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Diplomacy & Defense Think Tank News

Etudes/Rapports, L'agence Standard & Poor's analyse les risques d'un Brexit

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 06/06/2016 - 02:00
Le 31 mai, l'agence Standard & Poor's a publié une analyse sur les risques encourus par les entreprises en cas de sortie de l'Union européenne. Ce sont les secteurs britanniques de l'immobilier et de la construction, de l'aérospatial, la défense et l'industrie automobile qui pourraient souffrir le plus d'une sortie du Royaume-Uni de l'UE.

Culture, Biennale d'architecture à Venise

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 06/06/2016 - 02:00
Jusqu'au 27 novembre, Venise accueille la Biennale d'architecture "Reporting from the front" dirigée par Alejandro Aravena.

Culture, Biennale de Berlin

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 06/06/2016 - 02:00
La Biennale de Berlin de l'art contemporain se tient jusqu'au 18 septembre 2016 dans plusieurs lieux de la capitale allemande.

Culture, Exposition "Jérôme Bosch" au Musée du Prado

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 06/06/2016 - 02:00
Jusqu'au 11 septembre, le Musée du Prado de Madrid expose les travaux de Jérôme Bosch, l'un des peintres les plus influents de la Renaissance.

Culture, Download Festival

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 06/06/2016 - 02:00
Le Download Festival, premier festival de musique rock d'Angleterre, se tiendra du 10 au 12 juin à Donington Park, avec une antenne à l'Hippodrome de Longchamp à Paris.

Die K-Frage ist gelöst: Peru sehnt sich nach Sicherheit und wählt gegen Fujimori

Konrad Adenauer Stiftung - Mon, 06/06/2016 - 00:00
Der deutschstämmige liberale Wirtschaftspolitiker Pedro Pablo Kuczynski (Mitte) hat die Wahlen gegen Keiko Fujimori gewonnen.

Auszeichnung für Michael Kleeberg: „Literatur ist eine heilige Kunst, die begabt mit neuen Sinnen“

Konrad Adenauer Stiftung - Sun, 05/06/2016 - 00:00
Der Schriftsteller ist der 24. Träger des Literaturpreises, der zuvor unter anderem Marica Bodrožić und Hertha Müller verliehen wurde.

Migration und Integration

Hanns-Seidel-Stiftung - Sat, 04/06/2016 - 15:26
Das Thema Migration und Integration führte am 4. Juni 2016 fast 40 Teilnehmer zu einem Tagesseminar nach Schloss Sinning. Behandelt wurden auch die Ängste, die Einheimische und Ankommende immer wieder bewegen.

UN Secretary-General Candidate António Guterres Speaks at IPI

European Peace Institute / News - Fri, 03/06/2016 - 23:45

On Wednesday, June 8th at 9:15am EST, UN Secretary-General Candidate António Guterres will discuss his experience and how it informs his vision of the future of global politics and the United Nations. He will address questions including how he would shape the job of UN secretary-general and define his priorities in office.

IPI Live Event Feed

In February 2016, the government of Portugal formally nominated Mr. Guterres as a candidate for the position of UN secretary-general. Mr. Guterres served as United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) from June 2005 to December 2015. During his tenure, he oversaw a profound structural reform of UNHCR, reducing staff in its Geneva headquarters by over 20 percent and increasing the organization’s cost effectiveness and emergency response capacity. Following the introduction of a needs-based budgeting approach and an increase in the number of people displaced by conflict and persecution—from 38 million in 2005 to over 60 million in 2015—the volume of UNHCR’s activities tripled during his time in office. Indeed, Mr. Guterres’s tenure was marked by some of the largest displacement crises in decades, particularly the conflicts in Syria and Iraq, but also the crises in South Sudan, the Central African Republic, and Yemen.

This event is part of IPI’s Global Leader Series.

The conversation will be moderated by IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge.

ICM Public Consultation: Global Pandemics and Global Public Health

European Peace Institute / News - Fri, 03/06/2016 - 23:14

On Monday, June 6th the Independent Commission on Multilateralism (ICM) will be webcasting a Public Consultation on its Discussion Paper, “Global Pandemics and Global Public Health.”

Live Event Feed

The event will stream live from Geneva, beginning at 10:00am New York time/4:00pm Geneva time.

Download the Discussion Paper

Quelles réformes pour une croissance forte ?

Institut Montaigne - Fri, 03/06/2016 - 18:22
Date: Jeudi 23 Juin 2016Description: Résumé: Programme et inscriptions à venir

Sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai : des perspectives prometteuses pour l’institution ?

