L’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) organise une table ronde intitulée: "Seizing the motivations of contemporary military interventions". Elle aura lieu le jeudi 1er décembre, à l'École militaire, de 17h30 à 19h30.
La table ronde animée par : Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, Directeur de l’IRSEM.
Avec :
- Peter Viggo Jakobsen, Associate Professor, Royal Danish Defence College
- Nadav Kedem, Chercheur postdoctorant, CERI, Sciences Po
- Alice Pannier, Chercheuse postdoctorante, IRSEM
- Stefano Recchia, Lecturer, University of Cambridge
- Olivier Schmitt, Associate Professor, Center for War Studies, University of Southern Denmark
Pour en savoir plus:
Présentation ici.
Inscriptions (obligatoire) ici.
Cela fait 71 ans que l’humanité vit avec la capacité de détruire la planète par la pression d‘un simple bouton… en 2017, ces armes de destruction massive peuvent être interdites !
Le sucre, composante essentielle de notre alimentation après le mil et le riz, est passé ces quatre dernières années de 400 F CFA à 550 F CFA le kilo. Des importateurs GDCM, Société Draméra et Petit Barou continuent de flouer l’Etat et les consommateurs.
En 2011, le sac de 50 kilos de sucre était cédé aux commerçants à 22 000 F CFA. Les consommateurs achetaient le kilo à la boutique 425 F CFA. En 2012, il a été porté à 23 000 F CFA. Depuis 2014, il est à 25 500 F CFA. Le kilo est vendu à 550 F CFA.
Selon des commerçants, cette situation s’explique par la crise du sucre notamment les effets collatéraux des intempéries naturelles au Brésil frappé par des inondations sans précédent et en Inde, gros exportateur de sucre, devenue par la force des choses importatrice avec l’achat de millions de tonnes sur le marché mondial.
Pour faire face à cette montée vertigineuse du prix du sucre, l’Etat, sur la base d’un accord signé avec Sukala-SA, a ouvert le secteur aux opérateurs économiques importateurs de sucre du Mali, notamment la société Lobo Draméra, Petit Barou, GDCM et autres. L’objectif était de couvrir un besoin estimé à 40 000 tonnes.Malgré cette ouverture, qui brise le monopole de fait de GGB de Bakoré Sylla, les consommateurs maliens restent Gros Jean comme devant. Le prix du sucre n’est pas à leur portée. “L’initiative du gouvernement n’a pas permis d’équilibrer le prix à travers tout le pays. Le gouvernement a trop ouvert les vannes aux importateurs. Ce qui nous fait souffrir le martyre”, dénonce Amadou Maïga, un commerçant détaillant au Grand marché.
Selon lui, les opérateurs économiques qui monopolisent le secteur ne peuvent pas approvisionner correctement le Mali en sucre et à bon prix. “Certes, la détermination peut être là, mais les capacités financières pour faire face à la hausse mondiale sont insuffisantes…”
Pour Oumar Sidibé, certainement avec les fluctuations de la bourse, ils ne sont pas à mesure de maitriser les prix. “Les commerçants qui maîtrisent le circuit sont exclus. Et nous les détaillants sont accusés à longueur de journée. Avec la cherté de la vie, il urge, pour l’Etat, de prendre ses responsabilités pour contrôler le circuit d’importation des produits de première nécessité, notamment le sucre”, souligne Oumar Sidibé, un commerçant détaillant à Sogoniko.
L’initiative du gouvernement de libéraliser le secteur est certes salutaire, mais le processus adopté devra être suivi par des mesures.
Le consommateur malien est nostalgique du temps où le PDG de GGB, Bakoré Sylla, sortait sur le petit écran pour annoncer le prix du sucre sur toute l’étendue du territoire. Malgré, ce monopole de fait qui existait au Mali, les commerçants avaient réussi à maîtriser le marché.
Bréhima Sogoba
Source : L’indicateur du Renouveau
Après ses nouvelles déclarations fracassantes, l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine est venu jeudi « confirmer » aux enquêteurs ses accusations de financement libyen de la campagne présidentielle victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007.
Le sulfureux homme d’affaires est arrivé peu après 08H00 dans les locaux de l’office anticorruption de la police judiciaire (Oclciff) à Nanterre, près de Paris. Il a précisé avoir déjà été entendu mardi pendant plus de cinq heures, tout en assurant qu’il ne s’agissait pas de gardes à vue.
