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Diplomacy & Defense Think Tank News

Kolumbien und der »vollständige Frieden«

SWP - Tue, 12/07/2016 - 13:20

Das Friedensabkommen zwischen der kolumbianischen Regierung und den FARC-Rebellinnen und -Rebellen befindet sich auf der Zielgeraden. Präsident Juan Manuel Santos sieht den »vollständigen Frieden« für sein Land als erreichbar an. Mit dem Beginn von Verhandlungen mit der zweiten, kleineren Guerilla-Gruppe ELN könnte die Phase der Teilabkommen abgeschlossen und der Weg für eine umfassende Befriedung des Landes nach über 50 Jahren Bürgerkrieg frei werden. In der Bevölkerung scheint sich allerdings Pessimismus breitzumachen: Umfragen zufolge sind 75 Prozent der Bürgerinnen und Bürger mit der Art der Verhandlungsführung ihres Präsidenten unzufrieden. Kolumbien und seine Regierung stehen vor den immensen Herausforderungen eines komplizierten Friedens, der sich nicht in einem anspruchsvollen Programm der Demobilisierung, Entwaffnung und Reintegration der Rebellinnen und Rebellen erschöpfen kann. Es sind auch die Kriegsursachen anzugehen, die Landbesitzstrukturen und die fehlende politische Teilhabe. Und nicht zuletzt müssen die Opfer der Gewalt in der Post-Konflikt-Gesellschaft eine gebührende Anerkennung erfahren. All dies sind Aufgaben, die das Land nur mit umfassender Unterstützung aus dem Ausland wird bewältigen können.

Entretiens de la cohésion sociale

Institut Montaigne - Tue, 12/07/2016 - 13:07
Date: Lundi 12 Septembre 2016Description: "Fait religieux en entreprise : comment éviter la fracture ?"August & Debouzy, Entreprise & Personnel et l'Institut Montaigne vous convient à la 5ème édition des Entretiens de la cohésion sociale.Comment le fait religieux est-il appréhendé dans l'entreprise ? Afin de désamorcer les comportements, aussi bien parmi les employeurs que parmi les salariés, qui pourraient nuire à la cohésion sociale, cette question doit être abordée sans tabous ni préjugés. De nombreux dispositifs ont déjà été mis en place : quel bilan peut-on aujourd'hui en dresser ? Comment les entreprises peuvent-elles se préparer aux défis d'aujourd'hui et de demain ?avecJean-Paul Bailly, président, Entreprise et PersonnelJean-Louis Bianco, président, Observatoire de la LaïcitéHenri de Castries, président-directeur général d’AXA et président de l’Institut MontaigneAline Crépin, directrice de la Responsabilité Sociale et Environnementale, RandstadHakim El Karoui, conseiller en stratégie et fondateur du club du XXIème siècleEric Manca, avocat associé, August & DebouzyLuis Molina, directeur compétences et performances sociétales du groupe, EDFPatrice Obert, délégué général à l’éthique, RATPLaurence De Ré-Vannière, membre du comité direction, Entreprise et PersonnelClaude Solarz, vice-Président, PaprecDébats animés par Stéphane Béchaux, rédacteur en chef, Liaisons Sociales MagazineINSCRIPTION OBLIGATOIRE Adresse: Maison de la Chimie, 28 rue Saint Dominique, 75007 Paris

Dr Ioannis N. Grigoriadis writes in Kathimerini on the Cyprus Question, 12/07/2016

ELIAMEP - Tue, 12/07/2016 - 12:46

You can read here the article on the Cyprus Question written by Research Fellow of ELIAMEP and Assistant Professor at the Department of Political Science, Bilkent University, Dr. Ioannis N. Grigoriadis. This commentary was published in Kathimerini on 12 July 2016.

