La Fédération burkinabè de cricket (FBC), a tenu son assemblée générale élective le 2 novembre 2024 à Ouagadougou. La famille du cricket burkinabè a élu par acclamation Ibrahim Ndiaye président de la Fédération burkinabè de cricket, avec 11 voix sur 11. Les travaux se sont déroulés sous la supervision de Daouda Sanga et Dr Prosper Kaboré, représentants du ministère des Sports et des Loisirs.
Les délégués des clubs, ligues, districts des provinces et de Ouagadougou ont répondu présents pour mettre en place leur bureau exécutif, le 2 novembre 2024. Au préalable, les représentants du ministère en charge des Sports et des Loisirs ont rappelé à l'assemblée, les conditions de mise en place d'une fédération, le code électoral. A la suite, un bureau de séance de quatre personnes a été mis en place. Le bureau de séance a procédé aux vérifications des mandats des délégués en les appelant individuellement à la table pour montrer leurs documents. Le suffrage a donné 11 votants, soit 11 voix. Le mode de scrutin choisi est celui par liste, avec comme président Ibrahim Ndiaye. La liste du bureau exécutif a été portée à la connaissance de l'assemblée, et le présidentiable Ibrahim Ndiaye a été invité a présenté son programme de mandat. Sur ce, les votes pouvaient commencer, avec un bulletin unique sur lequel l'électeur écrit « Oui » ou « Non » dans un isoloir aménagé à cet effet, avant de le mettre dans l'urne.
L'assemblée générale électiveAprès le passage de tous les votants, le bureau de séance a procédé aux décomptes des bulletins et aux dépouillements, 11 voix, 11 oui, plébiscitant Ibrahim Ndiaye et son bureau, avec un ban nourri dans la salle. C'est un nouveau président tout ému, qui s'est ensuite prononcé. « Je remercie le ministère des Sports et des Loisirs de nous donner ce quitus pour renouveler notre bureau exécutif après celui du 13 mai 2023. Nous allons œuvrer à vulgariser cette discipline depuis la base, c'est-à-dire dans les écoles et les lycées, accorder une grande place à la formation des coachs, des arbitres. Nous allons la rendre attractive et compétitive sur le plan international. En plus de notre partenaire le ministère en charge des sports, nous allons chercher d'autres partenaires. Nous devons tendre vers une société sportive et nous atteler à la finalisation de notre affiliation à la Fédération internationale de cricket. Au terme de notre mandat quadriennal, nous voulons que le cricket soit parmi les dix meilleures disciplines sportives au Burkina », a fait savoir Ibrahim Ndiaye.
Le bureau exécutif de la Fédération burkinabè de cricketLes représentants du ministère des sports, se sont dit satisfaits du processus du vote qui s'est déroulé avec la plus grande rigueur et dans le respect des règles. Ils ont dit être impressionnés par le programme ambitieux du président et ont insisté sur un bon modèle de management, le travail en équipe et dans la cohésion.
Les élections se sont déroulées sous la supervision de Daouda Sanga(gauche) et Dr Prosper Kaboré du ministère en charge des sports.Le bureau exécutif de la Fédération burkinabè de cricket compte 11 membres, avec 2 commissaires aux comptes. Le vice-président est Daouda Soré, le secrétaire général Moussa Ouédraogo, le secrétaire général chargé de l'organisation Sanlé Da.
Barthélemy Kaboré
(Collaborateur)
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La Fédération burkinabè de floorball a tenu à Ouagadougou le 3 novembre 2024 son Assemblée générale élective (AGE). Une AGE dans le cadre des renouvellements des structures dirigeantes des sports et des loisirs, à l'instar des autres fédérations. La famille du floorball burkinabè, à l'issue de ses travaux, a élu par acclamation Adama Koanda et son bureau par 12 voix sur 12. L'AGE, s'est déroulée sous la supervision de deux agents du ministère en charge des sports, Adama Balima et Christian Héma.
La Fédération burkinabè de floorball a à peine 12 mois d'existence. Elle a été portée sur les fonts baptismaux le 16 septembre 2023. Les superviseurs du ministère en charge des sports ont lu à l'assistance les conditionnalités de l'élection : code électoral, récépissés des clubs et mandats valides, mode de scrutin. Avant l'entame proprement dite du processus électoral, le président Koanda est revenu succinctement sur les quelques activités menées par la fédération dans le laps de temps d'une année. Il s'est agi du bilan des activités, les championnats nationaux séniors et U17, qui ont eu lieu les 16 et 17 décembre 2023, les finales des championnats nationaux tenus avec 22 équipes venant de 12 clubs en hommes et dames, en provenance de quatre régions : le Plateau central, le Centre-ouest, le Sud-ouest et le Centre, et tout récemment il y a eu les finales des championnats séniors en hommes et en dames les 21 et 22 septembre 2024.
