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Ces socialistes qui veulent durcir les mesures contre le terrorisme

Le Figaro / Politique - Wed, 27/07/2016 - 19:39
Alors que l'exécutif a réitéré sa volonté de rester dans le cadre de l'État de droit, certains au PS s'interrogent.
Categories: France

Les principaux responsables politiques à Notre-Dame pour l’hommage au prêtre assassiné

Le Monde / Politique - Wed, 27/07/2016 - 19:24
Une cérémonie s’est tenue mercredi à 18 h 15 dans la cathédrale parisienne pour saluer la mémoire du père Jacques Hamel, tué mardi dans son église près de Rouen.
Categories: France

Bonyolódó légi helyzet felettünk

Air Power Blog - Wed, 27/07/2016 - 19:21

Szliács, Pápa, Cerklje, Szlovákia, Magyarország, Csehország, Szlovénia és a "jó öreg" USA. Ezek a keretei az amerikai légi haderő nemzeti gárdista egységei által térségünkben végrehajtott, összehangolt, és immár határokon átívelő hadgyakorlatoknak.Panther Strike, Slovak Thunder.

Perspektíva 1.: kis magasságú A-10-es manőverezés a szliácsi statikus bemutató és sajtótájékoztató felett.

Perspektíva 2.: MiG-29 svancára festett tigrisszem kíséri a varacskost.

Perspektíva 3.: kísérő követi a felszállás után kiforduló vezért.

Perspektíva 4.: erre mondják, hogy torzít a kabintető?

Pápáról érkezett coloradói F-16-os távozóban alacsony áthúzással búcsúzik a Zólyom és Besztercebánya között fekvő repülőtértől, ahová a DV-nap keretében látogatott.

Elrugaszkodik az anyabetontól az egyik Fekete Kígyó.

Párából a nagy állásszöggel húzott fordulózgató A-10-esek szárnyvégére is jutott.

Felettébb gyanús Maverick függesztés az egyik belső fegyvertartón, a hajtóművel egy vonalban.

Az ANG alakulatok felszerelése több ponton eltér az aktív századok normáitól. Block 30-asaikon például az izraeli DASH sisakra szerelt megjelenítő rendszer található, nem JHMCS.

RF radiation hazard felirat a ROVER antenna közelében az AN/AAQ-28 (NG által gyártott Litening) konténerén.

Slovak Warthog patch az egyik indianai tiszt vállán.

Egy váratlan látogató a NATO sürgés-forgás közepében: orosz felségjelű An-32-es. Bár a kovácsfalvai Hron (Garam) salas sztrapacskáját fogyasztva lemaradtunk a leszállásáról, így közeli képpel nem szolgálhatunk, minden jel és logika, utólagos kutakodás szerint ez a Rossziszkaja Szamoljotosztroityelnaja Korporacija "MiG" gépe (48119), mely a helyi 29 esekkel összefüggésben járhat itt.

Amerikai ima a Három Tölgy temploma oltárjának három aktuális főalakja előtt :-)

F-16 Block 30-A-10C-MiG-29UBS orrtalálkozó az egyik szliácsi apronon.

A bázis jelenlegi és közelmúltbeli típusai: L-39ZA, MiG-29 (eredeti csehszlovák példány) és MiG-21MF.

Érdekesség: íme a szlovák földi célok elleni gyakorló képesség. CP-100-70 gyakorlóbomba dupla tartón a külső pilonon, UB-16 (itt leponyvázva) a belsőn.

Zord


Categories: Biztonságpolitika

Terrorisme : Ne pas rentrer dans le piège de Daech

IRIS - Wed, 27/07/2016 - 19:13

La multiplication du nombre d’attentats terroristes crée un trouble profond chez les responsables politiques, les commentateurs, les médias et le public.

Comment qualifier le phénomène ? S’agit-il d’une troisième guerre mondiale ? Il y a bien des attentats à l’échelle mondiale. L’idéologie de Daesh est bien totalitaire et haineuse. Mais Daesh n’est pas l’équivalent de l’Allemagne nazie (ni de l’Union soviétique) en termes de puissance. Ses dirigeants voudraient sans doute anéantir le monde occidental, mais ils n’en ont tout simplement pas les moyens. Les présenter comme une menace de guerre (mondiale ou non) ne peut que les flatter, les renforcer et leur permettre de galvaniser de nouvelles recrues.

Mais la menace est durable et multiforme. Mais même si Daesh perdait son assise territoriale, les attentats ne cesseraient pas car le vivier de ceux qui sont d’ores et déjà prêts à passer à l’acte est trop nombreux.

