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Diplomacy & Defense Think Tank News

Hacia un nuevo modelo de intercambio de información frente a las amenazas para la seguridad interior de la UE y sus Estados miembros

Real Instituto Elcano - Wed, 13/07/2016 - 06:49
Comentario Elcano 34/2016 - 13/7/2016
Javier Albaladejo
Es necesario incrementar la cantidad y la calidad de la información intercambiada y, en los supuestos en que proceda, establecer procedimientos de interconexión o interoperabilidad entre las bases de datos ya existentes o las que se creen en el futuro.

Cultura: oportunidad para el futuro de Iberoamérica

Real Instituto Elcano - Wed, 13/07/2016 - 05:50
Comentario Elcano 33/2016 - 13/7/2016
Tomás Mallo
La cultura es motor de desarrollo, instrumento de paz y cohesión social y un espacio privilegiado para la participación ciudadana.

Deutsch-chilenische Tagung: Bachelet, Gauck und Männle eröffnen Forum der deutschen Politischen Stiftungen

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 13/07/2016 - 00:00
In Zusammenarbeit mit den sechs deutschen Politischen Stiftungen veranstaltete das chilenische Präsidialamt am 12. und 13. Juli 2016 im ehemaligen Kongressgebäude in Santiago de Chile ein Forum zum Thema "Desafíos para la democracia" (Heraus­forderungen der Demokratie).

Geheimdienstkooperation und Terrorbekämpfung in Europa

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 13/07/2016 - 00:00
Auch wenn die terroristischen und islamistischen Hintergründe noch unklar sind, führte der Anschlag in Nizza erneut die Bedrohungslage in Europa vor Augen. Um über Europas Geheimdienstkooperation zu sprechen, folgten zahlreiche Politiker und Experten am 13. Juli 2016 der Einladung der Hanns-Seidel-Stiftung in Brüssel.

EURO 2016 : Quel bilan ?

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 16:21

Pascal Boniface, directeur de l’IRIS, répond à nos questions :
– Comment analysez-vous la victoire du Portugal à l’Euro 2016 ?
– Quel bilan peut-on tirer de l’Euro 2016 pour la France ?
– Le format de l’Euro 2016 est-il une réussite ?

Chine et Royaume-Uni après le Brexit : un saut dans l’inconnu ?

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 14:42

C’est l’un des nombreux effets collatéraux du référendum britannique du 23 juin sur la sortie de l’Union européenne. Le Brexit signe la fin d’une lune de miel qui avait débuté il y a moins d’un an. A la veille de la visite d’Etat du président Xi Jinping au Royaume-Uni, George Osborne, chancelier de l’Echiquier, avait alors déclaré : « Faisons corps ensemble et fabriquons une décennie en or pour nos deux pays. » De l’eau est passée sous les ponts depuis cette visite, où Xi fut reçu comme un invité d’honneur par la Reine Elizabeth II à Buckingham Palace et au parlement britannique.

Ces trois dernières années, le Premier ministre David Cameron et son ministre des Finances George Osborne – en charge de la politique chinoise du Royaume – ont décidé d’anticiper le résultat du référendum sur le Brexit. Des partenariats hors Union européenne ont été scellés avec un grand nombre de pays asiatiques – la Chine en particulier – dans le but de financer parmi les principaux projets d’infrastructures nécessaires au Royaume-Uni, dont les centrales nucléaires, les lignes à grande vitesse et les aéroports.

Maintenant qu’il a perdu le réréfendum sur l’appartenance britannique à l’UE, Cameron est sur le départ, tandis que l’avenir d’Osborne demeure incertain. Qu’adviendra-t-il des relations sino-britanniques alors qu’il est presque sûr que le Royaume-Uni va quitté L’Union européenne ? Les signaux intiaux émis par la Chine ont été pour le moins feutrés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a récemment confié que l’impact du Brexit se ferait sentir à tous les niveaux – et pas seulement sur les relations entre Pékin et Londres.