IRIS - Fri, 03/06/2016 - 12:36

L’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) tiendra un nouveau sommet les 23 et 24 juin à Tachkent, en Ouzbékistan. Quels sont les enjeux de cette réunion, et notamment de la future adhésion de l’Inde et du Pakistan ?
L’OCS fêtera ses quinze ans d’existence à l’occasion de ce Sommet (les premières discussions remontent à 1996), qui sera également marqué par son premier réel élargissement. Si plusieurs pays sont devenus membres observateurs (l’Iran, la Mongolie ou encore le Belarus), et d’autres comme la Turquie simples partenaires de discussion, l’adhésion annoncée de l’Inde et du Pakistan marque un tournant notable, à la fois dans la trajectoire de cette organisation, mais aussi des deux pays concernés qui semblent chercher un forum sur lequel s’appuyer pour sortir d’une logique de confrontation. L’OCS passera ainsi à huit membres, parmi lesquels on note surtout la présence de la Chine, de la Russie, et donc prochainement de l’Inde, soit les trois BRICS asiatiques. S’il ne s’agissait jusqu’à présent que d’un dialogue sino-russe incluant les pays d’Asie centrale, ce sera désormais une organisation de poids à échelle asiatique.

Comment construire une cohérence politique autour de « l’Esprit de Shanghai » malgré la diversité et les divergences des membres de l’institution ? La ceinture économique de la Route de la Soie peut-elle être un point d’appui de coordination et de cohésion des politiques économiques et sécuritaires ?
Il convient d’abord de rappeler que les objectifs de l’OCS sont de conforter la stabilité régionale et de renforcer la coopération politique, mais aussi économique et commerciale, entre les Etats membres. En ce sens, l’Esprit de Shanghai est plus proche de celui qui anime l’Asean en Asie du Sud-est que des organisations occidentales comme l’OTAN ou l’Union européenne, en ce qu’il est construit autour du consensus et d’une approche très pragmatique et non articulée autour de valeurs (UE) ou d’objectifs communs (OTAN). Dans le contexte actuel, l’économie est au cœur de la coopération entre les Etats membres, la sécurité et la stabilité étant surtout vues comme des impératifs permettant de renforcer la croissance. C’est la logique qui anime des pays comme l’Inde et le Pakistan, qui ne souhaitent pas être exclus d’une dynamique régionale, et même continentale, et qui finalement fonde la cohérence politique.

Après l’Inde et la Pakistan, quels nouveaux élargissements peut-on envisager pour l’OCS ? Cette dynamique traduit-elle le changement de l’équilibre des forces sur la scène internationale ? L’OCS a-t-elle les moyens de faire contrepoids aux institutions occidentales ?
Avec l’entrée de l’Inde et du Pakistan, c’est vers le Sud que se tourne l’OCS. Le Sri Lanka et le Cambodge sont déjà partenaires de discussion, en plus de pays du Caucase, mais c’est du côté de l’Asean que les élargissements futurs pourraient être relevés, les différents pays de la zone étant déjà très liés économiquement à la Chine, et dans une moindre mesure à l’Inde. Comme l’OCS est clairement plus économique que militaire aujourd’hui, cette dynamique n’est pas à exclure, et l’organisation s’oriente ainsi vers une dimension continentale, là où elle était limitée à un dialogue bilatéral et cantonnée à ses origines. Le Japon et les Etats-Unis se sont vus refuser le statut de membre observateur, ce qui traduit la volonté de créer une force susceptible de rivaliser avec les institutions occidentales. Le siège de l’OCS, situé à Pékin, illustre le poids central de la Chine dans cette organisation. Quant aux moyens, disons que l’OCS a compris l’inutilité, pour le moment du moins, de chercher à concurrencer l’OTAN (alors qu’elle en était présentée comme le rival potentiel il y a quinze ans), et c’est justement en se focalisant sur les échanges économiques et commerciaux qu’elle renforce son influence. Avec l’entrée d’un pays comme l’Inde, l’organisation s’impose comme une force sur laquelle il faudra désormais compter sur la scène internationale.

Professor Loukas Tsoukalis writes in El Pais on the future of Europe, 02/06/2016

ELIAMEP - Fri, 03/06/2016 - 12:04

President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis wrote an op-ed in El Pais on the future of Europe. This op-ed was published on 2 June 2016 and is available here (in Spanish).

Quelles stratégies russes et chinoises en Asie centrale ?

IRIS - Fri, 03/06/2016 - 11:05

La Russie, leader incontesté en Asie centrale jusqu’à ces dernières années, est désormais supplantée peu à peu par la Chine, qui bénéficie désormais de la première place dans les échanges économiques et obtient l’approbation des autorités centre-asiatiques. Celles-ci perçoivent l’intervention de ces puissances voisines comme une occasion pour favoriser leur développement économique. Elles gagnent de plus en plus en indépendance et sont désormais à même de s’extraire de l’influence extérieure et de mettre en concurrence les Etats voisins en choisissant leurs partenaires selon leurs intérêts. Les stratégies russes et chinoises en Asie centrale, fondamentalement différentes, suivent un même objectif : avoir une mainmise sur l’Asie centrale.
L’influence russe en Asie centrale est en perte de vitesse, alors que la Chine, qui emploie une toute autre stratégie, parvient à s’implanter rapidement dans la région malgré la faiblesse de ses liens historiques avec celle-ci.

