Afin de marquer la célébration du déclenchement de la Révolution, les responsables du Front des forces socialistes (FFS) se sont rendus dans la wilaya de Jijel où une rencontre populaire a eu lieu.
Dans son intervention, Mohamed Hadj Djilani, premier secrétaire national du FFS, a souligné que «le pouvoir empêche les Algériens de demander et d’exiger leurs droits». Dans sa critique du régime politique, Hadj Djilani n’a pas lésiné sur les mots pour accuser les gouvernants d’être «responsables» de la crise «de confiance» entre eux et les citoyens. «Ils n’ont qu’un seul souci, perdurer au pouvoir», a-t-il encore dit, dénonçant, au passage «la corruption, la répression, les passe-droits et les injustices». «Le pouvoir veut tout accaparer, à commencer par le Parlement, la presse, la justice, faire taire la société civile à travers les intimidations, les pressions, les procès en justice et les licenciements abusifs», a-t-il souligné. Il considère que ces pratiques renseignent sur le fait que «ce pouvoir veut exclure définitivement le peuple dans les prises de décisions» en imposant «la politique de la fuite en avant, du fait accompli, de la carotte et du bâton». Hadj Djilani a ajouté que le FFS «dénonce le non-respect des droits de l’Homme et les atteintes répétées aux libertés, notamment des militants associatifs et des journalistes». «Ces pratiques sont celles de dictateurs que notre pouvoir a adoptées derrière de faux slogans nationalistes pour tromper l’opinion», a encore déclaré le premier secrétaire du FFS, précisant que «nous sommes actuellement face à un pouvoir qui oppose la force à la force politique».
Concernant la dernière crise qui a secoué l’Assemblée nationale, Hadj Djilani a estimé qu’elle entre dans les tentatives du pouvoir «de soumettre le pouvoir législatif», et ce, après avoir «soumis le pouvoir judiciaire». «Les échecs de ce système politique hypothétique l’avenir du pays, celui de cette génération et celles à venir», a-t-il mis en garde. Expliquant que «le flou qui caractérise la vie politique nationale et le vœu du pouvoir de maintenir le statu quo en sont la preuve». Concernant les positions de son parti, l’hôte de Jijel a rappelé que le plus vieux parti de l’opposition «a choisi son camp», qui est celui «du peuple, source de toutes les légitimités». «Notre camp est celui du changement, celui des militants des droits de l’Homme, des journalistes, des syndicalistes, des militants associatifs…, qui luttent chaque jour pour un Etat de droit, pour la démocratie et la liberté.» Par ailleurs, Mohamed Hadj Djilani a plaidé pour la nécessité de mettre sur pied «une Assemblée constituante», seule à même de «résoudre la crise multidimensionnelle que traverse le pays et promouvoir un consensus national». Il a informé que Jijel n’est qu’une halte dans une série de rencontres avec les citoyens à travers plusieurs autres wilayas.
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Le ministère de la Santé est en cours de désignation de services hospitaliers de référence, autorisés à prescrire ces thérapies, avait indiqué le directeur général de la PCH à Liberté.
Un comité d’experts s’est réuni à la mi-octobre au siège du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour désigner les centres anticancéreux habilités à commander les traitements d’oncologie innovants, dont l’immunothérapie auprès de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH). Trois structures ont été retenues : le Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’Alger, le service oncologie d’Oran et celui de Constantine. Il y a quelques semaines déjà, des oncologues et des associations d’aide aux personnes atteintes de cancers sont montés au créneau pour dénoncer le retard mis dans l’approvisionnement des hôpitaux en ces médicaments qui avaient obtenu l’AMM (autorisation de mise sur le marché) par le ministère de tutelle en janvier 2018. Les autorités sanitaires avaient alors expliqué, par la voix du directeur général de la PCH contacté par Liberté, que “les patients traités par ces produits doivent être suivis de manière rigoureuse. Pour cette raison, le ministère de la Santé est en cours de désignation de services hospitaliers de référence, autorisés à prescrire ces thérapies. Leurs établissements peuvent alors faire une commande officielle et nous procèderons à l’importation de ces produits”. Trois services sont choisis pour remplir ce rôle. Les praticiens et les patients, qui ne dépendent pas de ces structures sanitaires, s’insurgent contre ce qu’ils considèrent comme “une démarche sélective dans la prise en charge des malades, et ce, en contradiction avec les orientations du président de la République qui, en 2012, avait insisté pour rapprocher les soins aux malades”. La mesure restrictive du département dirigé par le
Pr Mokhtar Hasbellaoui va exacerber la pression sur ces centres référence, contraints à prendre en charge les malades traités par ces produits, à l’échelle nationale. Les malades, résidant loin de ces structures, devront parcourir des centaines de kilomètres, subissant les aléas des transports et de l’hébergement et, bien entendu, les frais y afférents pour se faire soigner. L’option du département ministériel de tutelle fait apparaître nettement des inégalités dans l’accès aux soins pointus. Les oncologues, qui n’ont pas été associés à la décision, s’interrogent, par ailleurs, sur les critères d’éligibilités des patients, qui ne sont guère précisés. Le pays a-t-il les moyens d’acheter ses médicaments, coûteux, pour toutes les personnes atteintes des cancers auxquelles ils seront prescrits, sachant qu’ils sont indispensables pour le mélanome malin, le cancer du poumon, le cancer du rein, le cancer de la vessie ? Les prix élevés de ces innovations thérapeutiques (environ 2 600 euros la boîte la moins chère) sont assurément rédhibitoires pour les pouvoirs publics. Dès lors qu’elles sont dûment enregistrées dans le pays, elles doivent être accessibles à tous, estime-t-on.