« La Chine soutient le processus d’intégration européenne et voudrait voir l’Europe jouer un rôle pro-actif dans les affaires du monde, a déclaré Hua Chunying. Nous sommes très confiants dans le développement futur des liens sino-européens. » On est très loin des commentaires enthousiastes des médias chinois en 2015 sur la relation entre la Chine et le Royaume-Uni, lorsque Londres décida – au grand dam de Washington, Tokyo, Berlin et Paris – d’être le premier pays occidental à rejoindre la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII), et lorsque les Anglais accueillirent le président Xi, espérant attirer une mâne chinoise d’investissements directs étrangers (IDE).

« Il n’existe pas dans le monde occidental de pays plus ouvert à l’investissement chinois que la Grande-Bretagne », avait fièrement déclaré David Cameron. Son pays est aujourd’hui la première destination des IDE chinois avec un investissement cumulé de 16,6 milliards de dollars (dont 3,3 milliards pour la seule année 2015). La dernière visite de Xi en octobre a permis de signer un grand nombre de MoU (memorandum of understanding). Ces derniers seront-ils mis en oeuvre maintenant que les Britanniques ont choisi de sortir de l’UE ? Il y a quelques mois, Wang Jianlin, Pdg du Wanda Group et investisseur majeur en Europe, avait prévenu : « Si le Royaume-Uni quitte l’Union européenne, de nombreuses firmes chinoises songeront à déménager leur QG européen dans d’autres pays », ajoutant que « le Brexit ne serait pas un choix judicieux pour la Grande-Bretagne dans la mesure où il créerait davantage d’obstacles et de défis pour les investisseurs, notamment en terme de visa. »

Le Global Times, quotidien anglophone appartenant au très officiel Quotidien du Peuple, montra encore moins de sympathie à l’égard de la situation britannique. « Ce référendum sera probablement un événement marquant la direction prise par le Royaume-Uni : celle d’un petit pays avec une faible population, qui renonce à croire en lui et agit imprudemment. »

Les dirigeants de Pékin – qui, fait rarissime, sont plusieurs fois sortis du bois pour soutenir le camp du « Remain » – demeurent perplexes face au résultat du référendum. Celui-ci n’a pas seulement créé du désordre (terme insoutenable dans le langage du Parti communiste chinois), mais il a conduit également à la démission du Premier ministre britannique tout en aggravant le risque d’autres référendums autonomistes (comprendre : l’Ecosse). Aux yeux d’un PC chinois obsédé par son maintien au pouvoir, Cameron a commis une grave erreur en tant que leader d’un pays majeur.

Après tout, la Chine n’est pas armée de bonnes intentions à l’égard de la Grande-Bretagne. Les deux pays ont connu une histoire pour le moins compliquée. Le « siècle d’humiliation » est toujours l’expression employée par les Chinois pour désigner la période débutée au milieu du XIXème siècle avec les guerres de l’Opium menées par les Anglais. Par ailleurs, cela fait seulement 19 ans que Hong Kong a été rétrocédé à la Chine comme « Région administrative spéciale » (RAS). Non pas que le gouvernement Cameron ait fait grand-chose pour soutenir son ancienne colonie. Tandis que la « décennie en or » démarrait, Hong Kong s’est trouvé face aux pires difficultés en tant que RAS, avec nombre de dissidents arrêtés et plusieurs libraires disparus – dont Lee Bo, citoyen à la double nationalité hongkongaise et britannique – qui avaient publié des ouvrages controversés sur les dirigeants de Pékin.

Maintenant que les Britanniques ont voté, les risques d’une violente réaction augementent de jour en jour. Pour commencer, la Chine est encline à maintenir une implication étroite avec l’UE – à la fois son deuxième partenaire commercial après les Etats-Unis, une source de transfert de technologie et l’allié des projets de Pékin comme la « Nouvelle Route de la Soie » (One Belt One Road – OBOR) en Europe et en Asie, ou la BAII. Il y a de fortes chances que la Chine veuille poursuivre son partenariat étroit à la fois avec les institutions européennes et les Etats, en particulier en Europe centrale et orientale où le projet OBOR a été chaleureusement accueilli. Xi Jinping a récemment voyagé en Pologne et en République tchèque, deux pays à qui le président chinois a fait des promesses financières substantielles.