Quatre cinquièmes des Français et des Allemands estiment que le nombre d’attentats va augmenter mais ces chiffres ne disent pas s’il s’agit d’un constat lucide et froid ou d’un sentiment de panique qui aurait atteint les citoyens des deux pays.

Quand on regarde leur comportement, on a plutôt le sentiment d’une forte résilience : les citoyens sont inquiets mais ils ne vivent pas cloîtrés. Malgré les signaux alarmistes, les foules ont été nombreuses sur les routes du Tour de France et les fans zones de l’euro ont fait le plein.

On ne peut pas protéger tous les sites, le risque zéro n’existe pas. Parmi ceux qui ont commis des attentats, il y a des djihadistes déterminés ayant fait des passages en Syrie et en Irak. Mais il y a également des esprits dérangés, des psychopathes auxquels Daesh donne un cadre idéologique justificateur et une possibilité d’auto glorification. Plus on parlera terrorisme, plus on suscitera des vocations parmi ces esprits faibles, par mimétisme. Je reste convaincu que s’il faut toujours agir avec détermination, le fait d’en parler autant des attentats et de leurs auteurs et de le mettre en scène à ce point aggrave le mal.

L’opposition a le droit de critiquer le gouvernement, y compris lors de circonstances dramatiques. Mais croit-on qu’il suffirait d’une alternance politique pour mettre fin au terrorisme ? Le débat légitime a dégénéré en polémiques qui ne peuvent que réjouir les ennemis de la France.

Des responsables politiques français de tous bords ont cédé à la pression médiatique en commentant des attentats sans pour autant avoir les éléments de l’enquête. Sans parler de certains commentateurs dont certains parlent sur du vide.Indirectement, ils tombent dans le piège que leur tend Daesh. On a vu des déclarations prématurées, intempestives, loufoques voire ridicules et donc scandaleuses. Certaines d’entre elles étaient plus destinées à satisfaire les attentes supposées du public qu’à apporter des solutions concrètes efficaces et pertinentes à la lutte contre le terrorisme.

Ceux qui ont soutenu la guerre d’Irak en 2003 ou qui proposaient encore récemment de bombarder l’Iran, seule façon à leurs yeux de l’empêcher d’avoir accès à l’arme nucléaire, sont mal placés pour nous expliquer doctement comment lutter contre le terrorisme.

Quels sont les buts de Daech ? Nous faire du mal et nous faire souffrir, c’est fait. Nous terroriser, ce n’est pas encore le cas. Prendre l’ascendant sur notre agenda politique et médiatique, c’est en train de se produire, hélas. Accéder à la notoriété, apparaître comme une superpuissance, nous sommes en train de les aider à réussir. Opposer musulmans et non musulmans, cet objectif n’est pour le moment atteint que dans des parties limitées de l’opinion mais certains « experts » et responsables politiques semblent contribuer fut ce involontairement a cet objectif.Le clivage n’est pas entre les partisans d’une ligne dure et les « laxistes » il est entre ceux qui vendent l illusion de solution a court terme et ceux qui ont le courage de dire au public qu il faut une perspective de long terme

Barak Obama a raison de dire que Daech ne constitue pas une menace existentielle. Mais elle pourrait le devenir. Si nous tombons dans son piège, si nous contribuons à privilégier l’émotion sur la réflexion ,le court sur le long terme, les déclarations spectaculaires et martiales aux solutions réalistes, ce serait une prophétie auto réalisatrice.

Une nouvelle ère politique en Turquie

IRIS - Wed, 27/07/2016 - 19:05

La singulière tentative de coup d’Etat fomentée le 15 juillet par des putschistes faisant preuve de beaucoup d’amateurisme induit des conséquences politiques qui vont marquer la Turquie dans les années, voire les décennies à venir. Il s’agit néanmoins de se prémunir d’observations et de conclusions formulées hâtivement et de tenter de mettre en perspective la situation pour évaluer ce séisme de la vie politique turque.

Admettons tout d’abord qu’il reste de nombreuses zones d’ombre à propos de ces événements et que les informations diffusées par les autorités politiques doivent être décryptées avec précaution. La vulgate du pouvoir qui, depuis le 16 juillet, n’a de cesse d’accuser les réseaux gülenistes, est pour le moins réductrice et sujette à caution. Hizmet, le nom officiel du mouvement dirigé par l’iman Fethullah Gülen, en exil volontaire aux Etats-Unis depuis 1999, est certes une nébuleuse qui a, entre autres, méthodiquement investi l’appareil d’Etat depuis les années 1990, avec à l’époque la bénédiction des gouvernements de la droite libérale. Depuis lors, nous savons que le Hizmet a considérablement aidé le Parti de la justice et du développement (AKP) à consolider son pouvoir, après que ce dernier eut remporté les élections législatives de 2002.