La longue domination russe en Asie centrale, d’abord sous l’Empire tsariste puis sous l’Union soviétique, laisse derrière elle un héritage considérable dans la région. Celui-ci est à double tranchant : s’il permet à Moscou d’avoir une grande influence dans les pays centre-asiatiques, ces Etats souhaitent s’émanciper de toute emprise de la Russie. Cette dernière, suite à l’implosion de l’URSS en 1991, a négligé ses relations avec l’Asie centrale pendant plusieurs années, avant de regagner de l’intérêt pour cette zone. Ce n’est que pendant la seconde moitié des années 1990 que la Russie commence à reprendre le contrôle de la région qui constitue alors une menace sécuritaire liée à la montée de l’extrémisme radical et du trafic de drogues.

Ce retour de la Russie dans la région depuis la fin des années 1990 se traduit notamment par la construction de plusieurs organisations : par exemple, la Russie accentue le rôle de l’Organisation du Traité de Sécurité Collective (OTSC), qui promeut un rapprochement des armées des Etats signataires, ou celui de l’Union économique eurasiatique (UEE), qui a pour vocation la formation d’un marché commun.
La Russie entretient également ses liens avec les élites politiques locales, ce qui lui permet de garder un certain contrôle politique sur la région en apparaissant comme un allié attractif. En effet, la plupart des ministres actuels et proches du pouvoir sont d’anciens apparatchiks, c’est-à-dire d’anciens militants communistes de l’URSS [1]. Par exemple, lorsque les pays occidentaux ont réagi en désapprouvant la répression d’Andijan de mai 2005 par les autorités ouzbèkes, Moscou a servi de « parapluie diplomatique » à Islam Karimov et à son gouvernement. En revanche, Moscou entretient toujours des relations d’assujettissement avec l’Asie centrale : contrôle politique, manipulation des médias, diplomatie militaire, dépendance énergétique, sur fond de menace d’intervention militaire.
La Russie conserve toujours une grande influence politique sur la région : elle est capable d’influencer certaines décisions et possède des moyens de pression comme le contrôle du passage entre le Tadjikistan et l’Afghanistan, frontière qu’elle protège. Economiquement, elle occupe une place très importante et domine certains marchés, par exemple celui des télécommunications avec des opérateurs tels que Beeline ou Megaline. La Russie reste un acteur économique prépondérant en Asie centrale, en particulier dans le domaine des ressources minérales, de l’industrie lourde et des infrastructures.
Cependant, Moscou n’a plus une relation exclusive avec les Etats centre-asiatiques. Par exemple, les interventions de l’Iran, de l’Occident et surtout de la Chine concurrencent fortement le monopole de Gazprom, Lukoïl et de Rosneft dans la région.

La Russie conserve donc une logique de dépendance et une approche tournée vers le Hard power envers une zone avec laquelle elle avait une certaine porosité, et qui lui est désormais hostile.

La présence de la Chine en Asie centrale est, quant à elle, récente, et est traditionnellement présentée, dans la mémoire collective des populations d’Asie centrale, comme l’ennemi historique des peuples des steppes et comme un obstacle à l’expansion de l’Islam vers l’Est. La Chine parvient tout de même à s’introduire et à se développer dans cette région, malgré son image noircie par la propagande russe. La sécurité et le développement sont les principaux axes qui guident la politique chinoise vis-à-vis de l’Asie centrale.

Dès l’indépendance des républiques centre-asiatiques, la Chine voit en ces nouveaux Etats une source d’instabilité pouvant se propager et atteindre le Xinjiang, région qui joue un rôle hautement stratégique pour Pékin (les réserves de pétrole, de gaz naturel et de charbon représentent respectivement 30%, 24% et 40% des réserves du pays), et très proche géographiquement et culturellement des pays et populations d’Asie centrale.
Parallèlement, la Chine doit diversifier ses voies d’approvisionnement, sa consommation d’énergie étant amenée à croître significativement. L’Asie centrale, située à proximité, est riche en ressources naturelles. Des explorations sont toujours en cours, notamment sur le site « North Goturdepe » sur les bords de la Mer Caspienne. Les ressources de cette partie du Turkménistan sont estimées à 12 millions de tonnes de pétrole et 6,5 milliards m3 de gaz.
L’Asie centrale est également un nouveau marché potentiel pour écouler ses produits de consommation – de faible qualité – et ainsi alimenter sa croissance.
Ces éléments incitent donc la Chine à intervenir au Xinjiang et en Asie centrale conjointement : développer le Xinjiang – et notamment les infrastructures – permet au pays d’accéder à l’Asie centrale, et, par ailleurs, développer l’Asie centrale économiquement permet d’avoir des répercussions positives sur le développement économique du Xinjiang, tout en apaisant la région d’un point de vue sécuritaire. La Chine cherche ainsi à faire naître un cercle vertueux entre sécurité et développement économique, à la fois au Xinjiang et en Asie centrale, afin que les deux zones se tirent mutuellement vers le haut.