Bien entendu, Londres va continuer à jouer un rôle-clé comme l’une des principales places financières internationales, avec les bons du trésor chinois émis en yuans. De même, les visiteurs de Chine (dont les investisseurs immobiliers en quête de nouvelles opportunités) ne cesseront pas d’affluer dans la capitale britannique. Mais lorsqu’il s’agira de servir de pont vers l’UE, il est clair que Pékin cherchera des solutions alternatives, en particulier en Allemagne, le premier partenaire commercial de la Chine en Europe. Il y a quelques semaines, la chancelière Angela Merkel a effectué son 9ème voyage en Chine, où elle est parvenu à aborder une longue liste de questions essentielles, allant du commerce à l’investissement et à la réciprocité, en passant par les droits de l’homme, les nouvelles lois sur les ONG et les revendications en mer de Chine du Sud. Le 12 juin dernier, dans un discours impressionant aux étudiants de l’université de Nankin dans la capitale chinoise, elle a souligné que la confiance des citoyens peut seulement être aquise par l’Etat de droit, « plutôt que le gouvernement par la loi ». Cela fait de nombreuses années que les dirigeants britanniques n’ont pas usé d’un pareil langage en Chine. Même si certains politiciens anglais appellent désormais à revoir la politique chinoise du Royaume, la Grande-Bretagne ne fera rien qui puisse indisposer la Chine, afin de préserver le commerce et l’investissement durant cette période post-brexit pleine de turbulences.

Malgré sa grande ouverture, le « nouveau Royaume-Uni » risque de devenir moins attractif en terme de marché. Après le Brexit, Pékin va également perdre un avocat du libre-échange au sein de l’Union européenne. Ce qui est une mauvaise nouvelle alors que l’Europe des 28 réfléchit à accorder ou non à la Chine le statut d’économie de marché, selon l’accord passé dans le cadre de l’Organbisation mondiale du commerce (OMC). Ce statut affecte directement l’usage des barrières douanières anti-dumping. En matière d’emploi, l’industrie européenne de l’acier reste vulnérable. Depuis l’adoption par le parlement européen d’une résolution non contraignante contre la reconnaissance à la Chine du statut d’économie de marché, plusieurs politiciens européens craignent qu’une implication plus forte des Chinois dans leurs économies nationales n’apporte guère de créations d’emploi mais davantage de biens de consommation bon marché rivalisant avec les produits fabriqués en Europe. D’où un contexte européen moins favorable à la Chine. Les chances d’adopter un accord de libre-échnage Chine-UE s’amenuisent, alors que Bruxelles se concentre en priorité sur la finalisation d’un accord plus global sur l’investissement avec Pékin. Les entreprises européennes ont conduit un lobbying intense en faveur d’un tel accord.

Même si elle tirera tout ce qu’elle peut d’un Royaume-Uni autonome – selon sa propre évaluation -, la Chine n’en déteste pas moins l’incertitude – en particulier dans une période de turbulences chez elle comme à l’étranger. Elle s’inquiète des défis rencontrés par les gouvernements en place, tout comme de la vague anti-mondialisation qui pourrait nuire à sa propre image de pays bénéficiaire de la globalisation. En Europe, l’Allemagne et la France conservent de fortes relations avec la Chine. Avec leur soutien, la Commission européenne vient de publier une ambitieuse nouvelle stratégie chinoise pour l’UE. Mais il y a peu de chances que le Royaume-Uni en fasse partie.

6. Entwicklungspolitisches Forum: Im Brennpunkt: Flucht und Migration. Menschen – Wege – Folgen

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 12/07/2016 - 14:28

Flucht und Migration sind keine neuen oder vorübergehenden Phänomene. Dennoch hat die Zahl der Flüchtlinge mit 65,3 Millionen Menschen Ende 2015 einen neuen Höchststand erreicht. Warum sehen so viele Menschen keine Alternative, als ihre Heimat zu verlassen? Am 12. Juli befasste sich das 6. Entwicklungspolitische Forum der Hanns-Seidel-Stiftung mit dem Brennpunkt Flucht und Migration. Gemeinsam mit dem zahlreich interessierten Publikum diskutierten die geladenen Experten Migrationsursachen, Fluchtwege und politische Handlungsoptionen.