Les délégués de l'Assemblée générale élective.À la suite du bilan plutôt élogieux pour une jeune fédération, un bureau de séance de quatre personnes a été mis en place. Il a eu à vérifier les documents du collège électoral qui comprend les clubs, les districts, les ligues et les identités des votants. Le décompte des voix des votants a donné 12 voix. Le président-candidat, M. Koanda a brossé à l'assistance son programme électoral. Sur ce, les élections pouvaient commencer. Il s'est agi d'un scrutin par liste du candidat, avec un bulletin unique, où le votant inscrit « Oui » ou « Non ».
Au terme du processus, les dépouillements ont donné 12 voix sur 12, avec des acclamations de la salle.
Le nouveau président Adama Koanda s'est réjoui de l'aboutissement heureux de l'AGE. Il a fait savoir que pendant les quatre ans, il va travailler en symbiose avec son équipe, à la consolidation des acquis, poursuivre la vulgarisation de la discipline qui n'est pas encore bien connue. Le Bureau exécutif (B E) de M Koanda est composé de 19 membres et deux commissaires aux comptes. Il compte trois vice-présidents, le secrétariat général est assuré par Tégwendé Louis Nonguierma et le secrétariat général à l'organisation par Abdoulaye Konaté, la trésorerie du B E échoit à Mme Nadège Somda.
L'AGE s'est déroulée sous la supervision de deux représentants du ministère en charge des sports, Adama Balima(gauche) et Christian Héma.Le problème de l'Association burkindi de floorball(ABF), une aile dissidente dans le floorball, n'a pas été occulté. Le président Koanda a informé l'assemblée qu'il a eu à convier l'ABF pour des échanges, dans la perspective de son intégration dans le B E, mais cette dernière ne s'est pas montrée coopérative, elle campe sur ses positions en voulant faire un diktat sur la composition du bureau exécutif. Les superviseurs du ministère en charge des sports, a félicité l'organisation impeccable du processus électoral, ils ont exhorté le président et son bureau à maintenir le même engagement et la même volonté qui les ont guidés pour créer cette fédération afin de la faire grandir, ils invitent le B E, à travailler dans un climat apaisé par la concertation permanente.
Barthélemy KABORE
(Collaborateur)
La deuxième édition des Journées régionales de l'agroécologie des Hauts-Bassins se tient du 5 au 7 novembre 2024 à Bobo-Dioulasso. Ces journées sont organisées par la direction régionale de l'agriculture des Hauts-Bassins, avec l'appui du projet de « Protection et réhabilitation des sols pour améliorer la sécurité alimentaire (ProSol) ». Cette édition 2024 est placée sous le thème : « Quelles contributions de l'agroécologie à la sécurité alimentaire ? ».
Au cours des trois jours de travaux, il est prévu des panels, des débats et des témoignages, qui seront tenus par les acteurs du domaine tels que des cadres de l'administration, des chercheurs et agriculteurs. Les différentes communications vont permettre aux différents acteurs de réfléchir sur la contribution de l'agroécologie à la sécurité alimentaire au Burkina Faso et particulièrement dans les Hauts-Bassins. Il est prévu également des expositions dans la cour de la maison de la culture Mgr Anselme Titianma Sanon, en vue de faire découvrir aux participants la richesse des initiatives menées par les acteurs.
Les participants présents à la cérémonie de lancement des Journées régionales de l'agroécologieLes expositions concernent, entre autres, les produits issus de l'agriculture agroécologique ainsi que les produits et services qui facilitent la mise en œuvre de l'approche agroécologique notamment des pépiniéristes, des fournisseurs d'engrais organiques et biopesticides et des fabricants d'équipements agricoles, etc. Cette deuxième édition des Journées régionales de l'agroécologie des Hauts-Bassins se tient dans un contexte marqué par la rareté des ressources financières. « C'était un challenge pour nous l'organisation de cette édition. Malgré la modestie des moyens et la rareté des partenaires, nous avons pu relever le défi de l'organisation de cette édition », a confié le directeur régional de l'agriculture des Hauts-Bassins, Éric Pascal Adanabou.
Le directeur régional de l'agriculture des Hauts-Bassins, Éric Pascal Adanabou, se réjouit de la tenue de cette deuxième éditionCette deuxième édition des Journées régionales de l'agroécologie des Hauts-Bassins réunit les acteurs autour d'un thème essentiel et porteur de solutions. Il s'agit du thème : « Quelles contributions de l'agroécologie à la sécurité alimentaire ? ». Ce thème s'inscrit, selon les organisateurs de l'évènement, en continuité de la réflexion initiale sur l'état des lieux et les perspectives de l'agroécologie dans les Hauts-Bassins, lors de la première édition. Il s'agira, cette fois-ci, d'examiner la manière dont cette approche peut renforcer la sécurité alimentaire pour les communautés des Hauts-Bassins.
Promouvoir l'agroécologie au Burkina Faso
Aujourd'hui plus que jamais, l'agroécologie retient l'attention à travers le monde, confronté aux crises climatiques, aux défis de sécurité alimentaire et aux pressions économiques qui pèsent lourdement sur nos systèmes agricoles. Le contexte environnemental actuel du Burkina Faso est caractérisé par la dégradation de sols et l'amenuisement des ressources en eau, la perte de la biodiversité et la récurrence des sècheresses et inondations.