Mardi matin, dans un entretien diffusé par le site d’information Mediapart, Takieddine, mis en examen dans le dossier Karachi, assurait avoir transporté fin 2006 – début 2007 entre la Libye et la France trois valises contenant cinq millions d’euros en espèces. Des fonds qu’il dit avoir remis une fois à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur et candidat, et les deux autres fois à son directeur de cabinet de l’époque, Claude Guéant.
« Je viens pour collaborer, pour confirmer tout ce que j’ai dit avant (…) Je viens pour corroborer tout ça, après les derniers éléments trouvés par le juge d’instruction », a-t-il déclaré à l’AFP à son arrivée à Nanterre, en affirmant agir dans « l’intérêt de la France » pour dénoncer une « corruption très profonde ».
Ce n’est pas la première fois que Ziad Takieddine porte des accusations sur un éventuel financement libyen de la campagne de la droite en 2007, mais jusque-là il ne s’était pas impliqué directement dans des remises de fonds.
Lors de ses précédentes auditions devant les enquêteurs, il avait varié dans ses déclarations, parfois floues, en assurant d’abord ne pas être en mesure d’apporter « personnellement » de preuves, avant d’affirmer pouvoir « fournir les éléments existants » sur un possible financement occulte de la campagne. Ce qu’il n’a jusqu’ici jamais fait.
– « Manoeuvre nauséabonde » –
Nicolas Sarkozy a aussitôt opposé un « démenti formel » à ces nouvelles allégations, en dénonçant « une manœuvre nauséabonde pour interférer dans la primaire de la droite et du centre » à laquelle l’ex-président est candidat et dont le premier tour a lieu dimanche.
Le camp Sarkozy a également épinglé des incohérences dans le récit de Ziad Takieddine et son « absence de crédibilité ». L’avocat de l’ancien chef de l’Etat, Thierry Herzog, a fourni un extrait de procès-verbal de juin 2012 dans lequel l’homme d’affaires disait n’avoir « plus rencontré » Nicolas Sarkozy depuis novembre 2003, alors que les supposés transferts de fonds remonteraient à 2006-2007. L’ancien président et Claude Guéant ont promis des poursuites judiciaires.
Claude Guéant, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale dans cette enquête, « n’a jamais entendu parler du moindre centime libyen qui aurait pu servir à financer la campagne de 2007 », a assuré son avocat Philippe Bouchez-El Ghozi, en notant qu’il n’avait « jamais été mis en cause à ce titre ».
L’homme d’affaires assure avoir convoyé les valises à la demande d’Abdallah Senoussi, l’ex-chef des services de renseignement libyen du régime Kadhafi, dans le cadre de la « coopération entre services de renseignements ». « C’est comme cela qu’on me l’a présenté et c’est ainsi que j’ai agi », a-t-il expliqué dans un entretien à l’AFP, pour justifier sa mission de porteur de valises.
Les faits allégués dans Mediapart ont déjà été évoqués en 2012 par Abdallah Senoussi, lors d’une audition dans le cadre de poursuites de la Cour pénale internationale (CPI). L’ancien dignitaire avait affirmé avoir « personnellement supervisé » le transfert de cinq millions d’euros pour la campagne en « 2006-2007 », selon des éléments de l’enquête des juges d’instruction français sur un possible financement libyen, dont l’AFP a eu connaissance.
Les juges ont par ailleurs obtenu plusieurs autres témoignages d’autres anciens responsables libyens notamment celui, posthume, de Choukri Ghanem, l’ex-ministre du Pétrole décédé en 2012, qui mentionne un financement occulte dans ses carnets. Mais, après trois ans d’investigations, aucune preuve ne vient étayer ces accusations.
Après ses nouvelles déclarations fracassantes, l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine est venu jeudi « confirmer » aux enquêteurs ses accusations de financement libyen de la campagne présidentielle victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007.
Le sulfureux homme d’affaires est arrivé peu après 08H00 dans les locaux de l’office anticorruption de la police judiciaire (Oclciff) à Nanterre, près de Paris. Il a précisé avoir déjà été entendu mardi pendant plus de cinq heures, tout en assurant qu’il ne s’agissait pas de gardes à vue.