Bac 2016 : l'analyse de Fanny Anor sur RTL à 13h30

Institut Montaigne - Tue, 12/07/2016 - 12:45
Date: Mardi 12 Juillet 2016

Der Brexit als Neuland

SWP - Tue, 12/07/2016 - 11:38

Die EU betritt rechtlich und politisch Neuland, nachdem die Briten per Referendum entschieden haben, die Union zu verlassen. Erstmals könnte der Austrittsartikel 50 des EU-Vertrags angewendet werden. Schon jetzt zeigt sich, dass ein Austritt nicht einfach die Kehrseite des Beitritts sein kann, weder prozedural noch politisch. Die verbleibende EU-27 wird eine »Austrittsdoktrin« entwickeln müssen, in der sie definiert, welche Spielregeln für den Umgang mit Großbritannien gelten, sobald das Land seine EU-Mitgliedschaft aufkündigt. Denn Artikel 50 lässt viel politischen Spielraum, um den hochkomplexen Prozess zu gestalten, durch den das Vereinigte Königreich aus der Mitgliedschaft entlassen, seine Neuverbindung zur EU ermöglicht und das Vertragswerk für eine EU-27 angepasst wird. Dabei trifft der Brexit eine krisengestresste und orientierungslose Union. Nötig ist eine Erneuerung der Integration, die in den Mitgliedstaaten und bei deren Rolle im EU-System ansetzen sollte.

Espagne : l’impasse politique comme seul horizon ?

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 10:15

Le Comité fédéral du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) a rejeté la perspective d’une grande coalition gouvernementale avec le Parti populaire (PP). Quelles sont les options politiques qui s’offrent désormais à Mariano Rajoy ? Son investiture est-elle compromise par la décision du PSOE ?

Toutes les options sont ouvertes. Une nouvelle dissolution reste l’alternative la plus difficile, mais il ne faut pas l’écarter dans la mesure où les différentes formations politiques, issues des dernières élections législatives du 26 juin 2016, ne parviendraient pas à dégager une majorité. C’est une hypothèse d’autant plus crédible que les rapports de forces politiques actuels sont quasiment identiques à ceux des élections du mois de décembre 2015, qui n’avaient pas permis de construire une coalition stable. Si les lignes rouges adoptées par les uns et les autres se répètent, la situation ne pourra être réglée que par une nouvelle dissolution.

Cependant, le président du gouvernement sortant Mariano Rajoy pourrait essayer de trouver une porte de sortie en constituant une « unité des droites ». Cela pourrait se traduire par un compromis entre le Parti populaire de Mariano Rajoy, et le parti émergent de centre-droit Ciudadanos. Cette coalition pourrait éventuellement être élargie à des petits partis régionalistes, indépendantistes et libéraux tel que la Coalition canarienne, le Parti démocratique de Catalogne ou le Parti nationaliste basque.

Pour le moment, Mariano Rajoy n’a pas travaillé cette voie. En effet, le responsable du parti Ciudadanos, Albert Rivera, que Mariano Rajoy doit rencontrer le mardi 12 juillet, a annoncé être favorable à un accord mais pas à n’importe quelles conditions. Il ambitionne une refondation de la démocratie espagnole, afin d’éviter les scandales de corruption ayant émaillé la vie politique, et également une relève générationnelle à la tête du Parti populaire. Ces deux conditions expliquent la réticence de Mariano Rajoy à entrer en négociations avec Albert Rivera.
La décision du Parti socialiste ouvrier espagnol vise pourtant à l’y contraindre. En perte de vitesse par rapport aux dernières élections, le principal parti d’opposition ne souhaite jouer les béquilles du Parti populaire au risque de connaitre un destin similaire à celui du Pasok en Grèce.

Finalement, si tous les partis politiques maintiennent, comme après les élections législatives du 20 décembre 2015, leurs positions et leurs interdits, il n’y aura pas d’accord possible et les électeurs espagnols seront de nouveau conviés à des élections. Mais y compris dans le contexte actuel, avec un PSOE qui refuse toute alliance avec le Parti populaire, Mariano Rajoy peut espérer former une coalition avec les autres partis politiques de la famille libérale.

L’Espagne est partagée entre 4 forces politiques différentes. Pourquoi les divisions politiques sont-elles si profondément ancrées ? Malgré les scandales de corruption, comment comprendre la longévité des deux principaux partis politiques ?

