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Afrique

Burkina/ Enseignement technique : Les épreuves sportives des examens lancées

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:28

L'année scolaire 2023-2024 tend vers sa fin au Burkina Faso. Bientôt la période des examens de fin d'année. Le ministre en charge de l'éducation nationale, Jacques Sosthène Dingara, a procédé ce jeudi 2 mai 2024, à Ouagadougou, au lancement officiel des épreuves sportives. L'établissement qui a accueilli les autorités pour le début des épreuves sportives est le lycée technique national El hadj Aboubacar Sangoulé Lamizana.

Le ministre a encouragé les élèves à donner le meilleur d'eux-mêmes pour réussir leurs épreuves sportives. Le premier responsable du département en charge de l'éducation nationale a également traduit sa reconnaissance à l'ensemble des acteurs du système éducatif pour le travail accompli malgré la situation sécuritaire difficile du pays.

« L'année s'est déroulée avec quelques difficultés à quelques points mais nous retenons que l'ensemble des acteurs se sont donnés corps et âmes malgré la situation difficile. C'est ici le lieu pour nous de traduire notre disponibilité à l'ensemble des acteurs. Nous sommes en train de commencer la dernière phase de l'année à travers les examens. Aujourd'hui, nous lançons les épreuves sportives des séries du Brevet d'études professionnelles (BEP) et du Certificat d'aptitude professionnelle (CAP). Environ 26 700 candidats vont se lancer à la recherche de diplôme », a indiqué le ministre.

Le ministre en charge de l'Education nationale, Jacques Sosthène Dingara

Entre stress et anxiété, certains élèves se disent prêts à affronter les épreuves sportives. Djénéba Ouangrawa, élève en quête du BEP dit être prête à affronter les épreuves sportives. « J'ai commencé à me préparer pour les épreuves sportives il y a une semaine. Je peux dire que je suis prête. J'espère pouvoir assurer pour avoir une bonne note », a laissé entendre l'élève.

L'élève Djeneba Ouangrawa

Djénéba Ouangrawa a invité ses camarades à dompter le stress. Car dit-elle, « quand on est stressé, on n'arrive pas à se donner à fond ».

Tout comme Djénéba Ouangrawa, Ulrich Nikièma, se sent confiant pour affronter les épreuves sportives. A en croire l'élève, il a révisé ses enchaînements avec son enseignant mais aussi avec ses amis. Pour l'élève, pour réussir à son examen, il faut commencer à se préparer depuis le début de l'année. « Je peux dire que je suis presque prêt pour les épreuves écrites », dit-il.

Ulrich Nikiéma dit être prêt pour les épreuves sportives

En quête de son BEP, Flora Nikièma est stressée. Elle n'arrivait pas à s'exprimer et respirait un peu trop rapidement. « Je suis stressée. Ça fait un peu peur mais je suis prête. Je me suis préparée avec mon enseignant d'EPS et mes camarades de classe », a indiqué l'élève.

Flora Nikiéma, stressée à cause des épreuves sportives

Au lycée technique national El hadj Aboubacar Sangoulé Lamizana, les épreuves vont se poursuivre jusqu'au 4 mai.

Rama Diallo
LeFaso.net

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Para-athlétisme : Le Burkina ramène quatre médailles du Grand prix de Marrakech

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:16

La 8e édition du World Para Athletics Grand prix de Marrakech s'est tenue du 22 au 28 avril 2024. A cette compétition, le Burkina Faso a participé avec cinq athlètes qui ont décroché quatre médailles et une qualification aux jeux paralympiques Paris 2024.

Le staff de la Fédération nationale de sports pour personnes handicapées a réuni la presse le 1er mai pour un débriefing de la participation du Burkina Faso. Une médaille d'or au lancer de poids, une médaille d'argent à la course T13, une médaille d'argent au lancer de poids et une médaille de bronze au lancer de javelot, telles sont les distinctions reçues par les athlètes burkinabè. Ces derniers ont competi dans onze épreuves au total.

Les résultats sont satisfaisants selon le président de la fédération, Guy Yaméogo

Le Burkina Faso a amélioré ses performances et occupe la 25e place sur 62 délégations participantes, indique Guy Yaméogo, président de la fédération. Et selon lui, les attentes étaient certes grandes, mais les résultats sont satisfaisants surtout avec ces 4 médailles obtenues. « Ces médailles confirment le résultat que nous avons obtenu aux jeux de la francophonie. Cela signifie aussi que le travail abattu par les encadreurs et les athlètes évolue », a-t-il signifié.

L'autre bonne nouvelle est la première qualification directe aux jeux paralympiques du Burkina Faso. « Pour le moment, seule Raïnatou Moné est qualifiée pour les jeux paralympiques Paris 2024. Mais on pourrait avoir d'autres qualifications en fonction des classements du comité », a fait savoir Séraphin Farma, directeur technique de la fédération.

Le directeur technique de la fédération Séraphin Farma qui a accompagné les athlètes espère que d'autres seront qualifiés pour les jeux paralympiques en plus de Raïnatou Moné

Malgré ses médailles et sa qualification, Raïnatou Moné affirme que la compétition à Marrakech n'était pas facile. « Il faut mentalement être fort et je ne doute pas des compétences de nos encadreurs. Avec beaucoup de travail, je crois que je pourrai affronter les jeux paralympiques Paris 2024 », a déclaré la jeune fille concernant sa qualification.