Mardi matin, dans un entretien diffusé par le site d’information Mediapart, Takieddine, mis en examen dans le dossier Karachi, assurait avoir transporté fin 2006 – début 2007 entre la Libye et la France trois valises contenant cinq millions d’euros en espèces. Des fonds qu’il dit avoir remis une fois à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur et candidat, et les deux autres fois à son directeur de cabinet de l’époque, Claude Guéant.
« Je viens pour collaborer, pour confirmer tout ce que j’ai dit avant (…) Je viens pour corroborer tout ça, après les derniers éléments trouvés par le juge d’instruction », a-t-il déclaré à l’AFP à son arrivée à Nanterre, en affirmant agir dans « l’intérêt de la France » pour dénoncer une « corruption très profonde ».
Ce n’est pas la première fois que Ziad Takieddine porte des accusations sur un éventuel financement libyen de la campagne de la droite en 2007, mais jusque-là il ne s’était pas impliqué directement dans des remises de fonds.
Lors de ses précédentes auditions devant les enquêteurs, il avait varié dans ses déclarations, parfois floues, en assurant d’abord ne pas être en mesure d’apporter « personnellement » de preuves, avant d’affirmer pouvoir « fournir les éléments existants » sur un possible financement occulte de la campagne. Ce qu’il n’a jusqu’ici jamais fait.
– « Manoeuvre nauséabonde » –
Nicolas Sarkozy a aussitôt opposé un « démenti formel » à ces nouvelles allégations, en dénonçant « une manœuvre nauséabonde pour interférer dans la primaire de la droite et du centre » à laquelle l’ex-président est candidat et dont le premier tour a lieu dimanche.
Le camp Sarkozy a également épinglé des incohérences dans le récit de Ziad Takieddine et son « absence de crédibilité ». L’avocat de l’ancien chef de l’Etat, Thierry Herzog, a fourni un extrait de procès-verbal de juin 2012 dans lequel l’homme d’affaires disait n’avoir « plus rencontré » Nicolas Sarkozy depuis novembre 2003, alors que les supposés transferts de fonds remonteraient à 2006-2007. L’ancien président et Claude Guéant ont promis des poursuites judiciaires.
Claude Guéant, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale dans cette enquête, « n’a jamais entendu parler du moindre centime libyen qui aurait pu servir à financer la campagne de 2007 », a assuré son avocat Philippe Bouchez-El Ghozi, en notant qu’il n’avait « jamais été mis en cause à ce titre ».
L’homme d’affaires assure avoir convoyé les valises à la demande d’Abdallah Senoussi, l’ex-chef des services de renseignement libyen du régime Kadhafi, dans le cadre de la « coopération entre services de renseignements ». « C’est comme cela qu’on me l’a présenté et c’est ainsi que j’ai agi », a-t-il expliqué dans un entretien à l’AFP, pour justifier sa mission de porteur de valises.
Les faits allégués dans Mediapart ont déjà été évoqués en 2012 par Abdallah Senoussi, lors d’une audition dans le cadre de poursuites de la Cour pénale internationale (CPI). L’ancien dignitaire avait affirmé avoir « personnellement supervisé » le transfert de cinq millions d’euros pour la campagne en « 2006-2007 », selon des éléments de l’enquête des juges d’instruction français sur un possible financement libyen, dont l’AFP a eu connaissance.
Les juges ont par ailleurs obtenu plusieurs autres témoignages d’autres anciens responsables libyens notamment celui, posthume, de Choukri Ghanem, l’ex-ministre du Pétrole décédé en 2012, qui mentionne un financement occulte dans ses carnets. Mais, après trois ans d’investigations, aucune preuve ne vient étayer ces accusations.
The ancient Assyrian capital of Kalhu was captured by the Iraqi army was found leveled. Today it is known as the village of Nimrud and is 32km south of Mosul.
Captured by the Islamic State jihadists in 2014, the 3,300-year-old city and its monuments have been wiped out because of hostility to so-called un-Islamic idols. IS published footage with the process of destruction, treating the destruction of the site as an accomplishment with religious significance.
The militants destroyed statues, murals, carvings, palaces, and the famous ziggurat. The site is still mined and booby-trapped, and archeologists cannot assess the full extent of the destruction.