The politics of the LSE-Deutsche Börse Merger amid Brexit uncertainty

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 14:26

The LSE-Deutsche Börse merger seems to be on track to be agreed by the companies’ shareholders. What are the reasons for such a merger? How will it impact the financial sector at large?

The financial sector is experiencing a broad trend of centralisation and standardisation. Financial regulation itself encourages the consolidation of stock exchanges. An array of peer-to-peer contracts that were beyond the scope of stock exchanges and clearing houses now have to go through standardised clearing processes so as to support the illusion of stability and liquidity in a context where financial markets are flooded with central bank money.

The merger between the London and Frankfurt exchanges follows a clear financial and commercial logic in this respect. It is supposed to allow the combined entity to cut operating costs by up to 30 percent and to offload more than 1,000 jobs once the merger is completed. It is aimed at increasing the competitiveness of this new European exchange amid fierce global competition, as London strives, among other things, to secure its status as the yuan’s main trading centre outside Asia.

Meanwhile there is a geopolitical dimension to this deal. London is the financial centre of the European Union and in some way of the eurozone due to the extent of trading in euro-denominated derivatives there. This is an embarrassment to European institutions and especially to the ECB, which has tried over the years, long before the Brexit vote, to repatriate the financial activities and the clearing services surrounding these contracts to its jurisdiction, the eurozone. However, the EU’s judicial system has upheld London’s position on this issue, in virtue of the single market’s rules, which apply to capital markets throughout the EU, not only in the eurozone.

London is therefore keen to create a closer link with continental stock exchanges, Frankfurt in particular, in order to confront these attacks, which can only intensify in the context of Brexit. On the German side, a number of objections have been raised against the merger. Yet Germany’s Finance Minister, Wolfgang Schäuble, has adopted a relatively amenable stance to the merger. Generally speaking, Germany has every interest to keep the United Kingdom in the single market so as to preserve its large exports there. Conversely it is crucial for the UK as a whole, which already suffers from a very large trade deficit (with a current account deficit close to 6 percent in 2015) to retain the right to sell its financial services throughout the EU. The need to attract investments is the financial partner to the trade deficit, of which the property bubble is a key driver. In a sense, with the ongoing tension, all the traditional ingredients of a currency crisis are there. The pound’s depreciation is not a problem in itself. It even helps, to some extent, to restore the competitiveness of Britain’s industry after a long period of overvaluation. The problem lies in the dynamics of capital outflows and financial drying-up that depreciation fuels, as exchange rates tremors usually help deflate bubbles in a chaotic way.

In this regard any concrete disruption of the UK’s participation in the single market, in terms of trade and capital markets, would result in a genuine financial upheaval due to Britain’s dependency on its financial sector and foreign investments. The current market period of instability would retrospectively appear as a mere prelude if that were the case. That outcome would be in no European country’s interest, whatever their competitive goals.

What does the decision to have dual headquarters, in London and Frankfurt, reveal? Is this merger going to marginalise the Paris stock exchange and Euronext?

The idea of the double headquarters has come to the fore with the difficulties related to Brexit. The plan initially worked out and submitted to the shareholders favoured London headquarters while allowing Deutsche Börse’s CEO to head the conglomerate. The Brexit vote has changed this situation and prompted fears that Europe’s largest bourse would be managed from outside the European Union. It is this aspect which matters particularly since Amsterdam has also been mentioned as a possible host.

The British side strives to secure their financial and commercial position within the single market and retain London’s status as Europe’s financial centre. Beyond mere trade issues, Britain’s macro-financial stability is at stake because of the imbalance that undermines its economic model and the unintended consequences of the housing bubble. In Germany, while the government, and in particular Wolfgang Schäuble, has been rather supportive of the merger proposal and has shown an interest in the project, a portion of the political establishment, especially at the local level, remains opposed to the plan.

