'autres entendent voter contre par principe.
Catégories: Union européenne

Le monde contre l'isolationnisme de Donald Trump

Coulisses de Bruxelles - jeu, 26/01/2017 - 14:11

Donald Trump altermondialiste ? De fait, en signant, lundi 23 janvier, trois jours après sa prestation de serment, une ordonnance retirant la signature des États-Unis du traité de libre-échange transpacifique (TPP) liant douze pays de la zone Asie-Pacifique, le nouveau président américain donne satisfaction à tous les opposants au libre-échange de la planète. D’autant que l’enterrement du TPP signifie aussi la fin de la négociation du TAFTA ou TTIP, son équivalent euro-américain, qui était en cours de –difficiles- négociations depuis 2013 entre les deux premières puissances économiques et commerciales du monde.

Trump veut aller plus loin encore en confirmant son intention de renégocier l’ALENA, l’accord de libre-échange conclu en 1994 entre son pays, le Mexique et le Canada, et d’instaurer des barrières douanières punitives afin de décourager les importations qui menaceraient des emplois américains. Ce faisant, il violerait les règles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), un autre ennemi des altermondialistes, ce qui peut laisser craindre à terme un retrait américain de cette organisation fondée en 1994 et un retour à l’unilatéralisme américain qui consistait à sanctionner les pays qui ne se plier pas à ses exigences. L’administration Trump semble donc prête à déclencher une guerre commerciale contre le reste de la planète afin de faire prévaloir ses intérêts : « America first », comme l’a clamé le président républicain lors de son discours inaugural. Même si les altermondialistes de gauche s’en défendront, ce protectionnisme nationaliste et agressif est l’enfant naturel du rejet du libre-échangisme. Trump le sait et surfe sur cette vague de défiance d’une partie des opinions américaine et mondiale.

La fin de 70 ans de politique commerciale américaine

Ce faisant, il tourne le dos à 70 ans de politique commerciale américaine qui, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a consisté à promouvoir le libre-échange, non seulement parce que l’économie américaine en profitait, mais aussi parce que Washington considérait qu’il s’agissait d’un facteur de paix par la contribution qu’il apportait au développement. On peut être critique de certains effets de la mondialisation, mais il est difficile de nier qu’il a sorti la majorité de la planète de la misère absolue et a mis fin à la domination sans partage de l’occident.

Ce retour au protectionnisme des années 20-30, celui-là même qui a mené le monde à la guerre, est non seulement inquiétant, surtout si l’on ajoute à cela le probable retrait américain de l’accord de Paris sur le changement climatique, la remise en cause de l’utilité de l’OTAN, son scepticisme à l’égard de l’avenir de l’Union européenne ou son agressivité à l’égard de la Chine, mais totalement à contretemps : les États-Unis connaissent une forte croissance qui a effacé les effets de la crise financière de 2007 et sont, désormais en situation de plein emploi, même s’il y a d’importantes poches de pauvreté dans le pays.

Surtout, le monde a profondément changé en vingt ans : les États-Unis ne sont plus la seule superpuissance de la planète. La Chine a définitivement émergé, tout comme l’Inde, l’Asie, l’Océanie ou l’Amérique latine, et l’Union s’est considérablement renforcée, tant sur le plan commercial, qu’économique, politique et monétaire. Le XXIe siècle ne sera non seulement pas blanc et occidental, mais encore moins américain, même si les États-Unis demeurent une puissance qui compte. C’est d’ailleurs en tenant compte de cette nouvelle réalité géopolitique que Barack Obama s’est lancé dans la négociation de grands accords régionaux, après l’échec du multilatéralisme porté par l’OMC, afin que le capitalisme du XXIe siècle soit occidental et non chinois. Le TPP, négocié pendant huit ans avant d’être signé en 2015 avec le Canada, le Mexique, le Chili, le Pérou, le Japon, la Malaisie, le Vietnam, Singapour, le Brunei, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, soit 40 % de l’économie mondiale, était un accord dit de nouvelle génération qui visaient non seulement à baisser les droits de douane (déjà fort bas), mais aussi à harmoniser les normes entre ces pays. Le TAFTA obéissait à la même logique. Il s’agissait en fait d’une vraie stratégie de containment (endiguement) de la Chine visant à lui imposer un modèle largement occidental.