Raïnatou Moné a ramené deux médailles, dont une médaille d'or au lancer de poids

Jacob Guiguemdé, qui était à deux doigts de se qualifier, déplore que sa compétition ait bien commencé mais ne se soit pas bien terminée. « Malheureusement à mon premier saut en longueur, j'ai fait une distance de 5m68 et ce fut mon meilleur score. J'ai raté la qualification en saut à 2 cm près uniquement », explique l'athlète qui entend désormais miser sur l'assistance pour être plus à l'aise pendant les compétitions. Jacob Guiguemdé avait mis les chances de son côté en s'entraînant rigoureusement pour la compétition.
A ces jeux, le Burkina se classe 25e. On note que dans l'ensemble, les athlètes étaient dans le top 10 de chaque catégorie dans laquelle ils compétissaient.

Victorine Guissou a aussi ramené deux médailles (une de bronze et l'autre d'argent)

Le palmarès des athlètes

Raïnatou Moné (catégorie T13) :
Médaille d'or au lancer de poids
Médaille d'argent au 100 mètres
3e place au saut en longueur

Victorine Guissou (catégorie F56) :
Médaille d'argent au lancer de poids
Médaille de bronze au lancer de javelot

Jacob Guiguemdé (catégorie T13) :
4e place au saut en longueur
4e place aux 100 mètres
4e place au lancer de poids

Aimé Kansama (catégorie T46) :
6e place aux 100 mètres
6e place au saut en longueur

Oumarou Ziba (catégorie F56) :
6e place au lancer de poids

Farida Thiombiano
Lefaso.net

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Burkina/ Canicule : Les conséquences sur la peau et quelques conseils pour y remédier

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:00

Le Burkina Faso enregistre une période de canicule. Les fortes températures ont des conséquences sur la peau. La pharmacienne spécialisée en cosmétologie et dermo consultante internationale certifiée, Gilonne Wetta donne quelques conseils pour protéger la peau en cette période de chaleur.

La canicule est à l'origine d'une déshydratation au niveau de l'organisme de façon générale. Cela a des répercussions sur la peau, a fait savoir Gilonne Wetta. Elle a souligné que pendant la chaleur, on aura : une peau déshydratée et plus sèche ; L'apparition de boutons de chaleur communément appelé bourbouille ; Des rougeurs dues à des brûlures du soleil sur la peau (coups de soleil) ; Des hyperpigmentations causées par le soleil ardent (apparition de taches au niveau des zones exposées) ; Une surproduction de sébum à l'origine d'une peau grasse.

Il faut avoir les bons réflexes pour protéger la peau pendant la canicule, a insisté Gilonne Wetta

Quelques solutions

Afin de mieux protéger la peau, la pharmacienne a précisé en premier lieu que tout part de l'intérieur. C'est pour cette raison qu'il faut commencer par : bien hydrater l'organisme en buvant beaucoup d'eau (au moins 3litres / jour). Il faut en outre manger des aliments qui vont apporter de l'eau à l'organisme comme les fruits et légumes frais et éviter tout ce qui peut produire plus de chaleur dans l'organisme tels que la prise de caféine, de stupéfiants et d'aliments très épicées.

Gilonne Wetta a conseillé aux populations de se protéger du soleil en mettant une protection solaire. « C'est très important pour éviter l'hyperpigmentation et prévenir les effets du soleil sur la peau à long terme », a-t-elle insisté. Aussi, il faut prioriser des d'anti oxydants tels que la vitamine C, le zinc, la vitamine E. La vitamine A est aussi recommandée pour booster le système immunitaire et aider la destruction de radicaux libres qui peuvent détruire l'organisme.
« Il faut éviter de s'exposer aux heures chaudes de la journée entre 12h et 15h et porter des habits amples, légers pour se protéger des rayons UV », a indiqué la pharmacienne.

« Il y a dans les commerces, des produits spécifiques mais également pour toute la famille que l'on peut privilégier », Gilonne Wetta

En cette période de canicule, il est préférable d'appliquer des produits nourrissants, a-t-elle renchéri. Pour le bain, il faut privilégier les huiles, gels douches ou savons surgras (c'est à dire enrichi en huile) qui vont laver sans assécher la peau. Après les bains, il faut utiliser des gels crèmes ou uniquement des huiles pour nourrir la peau telles que : l'huile de coco, d'avocat, le dattier du désert, l'amande douce ou tout autre huile végétale qui vous convient. Ces huiles vont venir emprisonner l'hydratation au niveau de l'épiderme, a conclu Gilonne Wetta.

Samirah Bationo
Lefaso.net

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Décès de ONADIA Yempabou Oscar : Remerciements

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:00

Très touchés, par les nombreuses marques de compassion, de sympathie, d'amitié, de solidarité et de soutien multiforme qui leur ont été témoignés, lors du décès le 24 mars 2024 aux États Unis d'Amérique et de l'inhumation le 18 avril 2024 à Ouagadougou de leur fils, frère, beau-frère, cousin, oncle, ONADIA Yempabou Oscar,
Les grandes familles ONADJA et OUOBA à Fada N'Gourma, Abidjan et Ouagadougou ;

les familles alliées, BIRBA, COLY, OUÉDRAOGO, ROUAMBA à Ouagadougou et Thiès ;
M. ONADIA L. Raphaël et son Épouse ONADIA/OUOBA T. Christine,
leurs enfants Roseline, Sara, Joël et Miriam à Ouagadougou ;
Les oncles, tantes, cousin (e) s, neveux et nièces,
voudraient, par ce message, remercier du fond du cœur, toutes les personnes qui de près ou de loin les ont assistés lors de cette douloureuse épreuve.