L'approche agroécologie apparaît ainsi comme une réponse adaptée à la sauvegarde du patrimoine naturel, au maintien des productions et à l'amélioration de la qualité de vie des populations.
C'est ainsi que le gouvernement a adopté en février 2023 la Stratégie nationale de développement de l'agroécologie. Cette stratégie 2023-2027 vise à renforcer l'agroécologie comme une solution durable pour l'agriculture nationale et une contribution solide à la sécurité alimentaire de notre pays.
Les échanges au cours de ces journées seront donc l'occasion d'approfondir ces enjeux et d'envisager des réponses concrètes. Les réflexions au cours des travaux vont s'orienter sur la contribution des acteurs à l'atteinte des objectifs de l'Offensive agropastorale et halieutique à l'horizon 2025. « Nous sommes dans un contexte de l'Offensive agropastorale et halieutique et toutes les contributions de nature à booster la production agricole au niveau des Hauts-Bassins sont les bienvenues », a justifié l'organisation de cette deuxième édition le directeur régional de l'agriculture des Hauts-Bassins, Eric Adanabou.
Ces journées visent la promotion de l'agroécologie dans la région des Hauts-Bassins. Le directeur régional de l'agriculture des Hauts-Bassins, Éric Pascal Adanabou, a traduit ses remerciements à tous les acteurs et partenaires pour leurs multiples actions dans l'organisation de ces journées, notamment au ProSol. Ce projet est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement et mis en œuvre par la GIZ. A la cérémonie de lancement de ces journées, c'est le coordonnateur régional du ProSol, Ahmed Sanon, qui a représenté le coordonnateur du Cluster transformation des systèmes agroalimentaires de la coopération allemande.
La photo de familleIl a rappelé que l'agroécologie, qui constitue un modèle agricole résilient et adaptatif, est au centre des préoccupations de la coopération allemande et de nombreux autres partenaires internationaux. « Au cœur des efforts déployés pour promouvoir une agriculture durable et résiliente, le Cluster transformation des systèmes agro-alimentaires de la Coopération allemande, regroupant huit projets engagés pour un appui structurel au monde agricole, se réjouit de pouvoir accompagner cette initiative. Cela témoigne de notre engagement à soutenir l'agriculture burkinabè et à renforcer sa résilience face aux défis actuels », a souligné Ahmed Sanon. Tout en réitérant la disponibilité de la coopération allemande à contribuer au succès et au rayonnement de ce cadre de concertation, il a témoigné sa volonté de faire de l'agroécologie un pilier central pour le développement durable dans les Hauts-Bassins et au-delà.
Il a par ailleurs salué les partenaires qui accompagnent l'organisation de cette activité notamment le ministère de l'Agriculture, le ministère de l'Environnement, le projet FAIR Sahel, l'IFDC à travers son projet Soil Values, le projet PAPEA du consortium HELVETAS-SNV ainsi que les collectivités territoriales et la société civile. C'est le haut-commissaire de la province du Tuy, Issiaka Segda, qui a représenté le gouverneur des Hauts-Bassins à cette cérémonie.
Le haut-commissaire de la province du Tuy, Issiaka Segda, félicite les organisateurs pour l'organisation de ces journéesPour sa part, il a rappelé que les pratiques agroécologiques sont en plein développement au Burkina Faso et ces journées constituent un cadre de partage d'expériences et de valorisation de l'agroécologie et sont en phase avec les actions mises en œuvre par l'Offensive agropastorale et halieutique. Il a par ailleurs souhaité que les échanges lors de ces travaux soient à la hauteur des attentes et aboutissent à des recommandations réalistes et réalisables pour l'avenir de l'agroécologie au Burkina Faso.
Romuald Dofini
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L'abbé Modeste Kafando, le nouveau vicaire de la paroisse Sacré Cœur de Donsin (dans le Plateau central), ordonné prêtre en 2011, est de retour avec la 4e édition de son « Livret de méthodologie d'études : Clés de réussite pour élèves ». La dédicace a été présidée ce mardi 5 novembre 2024 à Ouagadougou par le directeur général du Centre national des arts du spectacle et de l'audiovisuel (CENASA), Abraham Abassagué, et la directrice générale du livre et de la lecture publique, Laurence Zoungrana.
Le prêtre-écrivain semble être bien motivé dans l'écriture comme dans la pastorale. Après une première, une deuxième et une troisième édition qui ont rencontré l'assentiment du public national et international, il vient d'éditer la quatrième.
La dédicace du livret s'est tenue ce mardi 5 novembre 2024 au Centre national des arts du spectacle et de l'audiovisuel (CENASA) à Ouagadougou, en présence de paroissiens, d'acteurs du monde de l'éducation, de la famille et de passionnés de la lecture.