Diverging voices were also heard in France, whose government has stated its opposition to the merger and its desire to take advantage of Brexit and help its financial sector to gain new market shares. The Germans have opted for a starkly different strategy. As they understand that Frankfurt is not seen as a credible alternative to London as Europe’s main financial centre, even if London eventually left the single market, the German authorities rather tend to promote an association between London and Frankfurt.

Brexit was instrumental in the merger, since the European Commission would probably have dismissed it on the ground of abuse of a dominant position? Is it also a response to the economic consequences of Brexit?

The project of a merger between Frankfurt’s and London’s exchanges predates the British people’s vote to leave the European Union. The negotiations took place during the Brexit campaign, at a time when most observers believed that “remain” would prevail. So there was already a strong strategic interest in linking the two exchanges, particularly as London was threatened by its status outside the eurozone. At that time, this aspect seemed much more crucial and tangible than the remote threat of Brexit. In addition, in terms of EU competition laws, the case is technically hard to settle since LSE and Deutsche Börse tend to focus on different market segments.

More importantly however, the European Commission is increasingly threatened and deprived of its key prerogatives. Jean-Claude Juncker, whose skills fail to impress European capitals and whose “sacking” is being considered in Berlin, cannot afford to voice his concern if German interests are clearly at stake. This deal would be both a financial and a highly political one, in an inter-state fashion. The final outcome will speak volumes about the state of mind surrounding the negotiations on the UK’s participation in the single market. Despite tailored public statements, the negotiations on the terms of Brexit have undoubtedly started, in a down-to-Earth manner and under the threat of a financial crisis not only in the United Kingdom, but also in the eurozone.

Die Europäische Zentralbank als politischer Akteur in der Eurokrise

SWP - Tue, 12/07/2016 - 13:43

Die meisten Analysen von Rolle und Funktion der Europäischen Zentralbank (EZB) konzentrieren sich auf deren Geldpolitik. In der wirtschaftspolitischen Realität der Eurokrise hat sich das Betätigungsfeld der Bank jedoch über diese rein technokratische Aufgabe hinaus ausgedehnt. Einige Entscheidungen und Maßnahmen der EZB während der Krise können als politisch betrachtet werden. Beispiele dafür waren die Verhandlungen über die Rahmenbedingungen des Rettungspakets für Griechenland im Jahr 2010 und über die Umstrukturierung der griechischen Schulden in den Jahren 2011 und 2012. Eindeutig als politischer Akteur aufgetreten ist die EZB auch bei den Vereinbarungen mit den Euroraum-Mitgliedstaaten über die Bedingungen finanzieller Unterstützung und als sie die spanische und die italienische Regierung unter Druck setzte. Die Praxis hat aber auch gezeigt, dass die EZB selbst unter starkem Druck der größten Mitglieder des Euroraums steht. Sie wurde nicht nur infolge ihrer eigenen Handlungen politischer, sondern auch durch Akteure, welche die Entscheidungen der Zentralbank beeinflussen wollten.

Um die Rolle der EZB in der Krise angemessen einzuschätzen, muss berücksichtigt werden, dass die Existenz der gemeinsamen Währung ernstlich bedroht war. Weil die Währungsunion unvollständig ist, musste die Zentralbank handeln. Vor allem galt es, dem Mangel an Instrumenten zur Krisenbekämpfung in der EU und im Euroraum entgegenzuwirken und die fehlende wirtschaftspolitische Koordinierung zu kompensieren. Doch effektive Zentralisierung der Wirtschaftspolitik ist ohne graduelle wirtschaftliche Konvergenz der größten Mitgliedstaaten im Euroraum schwer vorstellbar. Deswegen wird die EZB ihre erweiterte Rolle im Euroraum wohl noch länger spielen müssen.