Cette configuration politique est toute à fait nouvelle. Depuis le rétablissement de la démocratie en Espagne, deux partis politiques ont dominé la vie politique : un parti du centre-droit, l’Union du centre démocratique dans un premier temps, puis le Parti populaire, et au centre gauche, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Jusqu’aux élections législatives de décembre 2015, ces deux formations politiques bénéficiaient de 60 à 70 % de la représentation parlementaire. Ce n’est plus le cas depuis le 20 décembre qui a marqué l’éclatement des forces politiques.

Les divisions politiques sont le résultat de la crise économique et sociale. Le mécontentement est fort. Le chômage reste important. Salaires et couverture sociale ont été érodés. Les scandales de corruption qui ont frappé les deux partis de gouvernement participent également à la grogne sociale. Aujourd’hui, ces deux partis ne représentent plus qu’un peu plus de la moitié des sièges du parlement. Quant aux partis indépendantistes, autonomistes et / ou régionalistes, ils ont toujours existé. Il se trouve que le contexte politique leur est actuellement favorable dans la mesure où les deux partis traditionnels sont moins dominants qu’autrefois.

Barack Obama a félicité l’Espagne pour se progrès économiques lors de sa visite diplomatique le dimanche 10 juillet. L’embellie économique est-elle solide et durable ? Comment comprendre que parallèlement, l’Espagne soit menacée de sanctions par la Commission européenne ?

Barack Obama souhaite effectivement qu’un gouvernement espagnol pérenne se forme dans les meilleurs délais. En effet, l’Espagne constitue pour les Etats-Unis un « porte-avion » géopolitique situé entre l’Europe et l’Afrique. Divers accords ont été signés depuis 1953, puis élargis en 1988, 2011 et 2015, permettant d’intégrer l’Espagne dans le dispositif du bouclier anti-missile et de positionner des forces américaines sur le territoire espagnol en vue d’une intervention rapide en Afrique. Cette ambition stratégique suppose logiquement l’existence d’un gouvernement stable politiquement et économiquement.

En ce qui concerne la situation économique, l’Espagne est en train de sortir du tunnel dans lequel elle se trouvait il y a quelques années. Le pays a renoué avec une croissance à 3 %, l’une des plus dynamiques d’Europe. Le chômage s’est réduit même s’il demeure à un niveau élevé puisqu’il concerne 20 % de la population en âge de travailler. Les élections approchant, la politique de rigueur budgétaire souhaitée par Bruxelles n’a pas été respectée par le gouvernement de Mariano Rajoy. La dette publique s’est alourdie ces derniers mois et la menace des sanctions doit donc être comprise dans ce contexte-là.

Smart Peacekeeping: Toward Tech-Enabled UN Operations

European Peace Institute / News - Mon, 11/07/2016 - 20:31

As the world’s technological revolution proceeds, the United Nations can benefit immensely from a plethora of technologies to assist its peace operations. Fortunately, significant progress is being made. The UN has adopted a strategy for technology and peacekeeping and is showing the will and the means to implement it. New concepts, such as “technology-contributing countries” and “participatory peacekeeping” through new information technology, can improve peace operations. New technologies can also help UN field workers “live, move, and work” more effectively and safely, creating the possibility of the “digital peacekeeper.”
This report provides an overview of technological capabilities and how they are being used, explores progress to date and key challenges, and offers a set of practical recommendations. These recommendations include several general principles, such as to:

  • Seek the buy-in of host countries and local populations so locals support the technologies;
  • Use greater feedback and reach-back to UN headquarters and other international supporters, made easier as technology allows more information processing and support from farther away;
  • Develop life-cycle equipment management, encouraging a systematic approach that maximizes technological potential; and
  • Manage expectations so that some failures can be tolerated along the road to success and so innovation can flourish without unreasonable fears.

Beyond these general principles, it proposes ideas for new activities and processes:

  • At UN headquarters, develop a “solutions farm” and a “tech watch” with “tech scouts,” annual reviews of UN technology and innovation, technology selection criteria, cooperation with research and development institutes, and national testing and evaluation centers.
  • In the field, institute testing of new equipment, “proofs of concept” and pilot projects, demonstration kits, technology lessons-learned reporting, and special technological missions.
  • Engage troop- and police-contributing countries by incentivizing them to bring in effective modern equipment, providing them training to foster technological expertise, and encouraging technology-contributing countries to assist them.
  • Engage external actors and vendors by hosting a technology fair or “rodeo” and supporting a “hackathon” for smartphone and tablet app-developers on useful applications for peacekeeping.