Durant presque dix ans, la complémentarité entre les deux structures – un parti provenant de l’islam politique, d’une part, et une organisation issu du mouvement confrérique d’autre part – a été presque parfaite : le Hizmet fournissait les cadres politiques dont l’AKP avait besoin et l’AKP nommait allègrement les partisans de F. Gülen à des postes de responsabilités au sein de l’appareil d’Etat. Les premières divergences apparaissent au début des années 2010. Probablement pour des raisons de divergences tactiques entre un parti qui concourt, victorieusement, aux batailles électorales successives et un mouvement qui préfère rester dans l’ombre, fidèle à une stratégie d’influence discrète mais qui renforce toujours plus sa puissance. On peut aussi supposer que des rivalités très matérielles se cristallisent entre les deux alliés à un moment où l’économie turque est en pleine ébullition et où les juteux marchés publics enrichissent leurs structures respectives. C’est d’ailleurs quand les réseaux Gülen, en décembre 2013, initient la dénonciation de la corruption, qui selon eux prévaut dans les cercles proches, politiques et familiaux, de Recep Tayyip Erdoğan qu’une première ample vague d’épuration est lancée à leur encontre par le pouvoir.

Pour en revenir à l’actualité immédiate, on peut néanmoins supposer que la capacité du Hizmet à pénétrer l’institution militaire, sans être nulle, doit être réduite. En effet, l’institution militiaire se prétendant le bastion de la laïcité a probablement tout fait pour empêcher une présence forte des gülenistes en son sein. En outre, si l’on peut hypothétiquement admettre que certains officiers supérieurs proches de F. Gülen aient pu avoir un rôle dans la tentative de putsch du 15 juillet, cela ne peut en aucun cas justifier l’ampleur de la répression à l’égard du mouvement Hizmet dans son ensemble et à l’encontre de toute personne suspectée d’en être membre ou sympathisant. Quant à l’hypothèse d’une alliance ponctuelle avec des officiers kémalistes pour préparer cette tentative de putsch, elle paraît pour le moins improbable puisque ce sont principalement les gülenistes qui ont instruit les retentissants grands procès à charge contre des officiers supérieurs à partir de 2007-2008 (procès Ergenekon, Balyoz…). Le moins que l’on puisse dire est que ces séquences ont laissé des traces et des haines réciproques tenaces.

L’ampleur des chiffres de personnes arrêtées ou limogées (il est question de plus de 60 000 personnes), en un laps de temps très court, est proprement époustouflant et indique clairement que des listes étaient prêtes et détenues par les structures du pouvoir, en l’occurrence les services de renseignement, dont on connaît la proximité et la fidélité au président de la République. Que de telles listes existent est pour le moins préoccupant dans un Etat qui se prétend de droit, bien qu’on puisse aisément en comprendre la réalité. En effet, l’étroite coopération entre l’AKP et le Hizmet évoquée précédemment permet d’envisager que les fidèles de Recep Tayyip Erdoğan qui donnaient leur accord et favorisaient la nomination de fonctionnaires en raison de leur appartenance au Hizmet les connaissaient ainsi parfaitement. Le travail de fichage systématique n’en a été rendu que plus facile.

La dimension et la rapidité de la répression et la « chasse aux sorcières » organisée par le pouvoir contre les gülenistes, ou prétendus tels, indique une fois de plus le durcissement mais aussi l’extraordinaire réactivité du président Erdoğan. Sa capacité à se saisir d’une situation qui aurait pu dangereusement le déstabiliser pour la retourner à son avantage montre un sens politique peu commun. L’irresponsabilité politique des apprentis putschistes lui a fourni une occasion inespérée pour accélérer la mise en place d’un régime présidentiel dont il rêve à haute voix depuis des années. Le maccarthysme ambiant qui s’impose en Turquie permet de frapper de façon indiscriminée celles et ceux qui, sans être le moins du monde responsable de la tentative de coup d’Etat, ont pu être à un moment de leur vie proche des gülenistes : anciens abonnés à Zaman lorsque ce quotidien était dirigé par les membres du Hizmet avant d’être mis sous tutelle par le pouvoir au mois de mars 2016, détenteurs de comptes dans la banque Asya dirigée par des gülenistes, anciens étudiants des très nombreuses écoles de Fethullah Gülen, etc. Cela fait au bas mot des millions de suspects potentiels. On le voit, la logique induite par ce cours répressif est terriblement dangereuse, non seulement pour les gülenistes, mais aussi pour tous les démocrates et les opposants à M. Erdoğan.