C'était en présence de Abraham Abassagué, directeur général du CENASA, représentant du ministre d'Etat, en charge de la culture, et de la directrice générale du livre et de la lecture publique, Laurence Zoungrana.
S'agissant du livret, objet de la présence dédicace, il faut dire qu'il est composé de deux sections comptant 65 pages. Le livret a été présenté par Maxime Bako, enseignant en communication. Selon lui, c'est un guide méthodologique, bien écrit très facile à lire. Cette quatrième édition, parue aux éditions Ettore, a été revue et enrichie, dit-il. Sur les pages 11 et 12, l'auteur donne à ses lecteurs un avant-goût du contenu du livret, et insiste sur l'importance et la place de l'apprentissage et de la discipline dans la réussite scolaire.
Dédié aux élèves, étudiants, ainsi qu'à tout apprenant, « Livret de méthodologie d'études : Clés de réussite pour élèves » est né de la volonté de son auteur de les aider à mieux étudier pour réussir leurs études scolaires et académiques. Poursuivant la présentation de l'œuvre, Maxime Bako souligne que l'auteur propose une voie à suivre si l'on veut être excellent dans ses études.
L'abbé Modeste Kafando, auteur de « Mon livret de méthodologie d'études : Clés de réussite pour élèves »« Et en la matière, il parle des clés variées anciennes et nouvelles, présentant les différents processus ouvrant davantage aux apprenants à qui le sacre est un élément caractéristique. C'est-à-dire prendre des notes pendant les cours et de les assimiler avec la plus grande aisance. La gestion de son horaire, de son planning en dehors des classes, toute chose qui pourrait éviter des pertes de temps », détaille l'enseignant en communication. Il ajoute à cela un autre aspect, celui de la bonne disposition mentale de l'apprenant, de son bon état physique et son hygiène alimentaire. La liste n'est pas exhaustive.
Abraham Abassagué, directeur général du CENASA et président de la cérémonie de dédicaceLa sortie de ce livret est à féliciter, selon la directrice générale du livre et de la lecture publique, Laurence Zoungrana, et le directeur général du CENASA, Abraham Abassagué. Pour le représentant du ministre, M. Abassagué, la production de l'abbé Kafando est un plus pour notre patrimoine et permettra de s'assurer que les enfants vont lire quelque chose de sain, qui porte nos valeurs. Et à la directrice générale du livre et de la lecture publique, Laurence Zoungrana, d'ajouter que le livret vient renforcer également la bibliothèque nationale. Tout en saluant la solidarité de l'abbé Modeste Kafando pour le fait qu'il a offert gracieusement 108 exemplaires pour les centres publics de lecture, elle a souhaité qu'il puisse trouver toujours du temps pour ces genres d'ouvrage d'utilité publique. C'est d'ailleurs pour cela que l'auteur a lancé un appel à contribution afin de pouvoir imprimer au moins un milliers d'exemplaires pour les enfants PDI ou vulnérables. Le livret est disponible dans toutes les surfaces de vente des livres au prix unitaire de 3 000 FCFA.
Remise symbolique d'un exemplaireYvette Zongo
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« Acquis et défis de l'agriculture de conservation dans la commune rurale de Guibaré (province du Bam, Burkina Faso). » C'est sur ce thème que Souleymane Sankara a soutenu sa thèse de doctorat en géographie, ce mardi 5 novembre 2024, à l'université Joseph Ki-Zerbo. La présidence du jury était assurée par Pr François de Charles Ouédraogo. Sur la même table que lui, Pr Ousmane Nébié et Pr André Marie Soubeiga, respectivement directeur et co-directeur de thèse. Pr Sokemawou Koudzo et Pr Mariam Myriam Zongo étaient les rapprteurs. Pr Nadège Compaoré elle, officiait en tant qu'examinateur. Après présentation de son document de plus de 350 pages, l'impétrant a été élevé au grade de docteur avec la mention Très honorable.
La thèse de Souleymane Sankara s'inscrit dans un contexte où l'Etat burkinabè a lancé l'offensive agro-sylvo-pastorale. « C'est une thèse à cheval sur plusieurs programmes. Le programme de conservation des eaux et des sols, l'agriculture de conservation. La nouvelle méthodologie ici vient compenser la première. Il y a des recoupements par rapport aux principes. Et en faisant le point, certains d'entre eux peuvent être pris en compte pour nourrir le programme de conservation des eaux et des sols. Et si on s'appuie sur la notion d'avantage comparatif, on peut retenir certains principes de l'agriculture de conservation, qui viendront en soutien aux programmes déjà existants au programme de conservation des eaux et des sols », a laissé entendre Pr Ousmane Nébié.