UNESCO condemns Nimrud’s destruction as a “war crime.” IS has destroyed numerous ancient cities, including the 2000-year old Hatra in south Iraq and Palmyra in Syria.
The post Nimrud: the 3,300 y.o Assyrian capital is destroyed appeared first on New Europe.
Az MPA nemzetközi pályázatot hirdet magánszemélyek részére mobil eszközzel készült fotók kiállítása, díjazása és eladása céljából.
A pályázatra csak telefonnal/tablettel készült fotókkal lehet nevezni.
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Egy képet maximum 2 kategóriában lehet nevezni.
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Fotóesszé kategória: 30 $
Díjazás:
Fődíj: 3000 $
Kategóriagyőztesek: MPA csomag + MPA vándorkiállítás, ahol lehetőség nyílik a képek eladására (a profit 50%-át kapja a kép készítője)
Fotóesszé kategória győztese: 500 $
Határidő: 2016. december 4.
Après ses nouvelles déclarations fracassantes, l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine est venu jeudi « confirmer » aux enquêteurs ses accusations de financement libyen de la campagne présidentielle victorieuse de Nicolas Sarkozy en 2007.
Le sulfureux homme d’affaires est arrivé peu après 08H00 dans les locaux de l’office anticorruption de la police judiciaire (Oclciff) à Nanterre, près de Paris. Il a précisé avoir déjà été entendu mardi pendant plus de cinq heures, tout en assurant qu’il ne s’agissait pas de gardes à vue.
Mardi matin, dans un entretien diffusé par le site d’information Mediapart, Takieddine, mis en examen dans le dossier Karachi, assurait avoir transporté fin 2006 – début 2007 entre la Libye et la France trois valises contenant cinq millions d’euros en espèces. Des fonds qu’il dit avoir remis une fois à Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur et candidat, et les deux autres fois à son directeur de cabinet de l’époque, Claude Guéant.
« Je viens pour collaborer, pour confirmer tout ce que j’ai dit avant (…) Je viens pour corroborer tout ça, après les derniers éléments trouvés par le juge d’instruction », a-t-il déclaré à l’AFP à son arrivée à Nanterre, en affirmant agir dans « l’intérêt de la France » pour dénoncer une « corruption très profonde ».
Ce n’est pas la première fois que Ziad Takieddine porte des accusations sur un éventuel financement libyen de la campagne de la droite en 2007, mais jusque-là il ne s’était pas impliqué directement dans des remises de fonds.
Lors de ses précédentes auditions devant les enquêteurs, il avait varié dans ses déclarations, parfois floues, en assurant d’abord ne pas être en mesure d’apporter « personnellement » de preuves, avant d’affirmer pouvoir « fournir les éléments existants » sur un possible financement occulte de la campagne. Ce qu’il n’a jusqu’ici jamais fait.
– « Manoeuvre nauséabonde » –
Nicolas Sarkozy a aussitôt opposé un « démenti formel » à ces nouvelles allégations, en dénonçant « une manœuvre nauséabonde pour interférer dans la primaire de la droite et du centre » à laquelle l’ex-président est candidat et dont le premier tour a lieu dimanche.
Le camp Sarkozy a également épinglé des incohérences dans le récit de Ziad Takieddine et son « absence de crédibilité ». L’avocat de l’ancien chef de l’Etat, Thierry Herzog, a fourni un extrait de procès-verbal de juin 2012 dans lequel l’homme d’affaires disait n’avoir « plus rencontré » Nicolas Sarkozy depuis novembre 2003, alors que les supposés transferts de fonds remonteraient à 2006-2007. L’ancien président et Claude Guéant ont promis des poursuites judiciaires.
Claude Guéant, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale dans cette enquête, « n’a jamais entendu parler du moindre centime libyen qui aurait pu servir à financer la campagne de 2007 », a assuré son avocat Philippe Bouchez-El Ghozi, en notant qu’il n’avait « jamais été mis en cause à ce titre ».
L’homme d’affaires assure avoir convoyé les valises à la demande d’Abdallah Senoussi, l’ex-chef des services de renseignement libyen du régime Kadhafi, dans le cadre de la « coopération entre services de renseignements ». « C’est comme cela qu’on me l’a présenté et c’est ainsi que j’ai agi », a-t-il expliqué dans un entretien à l’AFP, pour justifier sa mission de porteur de valises.