Mais il ne s’agit pas que de cela. En effet, si l’on considère par exemple qu’un tiers des généraux est limogé, que 2 700 magistrats – 20 % du corps judiciaire – sont suspendus, il n’est plus seulement question de l’éradication du Hizmet mais de l’affaiblissement considérable de l’appareil d’Etat lui-même ainsi que de toute l’opposition, donc de la démocratie turque déjà bien fragile, dans une conjoncture où, de plus, les turbulences régionales affectent directement la Turquie et exigent l’unité du pays comme une impérative nécessité. En d’autres termes, le pouvoir est en train de reformater radicalement l’Etat en le transformant en un Etat-AKP. C’est donc bien à un changement de paradigme auquel nous assistons, une rupture avec les fondements constitutifs de la vie politique turque. S’Il y a bien eu une réelle tentative de coup d’Etat militaire, qui a heureusement échoué, il y a désormais une sorte de contre-coup d’Etat civil organisé par les dirigeants de l’AKP. Si le coup d’Etat avait réussi, il est probable qu’une véritable guerre civile se serait cristallisée en Turquie, mais les militaires putschistes n’ont pas compris que la société turque s’est considérablement modifiée au cours des dernières années et que, désormais, elle n’accepte plus la tutelle militaire. C’est un paramètre infiniment positif. En outre, on peut parfaitement comprendre qu’un gouvernement qui a failli être victime d’un coup d’Etat se donne les moyens pour en réprimer les responsables. En cela, les apprentis putschistes portent une écrasante responsabilité dans la préoccupante dégradation de la situation politique. Malheureusement, Recep Tayyip Erdoğan et ses affidés instrumentalisent la situation sans aucune retenue pour leurs propres objectifs politiques et économiques, et l’on peut douter que ce soit la préservation de l’unité nationale qui anime leurs récentes décisions.

On peut ainsi craindre un terrible gâchis. La Turquie reste un grand pays dont la stabilité concerne au premier chef le Moyen-Orient et l’Union européenne. Des années sont en passe d’être perdues quant à la poursuite de son affirmation sur les scènes régionale et internationale. Il faut tout faire pour aider les démocrates turcs à résister à l’engrenage politique dangereux qui se met actuellement en place dans le pays.

France 24 ne diffusera plus les photos des auteurs d’attentats

France24 / France - Wed, 27/07/2016 - 19:04
À la suite de l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray et après une réflexion de plusieurs mois, la direction de France 24 a décidé de ne plus diffuser les photos des auteurs d’attentats.
Categories: France

Technip remporte un gros contrat dans l’offshore australien

MeretMarine.com - Wed, 27/07/2016 - 19:01

Technip a remporté un grand(1) contrat subsea auprès de Woodside pour le développement du champ Greater Enfield. Ce dernier est situé au large des côtes ouest de l’Australie, à des profondeurs d’eau comprises entre 340 et 850 mètres.

Le contrat comprend le management de projet, la conception, l’ingénierie, la fourniture des équipements, l’installation et la pré-mise en service (EPIC) des éléments suivants :

- conduite de production et conduite d’injection d’eau, flowlines(2) et risers flexibles d’une longueur totale de 82,2 kilomètres ;

Categories: Défense

Un recours déposé contre le projet de parc éolien de Guérande

MeretMarine.com - Wed, 27/07/2016 - 19:01

Trois associations de défense de l'environnement ont annoncé mardi avoir déposé un recours contre le projet de parc éolien en mer au large de Saint-Nazaire, piloté par l'électricien français EDF, rapporte Presse Océan.