« Souleymane Sankara est un étudiant que j'ai encadré il y a plus de trente ans », Pr Ousmane NébiéParlant d'agriculture de conservation, il s'agit d'un système qui met simultanément en œuvre trois principes. « Le premier, c'est le travail minimal du sol en ne le labourant plus. Le deuxième consiste à faire une couverture permanente du sol. Le troisième, consiste à l'association de cultures variées de sorte à ce que la diversité culturale puisse se faire correctement », a résumé l'impétrant. Au terme de ces recherches, ce dernier est parvenu à la conclusion selon laquelle l'agriculture de conservation améliore les revenus des producteurs de la commune de Guibaré, et contribue à assurer une sécurité alimentaire des producteurs qui l'ont adoptée. Il est aussi ressorti que l'agriculture de conservation contribue à la protection de l'environnement, à travers l'accroissement de la biodiversité, la récupération des terres dégradées, etc.
« En 1993, j'ai soutenu une maîtrise sur les enjeux fonciers dans deux villages du Passoré. En 2015, j'ai fait un master en géographie », Souleymane SankaraEn termes de perspectives, deux thèmes de recherche : les facteurs incitatifs et les facteurs de blocage. Dans un second temps, le doctorant a proposé la mise en place d'une plateforme de concertation. « Elle devra réunir les producteurs et les structures d'appuis. L'objectif est de mettre en place des stratégies pour vulgariser l'agriculture de conservation dans la zone cible, en fonction des limites identifiées » a-t-il dégagé. A la question de savoir quelle stratégie mettrait-il en place pour ce faire si toutefois il était ministre de l'agriculture, Souleymane Sankara soutient qu'il aurait mis l'accent sur la mobilisation des ressources. « Il se trouve que nos travaux s'inscrivent déjà dans le cadre de la stratégie de formation et de l'agroforesterie, opérationnelle depuis 2023 au Burkina. Si j'étais un responsable du ministère, j'aurai misé sur la mobilisation des ressources, pour mettre en œuvre cette stratégie, en cohérence aux résultats auxquels je suis parvenu » a-t-il proposé.
Le désormais Dr en géographie, son épouse et les jurés de sa thèse, ensemble sur la photo de familleEn l'élevant au grade de docteur en géographie, le jury a estimé que le fruit de ses recherches était satisfaisant. « Son travail prouve qu'il a fait le terrain pendant de longs séjours. Les résultats sont originaux et doivent être vulgarisés au bénéfice des paysans et producteurs. Le jury a jugé bon de lui attribuer la mention Très honorable, ce qui signifie que le travail était de la taille d'une thèse de bonne qualité », a justifié Pr François de Charles Ouédraogo, tout en l'invitant à prendre en compte les observations faites par les jurés.
« Il y a une reprise dans l'introduction de la partie 1 et l'introduction du chapitre 1. Il faut revoir cette partie », Pr François de Charles OuédraogoErwan Compaoré
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Dans un communiqué publié ce mardi 5 novembre 2024 sur sa page Facebook, la Gendarmerie nationale annonce le démantèlement de réseaux de présumés auteurs de braquages à mains armées.
En effet, selon le même communiqué, la Brigade Ville de Gendarmerie de Yagma a au cours du mois d'octobre 2024 reçu de nombreuses plaintes de braquages à mains armées et de vols. Une enquête a alors été ouverte et, après investigations, treize (13) personnes ont été interpelées pour des faits de braquage dans la ville de Ouagadougou.
Ces malfrats âgés de 18 à 26 ans opéraient dans les quartiers Bassinko, Gambre-yaaré, Marcoussis et Yagma et particulièrement dans les boutiques, les voies non éclairées et les abords des auberges.
Le mode opératoire consistait à menacer leurs victimes au moyen d'armes à feu, d'armes factices et d'armes blanches pour les déposséder de leurs motos, téléphones portables, argent et autres objets de valeur. Les motos volées sont ensuite soit vendues en l'état, soit dépiécées avant d'être vendues.
Après perquisition, le matériel suivant a été saisi :
– Cinq (05) pistolets automatiques dont deux (02) factices,
– Des couteaux,
– Quatre (04) motos,
– Des pièces de motos
– Un (01) ordinateur portable
Les treize (13) présumés auteurs seront présentés à Monsieur le Procureur du Faso, près le Tribunal de Grande Instance OUAGA I. Par ailleurs, les investigations se poursuivent pour non seulement retrouver quatre (04) autres délinquants en cavale mais aussi pour démanteler d'autres réseaux.
La Gendarmerie nationale saisit l'occasion pour interpeller ceux qui sont légalement détenteurs d'armes à feu à prendre toutes les précautions afin que ces armes ne se retrouvent entre les mains de leurs progénitures ou de bandits.
La Gendarmerie Nationale, tout en remerciant la population pour sa franche collaboration, l'invite à redoubler de vigilance et à poursuivre les dénonciations aux numéros verts suivants :
16 ou 80 00 11 45 : Gendarmerie Nationale
1010 : Centre National de Veille et d'Alerte
17 : Police Nationale
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Source : Page Facebook de la Gendarmerie nationale
L'International fertilizer development Center (IFDC), en collaboration avec le programme « Soil Values » et les acteurs nationaux du Hub organise deux jours d'atelier à Ouagadougou du 5 au 6 novembre 2024. Le premier jour sera consacré à la compréhension du Hub régional et de ses rôles, à la collecte d'informations sur les initiatives liées aux engrais et à la santé des sols et à la priorisation de l'engagement du Hub au Burkina Faso. Le deuxième jour se penchera sur l'élaboration du plan d'action et les activités futures à conduire.
