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Not so for Gunther Oettinger, the EU’s digital policy chief and soon-to-be budget boss.
Read moreL’ouverture de cette rencontre était présidée par le Premier ministre Modibo Keita, en présence des membres du gouvernement. Etaient présents également les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique des pays membres de l’Organisation internationale de la conférence islamique (OCI).
Régulièrement organisée par l’organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO), la conférence avait pour ’objectif, de discuter des questions importantes relatives à l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique dans les Etats membres.
Aux dires de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Mali, Assétou Founé Samaké, « notre espace est le meilleur endroit pour discuter de l’avenir de notre positionnement dans un monde en perpétuelle mutation. Nous ne pourrons véritablement porter notre patrimoine commun sans mettre en valeur et sans développer la connaissance et le savoir. »
Elle a, en outre, souligné que les défis majeurs auxquels le monde est confronté ne peuvent trouver leurs solutions que dans l’éducation. Une éducation inclusive et une éducation par tous. Pour cela, « nous sommes contraints d’interroger notre environnement, de revisiter nos pratiques afin d’avoir une vision commune, une vision claire de notre avenir. La construction de cette vision ne pourrait jamais se réaliser sans des espaces comme celui de l’ISESCO. Il nous faut donc investir dans ce sens, investir dans l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, car c’est là que nous pourrons véritablement construire le développement durable », a expliqué la ministre Samaké.
Cette conférence, dira t- elle, permettra de faire face aux enjeux de l’heure, au nombre desquels, le changement climatique, les problèmes sécuritaires, la problématique des jeunes sans emplois.
Cette rencontre est sans doute d’une importance capitale pour élaborer les meilleurs stratégies afin de déjouer les facteurs pouvant conduire les jeunes dans des situations aux conséquences désastreuses. « Ensemble, nous devons trouver les moyens nécessaires à contrer l’extrémisme et le terrorisme qui de plus en plus emportent nos jeunes. Ils ne peuvent être vaincus, sans une mutualisation des efforts de tous les pays », a soutenu la ministre Samaké.
Prenant la parole pour lancer les travaux, le Premier ministre s’est d’abord posé un certains nombre de questions. Qu’est-ce qui réunissent les hommes ? C’est leur foi à la Uma islamique, c’est leur fol au devenir de l’humanité dans la concorde, dans la paix et dans la solidarité.
En se préoccupant de la qualité, dans son entendement, l’adéquation de la formation et de l’emploi n’a pas seulement une valeur qualitative, mais elle a aussi une valeur quantitative. La qualité de la formation devrait permettre de sortir de la grande théorie pour avoir les yeux fixés sur le concret et sur la pratique. Au moment où les participants vont se pencher sur l’adéquation, il souhaiterait que vienne à leur esprit, la qualité de la formation, la qualité des ressources humaines qui permettront de transformer qualitativement le monde. C’est cela, notre ambition. « Nous fondons beaucoup d’espoir sur cette 8ème conférence, sur la solidarité de la Uma islamique, sur le triomphe de la paix et sur la guerre. Et beaucoup d’espoir sur le triomphe de l’homme par rapport à la brutalité, par rapport à la gravité de la situation », a conclu le Premier ministre Modibo Sidibé.
Adama Bamba
Source : 22 Septembre
Cette rencontre a réuni le mardi 15 novembre dernier, à l’Institut français, plusieurs acteurs de la question de la migration autour de ce thème. Il s’agit du représentant du ministère des Maliens de l’extérieur, le Conseiller technique, Dr Boulaye Keita, du Coordinateur National du Projet décennal de Formation Professionnelle pour l’Emploi des jeunes, Cheick Fantamady Traoré, l’ancienne ministre et militante altermondialiste, Aminata Dramane Traoré, du blogueur Etienne Fakaba Sissoko, du président de l’Association malienne des expulsés, Ousmane Diarra, et d’un jeune retourné du Maroc, Salif Soukoulé, qui a raconté son expérience.