Categories: Défense

Marion Maréchal Le Pen veut «mobiliser les consciences» contre l'islamisme

Le Figaro / Politique - Wed, 27/07/2016 - 18:56
VIDÉO - La députée FN du Vaucluse estime que l'unité nationale doit se construire dans le refus de l'islamisme «sans ambiguïtés».
Categories: France

Saint-Étienne-du-Rouvray : le bracelet électronique au cœur de la polémique

Le Point / France - Wed, 27/07/2016 - 18:51
Stéphane Le Foll a rappelé que Nicolas Sarkozy considérait, il y a peu, le bracelet comme "une des solutions à appliquer à tous les fichés S".
Categories: France

Russia and Turkey: Marriage of convenience

Pravda.ru / Russia - Wed, 27/07/2016 - 18:46
Turkish President Recep Tayyip Erdogan will pay a visit to Russia on August 9. Russia should not trust Erdogan, but one may have no doubt about the fact that the Turkish president is now trying to improve Turkey's relations with Russia. This makes Turkey Russia's ally in the endeavor to split the consolidated position of the West
Categories: Russia & CIS

Laurent Wauquiez: «Manuel Valls et Bernard Cazeneuve doivent partir»

Le Figaro / Politique - Wed, 27/07/2016 - 18:45
VIDÉO - Au lendemain de l'attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray, le vice-président délégué des Républicains estime qu'il est grand temps de changer de politique dans la lutte contre l'islamisme et le terrorisme.
Categories: France

Attentat de Nice : le dispositif de sécurité "n'était pas sous-dimensionné", selon la police des polices

France24 / France - Wed, 27/07/2016 - 18:15
L'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a conclu mercredi que le dispositif de sécurité déployé sur la Promenade des Anglais à Nice le soir de l'attentat du 14 juillet "n'était pas sous-dimensionné".
Categories: France

Terrorisme : "Durcir l’arsenal judicaire n’est pas la solution"

France24 / France - Wed, 27/07/2016 - 17:50
Après la série d’attentats qui a frappé la France ces derniers mois, plusieurs voix s’élèvent – surtout à droite et à l’extrême-droite – pour demander un renforcement de l’arsenal judiciaire français, jugé inadapté face à la menace terroriste.
Categories: France

À Saint-Étienne-du-Rouvray, la cellule psychologique prise d'assaut au lendemain de l'attentat

France24 / France - Wed, 27/07/2016 - 17:36
Les habitants de Saint-Étienne-du-Rouvray étaient sous le choc mercredi, au lendemain de l'assassinat du père Jacques Hamel par deux hommes se revendiquant de l'EI. La cellule psychologique mise en place a été prise d'assaut.
Categories: France

Attentat de Nice : un renfort de forces mobiles avait été refusé à la préfecture

Le Monde / Politique - Wed, 27/07/2016 - 17:20
« Le service d’ordre n’était pas sous-dimensionné », estime néanmoins le rapport de l’Inspection générale de la police nationale publié mercredi. La directrice « certifie » que 64 policiers nationaux étaient bien là.
Categories: France

Saint-Maur : Marceau Long, ancien vice-président du Conseil d’Etat, est décédé

LeParisien / Politique - Wed, 27/07/2016 - 17:04
Il avait été tour à tour dirigeant de l’ORTF au début des années 1970, secrétaire général du gouvernement sous le mandat de Valéry Giscard d’Estaing puis au début de celui de François Mitterrand, PDG d’Air...
Categories: France

Un ordre en suspens

Le Monde Diplomatique - Wed, 27/07/2016 - 16:54
Ponctuées par les cinq appels à la prière quotidiens, les journées du maulana (érudit musulman) Hafeez s'écoulent au rythme des grains de son chapelet et des verres de thé que lui offrent ses ouailles. L'imam, 70 ans, barbe, calotte et chemise blanches, se veut à l'image de sa bourgade rurale : (...) / , , , , , - 2016/08

Laisser le poète à notre solitude

Le Monde Diplomatique - Wed, 27/07/2016 - 16:54
Cette Présente Absence au titre percutant, publiée pour la première fois en 2006, renvoie à la désignation israélienne des Palestiniens ayant dû fuir leur foyer en 1948 : les « présents-absents ». Elle se révèle prose poétique testamentaire : c'est l'avant-dernier livre paru du vivant de Mahmoud Darwich. Il (...) / , , , , , - 2016/08

Le mandat de la MINUSCA prolongé jusqu'au 15 novembre 2017

Lignes de défense - Wed, 27/07/2016 - 16:50

Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mardi à l'unanimité la résolution 2301 prorogeant jusqu'au 15 novembre 2017 le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA).

Le niveau des forces reste le même:
- 10 750 militaires dont 480 observateurs
- 2 080 policiers  
- 108 agents de l'administration pénitentiaire.

Le texte de la résolution 2301 est à consulter ici.

Jusqu’à la fin de l’opération Sangaris, fin annoncée pour octobre prochain, les 350 soldats français encore déployés à Bangui continueront de constituer une réserve tactique, qui pourra prêter main forte à la Minusca en cas de besoin.

 

 

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