Les faits allégués dans Mediapart ont déjà été évoqués en 2012 par Abdallah Senoussi, lors d’une audition dans le cadre de poursuites de la Cour pénale internationale (CPI). L’ancien dignitaire avait affirmé avoir « personnellement supervisé » le transfert de cinq millions d’euros pour la campagne en « 2006-2007 », selon des éléments de l’enquête des juges d’instruction français sur un possible financement libyen, dont l’AFP a eu connaissance.
Les juges ont par ailleurs obtenu plusieurs autres témoignages d’autres anciens responsables libyens notamment celui, posthume, de Choukri Ghanem, l’ex-ministre du Pétrole décédé en 2012, qui mentionne un financement occulte dans ses carnets. Mais, après trois ans d’investigations, aucune preuve ne vient étayer ces accusations.
The European Union in partnership with the Government of the Central African Republic organise the Brussels Conference on the Central African Republic, which takes place in Brussels, on 17 November 2016.
Le mois dernier, trois pays africains, l'Afrique du Sud, le Burundi et la Gambie, ont annoncé qu'ils quittaient la Cour pénale internationale. Sans être surprenant, ce départ était tout de même inattendu. Leurs critiques, pourtant, n'ont rien de nouveau. Et est probable que d'autres pays leur emboîteront le pas.
Cet article CPI : pendant ce temps, dans les nombreux États qui n’ont pas adhéré au statut de Rome… est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Levélben fordult Jurij Baulinhoz, Ukrajna Alkotmánybíróságának (KSZU) elnökéhez Brenzovics László parlamenti képviselő. A magyar honatya arra kéri az alkotmánybírát, hogy ne nyilvánítsák alkotmányellenesnek és ne helyezzék hatályon kívül a jelenlegi, a kisebbségek számára kedvező nyelvtörvényt.
A magyar honatya levelében emlékeztet, hogy a 2012-ben Az állami nyelvpolitika alapjai címmel elfogadott törvény egyebek mellett lehetővé teszi, hogy a közigazgatási és önkormányzati szervekben az ukrán mellett azokon a regionális nyelveken folyhassék az ügyintézés, amelyeket az adott régió lakosságának legalább 10 százaléka beszél. Brenzovics László rámutat: a jogszabály alapján Kárpátalja megyében és annak egyes járásaiban a magyar is regionális nyelvvé lehetett.
Nemrég ismertté vált, hogy a KSZU bírói kollégiumának végzése nyomán megindult az eljárás a törvény kapcsán még 2012 júliusában, képviselők egy csoportja által benyújtott alkotmányossági beadvány ügyében. Folyamatban van a téma előkészítése a testület november 17-ére kitűzött plenáris ülésén e tárgyban rendezendő nyilvános meghallgatásra.
„Veszélyesnek tartjuk a helyzetet, mivel amennyiben a törvényt alkotmányellenesnek ismerik el, és hatályát veszti, Ukrajnában megszűnik a nyelvi jogokkal kapcsolatos kérdések szabályozása, ami egy sor negatív következménnyel fog járni – mutat rá a magyar képviselő. – Azzal a kéréssel fordulok Önhöz, hogy ne mondják ki az említett haladó törvény alkotmányellenességét, hiszen azt az európai szabványoknak és jogi normáknak megfelelően, azok alapján fogadták el. Hiszen egy olyan jogszabályról van szó, amely jelentős jogokat biztosít az Ukrajna lakosságának 20 százalékát kitevő nemzetiségi kisebbségek számára” – áll egyebek mellett a levélben.
A Kárpátaljai Magyar Kulturális Szövetségnél az eset kapcsán rámutatnak, hogy a törvény alkotmányossági vizsgálatát kezdeményező 57 parlamenti képviselő mindenekelőtt éppen a regionális nyelvekre, illetve az azokhoz kapcsolódó nyelvhasználati jogokra való tekintettel szeretné elérni a jogszabály hatályon kívül helyezését, mivel indoklásuk szerint ezek a normák „diszkreditálják az ukrán nyelv jelentőségét és státuszát” államnyelvként, illetve ellentétesek az Alaptörvény idevágó cikkelyeivel. Az alkotmányossági beadvány aláírói szerint ugyancsak probléma, hogy a nyelvtörvény elfogadása a hatályos jogszabályok megsértésével történt.