Les objectifs visés à travers ce débat sont, entre autres, de créer un espace d’échange entre les jeunes qui ont tenté la migration et ceux qui sont restés sur place pour travailler dans leur pays. Il s’agit également de fournir des éléments de réflexion relatifs aux espoirs, aux problèmes et aux défis des migrants africains. La rencontre visait aussi à mettre en lumière les dangers auxquels sont confrontés les migrants pendant la traversée en bateau, les conditions de vie difficile qui les pousse à partir et les mesures prises par les gouvernements pour les accueillir.
Le débat a commencé par le témoignage poignant du jeune Sarakolé, Salif Soukoulé, qui a raconté son parcours. En effet, après avoir vécu 12 ans au Maroc, le jeune Sarakolé a raconté avec une très grande émotion les raisons de son départ. Lequel est dû, selon lui, à un manque cruel d’activité génératrice de revenus et d’emplois.
A sa suite, les différents panélistes ont chacun, dans un débat contradictoire, essayé de défendre sa position. C’est le cas notamment de la coordinatrice du Forum pour un autre Mali, Aminata Dramane Traoré, qui comme d’habitude, a fait porter le chapeau aux occidentaux.
Mohamed Naman Keita.
Source : 22 Septembre
Le parti du bélier blanc est préoccupé aussi bien par l’organisation des élections communales que le contexte dans lequel elles se tiendront. Les cadres du parti, Djiguiba Keïta, secrétaire politique ; Seydou Cissé et Dangé Diarra, respectivement tête de liste en commune V et VI, ont porté, le mardi dernier, ces préoccupations à l’attention des hommes de médias. C’était à la faveur d’une conférence de presse, tenue au siège du parti.
Les Maliens sont invités aux urnes le 20 novembre pour élire les maires des communes et leurs conseillers communaux. Le contexte ne s’y prête pas. C’est du moins l’avis du Parena qui, à titre d’exemple, cite l’assassinat, entre le 7 et le 9 novembre, de trois chefs de villages dans les cercles de Djenné, Youwarou et Rharous. S’y ajoute le fait que sur les 15 communes du cercle de Mopti, il n’y a pas d’administration dans les communes rurales de Dialloubé, Ouro-Modi, Salsalbé , Koubaye et Soye.
Outre que l’insécurité et l’absence de l’État, le Parena est consterné par les derniers actes posés par le gouvernement de la République dans le cadre de la tenue de ces communales.
Selon Djiguiba Keïta, on ne sait plus quelle loi régit ces élections. En effet, dans une lettre datée du 14 novembre, le ministre de l’administration territoriale a informé les partis politiques que « l’organisation des communales se poursuivra sur la base de la loi n°06-044 du 4 septembre 2006 modifiée par la loi n°2011-085 du 30 décembre 2011, la loi n°2013-017 du 21 mai 2013 et la loi n°2014-054 du 14 octobre 2014 ».
Le Parena est très surpris par cette annonce qui, selon M. Keïta, « tire un trait sur la nouvelle loi électorale promulguée le 17 octobre 2016 » dont l’article 210 (nouveau) abroge toutes dispositions antérieures contraires.
Comment une loi abrogée, le 17 octobre peut être exhumée le 14 novembre et régir la suite du scrutin communal ? Comment peut-on mettre entre parenthèses une loi validée par la cour constitutionnelle et promulguée par le président de la République ? Est-on devenu une République bananière ? Sommes-nous en République très très démocratique du Gondwana où la loi est piétinée en fonction des humeurs et du bon vouloir du prince ? S’interroge le Parena.
Pour Djiguiba Keïta, il n’y a plus de doute : «L’amateurisme et l’incompétence du gouvernement, son mépris du droit et du peuple malien ont atteint un seuil intolérable ».
Cette confusion juridique n’est qu’une des caractéristiques de l’organisation de ces communales qui font aussi l’objet d’une manipulation politique. À peine voilée.
S’agissant de l’organisation, le Parena révèle que les spécimens de bulletins de vote, qui auraient dû être mis à la disposition des partis avant l’ouverture de la campagne, n’ont été distribués que cinq jours après. Comme si ce retard ne suffisait pas, les spécimens produits comportent de nombreuses erreurs d’imprimerie, notamment l’omission de logos et de noms de certains partis. « Réalisés par onze imprimeries différentes, les spécimens comme sans doute les bulletins ne sont pas uniformes. Ils comportent des disparités visibles d’une circonscription à l’autre », a déclaré Djiguiba Keïta.