Kolumbien und der »vollständige Frieden«

SWP - Tue, 12/07/2016 - 13:20

Das Friedensabkommen zwischen der kolumbianischen Regierung und den FARC-Rebellinnen und -Rebellen befindet sich auf der Zielgeraden. Präsident Juan Manuel Santos sieht den »vollständigen Frieden« für sein Land als erreichbar an. Mit dem Beginn von Verhandlungen mit der zweiten, kleineren Guerilla-Gruppe ELN könnte die Phase der Teilabkommen abgeschlossen und der Weg für eine umfassende Befriedung des Landes nach über 50 Jahren Bürgerkrieg frei werden. In der Bevölkerung scheint sich allerdings Pessimismus breitzumachen: Umfragen zufolge sind 75 Prozent der Bürgerinnen und Bürger mit der Art der Verhandlungsführung ihres Präsidenten unzufrieden. Kolumbien und seine Regierung stehen vor den immensen Herausforderungen eines komplizierten Friedens, der sich nicht in einem anspruchsvollen Programm der Demobilisierung, Entwaffnung und Reintegration der Rebellinnen und Rebellen erschöpfen kann. Es sind auch die Kriegsursachen anzugehen, die Landbesitzstrukturen und die fehlende politische Teilhabe. Und nicht zuletzt müssen die Opfer der Gewalt in der Post-Konflikt-Gesellschaft eine gebührende Anerkennung erfahren. All dies sind Aufgaben, die das Land nur mit umfassender Unterstützung aus dem Ausland wird bewältigen können.

Entretiens de la cohésion sociale

Institut Montaigne - Tue, 12/07/2016 - 13:07
Date: Lundi 12 Septembre 2016Description: "Fait religieux en entreprise : comment éviter la fracture ?"August & Debouzy, Entreprise & Personnel et l'Institut Montaigne vous convient à la 5ème édition des Entretiens de la cohésion sociale.Comment le fait religieux est-il appréhendé dans l'entreprise ? Afin de désamorcer les comportements, aussi bien parmi les employeurs que parmi les salariés, qui pourraient nuire à la cohésion sociale, cette question doit être abordée sans tabous ni préjugés. De nombreux dispositifs ont déjà été mis en place : quel bilan peut-on aujourd'hui en dresser ? Comment les entreprises peuvent-elles se préparer aux défis d'aujourd'hui et de demain ?avecJean-Paul Bailly, président, Entreprise et PersonnelJean-Louis Bianco, président, Observatoire de la LaïcitéHenri de Castries, président-directeur général d’AXA et président de l’Institut MontaigneAline Crépin, directrice de la Responsabilité Sociale et Environnementale, RandstadHakim El Karoui, conseiller en stratégie et fondateur du club du XXIème siècleEric Manca, avocat associé, August & DebouzyLuis Molina, directeur compétences et performances sociétales du groupe, EDFPatrice Obert, délégué général à l’éthique, RATPLaurence De Ré-Vannière, membre du comité direction, Entreprise et PersonnelClaude Solarz, vice-Président, PaprecDébats animés par Stéphane Béchaux, rédacteur en chef, Liaisons Sociales MagazineINSCRIPTION OBLIGATOIRE Adresse: Maison de la Chimie, 28 rue Saint Dominique, 75007 Paris

Dr Ioannis N. Grigoriadis writes in Kathimerini on the Cyprus Question, 12/07/2016

ELIAMEP - Tue, 12/07/2016 - 12:46

You can read here the article on the Cyprus Question written by Research Fellow of ELIAMEP and Assistant Professor at the Department of Political Science, Bilkent University, Dr. Ioannis N. Grigoriadis. This commentary was published in Kathimerini on 12 July 2016.

Bac 2016 : l'analyse de Fanny Anor sur RTL à 13h30

Institut Montaigne - Tue, 12/07/2016 - 12:45
Date: Mardi 12 Juillet 2016

Der Brexit als Neuland

SWP - Tue, 12/07/2016 - 11:38

Die EU betritt rechtlich und politisch Neuland, nachdem die Briten per Referendum entschieden haben, die Union zu verlassen. Erstmals könnte der Austrittsartikel 50 des EU-Vertrags angewendet werden. Schon jetzt zeigt sich, dass ein Austritt nicht einfach die Kehrseite des Beitritts sein kann, weder prozedural noch politisch. Die verbleibende EU-27 wird eine »Austrittsdoktrin« entwickeln müssen, in der sie definiert, welche Spielregeln für den Umgang mit Großbritannien gelten, sobald das Land seine EU-Mitgliedschaft aufkündigt. Denn Artikel 50 lässt viel politischen Spielraum, um den hochkomplexen Prozess zu gestalten, durch den das Vereinigte Königreich aus der Mitgliedschaft entlassen, seine Neuverbindung zur EU ermöglicht und das Vertragswerk für eine EU-27 angepasst wird. Dabei trifft der Brexit eine krisengestresste und orientierungslose Union. Nötig ist eine Erneuerung der Integration, die in den Mitgliedstaaten und bei deren Rolle im EU-System ansetzen sollte.