Le consortium Institut international d'agriculture tropicale (IITA), International fertilizer development center (IFDC), Africa plant nutrition institute (APNI), Office chérifien de phosphate Afrique (OCP-Africa), l'Université polytechnique Mohamed 6 (UM6P), a officiellement lancé le 26 juin 2024, le Hub régional pour les engrais et la santé des sols pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel.
Le Hub vise à améliorer la santé des sols et la productivité agricole à travers la région. Il est hébergé sur le campus de l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) à Ibadan, au Nigéria, avec un financement initial de la Banque mondiale et d'OCP-Africa.
Dr Poulma Louis Yaméogo représentant du secrétaire général du ministère en charge de l'AgricultureLe rôle principal du Hub est de fournir une assistance technique au développement et à la mise en œuvre d'investissements dans les engrais et la santé des sols dans les pays de l'Afrique de l'Ouest y compris la Mauritanie et le Tchad. Il est destiné aux pays de l'Afrique de l'Ouest et du Sahel afin d'améliorer la santé des sols à long terme et la gestion de la fertilité pour un rendement et une rentabilité accrue, une utilisation efficace des ressources (nutriments, eau, main-d'œuvre, semences) et la résilience au climat.
Après son lancement, le Hub régional passe maintenant à la phase de mise en œuvre qui est l'organisation des ateliers nationaux dans les pays.
Pour Dr Poulma Louis Yaméogo, représentant du secrétaire général du ministère en charge de l'agriculture, le Hub est une occasion pour l'ensemble des acteurs du secteur de l'agriculture de se réunir et de réfléchir sur les actions à mener pour faire face à la forte dégradation de la terre. Il pense que cet atelier est le bienvenu. Car, il est nécessaire que des réflexions soient menées en vue de trouver des solutions pour la préservation de la santé des sols.
Selon Dr Boubacar Diagana, directeur du département impact de l'IFDC global et représentant de l'IFDC au Sénégal, en 2050, il va falloir nourrir 10 milliards de personnes dans le monde.
Dr Boubacar Diagana directeur du département impact de l'IFDC global et représentant de l'IFDC au Sénégal« La population croît et les besoins alimentaires également. Donc, il faudrait produire pour nourrir toutes ces personnes. Nous constatons que la terre connaît un problème de dégradation. La terre se dégrade à un rythme rapide. La santé des sols est primordiale. Elle doit passer par l'utilisation raisonnée et équilibrée des engrais et une bonne pratique paysanne. Donc, au niveau ouest-africain, il y a cette initiative qui vise à coordonner tous nos efforts pour pouvoir protéger les sols », a-t-il indiqué
Rama Diallo
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Ouagadougou abrite du 4 au 6 novembre 2024, l'atelier national de validation de l'avant-projet de loi portant code de l'urbanisme et de la construction au Burkina Faso. 72 heures durant, la cinquantaine de participants constitués d'acteurs de la chaîne foncière, les collectivités territoriales et de ceux intervenant dans le domaine de la construction et de l'urbanisation (ingénieurs en génie civil, architectes, urbanistes, etc.) vont passer en revue les différentes composantes du document, en vue d'apporter des amendements pour le parfaire. L'objectif visé à travers la relecture de ce cadre législatif, est d'alléger les procédures et de rationaliser les structures pour une meilleure appropriation et une facilité d'exploitation par les citoyens.
L'ancien code de l'urbanisme et de la construction est en vigueur depuis 2006. En 18 ans, plusieurs évolutions en lien avec les techniques et technologies de construction ainsi que les modalités d'aménagement urbain ont été enregistrées. Sur le plan législatif, l'adoption de lois portant sur la promotion immobilière, la copropriété des immeubles bâtis, sur le régime foncier rural et la loi portant réorganisation agraire et foncière, sont autant de nouvelles réalités auxquelles il faut s'adapter dans le domaine de l'urbanisme.
Et Mikaïlou Sidibé, ministre de l'habitat et de l'urbanisme, d'ajouter que la démographie galopante et la densification continue des villes, posent la nécessité de repenser le traitement des déchets, l'évacuation des eaux pluviales pour éviter les inondations, le stationnement dans les centres urbains ainsi que la nécessité de la prise en compte de l'efficacité énergétique dans le bâtiment. C'est au regard de tous ces aspects, que le ministère en charge de l'habitat et de l'urbanisme a entrepris depuis mai 2024, la relecture des textes contenus dans la loi.