Tout en s'excusant de ne pouvoir citer tous les noms, de peur d'en oublier, ils expriment, cependant, leur profonde gratitude à :
la communauté des Burkinabè de New Jersey,
l'association des Gourmantchés de New York,
la direction de Prospect of New Jersey Corporation,
l'association des retraités de la communication et de l'information (ARCI)

les anciens de la RTB,
le personnel de l'AGTER
les voisins du quartier à pissy,
le journal Faso 7,

la communauté des frères et sœurs Témoins de Jéhovah de Ouagadougou et ailleurs,
l'administration du Collège Parents d'élèves de Pissy.
les parents, amis et connaissances,
Merci d'avoir été présents.

Que le Tout Puissant rende à chacun le centuple de ses bienfaits.

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Décès de BOZIE-SOME née GOLANE Thérésia : Remerciements et faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:00

« Je ne meurs pas ; J'entre dans la vie ». Sainte Thérèse de l'enfant Jésus.
La grande famille POURYILÉ à Babora, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Kongoussi, Ziniaré, Tougan et en France ;
Monsieur HIEN Thomas, cultivateur à Babora ;
Maitre Norbert E. DABIRE à Ouagadougou ;
Monsieur Naviel Benoit SOME, cadre de la SONABEL à la retraite à Ouagadougou ;
Les grandes familles, GOLANE, TOE, KY, PARE, DIALLO à, Tô, Bala, Biba, Toma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou et Abidjan ;

Monsieur Christophe GOLANE, cadre de FASO FANI à la retraite à Koudougou ;
Monsieur Edmond KY, Economiste à la retraite à Ouagadougou ;
Mesdames, KY née GOLANE Charlotte, SOME née GOLANE Clotilde et, monsieur GOLANE Jean-Marie à Tô, Koudougou et Toma ;
La grande famille BEKOUONE à Dalgane, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et Koudougou ;

Monsieur Jean Louis SOMDA à la retraite à Ouagadougou ;
Monsieur Maxime SOMDA à la retraite à Ouagadougou ;
Les familles alliées :
KONE, ZOUGMORE, KPIÈLÈ, ZOMBRE à Banfora, Koupéla, Memer et Ouargaye ;
Les enfants :

BOZI-SOME Elise Agnès Régina, animatrice protection à la Croix Rouge/Projet UNICEF, au centre Nord ;
BOZI-SOME Edwige Marie Gilberte, Directrice Provinciale des Enseignements, Post Primaire et Secondaire de la province de l'Oubritenga ;
BOZI-SOME Alexis Aimé Lambert, Chef de la Brigade Mobile des Douanes de Tougan ;
BOZI-SOME Anselme Carlos Malvla à Ouagadougou ;
Les petits enfants :

BOZI-SOME Thierry à Lyon/France ;
BOZI-SOME Melchi. Assistant des Douanes en service à la Coordination Nationale de Lutte contre la Fraude, à Bobo-Dioulasso ;
BOZI-SOME Arnaud à Paris/France ;
BOZI-SOME Olivier. Etudiant à Ouagadougou ;

BAIKRO Aicha à Abidjan ;
BAIKRO Mohamed Lamine, à Abidjan ;
OUEDRAOGO Jean Bernard, Technicien Géologue à Ouagadougou ;
BOZI-SOME Marie Thérèse, à SEMAFO ;

BOZI-SOME Mathilde Maeva. Etudiante à Ouagadougou ;
BOZI-SOME Hugues Aymar, élève à Ouagadougou ;
BOZI-SOME Aurèle Hermine, étudiante à Ouagadougou ;
BOZI-SOME Anna Maria, écolière à Ouagadougou ;
BOZI-SOME Bernardo Christ, à Ouagadougou ;
Les arrières petits-enfants :
Mathéo, Matys, Maïna, Marie Ange, Merveille, Ange Brayan et Inaya Eden Marie, à Ouagadougou, Abidjan et Paris

Très touchées par les nombreuse marques de solidarité et de soutiens multiformes manifestées à leur endroit lors de la maladie, du décès à Ouagadougou le 1er/03/2024 dans sa 89ème année et, de l'inhumation le 07/03/2024 à Babora de leur épouse, belle fille, belle-sœur, fille, sœur, tante mère, belle-mère, grande mère, arrière grande mère, BOZIE-SOME née GOLANE Thérésia, précédemment inspectrice de l'enseignement du primaire à la retraite, vous renouvellent leur profonde gratitude et leur reconnaissance ;

Leurs remerciements vont particulièrement :

A monsieur le Premier Président de la Cours des Comptes ;
A l'ensemble des autorités administratives de la Région du Plateau Centrale et leurs personnels ;
A monsieur le Haut-Commissaire de la province de l'Oubritenga et à tout son personnel ;

A monsieur le Secrétaire Général de la Croix Rouge et à tout son personnel ;
A monsieur le Directeur Général des Douanes et à tout son personnel ;
A monsieur le Coordonnateur National de Lutte contre la Fraude et à tout son personnel ;
A madame la Directrice de l'Agence nationale d'appui au Développement des Collectivités Territoriales (ADCT) ;