La Chine mène ainsi en Asie centrale d’importants projets d’infrastructures. Par exemple, elle a contribué au financement d’une grande partie des infrastructures gazières turkmènes, comprenant un investissement de 4 milliards de dollars pour le développement industriel de la région de Bagtyyarlyk, et une assistance dans le financement pour la construction des quatre pipelines pour le transport du gaz.
La Chine intervient massivement dans le secteur de l’énergie en investissant en particulier dans le domaine des hydrocarbures. Par exemple, en ce qui concerne le gaz, la Chine signe d’importants contrats en Asie centrale, en particulier depuis quelques années, avec le Turkménistan, dont elle importe du gaz depuis fin 2009. En 2008, un nouveau contrat d’approvisionnement a été signé, passant d’un volume de 40 G-m3 de gaz par an jusqu’en 2015, à 65 G-m3 par an de 2015 à 2020.

Le président Xi Jinping a annoncé son ambitieux projet de « Nouvelle Route de la Soie », lors d’une visite au Kazakhstan en septembre 2013 : la Chine se propose de participer au financement de la construction de jonctions en développant des infrastructures telles que les chemins de fer, les réseaux d’autoroutes, les routes aériennes, les gazoducs et oléoducs qui ont pour objectif la densification des liaisons entre les différents pays situés le long de cette route de la soie.
La Chine développe également une stratégie de soft power en lançant un programme sur dix ans pour accueillir dix mille étudiants et professeurs des Instituts Confucius dans les pays de l’Organisation de Coopération de Shanghai (dont font partie les Etats d’Asie centrale). Ces programmes ont des répercussions très positives étant donné que les jeunes centre-asiatiques sont de plus en plus nombreux à apprendre le mandarin et à partir étudier dans les universités chinoises. Par cette diplomatie proactive, la Chine gagne l’adhésion des autorités et des populations centre-asiatiques, ce qui lui permet de lever les principaux obstacles qu’elle rencontre pour mener à bien ses projets dans la région.

L’entrée de la Chine en Asie centrale est donc un succès : en moins de vingt ans, elle est devenue un partenaire fidèle des pays centre-asiatiques, elle a su faire de l’Organisation de Coopération de Shanghai, dont elle est le principal moteur, une institution appréciée de ses Etats membres, et est devenue un acteur économique incontournable dans le secteur commercial, des hydrocarbures et des infrastructures. En 2000, la part de la Russie dans les échanges commerciaux de la zone CCA [2] était la plus importante (25%), mais a fortement diminué pour atteindre le niveau de 15% en 2012. Cette diminution est au bénéfice de la Chine, qui ne représentait que 3% du commerce total des CCA en 2000 contre près d’un quart en 2012 [3].

Ainsi, la Chine est parvenue à s’imposer dans la région en proposant une coopération économique aux républiques centre-asiatiques, sensibles aux problématiques de développement économique. Le rapport de force entre la Chine et la Russie, puissances aux stratégies différenciées, s’établit donc en fonction de leur capacité à utiliser leurs atouts, mais aussi à se positionner par rapport à la puissance rivale. Chacune a un avantage sur l’autre : la Russie possède celui de ses liens historiques avec l’Asie centrale, à l’inverse de la Chine qui bénéficie de la volonté des Etats d’Asie centrale de s’émanciper de l’emprise de Moscou.

 

[1] LARUELLE Marlène, PEYROUSE Sébastien, « China as a neighbor: Central Asian Perspectives and Strategies», Central Asia-Caucasus Institute Silk Road Studies Program, 2009.
[2] CCA : Caucase et Asie centrale
[3] IMF Direction of Trade Stratistics

Discussion with Mr. John Griffin, Ambassador of the Australian Embassy in Athens, 31/05/2016

ELIAMEP - Fri, 03/06/2016 - 11:00

On 31 May 2016 the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP)  in collaboration with the Embassy of Australia in Greece organised a discussion with Mr John Griffin, Ambassador of the Australian Embassy in Athens. Ambassador Griffin spoke on ‘Why Asia is of growing importance for Europe’. The event took place at  the Representation of European Commission in Greece. Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos was the moderator and Dr George Tzogopoulos made comments. The speech of Ambassador Griffin and the discussion which followed were synthesised around the strategic, economic and cultural aspects which can bring Asia and Europe closer. Emphasis was put on the current challenges and the importance of international cooperation to better deal with them.

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