Espagne : l’impasse politique comme seul horizon ?

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 10:15

Le Comité fédéral du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) a rejeté la perspective d’une grande coalition gouvernementale avec le Parti populaire (PP). Quelles sont les options politiques qui s’offrent désormais à Mariano Rajoy ? Son investiture est-elle compromise par la décision du PSOE ?

Toutes les options sont ouvertes. Une nouvelle dissolution reste l’alternative la plus difficile, mais il ne faut pas l’écarter dans la mesure où les différentes formations politiques, issues des dernières élections législatives du 26 juin 2016, ne parviendraient pas à dégager une majorité. C’est une hypothèse d’autant plus crédible que les rapports de forces politiques actuels sont quasiment identiques à ceux des élections du mois de décembre 2015, qui n’avaient pas permis de construire une coalition stable. Si les lignes rouges adoptées par les uns et les autres se répètent, la situation ne pourra être réglée que par une nouvelle dissolution.

Cependant, le président du gouvernement sortant Mariano Rajoy pourrait essayer de trouver une porte de sortie en constituant une « unité des droites ». Cela pourrait se traduire par un compromis entre le Parti populaire de Mariano Rajoy, et le parti émergent de centre-droit Ciudadanos. Cette coalition pourrait éventuellement être élargie à des petits partis régionalistes, indépendantistes et libéraux tel que la Coalition canarienne, le Parti démocratique de Catalogne ou le Parti nationaliste basque.

Pour le moment, Mariano Rajoy n’a pas travaillé cette voie. En effet, le responsable du parti Ciudadanos, Albert Rivera, que Mariano Rajoy doit rencontrer le mardi 12 juillet, a annoncé être favorable à un accord mais pas à n’importe quelles conditions. Il ambitionne une refondation de la démocratie espagnole, afin d’éviter les scandales de corruption ayant émaillé la vie politique, et également une relève générationnelle à la tête du Parti populaire. Ces deux conditions expliquent la réticence de Mariano Rajoy à entrer en négociations avec Albert Rivera.
La décision du Parti socialiste ouvrier espagnol vise pourtant à l’y contraindre. En perte de vitesse par rapport aux dernières élections, le principal parti d’opposition ne souhaite jouer les béquilles du Parti populaire au risque de connaitre un destin similaire à celui du Pasok en Grèce.

Finalement, si tous les partis politiques maintiennent, comme après les élections législatives du 20 décembre 2015, leurs positions et leurs interdits, il n’y aura pas d’accord possible et les électeurs espagnols seront de nouveau conviés à des élections. Mais y compris dans le contexte actuel, avec un PSOE qui refuse toute alliance avec le Parti populaire, Mariano Rajoy peut espérer former une coalition avec les autres partis politiques de la famille libérale.

L’Espagne est partagée entre 4 forces politiques différentes. Pourquoi les divisions politiques sont-elles si profondément ancrées ? Malgré les scandales de corruption, comment comprendre la longévité des deux principaux partis politiques ?

Cette configuration politique est toute à fait nouvelle. Depuis le rétablissement de la démocratie en Espagne, deux partis politiques ont dominé la vie politique : un parti du centre-droit, l’Union du centre démocratique dans un premier temps, puis le Parti populaire, et au centre gauche, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Jusqu’aux élections législatives de décembre 2015, ces deux formations politiques bénéficiaient de 60 à 70 % de la représentation parlementaire. Ce n’est plus le cas depuis le 20 décembre qui a marqué l’éclatement des forces politiques.