A l'ensemble des Directeurs provinciaux de l'Oubritenga et leurs personnels ;
A l'ensemble des autorités administratives de la province du Sourou et leurs personnels ;
A tous les acteurs des structures éducatives des provinces de l'Oubritenga et du Kourwéogo ;
A monsieur le Président de la Délégation Spéciale de Koper et à tout son personnel ;

A monsieur le Directeur Général de l'hôpital Tingandogo et à tout son personnel ;
A l'équipe « Protection Projet UNICEF » ;
A la promotion des historiens « 1988-1989 » ;
A la promotion CPES « 2007-2009 » ;
A l'ensemble des groupes d'encadreurs Pédagogiques (HG/E.C et SNIES) du Burkina Faso ;

A la 17ème promotion des Préposés des Douanes ;
A la 25ème promotion des Contrôleurs des Douanes ;
A toutes les membres des associations du « Sud-Ouest », dans le Kourwéogo et dans l'Oubritenga ;
A tous les membres de la chaine de solidarité du Sud-Ouest de la DGD ;
Au Curé de la paroisse de Maria-Tang ;
Aux prêtres de la paroisse de Kologh-Naba ;

Aux abbés, Nova KPODA à Babora et, Léon au petit séminaire de Limoirè
A l'abbé Béranger BOUDA ainsi qu'aux prêtres de la paroisse de Nagrin ;
- A la C.C.B. Saint-Jean de Ouidi ;
A tous les membres des chorales des paroisses de Kologh-Naba et de Maria-Tang ;
Aux Légionnaires de Marie de Ouidi ;

A l'Association des acteurs retraités de l'éducation ;
Aux voisins du quartier Ouidi ;
A monsieur Moumouni GNANKAMBARY et épouses ;
A monsieur Bernadin DABIRE, à la Direction Générale des Douanes ;
A madame Rosalie TALL, Inspectrice de l'Enseignement du Primaire à la retraite à Ouagadougou ;

Aux nombreux, parents, amis et connaissances ;
Ils s'excusent auprès de tous ceux dont les noms n'ont pu être cités. Que le seigneur, dans sa miséricorde, vous le rende au centuple.
Ils vous informent par ailleurs que des messes seront dites pour le repos de son âme, selon le calendrier ci-dessous.


Soyez infiniment béni et comblé de grâces divine. Union de Prières.

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Décès de DA SANSAN ROBERT : Remerciements et faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 15:00

‘'Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra''.

La grande famille KPIER à Kampti ;
Les familles NOUFÉ, KAMBOU, DA, PALÉ, SIB, POODA et KAMBIRÉ à Kampti, Périgban, Gaoua, Bobo-Dioulassao et en Côte d'Ivoire ;

Les familles amies et alliées : PALÉ, SOMÉ, DIOLOMPO, HIEN, PALENFO, LOUGUÉ, BASSONO, PARÉ, ZONGO, OULÉ, OUEDRAOGO, GUMEDZOÉ, BADINI, NONGANA, KOMBOIGO, TRAORÉ et DION ;

Les frères et sœurs à Kampti, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et en Côte d'Ivoire ;
La veuve, Madame DA/PALÉ Céline à Ouagadougou,
Les enfants : Evariste, Marie-Laure, Yéri Francéline Fany, Sansan Thierry, Ollo Léonce Joseph- Marie, Oho Fleur Ingrid ;

⁠Les neveux et nièces ;
vous expriment leurs sincères remerciements pour votre soutien lors de la maladie et du décès le 24 Mars 2024 à Ouagadougou suivi de l'inhumation le 03 Avril à Kampti de leur fils, frère, oncle, père, ami, beau-père, grand père et arrière grand père DA SANSAN ROBERT, ancien fonctionnaire du FENU/PNUD.

Leurs remerciements s'adressent en particulier :

Aux Généraux Kwamé LOUGUÉ, Nabéré Honoré TRAORÉ et épouse, au ministre Jacob OUEDRAOGO ses frères et sœurs
⁠Au chef d'État Major de l'Armée de l'Air

⁠Au Colonel Major Sansan Compar KAMBOU
Au chef de Canton de Toma,

À Madame Alima TRAORÉ , ancien Médiateur du Faso
Aux Evêques DER Raphaël DABIRÉ de Diébougou et Ollo Modeste KAMBOU de Gaoua,

Aux prêtres de la promotion Feu,
Aux autorités administratives, religieuses et coutumières de Kampti et de Périgban
Aux anciens collaborateurs du PNUD

À la DG de l'hôtel Silmandé,
À Madame Corinne NIKIEMA du Trésor
Au PDG de SOGEPER,

À Franck Alain KABORÉ de Nerwaya Multivision,
À la CCB St Lazare de la Paroisse notre Dame des Apôtres de la Patte d'Oie,
À la chorale Coeur, voix de l'Espérance de la Paroisse St Guillaume de Tanghin,
À la CCB de Paix-Ville, Kampti

À la Chorale Ste Cécile de la Paroisse de Kampti et de Périgban
À l'honorable Ladji COULIBALY,
⁠Aux populations de Kampti, de Périgban et des villages environnants,

Aux voisins, jeunes, amis et connaissances à la Patte d'Oie ⁠ pour leur accompagnement lors de cette dure épreuve.