Mikaïlou Sidibé, ministre de l'urbanisme et de l'habitatDes innovations qui seront apportées au nouveau code
Le nouveau code de l'urbanisme et de la construction va comporter trois grandes parties que sont l'aménagement urbain, l'architecture et le contrôle. Entre autres innovations introduites dans ce nouveau code il y a la mise à disposition d'un nouvel outil de planification urbaine, le Plan d'urbanisme de détails (PUD), qui prend en compte les capacités financières des collectivités ; une règlementation claire sur la voirie urbaine et le drainage des eaux pluviales afin de prévenir les inondations. A cela s'ajoutent la prise en compte de la problématique du stationnement dans la planification urbaine et les opérations de construction ; la prise en compte aussi de l'efficacité énergétique dans les bâtiments. Aussi, l'avant-projet de loi prévoit la création d'une commission nationale de sécurité immobilière pour se prononcer sur les cas de démolition ainsi que d'un centre technique du bâtiment.
Autres innovations, l'introduction de nouvelles opérations d'urbanisme telles la requalification urbaine, la restauration urbaine pour répondre aux réalités économiques et sociales du pays ; ainsi que des actes de construction comprenant des autorisations de construction tel le permis de modifier pour les travaux à exécuter sur les constructions existantes, lorsqu'ils ont pour effet d'en changer l'usage, de modifier leur aspect extérieur ou volumétrique, leur structure ou de créer des niveaux supplémentaires et des autorisations d'exploiter tel le certificat d'occuper qui est une alternative au certificat de conformité exigée pour les ouvertures des établissements dans des bâtiments déjà existants ne pouvant plus disposer de certificat de conformité.
Vue du publicUne fois les différents amendements apportés et le projet de loi validé, l'ambition du ministère de l'Urbanisme, est de mettre à la disposition du pays, un code de l'urbanisme et de la construction adapté, actuel mais aussi futuriste. Le texte devrait être soumis au conseil des ministres, d'ici la fin de l'année 2024, a fait savoir le ministre Mikaïlou Sidibé.
Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Bonaventure Paré
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La grande Famille TIEMTORE, TIENDREBEOGO, GUIGMA, ILBOUDO, COMPAORE, KALMOGHO, ET SIMPORE
Les familles alliées : YAGUIBOU, SAWADOGO, KINDA
Mr TIEMTORE Jean Pierre et ses enfants : JOSIANE, LAETICIA, FAUSTIN, ALIDA et GRACE
Très touchés par les nombreuses marques de soutiens et de sympathies lors du rappel à Dieu le vendredi 9 Février 2024 à 0uagadougou et de l'inhumation le mardi 13 Février à Ouagadougou de leur épouse, fille, sœur, mère, grand-mère Mme TIEMTORE/KALMOGHO HELENE
La famille vous informe par ailleurs de la tenue de la grande messe de requiem faisant office de funérailles chrétiennes selon le programme suivant
• Vendredi 8 novembre 2024
Veillée de prière à l'église saint François d'assise à 20h00
• Samedi 9 novembre 2024
Grande messe de requiem à l'église saint François d'assise à 7H30 mm
Que par la miséricorde de DIEU, les âmes de nos fidèles défunts reposent en paix
L'Institut des sciences et techniques de l'information et de la communication (ISTIC) a officiellement ouvert le lundi 4 novembre 2024, à Ouagadougou, ses journées scientifiques. Le thème de cette année est « Entrepreneuriat en ISTIC, une autre opportunité d'emploi ». La cérémonie s'est déroulée sous la présidence du secrétaire général de l'institut, Aousségué Abem, par ailleurs représentant de la directrice générale Dr Alizèta Ouoba/Compaoré. Le Pr Serge Théophile Balima en était le parrain.
Ces journées scientifiques se tiennent en prélude à la cérémonie officielle de sortie de la 36e promotion de l'ISTIC prévue pour le 8 novembre 2024. Après les différents discours, les officiels ont procédé à une visite guidée de stands dressés pour l'occasion. « La transformation numérique et l'évolution rapide des technologies de l'information et de la communication ont ouvert un monde d'opportunités aussi bien pour les entreprises que pour les individus désireux de faire carrière dans le domaine de l'information et de la communication. A l'ISTIC, notre mission ne se limite pas seulement à former des diplômés dans le domaine de l'information et de la communication. En plus de former du personnel compétent, nous inculquons aussi à nos étudiants l'esprit d'entrepreneuriat, d'initiative, de créativité et d'innovation afin d'être au rendez-vous des défis contemporains », a laissé entendre le représentant de la directrice générale.
L'ISTIC inculque à ses étudiants l'esprit d'entrepreneuriatIl a souligné que les secteurs comme la cybersécurité, le développement du web, les techniques et technologies des médias, la gestion des données, la gestion des plateformes numériques sont, entre autres, des opportunités. « En tant que creuset du journalisme et de la communication au Burkina Faso, nous devons préparer nos étudiants à saisir non seulement ces opportunités, mais également à devenir des leaders remarquables dans ces domaines », a indiqué monsieur Abem.