Ezenkívül kifogásolják azt is, hogy miközben 18 ukrajnai nemzetiségnek előjogokat biztosít a nyelvtörvény, a többiek számára (koreaiak, grúzok, csuvasok, vietnamiak stb.) nem adja meg ezeket a lehetőségeket. Végül ugyancsak alkotmánysértő a beadvány aláírói szerint, hogy a törvény szabályozási jogkörrel ruházza fel az önkormányzatokat „a nyelvi szférában”, miközben az Alkotmány erre kizárólag törvények révén ad lehetőséget.
A nyelvtörvényt támadó beadvány aláírói között több szélsőjobboldali és radikális politikus nevére bukkanhatunk, amilyen például Oleh Ljasko, a nevét viselő Radikális Párt elnöke, Oleh Tyahnibok, a Szvoboda elnöke, vagy Irina Farion, az utóbbi párt vezetőségi tagja. Ugyanakkor több jelenlegi kormánypolitikus is ellátta kézjegyével a dokumentumot, köztük Ruszlan Knyazevics, aki legutóbb a Petro Porosenko Blokkja párt színeiben lett parlamenti képviselő, s napjainkban a Rada igazságügyi és igazságszolgáltatási bizottságának elnöke, de említhetnénk Lilija Hrinevicset, a másik kormánypárt, a Narodnij Front politikusát, jelenlegi oktatási minisztert is.
„Meggyőződésünk, hogy a jogállam, az országon belüli stabilitás és a béke megteremtésének alapja az ukrán polgárok alkotmányos jogainak biztosítása, a törvényi követelmények megfelelő végrehajtása és a nemzetiségi kisebbségek védelme, jogaiknak az európai normákkal megegyező bővítése” – zárul Brenzovics László levele.
Brenzovics László kedden Kijevben találkozott Valerija Lutkovszkaja ombudsmannal, akit arra kért, hogy képviselje a nemzeti kisebbségek érdekeit az Alkotmánybíróság előtt.
hk
Sweden’s central bank (Riksbank) announced it is examining the issue of an e-Krona on Wednesday.
Sweden is leaving cash behind. Card payments are taking over most transactions with coins and notes. But, an electronic currency is being considered for payment by those “who do not want to or have any access to commercial banks payment solutions, such as cards.”
Central Bank surveys suggest that less than 15% of Swedes make most payments in cash. And the cash only economy represents 2% of Sweden’s GDP, compared to 10% in 1990. There are now businesses in Sweden that do not accept cash payments; even Swedish homeless people sell their magazines with card terminals.
By 2014, four in five payments were made electronically; that compares with one in four transactions in Italy. Southern Europe tends to be more oriented towards cash payments.
It has been suggested that Sweden may become cashless by 2030, although two out of three Swedes see cash as a “human right.” For instance, what happens to people who are unbanked?
However, there are many arguments for the elimination of cash. Fewer bank robberies, lower transaction costs, and the elimination of tax evasion.
The e-Krona would, like a Bitcoin restore to the transaction some of its anonymity, rendering transactions more discreet and impersonal. That would both reduce and increase resistance to eliminating money in their physical form.
The post Sweden considers launch of e-Krona on its way to a “cashless society” appeared first on New Europe.
Ahmed Kalej Nkand n'est pas rancunier.
Cet article Gécamines : Ahmed Kalej Nkand veut aller de l’avant est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Paloma Durán is Director of the Sustainable Development Goals Fund (SDG Fund).
By Paloma Durán
NEW YORK, Nov 17 2016 (IPS)
One of the key features of the 2030 Agenda which the United Nations and member states identified in the lead up to the SDG agreement was the principle of universality.
Courtesy of Paloma Durán/UNDP
After managing to get the pivotal agreement on the global framework for the new Sustainable Development Goals (SDGs) agreed upon last year, it is now critical to continue this momentum and understand the opportunities and challenges it creates for the private sector as partners in sustainable development efforts.Building on our interest to tip the scales and generate greater private sector engagement, the UN Sustainable Development Goals Fund (SDG Fund) in collaboration with its Private Sector Advisory Group and the Global Compact examined these questions through a new report, Universality and the SDGs: A Business Perspective. The report, launched last week highlights varied perspectives from both large and small companies working to understand the commonality of the new development agenda.