Ils s'excusent auprès de tous ceux dont les noms n'ont pu être cités.

Que le Seigneur dans sa bonté infinie vous comble de ses grâces et vous le rende au centuple.

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Ituri : trois journée ville morte décrétées pour dénoncer la recrudescence de la criminalité

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:52


En Ituri, les activités économiques sont à l'arrêt depuis jeudi 2 mai sur toute l'étendue du territoire d'Aru, situé à 260 kilomètres au nord de Bunia, en réponse à l'escalade de la criminalité qui a culminé avec le meurtre d'un enfant par des hommes armés la semaine dernière. Cette paralysie est le résultat d'un mot d'ordre de la société civile locale qui décrète trois journées ville morte, en signe de protestation.


 

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Soirée cinématographique de l'ISTIC : Des étudiants en fin de formation présentent leur savoir-faire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 14:48

L'Institut des sciences et techniques de l'information et de la communication (ISTIC) a organisé, le mercredi 1er mai 2024 à Bobo-Dioulasso, une soirée cinématographique. Au programme, ce sont deux films d'une durée de 26 minutes chacun, qui ont été projetés au bonheur du public.

Il s'agit des films documentaires « Alléluia/Alhamdoulila : Pour le meilleur et le pire » de Rasmane Zongo et « Prise en charge des PDI : Le sacrifice des familles hôtes » de Amandine Tago. Ces deux films sont tous réalisés par des étudiants en fin de formation à l'ISTIC. Le premier aborde la problématique des mariages inter-religieux. Il relate les difficultés rencontrées par des couples de religions différentes, notamment celles du couple Herman et Korotimi. Cette dernière (Korotimi), issue de la religion musulmane, a été reniée par son père pour s'être mise en couple avec son compagnon Herman, de la religion catholique. Une problématique qui est d'actualité et décriée par Rasmane Zongo, qui espère un changement de comportement à travers sa production.

Le public présent à cette soirée cinématographique

Le deuxième film aborde la question liée à la gestion et à la prise en charge des personnes déplacées internes. Ce film relate les réalités des personnes déplacées internes hébergées dans certaines familles d'accueil. Focus a donc été fait sur ces familles qui accueillent des PDI. A travers cette production, Amandine Tago dit vouloir montrer la solidarité de ces familles d'accueil au regard des sacrifices qu'elles consentent au quotidien. Présente à cette soirée, Amandine Tago avoue avoir réalisé ce film dans des conditions difficiles au moment où certaines personnes n'acceptaient pas se confier à sa caméra et à son micro. « Il a fallu donc s'armer de courage et d'enthousiasme pour y arriver », a-t-elle confié.

Amandine Tago, la réalisatrice du deuxième film exprimant sa satisfaction

Cette soirée s'inscrit dans le cadre de l'organisation d'un voyage pédagogique de l'ISTIC, du 24 avril au 6 mai 2024 à Bobo-Dioulasso. Cette immersion dans la ville de Sya a pour objectif de permettre aux stagiaires de mettre en pratique les enseignements reçus et d'être en situation réelle d'apprentissage. Cette soirée a eu lieu dans la salle Casimir Koné de la RTB2 Hauts-Bassins qui était bondée de monde. En effet, les cinéphiles bobolais, majoritairement composés d'étudiants, n'ont pas voulu se faire conter l'événement.

La projection du deuxième film sur la « Prise en charge des PDI : Le sacrifice des familles hôtes » de Amandine Tago

Ces films ont été bien appréciés par des spectateurs, à l'image de la directrice générale de l'ISTIC, Dr Alizèta Ouoba. Elle a affirmé que cette soirée a permis au public de découvrir le savoir-faire des étudiants de son institut. « En fin de cycle, les stagiaires doivent présenter des études de cas pour ce qui concerne les étudiants en communication et journalisme, à travers des productions, pour montrer que l'ISTIC c'est vraiment une école professionnelle qui va directement vers des cas pratiques. Ce sont ces deux productions qui ont été sélectionnées et présentées au public à l'occasion de cette soirée », a-t-elle expliqué.

La directrice générale de l'ISTIC, Dr Alizèta Ouoba, salue la qualité des productions

En tant que première responsable de l'institut, elle se réjouie de la qualité des productions présentées et profite de l'occasion féliciter les acteurs impliqués dans la réalisation de ces films. « Je suis vraiment satisfaite de la qualité des productions. J'adresse mes remerciements aux encadreurs qui ont pris leur temps pour que ces productions puissent être à la hauteur des attentes de l'institut. C'est un travail de qualité qui a été présenté et ceux qui veulent aller à la pratique, l'ISTIC est la bonne adresse », se réjouit Dr Alizèta Ouoba.

Dr Sita Diallo/Traoré est la directrice de la formation initiale de l'ISTIC. Elle a rappelé que cette soirée s'inscrit dans le cadre du voyage pédagogique qui est une pratique professionnelle ancrée dans la formation des stagiaires de l'ISTIC. « Ce voyage leur permet de faire le web journalisme en pratique et en même temps, ils découvrent les potentialités de la localité en produisant des articles du web et les communicants essaient d'organiser l'événementiel », a-t-elle indiqué. L'organisation de ce voyage coïncide avec la tenue de la 21e édition de la Semaine nationale de la culture. A en croire la directrice de la formation initiale, cette coïncidence n'est pas un fait du hasard. « Nous avons organisé ce voyage à l'occasion de la Semaine nationale de la culture pour permettre aux stagiaires d'apprendre plus », a-t-elle dit.