Un containment appliqué aux Etats-Unis

Si ce retrait américain pose des défis au reste du monde, notamment en termes de sécurité, il offre aussi des opportunités aux puissances rivales. Ainsi la Chine, qui s’est livrée à un vibrant plaidoyer pro-libre-échange lors du forum de Davos, a la fermer intention de prendre le leadership en Asie. L’Australie a d’ailleurs révélé que les autres signataires du TPP allaient essayer de le sauver et de l’étendre à la Chine, à l’Indonésie voire à d’autres pays. Une perspective qui n’est pas sans danger pour les États-Unis, comme l’a immédiatement souligné le sénateur John McCain, puisque cela va lui offrir « l’opportunité de réécrire les règles économiques au détriment des travailleurs américains ». Le TPP instrument conçu contre les Chinois se retournerait donc contre ses créateurs...

L’Union européenne, elle aussi, a un coup à jouer dans cette nouvelle donne géopolitique. Comme vient de le dire Cecilia Malmström, la commissaire européenne au commerce, l’Europe n’a aucune intention de suivre la voie américaine du repli sur soi : « le succès de l’Union repose sur l’ouverture de nos sociétés. Ceux qui pensent qu’au XXIe siècle on peut retrouver sa puissance en reconstruisant des frontières, en réimposant des barrières douanières, en restreignant la libre circulation des frontières, sont condamnés à échouer ». Elle veut donc ratifier le plus vite possible le CETA, l’accord commercial conclu avec le Canada, qui complète toute une série de traités de même nature déjà conclus, et accélérer ceux qui sont en cours de négociation. Dès l’élection de Trump, les Japonais, inquiets de se retrouver isolés face à la Chine, se sont d’ailleurs précipités à Bruxelles pour demander une conclusion rapide de l’accord qu’ils négocient depuis deux ans. Hasard du calendrier, l’Union va renforcer son arsenal de rétorsions destiné à lui permettre de riposter si un pays lui livre une guerre commerciale, en profitant du départ prochain de la Grande-Bretagne, hostile par principe à toute défense commerciale. Il était temps d’en terminer avec une certaine « naïveté » européenne, pour reprendre l’expression de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, l’Union ayant longtemps eu tendance à se laisser maltraitée par ses partenaires.

Bref, Donald Trump a pris le risque, inimaginable il y a encore quelques mois, que le reste du monde applique aux États unis une politique de containment, vu le danger qu’ils représentent désormais pour la stabilité de la planète.

Catégories: Union européenne

Primaire de la gauche : Benoit Hamon et Manuel Valls s'opposent aussi sur l'Europe

Toute l'Europe - jeu, 26/01/2017 - 12:30
Benoit Hamon ou Manuel Valls ? Les électeurs socialistes éliront dimanche 29 janvier leur champion pour l'élection présidentielle. Pour faire leur choix, un dernier débat a eu lieu mercredi 25 janvier, autour des questions économiques, écologiques, internationales et de sécurité. L'occasion pour les deux candidats de faire valoir leurs différences. S'agissant de l'Europe, elles sont assez nombreuses.
Catégories: Union européenne

Background - Aperçu de la révision de la directive européenne sur les armes

Parlement européen (Nouvelles) - jeu, 26/01/2017 - 11:44
L’accord provisoire sur la révision de la directive européenne relative aux armes, qui définit les conditions dans lesquelles les particuliers peuvent acquérir et posséder légalement des armes ou les transférer dans un autre pays de l'UE, a été adopté en commission du marché intérieur le 26 janvier 2017. Le vote en plénière est prévu en mars.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Catégories: Union européenne

[Revue de presse] Schengen : Bruxelles autorise une nouvelle prolongation des contrôles aux frontières

Toute l'Europe - jeu, 26/01/2017 - 11:43
La Commission européenne a recommandé le mercredi 25 janvier que soient prolongés les contrôles aux frontières dans cinq Etats membres de l'Union européenne, pour trois mois supplémentaires. Utilisé par plusieurs pays au plus fort de la crise migratoire, ce dispositif avait déjà permis à l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark, la Suède et la Norvège de faire face à l'afflux des migrants à leurs frontières.
Catégories: Union européenne