Plus scandaleux. L’attribution du marché des spécimens et des bulletins a été coordonnée par un cadre qui est aujourd’hui membre du bureau politique national du Rpm. Aussi, « la traçabilité du bulletin unique est sujette à caution : réalisé dans onze imprimeries différentes, le bulletin unique n’est pas à l’abri de duplication pour un vote frauduleux pré-arrangé », dénonce PPR.
La Rédaction
Source : L’Aube
A II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola fejlesztési koncepciójával összhangban az idei évben a Kárpátaljára irányuló magyarországi támogatások felhasználásának egyik fő iránya a felsőfokú szakképzés fejlesztése és a külhoni magyar fiatal vállalkozók támogatása volt. Ezzel egyidejűleg folytatódott a Rákóczi-főiskola Szakképzési Intézetének, oktatói bázisának és kollégiumának építése.
A november 16-án Nagydobronyban átadott épület a Külhoni Szakképzés Éve program keretén belül, a Bethlen Gábor Alapkezelő Zrt. közreműködésével, az Egán Ede Kárpátaljai Gazdaságfejlesztési Tervben az intézményre bízott szakképzési feladat megvalósítása, a helyi farmergazda képzés beindítása érdekében épült.
Az ünnepélyes átadáson elsőként Potápi Árpád János nemzetpolitikáért felelős államtitkár mondott köszöntőt.
„Az utolsó két évben Kárpát-medence szinten nagyot léptünk előre a szakképzés összehangolásában, kapcsolatrendszerének fejlesztésében illetve újragondolásában. A helyi és a magyarországi szervezetek valamint a nemzetrészek együttműködésével a továbbiakban sem hagyjuk abba ezt a programot és minél nagyobb hangsúly fektetünk a szakképzés fejlesztésére” – mondta az államtitkár.
Majd Orosz Ildikó, a Rákóczi-főiskola rektora mondott köszönetet a magyar államnak a lehetőségek megvalósításáért és a támogatásért. Külön megköszönte Katkó László, az Irgalmas Samaritánus Református Gyermekotthon vezetőjének a közreműködést, aki rendelkezésre bocsájtja farmergazdaságukat, ahol egy gyakorlati tanközpont működik majd.
Tájékoztatójában elmondta, hogy az oktatás a jövő év szeptemberétől veszi kezdetét. Az intézményben a diákok a következő szakmákat sajátíthatják majd el: farmergazda, falusi vendéglátás / gazdasszony, erdő- és vadgazdálkodás. A kétéves képzésen azok a diákok vehetnek majd részt, akik különböző okok miatt nem tudták letenni az ukrán nyelvvizsgát és így nem juthattak be az állami felsőfokú tanintézményekbe. A most átadott kollégiumtól nem messze található majd az oktatói intézmény épülete, ahol egy hasonló kollégiumot alakítanak ki a másik nem számára is. Ezekben az épületekben 50-50 diákot szállásolhatnak el a tervek szerint. A kollégium területe nem csak szálláshelyként szolgál majd, hanem egy tájjellegű fáskert kialakítására is sor kerülhet a helyszínen. A kialakított bázis, amely a helyi vadvédelmi rezervátum szomszédságában található, a jövőben otthont adhat a biológia és földrajz szakos diákok nyári terepgyakorlatának is.
A köszöntők után Koncz Zsuzsa Kertész leszek c. dalát hallhatták a jelenlévők Kovács Emese előadásában és Kovács Júlia gitárkíséretével. Mindketten a Felsőfokú Szakképzési Intézet harmadik évfolyamos diákjai.
Tóth Tünde
Kárpátalja.ma
Donald Trump megválasztott amerikai elnök és munkatársai már Trump egyik választási ígéretének beváltásán dolgoznak, a lobbisták tevékenységének szabályozását tervezik szerdai médiabeszámolók szerint.
Etikai kódexről is tanácskoznak a manhattani Trump-toronyban a megválasztott elnök és munkatársai. Trump egyik választási ígérete az volt ugyanis, hogy szigorú szabályozással szorítja korlátok közé a lobbisták tevékenységét, hogy csökkentse vagy akár meg is szüntesse a politikára gyakorolt befolyásukat.