La directrice de la formation initiale de l'ISTIC, Dr Sita Diallo/Traoré, rappelant les objectifs de cette soirée

Pour donner plus de visibilité à ces productions et permettre qu'elles puissent jouer leur rôle d'éducation et de sensibilisation, l'ISTIC prévoit nouer des partenariats avec des chaînes de télévision pour qu'après, ces films puissent être diffusés. « Cela permettra au public de découvrir les potentialités de nos stagiaires », a dit Dr Sita Diallo/Traoré. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Romuald Dofini
Lefaso.net
Crédit photos : Herman Bassolé

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Nord-Kivu : à l’occasion de la journée mondiale du Travail, le REDHO plaide pour la mécanisation des fonctionnaires

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:44


À l'occasion de la journée mondiale du Travail, le réseau pour les droits de l’homme (REDHO) plaide pour la mécanisation des agents publics des villes de Beni, Butembo ainsi que les territoires de Lubero et Beni, afin qu'ils soient reconnus et rémunérés par le Trésor public.

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Beni : un mort et un véhicule incendié au cours d’attaques de rebelles ADF

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:17


Dans le territoire de Beni, une double attaque perpétrée par les rebelles des ADF a secoué la région ce mercredi 1er mai, sur l'axe routier Eringeti-Kainama, à une soixantaine de kilomètres au nord de la ville de Beni. Lors de ces affrontements, les forces conjointes FARDC-UPDF (armée ougandaise) ont réussi à libérer des civils pris en otage par les assaillants.

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Kindu : la société civile de Lubutu dénonce la présence de militaires sur des sites miniers

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 14:05


Dans la province du Maniema, la Société civile forces vives du Maniema, antenne de Lubutu, dénonce la présence de militaires sur des sites miniers du territoire de Lubutu. Cette structure citoyenne en appelle aux autorités politico-administratives locales, provinciales et nationales, ainsi qu'au ministre de la Défense, pour mettre fin à cette situation.


 

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La Voix des sans voix demande aux autorités d’annuler l’information judiciaire à charge du Cardinal Ambongo

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 13:56


 


L’ONG La Voix des sans voix pour les droits de l’Homme (VSV) a publié une déclaration ce jeudi 2 mai, appelant les autorités judiciaires à reconsidérer l’ouverture d’une information judiciaire à l’encontre du Cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de l’archidiocèse catholique de Kinshasa.

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Décès de YERBANGA Ignace : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 13:20

Les grandes familles YERBANGA ET TONDE à Manga, Ouagadougou et Paris ;
Mme YERBANGA / ARNAUD Jeanne à Saaba à Ouagadougou ;
Les enfants Céline, Eric et Elodie ;

Les grandes familles alliées ARNAUD, COMPAORE, MARE, KABRE, OUEDRAOGO, DAO, SANON, SANFO, COULDIATY, DEMBELE, SAVADOGO, NGUYEN ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur fils, frère, père, époux, grand père et Arrière-grand-père :

Monsieur YERBANGA Ignace,
Magistrat à la retraite le 1er Mai à l'âge de 71 ans de suite de courte maladie.
Un hommage lui sera rendu le 3 Mai 2024 à 10H 00 au CONSEIL D'ETAT suivi du transfert de la dépouille à Manga pour l'inhumation à 15H.

Union de prière.

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Journée des coutumes et des Traditions chaque15 mai : « Éclatante manifestation d'une justice immanente au Burkina Faso et en Afrique Noire », selon Anatole Gomtirbou-Noma Tiendrebeogo

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 02/05/2024 - 13:12

Ceci est le premier jet de réflexions proposées en partage par Son Excellence Anatole Gomtirbou-Noma Tiendrebeogo, à propos de la consécration du 15 mai, Journée Nationale des Coutumes et des Traditions.

Qu'à cela ne tienne ! Ni erreur, ni omission, a sonné le Début de la Fin de la fameuse sentence dictatoriale et multiséculaire imposant au monde la malheureuse vision erronée : "les Anges sont blancs et les Diables sont Noirs”.
Cette décision des autorités compétentes de la transition sur la Journée des Coutumes et des Traditions, est un acte fort qui consolide le choix et l'action politique pour la renaissance et la souveraineté complète de notre pays, et de l'Afrique Noire entière à y voir de près.

En effet, cette décision historique nous renvoie à l'existence de nos communautés et Peuples africains au cours des cinq derniers siècles écoulés, tout au long desquels nos parents, arrières-parents, aïeux ont enduré des moments et traitements douloureux innommables : La traite des Noirs, l'esclavage des Noirs, la colonisation dite civilisatrice des Noirs, etc.

En sus, retenons toujours que ces souffrances physiques de nos aïeux ne représentaient pas grand chose au regard de leur douleur morale et spirituelle lorsqu'ils comprirent qu'en réalité leurs tortionnaires d'époque, théoriciens et praticiens confondus cherchaient à leur nier le moindre statut d'ETRES HUMAINS : ils n'auraient pas d'âme, pas d'esprit ascendantal, pas de dignité humaine, donc sont et demeurent des animaux maniables et corvéables à volonté.