Martin Schulz versus Merkel, l'affiche européenne

Coulisses de Bruxelles - jeu, 26/01/2017 - 11:18

Photo Thomas Vanden Driessche

La tête d’affiche des élections législatives allemandes fait rêver: la femme la plus puissante de l’Union, Angela Merkel, une Européenne de raison, va affronter un Européen de cœur, Martin Schulz, qui a fait toute sa carrière au Parlement européen, à Bruxelles et à Strasbourg et que les lecteurs de Libération et de ce blog connaissent bien. Les deux connaissent sur le bout des doigts les rouages européens. A la différence de tous les candidats déclarés à la présidentielle française : rappelons qu’en dehors d’Emmanuel Macron, ils ont tous voté non au Traité constitutionnel européen sauf François Fillon (qui lui a voté non à Maastricht, nul n’est parfait...). Revoici l’article que j’ai publié le 24 novembre dernier dans Libé quand il a annoncé son retour sur la scène politique allemande.

Qui pouvait imaginer Martin Schulz errer, désœuvré, dans les couloirs du Parlement européen ? Lui, son président depuis juillet 2012, un record de longévité à ce poste, après avoir été président d’un groupe socialiste au faîte de sa puissance entre 2004 et 2012, réduit au rang de simple «backbencher», député de base, écrivant ses mémoires et donnant des conférences ? Cela aurait été mal connaître cet homme ambitieux. A défaut de pouvoir être reconduit pour un troisième mandat de deux ans et demi, en janvier, à la tête de la seule institution communautaire élue au suffrage universel, il préfère tirer sa révérence, à 60 ans, avant de sombrer dans la solitude de ceux que le pouvoir a abandonnés. Pour mieux rebondir en Allemagne, où il peut, entre autres (lire ci-contre), rêver au poste de vice-chancelier au sein de la grande coalition dirigée par Angela Merkel.

«Il veut continuer à être quelqu’un», s’amuse Daniel Cohn-Bendit, qui a été élu, comme lui, lors des élections européennes de 1994, l’un sur la liste Grünen, l’autre sur la liste SPD (social-démocrate). L’ancien leader du groupe Verts, qui a raccroché les gants en 2014, se réjouit de ce grand bond en avant : «C’est la première fois qu’une personnalité qui a fait toute sa carrière politique au niveau européen tente de s’installer sur la scène nationale. D’habitude, c’est l’inverse.» Et Schulz sait, vu le manque de personnalités dont souffre le SPD, qu’il a toutes les chances d’occuper le haut de l’affiche.

Le parcours de Schulz est celui d’une génération pour qui l’Europe est une évidence inscrite dans la souffrance et le sang. Né le 20 décembre 1955 à Eschweiler, à côté d’Aix-la-Chapelle, aux confins des frontières française, belge et néérlandaise, ce fils de maréchal-ferrant, cadet d’une fratrie de cinq, a été élevé dans le souvenir des deux guerres mondiales. Il rappelle que Würselen, «sa» ville, celle où il créa sa librairie en 1982, a payé un lourd tribut à la folie nationaliste, sortant de la guerre «détruite à 80 %». «Chez nous, un député européen est presque plus important qu’un député national», affirme-t-il souvent, sans que l’on sache si c’est vrai ou s’il se console de ne pas avoir fait une carrière au pays.

Ancrage

Ce qui est sûr, c’est que cet autodidacte, sans formation universitaire, s’est construit seul : entré au SPD à 19 ans, il a d’abord été élu conseiller municipal de sa bonne ville de Würselen en 1984, maire en 1987, à 32 ans. Il se présente, en vain, aux élections européennes en 1989 avant d’être élu en 1994 (il abandonnera son poste de maire en 1998). Il manie trois langues, ce qui l’aide à faire son trou à Strasbourg : outre l’anglais, il parle un français presque parfait. Malin, il accepte dès son arrivée un poste dont personne ne voulait : coordonnateur du groupe socialiste aux droits de l’homme. Il sait que c’est en travaillant dans la soute qu’on finit par atteindre la passerelle de commandement. Il ne néglige pas pour autant son ancrage en Allemagne et, en 1999, entre au bureau du SPD.

En 2004, il devient patron du groupe socialiste, alors que ce poste aurait dû revenir aux Français qui ont envoyé la plus grosse délégation nationale au Parlement. Mais, divisés entre pro et anti-européens, ils n’ont pu s’accorder sur un nom et Schulz en a profité. En 2009, réélu à la présidence du groupe, il est l’architecte d’une alliance avec le Parti populaire européen (droite) et les libéraux, ce qui lui permet à mi-mandat, en 2012, de succéder au conservateur polonais Jerzy Buzek à la présidence du Parlement européen.