Universality in this context is defined by the UN as “applicable to all countries, while taking into account different national realities, capacities and levels of development that respect national policies and principles.” Thus the notion of Universality also envisions that everyone has a role to play in development and poverty alleviation efforts framing the development agenda.
The business community has, and continues to be deemed an important partner for us, serving as a critical economic engine and multiplier to catalyze economic and social development programs in our 23 joint programs around the world. The task at hand is to now reinforce this commitment and ensure that companies of all sizes and sectors are properly aware of the new SDGs.
To this end, the outcomes of the report were based on a year-long series of workshops and dialogues and reflected input from over 100 firms across a variety of regions and industry sectors. These findings stemming from countless interviews and in-depth questions were not unexpected and mainly in-line with our experience at the SDG Fund. We found that companies were keen to address the new set of goals which they viewed as critical to their core business activities, but many firms still struggled to fully understand the depth of the goals.
The report also mirrored some of our unique experience working with the private sector. For example, while many firms are already working in areas linked to the SDGs, this work is not always associated with the same “UN” or development language. In fact, many companies articulate the “global goals” using other mechanisms, including using other metrics or reporting based on environmental, social and corporate governance (ESG) indicators or other industry standards.
The new report offers some other useful findings. First, companies both small and large are increasingly aware of the concept of the SDGs, but many firms did not fully grasp the intricacies of the SDGs in context of their work or internal operations.
In addition, although many companies find a clear and added value to framing sustainability initiatives through the SDGs which provide a unified set of globally accepted principles–many companies are still accustomed to working within the confines of their philanthropic and CSR programs.
Despite a strong willingness to embrace the SDGs, many companies are exploring how to best integrate the SDGs into their work. But perhaps the most compelling case for the SDG Fund’s continued efforts to engage companies in a “co-design, co-invest and co-implement policy” is that the private sector remains eager to work on global challenges.
Companies continue to express their desire to be brought into the process to build innovative and robust multi-stakeholder partnerships at the local level and very often with UN partners.
Undoubtedly, with the one-year anniversary of the 2030 agenda approaching in January, this new report reminds us that the UN can and should play a more active role in educating and informing companies on the “universal” dimensions of the SDGs.
It is also important to continue to translate the new agenda into language and simplified reporting metrics that are palatable for businesses of all sizes – all of which means greater education on how companies can integrate the SDGs in their value chains, disseminate accessible resources and tools to promote learning, and support implementation and alignment across sectors.
In the end, the universality principle embedded in the SDGs provides a clear invitation for action and alignment to advance the new development agenda.
We hope to continue to raise public awareness and foster the much needed dialogue and advocacy required to encourage business to support the SDGs. In addition, our report highlights additional information on the ongoing work of the SDG Fund, including Private Sector Advisory Group case studies that continue to build the case for greater engagement in development, especially across sectors and with welcome actors like the private sector.
Poland’s conservative government was celebrating a year in office on Tuesday. Prime Minister Beata Sydlo claimed the government achieved more in one year than the previous administration in eight.
State intervention and moral conservatismThe government boasts the introduction of a child allowance payment, the reduction of the retirement age on Wednesday, and the lifting of a burden for households that had issued Swiss-franc denominated mortgages. Meanwhile, a pace of 3-to-4% GDP growth is considered sustainable for 2017.
That was all achieved despite te first Polish sovereign debt downgrade in a generation, which in many respects was a statement of distrust in expansionary welfare spending and the introduction of measures that hurt the banking sector.
At the same time, the government had tested the limits of the Polish constitution. The government is heavy handed in its appointment of judges and has fired journalists from public media. Meanwhile, the PiS administration is advancing an ultra-conservative moral agenda, which includes the most strict abortion ban in Europe along with Ireland.
Portrait of protestor as he holds sign read in Czech ‘Black Friday’ during protest in support of free Polish media in central Prague, Czech Republic 09 January 2016. EPA/FILIP SINGER
The victory of Trump in the US is seen as a vindication against liberalism. Beata Sydlo is the daughter of a miner and the PiS administration went to Paris to negotiate a deal for the coal industry, which is and will remain a “national resource.” That is short of calling climate change a lie, but it is clearly not a priority.