De ce point de vue, comment imaginer l'acceptation d'une religion traditionnelle, endogène, africaine. D'où la persécution systématique de nos croyances ancestrales, de nos coutumes et traditions. La chappe fatale s'abattit alors sur nos pays et sur nos communautés à partir du 20ème siècle : la matérialisation-terrain du partage du continent tel qu'opéré par la Conférence de Berlin (1885) se dessine et se fortifie.
L'invasion et l'occupation de nos pays et communautés obéirent alors à quelque chose près, au même mode operandi ci-après :

d'abord les forces militaires pour anéantir toutes velléités de résistance quelconque endogènes ;
ensuite les forces d'intérêt économiques et financières pour asseoir les bases de l'exploitation et de la corruption systématique ;
puis les forces administratives et politiques pour la gestion du nouveau butin bien balisé ;

enfin les forces spirituelles et religieuses pour répandre l'idée de soumission ou nouvel ordre établi mais aussi et surtout pour imposer leur revendication capitale : Dépositaire-Monopoliste de Dieu. En clair il fallait nous amener à croire et à accepter l'inexistence du lien ombilical entre les vivants et les ancêtres.

NB : Cette dernière catégorie de forces d'invasions est la plus pernicieuse. Elle a la prétention de détenir le monopole de Dieu le Tout Puissant. Elle revendique que toute communauté de tout Peuple voulant aller à Dieu passe par elle pour le droit de passage, le choix de l'intercesseur, les modalités de la démarche vers Dieu etc.
Manifestement ces gesticulations doivent arrêter ou être recentrées car NUL ne peut détenir le monopole de Dieu qui est le même pour tous les êtres humains, pour toutes les communautés organisées pour tous les peuples de la terre.
Cela est valable unanime et indiscutable au Burkina Faso malgré la soixantaine d'ethnies ou de communautés ; il en est de même sur le continent africain en dépit de sa cinquantaine de peuples ou de nationalités.

Cette croyance fondamentale des africains (surtout noirs) s'est mue en réalité vivante gravée dans leurs us et coutumes et Traditions qui ne s'altèrent nullement malgré les nombreux relâchements socio-générationnels observés çà et là au contact des civilisation étrangères non maîtrisées ou mal régulées.
Évidemment après des centaines d'années de persécutions diverses nos coutumes et traditions n'ont plus leurs lustres d'autan. Leur pratique souvent exercée dans une sorte de clandestinité n'a pas permis un transfert de connaissances identiques de génération en génération

Dès lors il n'est pas superflu de faire un rappel succinct de la quadrature de nos coutumes et traditions. Appartenant à l'une des dernières générations ayant bénéficié de ces us et coutumes encore immaculés nous pensons pouvoir livrer les informations qui suivent.

Nos coutumes constituent les produits dynamiques de notre COSMOGONIE africaine et burkinabé. Ils sont l'expansion vivante de notre spiritualité africaine dont la charpente présente un DIEU UNIQUE Tout Puissant entouré de la communauté de nos Ancêtres, eux-mêmes ayant un lien ombilical avec nos communautés des vivants.
Il est remarquable que dans cette trilogie vivifiante les Ancêtres occupent un rôle prépondérant. Ils constituent le point d'ancrage entre DIEU et les humains.

Les prières et les offrandes des vivants sur Terre remontent à Dieu à travers ce passage obligé. Les Mosse traduisent bien cette situation dans leur adage bien connu : Nous sommes infiniment petits et insignifiants pour oser nous adresser directement à DIEU. Notre premier intermédiaire est donc l'immense cortège des mânes de nos ancêtres, aïeux et parents siègent au paradis avec ceux des autres peuples et communautés.

Ainsi le sang du poulet immolé par le patriarche pour la santé ou la prospérité de la famille est adressé à l'âme de l'ancêtre qui séjournant déjà au paradis, assurera la transmission à Dieu selon le protocole divin le plus efficace. A n'en point douter ce sang de poulet est le même que celui du bélier d'Abraham et de la tabaski tout comme celui de l'Agneau divin des Tabernacles.

Mais attention ! Cela ne fonctionne pas mécaniquement comme par magie ou par sorcellerie. Il s'agit d'un culte humano-divin. Les célébrants sont astreints à la pureté du cœur, à une vie conduite dans la crainte de Dieu. Ils ne sont plus légion comme jadis, mais il en existe toujours. Les grandes familles dans les grandes communautés y veillent constamment dans les plus grandes discrétions. Il y va de l'intérêt communautaire, même national. Les résultats sont probants, visibles et vérifiables. Des démonstrations concrètes les plus fiables se retrouvent dans l'émission télévisée "YELSOLMA" de la RTB, malheureusement suspendue à la demande et sous la pression de certaines religions dites révélées, selon le brave animateur de l'émission très suivie et très appréciée.

Il est temps de remettre tout cela en marche vers la conquête de notre entière SOUVERAINETÉ Nationale. Il n'y aura pas de véritable indépendance politique, économique et autre, sans l'indépendance spirituelle. Nous devons nous libérer de l'esclavage spirituel et réfuter tout lavage de cerveau avilissant.

Tout ce qui précède nous autorise à sublimer la création de la journée des coutumes et des traditions qui impulsera la lutte contre le monopole de Dieu, contre le commerce de Dieu et pour la résurrection du Dieu de nos Aïeux et de nos PERES, notre Dieu, Unique, omnipotent, omniprésent et omniscient depuis des siècles et des siècles, "NABA ZIDWENDE" ou simplement "WENDE", "WENNAM".
Qu'il bénisse le Burkina Faso et toute l'Afrique. Amen.