A la tribune pour échanger avec la jeune génération, des anciens de l'institutEt pour ce faire, l'ISTIC a organisé un panel de partage d'expériences au profit de ses stagiaires. A la tribune pour échanger avec la jeune génération, des anciens de l'institut. Il s'agit de Dr Cyriaque Paré, fondateur du journal en ligne Lefaso.net, de Ali Traoré, fondateur d'Exodus communication, de Ibrahim Sangaré, promoteur d'Ébène Burkina et de Evariste Wend-Kouni Compaoré, manager de E-C Design. Avec les stagiaires de l'école, ils ont évoqué leurs parcours dans la création et la gestion de leurs différentes entreprises.
A noter que le secrétaire général de l'institut, Aousségué Abem a salué la mobilisation des écoles sœurs et traduit sa profonde gratitude au président du conseil scientifique de l'ISTIC, le professeur Serge Théophile Balima, parrain de la cérémonie de sortie.
Rama Diallo
Lefaso.net
Lien d'inscription : https://forms.gle/SagTM6uNBHft6LCr6
Formation 1 : Formation en gestion des projets alimentaires et nutritionnels (Certificat)
Cette formation vise à doter les participants des compétences nécessaires pour concevoir, mettre en œuvre et évaluer des projets destinés à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle d'une population.
Les objectifs sont multiples : comprendre les enjeux de la malnutrition, maîtriser les outils de gestion de projet, développer des projets durables, favoriser la collaboration multisectorielle et renforcer les capacités en matière de suivi-évaluation. Les thèmes abordés incluent les déterminants de la malnutrition, les cycles de vie des projets, la gestion de budgets, le suivi-évaluation, la communication et la collaboration.
Formation 2 : Formation des Formateurs en Genre et Développement (Attestation)
L'Objectif de cette formation est de former des multiplicateurs capables de transmettre les connaissances sur le genre, de promouvoir l'égalité et d'accompagner les organisations dans l'intégration de cette perspective dans leurs actions.
Les participants acquièrent les compétences nécessaires pour concevoir et animer des formations, analyser les programmes sous l'angle du genre, et développer une approche critique.
Formation 3 : Management des conflits et prévention de l'extrémisme violent (Certificat)
Cette formation vise à former des acteurs capables de prévenir et de résoudre les conflits, en particulier ceux pouvant conduire à l'extrémisme violent.
Les participants apprendront à identifier les facteurs de risque, à mettre en œuvre des programmes de prévention, à renforcer les capacités des communautés et à contribuer à la construction d'une paix durable.
– Le naaba KAONGO, chef de canton de SAO
– La grande famille SAWADOGO à kaonghin, kinana (province du kourwéogo) et à ouagadougou .
– Le tingsoaba de kaonghin
– Monsieur Pierre SAWADOGO, entrepreneur et Président de la féderation de ASFA-Cyclisme à kologh-naaba et frères.
– Les enfants et petits-enfants de la défunte ont le profond de vous annoncer le décès de suite de maladie de :
SAWADOGO Noaga Marie à l'âge de 84 ans.
Décès survenu le dimanche 13 Octobre 2024
Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
Mercredi 16 Octobre 2024
20H00 : veillée de prière au domicile familiale sis à kologh-naaba.
JEUDI 17 Octobre 2024
11H00 : levée du corps à l'hôpital de Bogodogo pour le domicile familial à kologh-naaba.
14H00 : Absoute à l'Eglise Notre Dame du Rosaire à kologh-naaba suivi de l'inhumation au cimetière de kamboinsin.
Jean 11-25 ‘'Je suis la résurrection et la vie.
Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort''.
Les grandes familles TOE, ZERBO, PARE, DRABO, WASSIN, TRAORE, KI , KI-ZERBO , SAMA et alliés COMPAORE, KAGONE, BAMBA,NEBIE , SAWADOGO OUEDRAOGO et SANA
Très touchées par les nombreuses marques de sympathie, d'affection et de soutiens multiformes qui leur ont été témoignés,
Vous remercient pour votre présence, vos pensées, vos paroles réconfortantes, vos dons, ainsi que pour le témoignage de votre soutien, de votre amitié ou de votre amour en ce moment de deuil,
Expriment leur reconnaissance et leur profonde gratitude à tous et à toutes. Puisse Dieu rendre au centuple vos bienfaits.
Votre bienveillance et vos gestes d'affection nous ont profondément touchés et nous ont apporté du réconfort dans ces moments difficiles. Nous vous remercions sincèrement d'avoir honoré la mémoire de notre mère, grand-mère, sœur, tante et fille
Adja TOE Maimouna née WASSIN
Décès survenue le 06 octobre à l'hôpital de Bogodogo.
L'inhumation à eu lieu à Tougan ( Zinzin-Da) le 8 octobre 2024 suivi du Doua le 10 octobre 2024
Que son souvenir continue de vivre en chacun de nous.
INNA LILAHI WA INNA ILA YHI RAJIHOUN !!!
La vie du juste est dans la main de Dieu
Paix à son âme
Amen !!!