Les divisions politiques sont le résultat de la crise économique et sociale. Le mécontentement est fort. Le chômage reste important. Salaires et couverture sociale ont été érodés. Les scandales de corruption qui ont frappé les deux partis de gouvernement participent également à la grogne sociale. Aujourd’hui, ces deux partis ne représentent plus qu’un peu plus de la moitié des sièges du parlement. Quant aux partis indépendantistes, autonomistes et / ou régionalistes, ils ont toujours existé. Il se trouve que le contexte politique leur est actuellement favorable dans la mesure où les deux partis traditionnels sont moins dominants qu’autrefois.

Barack Obama a félicité l’Espagne pour se progrès économiques lors de sa visite diplomatique le dimanche 10 juillet. L’embellie économique est-elle solide et durable ? Comment comprendre que parallèlement, l’Espagne soit menacée de sanctions par la Commission européenne ?

Barack Obama souhaite effectivement qu’un gouvernement espagnol pérenne se forme dans les meilleurs délais. En effet, l’Espagne constitue pour les Etats-Unis un « porte-avion » géopolitique situé entre l’Europe et l’Afrique. Divers accords ont été signés depuis 1953, puis élargis en 1988, 2011 et 2015, permettant d’intégrer l’Espagne dans le dispositif du bouclier anti-missile et de positionner des forces américaines sur le territoire espagnol en vue d’une intervention rapide en Afrique. Cette ambition stratégique suppose logiquement l’existence d’un gouvernement stable politiquement et économiquement.

En ce qui concerne la situation économique, l’Espagne est en train de sortir du tunnel dans lequel elle se trouvait il y a quelques années. Le pays a renoué avec une croissance à 3 %, l’une des plus dynamiques d’Europe. Le chômage s’est réduit même s’il demeure à un niveau élevé puisqu’il concerne 20 % de la population en âge de travailler. Les élections approchant, la politique de rigueur budgétaire souhaitée par Bruxelles n’a pas été respectée par le gouvernement de Mariano Rajoy. La dette publique s’est alourdie ces derniers mois et la menace des sanctions doit donc être comprise dans ce contexte-là.

Smart Peacekeeping: Toward Tech-Enabled UN Operations

European Peace Institute / News - Mon, 11/07/2016 - 20:31

As the world’s technological revolution proceeds, the United Nations can benefit immensely from a plethora of technologies to assist its peace operations. Fortunately, significant progress is being made. The UN has adopted a strategy for technology and peacekeeping and is showing the will and the means to implement it. New concepts, such as “technology-contributing countries” and “participatory peacekeeping” through new information technology, can improve peace operations. New technologies can also help UN field workers “live, move, and work” more effectively and safely, creating the possibility of the “digital peacekeeper.”
This report provides an overview of technological capabilities and how they are being used, explores progress to date and key challenges, and offers a set of practical recommendations. These recommendations include several general principles, such as to:

  • Seek the buy-in of host countries and local populations so locals support the technologies;
  • Use greater feedback and reach-back to UN headquarters and other international supporters, made easier as technology allows more information processing and support from farther away;
  • Develop life-cycle equipment management, encouraging a systematic approach that maximizes technological potential; and
  • Manage expectations so that some failures can be tolerated along the road to success and so innovation can flourish without unreasonable fears.

Beyond these general principles, it proposes ideas for new activities and processes:

  • At UN headquarters, develop a “solutions farm” and a “tech watch” with “tech scouts,” annual reviews of UN technology and innovation, technology selection criteria, cooperation with research and development institutes, and national testing and evaluation centers.
  • In the field, institute testing of new equipment, “proofs of concept” and pilot projects, demonstration kits, technology lessons-learned reporting, and special technological missions.
  • Engage troop- and police-contributing countries by incentivizing them to bring in effective modern equipment, providing them training to foster technological expertise, and encouraging technology-contributing countries to assist them.
  • Engage external actors and vendors by hosting a technology fair or “rodeo” and supporting a “hackathon” for smartphone and tablet app-developers on useful applications for peacekeeping.

This paper is part of the Providing for Peacekeeping series.

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