Lot de consolation

Schulz a été l’un des architectes des «Spitzenkandidaten», quand le Parlement européen a réussi à imposer au Conseil européen des chefs d’Etat et de gouvernement que la tête de la liste arrivée en tête des élections de 2014 soit automatiquement désignée président de la Commission. Schulz, tête de liste socialiste, espérait en profiter pour s’installer à la présidence de la Commission, mais ce sont les conservateurs du PPE qui l’ont emporté et Jean-Claude Juncker lui a ravi la place. Il a eu du mal à s’en remettre, lui, l’homme au caractère ombrageux et à l’emportement facile. En guise de lot de consolation, Angela Merkel a soutenu sa reconduction à la tête du Parlement pour un nouveau mandat de deux ans et demi, ce que le PPE, qui ne pouvait se passer des socialistes pour atteindre la majorité au Parlement, a accepté en se pinçant le nez.

Schulz se serait bien vu poursuivre jusqu’à la fin de la législature, en 2019, soutenu en cela par Juncker et Merkel. Mais les édiles du PPE ne l’entendaient pas de cette oreille en brandissant l’accord de coalition signé en 2014 : même s’ils n’ont aucun candidat «naturel» (ils sont nombreux à se bousculer au portillon, dont le Français Alain Lamassoure), ils estiment que leur tour est venu. Face à l’impasse qui se dessinait, Schulz a donc décidé de sauter dans le grand bain de la politique nationale. Sa page européenne se tourne. Enfin, pas totalement : «Cet homme de gauche va mettre l’Europe au centre de la campagne électorale allemande, ce qui sera une bonne chose», se réjouit Daniel Cohn-Bendit.

Catégories: Union européenne

Communiqué de presse - Actualiser la législation européenne sur les armes pour combler les lacunes - Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs

Parlement européen (Nouvelles) - jeu, 26/01/2017 - 11:13
La commission du marché intérieur a approuvé l’accord provisoire avec le Conseil sur la directive européenne actualisée relative aux armes à feu. La législation révisée durcit les contrôles sur les armes tirant à blanc et les armes mal neutralisées, comme celles qui ont été utilisées lors des attentats terroristes à Paris, et contraint les pays de l’UE à mettre en place un "système de contrôle" pour la délivrance ou le renouvellement des autorisations et pour l’échange mutuel d’informations.
Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Catégories: Union européenne

8/2017 : 26 janvier 2017 - Arrêts de la Cour de justice dans les affaires C-604/13 P,C-609/13,C-611/13,C-613/13,C-619/13,C-625/13,C-626/13,C-636/13, C-637/13,C-638/13,C-642/13,C-644/13

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - jeu, 26/01/2017 - 10:36
Aloys F. Dornbracht / Commission
Concurrence
La Cour rejette la plupart des pourvois formés par les sociétés ayant participé à l’entente sur le marché des installations sanitaires pour salles de bains

Catégories: Union européenne

Vidéo d'une réunion d'une commission - Mercredi 25 janvier 2017 - 15:06 - Sous-commission "Droits de l'homme"

Durée de la vidéo : 192'
Vous pouvez télécharger manuellement cette vidéo au format WMV (1.9Gb)

Clause de non-responsabilité : L'interprétation des débats facilite la communication mais ne constitue en aucun cas un enregistrement authentifié des débats. Seuls le discours original ou la traduction écrite révisée du discours original peuvent être considérés authentiques.
Source : © Union européenne, 2017 - PE
Catégories: Union européenne

Le Brexit retarde la course aux étoiles de l’Europe

Euractiv.fr - jeu, 26/01/2017 - 10:05
La perspective des négociations de divorce entre le Royaume-Uni et l’UE ont forcé la Commission à repousser le financement de projets spatiaux à après 2020, malgré leur importance dans la politique spatiale européenne.
Catégories: Union européenne

Paris compte sur l’effet Trump pour faire bouger la politique commerciale de l’UE

Euractiv.fr - jeu, 26/01/2017 - 09:52
Pour le secrétaire d’État au Commerce, Matthias Fekl, l’UE doit saisir le changement de cap des États-Unis en matière de libre-échange pour redéfinir sa politique commerciale. Et sortir ainsi de sa « servitude volontaire ».
Catégories: Union européenne

Pages