A terv szerint a kormányzati tisztséget vállalók és a kormányzati adminisztrációban dolgozók a munkahelyükről történő távozásuk után öt éven belül nem tevékenykedhetnének lobbistaként.
Trump azt is tervezi, hogy a washingtoni kormányzati hivatalokban nagyarányú személycserét hajt végre: négyezer új alkalmazott felvételét ígéri. “Túl sok ember helyezkedett el kormányhivatalokban csak azért, akár átmeneti időre is, hogy aztán lobbistaként milliókat keressen. Ez a valóság, és ez aggasztó” – fogalmazott Meredith McGehee, egy kormányzati reformokkal foglalkozó csoport vezetője.
Jason Miller, Trump szóvivője szerdán hangsúlyozta: Mike Pence alelnök, az átmenetet lebonyolító csapat vezetője “kitűnően dolgozik a megválasztott elnök ígéretén, hogy lobbisták egyáltalán ne vegyenek részt az átmenet csapatának erőfeszítéseiben” sem.
Donald Trump vasárnap a CBS televízió 60 perc című esti magazinműsorában sugárzott interjújában így fogalmazott: kezdetben nincs más választása, mint hogy a lobbistákra támaszkodjon Washingtonban, mert “az egész hely egyetlen nagy lobbitársaság”, de hozzátette, hogy “fokozatosan kiszorítja őket”.
Trump dolgát megnehezítheti – elemzők szerint – az, hogy terveit a kongresszusban is el kell fogadtatnia, márpedig az elnökségre őt jelölő Republikánus Pártban is jócskán vannak, akik nem támogatják ebben a törekvésében.
New York demokrata párti polgármesterével is tárgyalóasztalhoz ült, és a város támogatását helyezte kilátásba a nemrég megválasztott amerikai elnök.
Bill de Blasio polgármester – aki a kampányban végig aktívan támogatta Trump demokrata párti riválisát, Hillary Clintont – a Trump-toronyban kereste fel a megválasztott elnököt.
Donald Trump tavaly az Egyesült Államok legrosszabb polgármesterének nevezte De Blasiót, aki viszont veszélyesnek minősítette Trumpot.
Az egyórás találkozót De Blasio nyíltnak, őszintének és tiszteletteljesnek nevezte. Elmondta: tudatta Trumppal, hogy New Yorkban félelem üli meg az emberek lelkét – például a New York-i rendőrség soraiban 900 muszlim vallású ember szolgál -, és szerinte a megválasztott elnöknek mindenkit meg kellene nyugtatnia.
Donald Trump jelezte, hogy támogatja a közmunkaprogramokat és az építési beruházásokat, amelyekhez hasonlókat egyébként politikai ellenfelei is ígértek.
Míg Trump De Blasióval tárgyalt, addig Mike Pence, a leendő alelnök Joe Biden jelenlegi alelnöknél tett látogatást. Találkozójuk után Biden úgy nyilatkozott: a kormány “jó kezekben lesz” Donald Trump elnöki beiktatása után.
Mike Pence megbeszélést folytatott Nancy Pelosival, a demokraták parlamenti csoportjának még hivatalban lévő vezetőjével és Chuck Schumerrel, a szenátus kisebbségi demokrata frakciójának szerdán megválasztott új vezetőjével.
Néhány demokrata párti politikus máris nyitottnak mondta magát az együttműködésre Donald Trumppal és kormányával. A nyugat-virginiai Joe Manchin szenátor például szerdán azt mondta: “Ha a megválasztott elnök jó politikával jön elő, én ezer százalékig mögötte vagyok”.
Csütörtökön Trump az Oracle számítástechnikai cég vezérigazgatójával, Safra Catzcal és Nikki Haley dél-karolinai republikánus kormányzóval találkozik. Haleyt – aki az előválasztási folyamatban a muszlimokra tett megjegyzései miatt élesen bírálta Trumpot – sajtóinformációk szerint Trump meghívhatja a kormányba is.
November 17, 2016 (YAMBIO) – The Governor of the South Sudan's Gbudue State, Patrick Zamoi has removed the information minister and the Ezo county commissioner.