This paper is part of the Providing for Peacekeeping series.

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Elements of a democratically-based anti-authoritarian Foreign Policy

SWP - Mon, 11/07/2016 - 15:12
Konrad-Adenauer-Stiftung (Rio de Janeiro) (Hg.),

fokusep

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 11/07/2016 - 14:33

Landwirtschaft versus Biodiversität? Landwirtschaft und Biodiversität!

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 11/07/2016 - 14:32
Die Europäische Union hat sich zum Ziel gesetzt, bis zum Jahr 2020 den Verlust der Biologischen Vielfalt aufzuhalten. Ein Expertenpodium debattierte am 11. Juli in München über die Wechselwirkung von Landwirtschaft und Biodiversität.

AMEZ18

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 11/07/2016 - 14:20

Aterrizaje suave, el escenario más probable en China

Real Instituto Elcano - Mon, 11/07/2016 - 12:49
ARI 56/2016 - 11/7/2016
Álvaro Sanmartín
China ha acumulado desequilibrios en los últimos años, pero también cuenta con los significativos márgenes de maniobra de un país que es acreedor neto respecto del resto del mundo.

Fragmentierte Entwicklungszusammenarbeit im Zeitalter der 2030 Agenda

Wie steht es um die Umsetzung der 2030 Agenda für nachhaltige Entwicklung? Dieser Frage stellen sich ab heute die Staatenvertreter bei der Tagung des hochrangigen Politischen Forums (High-level Political Forum, HLPF) für Nachhaltige Entwicklung in New York. Für die Zukunft der Agenda enorm relevant, aber auf der Tagesordnung weitgehend unberücksichtigt, ist ein als ‚Fragmentierung‘ bezeichnetes Phänomen. Es beschreibt eine zunehmende Vervielfältigung der Entwicklungsakteure bei gleichzeitiger Atomisierung von Zielen, Modalitäten, Instrumenten und Projekten. Verbunden damit sind enorme finanzielle Einbußen durch hohe Transaktionskosten, etwa weil Ähnliches von vielen Akteuren parallel anstatt gemeinsam angegangen wird oder verringerte Wirkungen eintreten, wenn die Effekte von Projekten sich gegenseitig aufheben. Teilweise kann Fragmentierung aber auch mehr Angebotsvielfalt erzielen, wie etwa durch innovative Süd-Süd-Kooperationsansätze. Diese Debatten beleuchten wir in einem aktuellen Sammelband zum Thema „The Fragmentation of Aid“. Transnationale Zusammenarbeit unter den Bedingungen von Fragmentierung In einer ständig wachsenden Zahl von Politikfeldern ist transnationale Zusammenarbeit unter den Bedingungen von „Fragmentierung“ heute weitgehend Realität. Ein Mantra der 2030 Agenda war daher von Beginn an die Integration verschiedener Politikfelder in einem umfassenden Ansatz. Der Begriff „Fragmentierung“ verweist auf die erheblichen negativen Aspekte der Komplexität in der Entwicklungszusammenarbeit, aber auch anderen Politikfeldern, die grenzüberschreitend tätig sind. Die zunehmende Notwendigkeit, Globalisierungsprozesse zu bewältigen und zu regulieren, hat historisch betrachtet zur Gründung einer Reihe von internationalen Institutionen geführt. In der Entwicklungszusammenarbeit ist die Anzahl bilateraler Geber weltweit von rund einem Dutzend in 1960 zu derzeit über 60 angestiegen; zudem gibt es deutlich über 250 multilaterale Geber. Einer der letzten Neuzugänge war die asiatische Infrastrukturinvestmentbank. Entwicklungszusammenarbeit und Partnerländer können allerdings auch von einem Ansatz profitieren, der mehr Wettbewerb aufgrund größerer Vielfalt umfasst. Das Potenzial für gegenseitiges Lernen, Innovation und wettbewerbsfähige Auswahl unter den verschiedenen Bereitstellern von Entwicklungszusammenarbeit kann sich erhöhen. Fragmentierte 2030 Agenda? Für die Umsetzung der 2030 Agenda sind zwei Aspekte bedeutsam: Die