Defense and sovereigntyHosting NATO’s Warsaw Summit in July, the Polish government has also spearheaded the bolstering of NATO’s eastern flank.
But, in defense too, Warsaw has followed controversial policies. Top-brass generals have been cleansed, paramilitary organizations have been integrated into NATO’s Anaconda exercise, and Warsaw speaks of rejuvenating the interwar intermarium security framework. Recently, Poland aggravated the Franco-German axis by opting for US made-in-Poland helicopters rather than Airbus.
Poland can identify with the “America first” slogan, although a “New Yalta” would be a nightmare.
Isolationism is feared by an administration that seeks to counterbalance the Franco-German axis rather than work for European defense identity. PiS has been the main ally to the British Conservatives in the European Parliament and have been the second pillar of opposition to a European Defense Community.
The hope is that a Trump administration will push for burden sharing – as the US picks up 70% of NATO expenditure – rather than reduce its commitment to the region. On that score, Poland has little to fear: it is among the six NATO member states spending more than 2% of its GDP on defense. And it prefers buying American if it’s “made in Poland.”
Final preparations for the upcoming NATO summit at the National Stadium in Warsaw, Poland, 07 July 2016. EPA/PAWEL SUPERNAK POLAND OUT
The post The PiS administration takes pride in leading a conservative revolt appeared first on New Europe.
La filiale du groupe d'Apollinaire Compaoré, Atel, n'est toujours pas opérationnelle quatre ans après avoir remporté la concession. L'État, lui, s'apprête à lancer une quatrième licence.
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Mariam Sow Soumaré est chargée de Programme Principal au Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD). Elle répond à nos questions à l’occasion de sa participation au colloque international “Climat, agriculture et sécurité alimentaire” organisé le 3 novembre 2016 par l’IRIS et l’AGPB :
– Quelles sont les conséquences du réchauffement sur les pays d’Afrique subsaharienne ?
– En quoi consiste le programme 2003-2013 pour remettre l’agriculture africaine comme motrice de croissance ? S’est-il soldé par un succès ?
– Quels changements apporte le nouveau programme continental ? Comment guider les pays africains vers une révolution verte ?
Ezzel pedig milliók életét tennék kényelmesebbé és biztonságosabbá.
Érdekes napelemet fejlesztett ki egy arizonai startup, amely az elektromos áram termelése helyett a tiszta víz előállítására helyezi a hangsúlyt. Az alternatív felhasználási mód talán még az eredetinél is fontosabbá válhat, hiszen ezzel sok millió ember életét könnyíthetik meg.
A Zero Mass Water néven futó vállalkozás egy egyetemi professzor ötlete alapján indult el, aki szerint a víz valóban a jövő egyik (ha nem a) legfontosabb áruja lesz. Ezen elgondolás mentén egy olyan módosított napelemet állítottak elő, amely az elektromos áram helyett inkább vizet termel, mégpedig egy speciális anyag hozzáadásával, amely a párát gyűjti össze, majd pedig bocsátja rendelkezésünkre. A mechanizmusban semmi új nincs, a légkondicionálók elterjedésével ez már csaknem minden háztartásban jelen van, az új napelem azonban kifejezetten erre helyezi a hangsúlyt, felkészülve a szárazabb és elmaradottabb régiókban várható kihívásokra.
A víz kinyerését követően ez egy szűrőn megy át, a megtisztítást pedig kalcium és magnézium hozzáadása követi, hogy minél közelebb legyenek a csomagolt víz ízéhez és pH-értékéhez. Naponta mintegy 5 liter tiszta vizet állíthatunk így elő, mégpedig kizárólag a napenergia révén, vagyis nem leszünk a hagyományos áram-, illetve vízszolgáltatókra és azok hálózatára utalva. A cég már korábban megkezdte a Source névre keresztelt napelemek forgalmazását, ezekből az USA délnyugati, kifejezetten szárazabb részén, Mexikóban, Jordániában, valamint Ecuadorban is adtak már el néhány példányt, vagyis létező termékről van szó, amely belátható időn belül elterjedhet.
A karbantartás az illetékesek szerint rendkívül egyszerű, ezt szinte bárki elvégezheti, az egyetlen követelmény pedig az adalék ásványok újratöltése lesz.