The decree was announced on the state-owned Yambio Fm radio.
Information minister, Natale Sabuni was succeeded by Gibson Bullen Wande, a veteran journalist who had joined the state government.
The Governor, in a separate decree, sacked Ezo county commissioner, Arkangelo Bakinde, replacing him with Mario Mboritie.
Mboritie was acting director general in the ministry of public service.
(ST)
November 16, 2016 (JUBA) - South Sudanese armed opposition (SPLM-IO) forces Wednesday claimed the capture of three localities in southern, and northern parts of the country, following heavy fighting.
After the clashes in Juba last July and the appointment of Taban Deng Gai as First Vice President to replace SPLM-Io leader Riek Machar, the two warring parties have resumed clashes in different areas of the country.
In a statement extended to Sudan Tribune, SPLA-IO Spokesperson William Gatjiath Deng said their fighters clashed with the government army in Bazi at the South Sudan-DRC border, Morobo in Central Equatoria and Kaljak in Unity state.
On Tuesday 16, November 2016, the gallant forces, the SPLA/IO have taken the full control of the following towns; Bazi at the South Sudan-DRC border, Morobo in Central Equatoria and Kaljak in Unity state.
Deng alluded to the recent by the SPLA on their positions adding they would not continue to remain in self defence.
"We must take an excessive force to fight this autocrat, ethnocentric regime, since it has chosen unrest and continual belligerents in the country," he said.
"The SPLA-IO, shall always refrain from systematic massacres, abuses of human rights and violation of international humanitarian law in all warfronts of South Sudan," added.
After the failure of the ceasefire, the SPLA-IO on 14 November said they would not participate in a workshop the Joint Military Ceasefire Commission (JMEC) organize in Juba, stressing the need to revive the peace agreement and to restore the liaison offices deployed across the country.
The rebel official also said that the 20 aid workers rearrested by their forces around Nhialdiu payam have been released and moved into Bentiu since Monday.
(ST)
Quatre personnes, dont deux gendarmes, ont été tuées ce mercredi lors d'affrontements entre la population et les forces de l'ordre, dans un village du nord-est de la Côte d'Ivoire.
Cet article Côte d’Ivoire : 4 morts, dont 2 gendarmes, dans des affrontements près de Bouna est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
November 16, 2017 (RUMBEK) – The Governor of South Sudan's Eastern Lakes state, Rin Tueny Mabor has sacked the Awerial North county commissioner.
Mabor issued the decree removing Simon Jok on 14 November.
Although no reason was given for the move, Jok believes his removal was linked to the exposure of a financial scandal involving some senior officials.
“I have a problem with one of the staff over the lands; the officer in charge of survey in this county misused the money amounting to SSP 30,000. That money went missing and the officer said he used the money to accommodate the minister of physical infrastructure and deputy governor during their visit to county headquarters which is now being used as a cover up,” Jok told Sudan Tribune Wednesday..
The former commissioner still insists he was a victim of truth-telling.
(ST)
November 16, 2016 (JUBA) - The Apuk youth Union, home to Gogrial state governor has issued a statement notifying the general public of their decision to withdraw a vote of confidence in their governor.
The youth, apparently backed by powerful politicians and military officers from the area in different capacities and levels in the government and in private sector, called for immediate intervention of the national government in containing communal dispute in the area.
“The Apuk Youth Union in Juba has resolved to withdraw its support and allegiance from Hon.Abraham Gum Makuac, governor of Gogrial state," the letter extended to Sudan Tribune on Wednesday reads in part.
It further called for the relocation of security forces to the border points to rescue the deteriorating security situation and urged the national government for immediate intervention for peaceful settlement of community disputes.
The statement explained they decided to call for intervention of the national government because the state government “is incompetent enough and not neutral to solve the problem of the two communities”.
“We call upon the national government to form a fact finding committee to investigate the root cause of the dispute between the Apuk and Aguok communities".
The letter bearing the signature of more than 11 youth leaders, include the head of the union Bol Deng Akeen Apurot, secretary general of the union Darious Adup Anyuon Deng and Lang Madut Aguer Madol, secretary of information.
(ST)