Verhandlungen über die Nachhaltigkeitsziele waren erstens von der Zielvorgabe getragen, soziale, wirtschaftliche und Umweltaspekte zu intergieren. Gleichwohl dürfen bei 17 Zielen, 169 Zielvorgaben und 230 Indikatoren die inhärenten Zielkonflikte nicht im Sinne eines falsch verstandenen Integrationskonzeptes schöngefärbt werden. Wie das Beispiel des Anbaus von Palmöl auf Landwirtschaftsflächen zur Kraftstoffsubstitution zeigt, besteht zwischen einzelnen Indikatoren durchaus ein Spannungsverhältnis. Für die Ziele der 2030 Agenda kennzeichnend ist, dass sie mehrheitlich hochkomplexe, Sektor übergreifende und langfristige Probleme angehen. Unter diesen Vorzeichen wird es zukünftig von zentraler Bedeutung sein, zwischen bestehenden Institutionen Multi-Akteursnetzwerke zu knüpfen, um bestehende Fragmentierungen zu überwinden; im Sinne transnationaler Zusammenarbeit sollten diese auch zivilgesellschaftliche und andere Akteure mit einbinden. Zweitens sind Entwicklungspartner und Partnerregierungen gefordert, neue Ansätze zu entwickeln und technische Instrumente anwenden, um der zunehmenden Fragmentierung zu begegnen. In der Europäischen Union zählt hierzu beispielsweise der „Verhaltenskodex für Komplementarität und Arbeitsteilung in der Entwicklungspolitik“; bei den Vereinten Nationen gibt es das „Joint Programming“ oder den „Delivering as One“–Ansatz. Gleichwohl ist die Gegenüberstellung von spezialisierten Entwicklungsorganisationen, etwa den „Ein-Themen-Fonds“ wie dem Globalen Fond zur Bekämpfung von Aids, Tuberkulose und Malaria einerseits, und den Gemischtwarenläden des Entwicklungsprogramms der Vereinten Nationen andererseits, künstlich. Statt „Entweder-Oder“ geht es um „Sowohl-als-Auch“. Hier liegen demnach die Grenzen, Herausforderungen der Fragmentierung, die in politischen, wirtschaftlichen, und anderen Interessen begründet sind, mit überwiegend technischen Ansätzen effektiv zu begegnen. Mit schwindender Unterstützung auf politischer Ebene steigt gleichzeitig (erneut) der Druck, die eigene „Daseinsberechtigung“ in der Entwicklungszusammenarbeit in den Vordergrund zu stellen. Die separate Kennzeichnung nationaler Geberbeiträge konterkariert Konsolidierungs- und Harmonisierungsbemühungen und befördert Fragmentierung potentiell weiter. Der Brexit dürfte den Bemühungen, Entwicklungszusammenarbeit besser zu koordinieren, zusätzlich zuwider laufen. Fragmentierung aktiv anzugehen liegt daher vielfach nicht im Interesse entwicklungspolitischer Akteure. Bei geschätzten Kosten von drei bis fünf Billionen USD pro Jahr für die Umsetzung der 2030 Agenda könnten durch einen effizienteren und effektiveren Einsatz der Mittel enorme Summen eingespart werden. Sich im Zeitalter der 2030 Agenda vom ersten Jahr an intensiv mit der Fragmentierungsproblematik auseinanderzusetzen, ist daher ein drängendes Gebot der Stunde.

Professor George Pagoulatos writes on the attempt to change the Greek electoral law in the Sunday edition of Kathimerini, 10/07/2016

ELIAMEP - Mon, 11/07/2016 - 09:11

You can read here the article on the attempt to change the Greek electoral law, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 10 July 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Associate Professor Dim. A. Sotiropoulos explains on EU Observer how the third bailout is implemented, 05/07/2016

ELIAMEP - Mon, 11/07/2016 - 09:03

Associate Professor  at the University of Athens and  Senior Research Fellow at ELIAMEP Dimitri A. Sotiropoulos explained on EU Observer how the third bailout is implemented by the Greek government. The article was published on 5 July 2016 and is available here.

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