De ce point de vue bien sincère, il convient de féliciter les autorités de la transition nonobstant leurs graves insuffisances et déviances non nécessaires ; toutefois il est impérieux d'éviter la tentation de chercher à s'immiscer dans l'exercice concrète de l'organisation et des célébrations rituelles de nos coutumes et traditions. Il s'agit de notre religion traditionnelle. Les faitières de nos communautés coutumières en sont pleinement compétentes et bien disponibles.

Chaque communauté et même chaque grande FAMILLE connaissent leurs propres personnels compétents, habilités en matière de célébrations coutumières, rituelles, culturelles qui sont officiées la plupart du temps dans la plus grande discrétion. Dans le domaine des coutumes, il n'y a point la moindre place pour les tricheries, la corruption ou les "affaires."

Par contre la pratique de nos traditions réserve une place importante aux aspects festifs populaires qui viennent agrémenter l'élan communautaire vers le rassemblement, l'union, la solidarité et l'épanouissement des membres de la société humaine concernée. A ce niveau, toute action bienveillante de l'État est la bienvenue dans le respect des conduits protocolaires du milieu concerné. De même, chaque composante de la Société Nationale y compris les intellectuels, les chercheurs et autres en toute humilité, apporter leur contribution constructive.

Dans le même ordre d'idée, la religion traditionnelle reste aimante, tolérante, dépourvue de rancœur et de toute idée de compétition religieuse. Cela est suffisamment démontré dans le présent dialogue interreligieux tout comme dans la période d'avant l'arrivée des religions étrangères dans notre pays et sur le sol du continent africain.

Par conséquent, que nul ne perçoive une menace quelconque à son existence en raison de l'avènement heureux de la journée du 15 mai qui consacre la délivrance et la purification des consciences des fils et filles du Burkina et de l'Afrique.
Dans la recherche continue de la cohésion sociale, l'État pourrait souligner fermement dans les textes d'application de la journée du 15 mai, le vibrant Appel à toutes les religions reconnues à éviter autant que possible dans leurs prêches, les dénigrements et les allusions à une autre confession religieuse quel que soit le thème développé par les célébrants.

Chaque religion confesse ses propres concepts et préceptes, et respecte ne serait-ce que par le silence, les autres religions et leurs concepts et préceptes à elles.
Vraiment, soyons suffisamment éclairés pour ne pas tomber dans la bêtise de nous disputer le "Bon Dieu" seul et unique en dépit de la différence des noms qui lui sont attribués par nous les pauvres humains.

Mais encore faut-il, au dessus de tout, que les fils et filles du Burkina obéissent pleinement à leurs propres lois et règlements et à commencer par leurs dirigeants eux-mêmes qui doivent donner le bon exemple.
Gloire à nos peuples, victoire à nos ancêtres et adoration profonde à Dieu, l'Éternel que nous appelons "NABA ZID WENDE" ou "WENNAM".

PS : Grandement merci aux Patriotes de la Transition et du Pays.

Qui est Anatole Gomtirbou TIENDREBEOGO ?

Anatole Gomtirbou TIENDREBEOGO est titulaire d'un doctorat de 3ème cycle en relations internationales. Il est diplomate de formation et de carrière.
Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Burkina Faso en République Fédérale d'Allemagne (Bonn) de 1981 à 1986
Adjoint du secrétaire Général de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) de 1995 à 1999, actuelle UA (Union Africaine)

Député à l'Assemblée générale de 1978 à 1980,
Ministre de l'environnement et du tourisme de 1992 à 1995.
Membre (DOYEN) du Conseil constitutionnel de 2015 à 2017.
Doyen de l'Association des Ambassadeurs du Burkina Faso à la retraite.
Commandeur de l'Ordre National.

Aujourd'hui à la retraite, il se consacre à l'écriture de ses mémoires et à son centre écologique.

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La grande famille BAMBARA et MONE à Garango, Ouagadougou, Bobo Dioulasso ont le profond regret de vous annoncer le décès de leur fils, petit-fils, oncle et père BAMBARA Yamnissou Luc Précédemment attaché d'éducation en service à Bingo décédé ce jour 01/05/24 des suites d'une courte maladie.

Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
Mercredi 1er mai 2024 : veillée de prière 19h00 au domicile familial sise au 1200 logements, villa 207

Jeudi 02 mai 2024 :
12h : levé du corps à la morgue de Bogodogo
Transfère au domicile familial à la villa 207 sise aux 1200 logements suivis de l'absoute à l'église saint Camille à 14h
14h : inhumation au cimetière de Karpala

Jésus dit : « je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ; et quiconque vit en croyant en moi ne mourra jamais. Croyez-vous cela » ?
Jean 11 ; 25-26

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Demande d'ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Ambongo : le clergé kinois qualifie cette initiative de « maladroite »

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 02/05/2024 - 10:44


L’Assemblée du clergé kinois (ACKIN), une structure de l’église catholique de Kinshasa, a qualifié de « maladroite » la demande d’ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Fridolin Ambongo.


Dans un message aux fidèles catholiques de Kinshasa, aux hommes et femmes de bonne volonté, publié mercredi 1er mai, l’ACKIN se dit convaincue de la rectitude des différentes interventions du Cardinal sur la situation socio-politique du pays.

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