Souhila H.
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Au moins 55 anciens députés font l’objet d’une expulsion de leurs logements à la cité « Les Mimosas » de Staoueli. Des logements qu’ils ont occupés depuis 1997. Ces anciens parlementaires ont reçu des ordres d’expulsion le 02 novembre dernier de la part de la direction de la résidence d’État de Club des pins. Hier, « le portail de la résidence a été fermé par un cadenas », témoigne un ancien député. Ce dernier affirme que durant leur mandat, lui et ses camarades payaient les loyers de ces logements.
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La compagnie table sur la déshydrogénation du propane qui permet de produire du propylène, plastique utilisé par de nombreuses industries, dont l’automobile, et de fabriquer des composants de l’habitacle des véhicules.
La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, envisage de se lancer dans l’industrie de la sous-traitance automobile, apprend-on de sources sûres. Et, l’attelage peut être monté au complexe pétrochimique de déshydrogénation du propane et de production de polypropylène, en projet à Arzew. Le complexe est le fruit d’un partenariat entre la compagnie nationale et Total.
Début octobre dernier, les deux associés ont créé une société commune dénommée Sonatrach Total Entreprise Polymère (Step), détenue à 51% par Sonatrach et à 49% par Total. Elle est chargée de construire et de gérer le complexe en question. Le projet implique un investissement de l’ordre de 1,4 milliard de dollars. La capacité de production sera de 550 000 tonnes par an, que STEP va commercialiser. Sonatrach fournira annuellement, à partir des installations de gaz de pétrole liquéfié à Arzew, les 640 000 tonnes de propane nécessaires au projet. Techniquement parlant, c’est la déshydrogénation du propane qui permet de produire du propylène, plastique utilisé par de nombreuses industries dont l’automobile, et de fabriquer des composants de l’habitacle des véhicules, souligne notre source. Actuellement, l’Algérie importe 100% de ses besoins en polypropylène. La compagnie nationale des hydrocarbures a également noté dans ses tablettes la construction d’une usine de fabrication de pneumatiques.
C’est, ajoute-t-elle, tout à fait faisable et les retombées seront favorables, Sonatrach étant présente dans un réseau de distribution de produits pétroliers assez dense à travers sa filiale Naftal. Mais avec quel partenaire va-t-elle collaborer pour réaliser un tel projet ? Notre source s’est gardée d’en dire davantage. Sonatrach compte ainsi mettre en place un écosystème qui soit en mesure de tirer vers le haut la sous-traitance industrielle. Elle entend garder deux fers au feu : elle veut être activement impliquée dans le développement et la fabrication de produits en sous-traitance pour des clients opérant dans le secteur automobile, et assurer une meilleure maîtrise des frais généraux relatifs à l’industrie pétrolière et gazière grâce à la sous-traitance locale. Du reste, la compagnie nationale a établi une stratégie visant à promouvoir et à intégrer le contenu local dans ses plans de développement de manière à porter en 2030 le taux d’intégration industriel national à 55%.
Un objectif réalisable ? Pour l’atteindre, Sonatrach fait appel aux entreprises algériennes pour saisir les opportunités d’investissement qu’offre son plan de développement et s’impliquer fortement dans la réalisation des projets porteurs d’amélioration du niveau d’intégration industrielle nationale. Kamel Agsous, président de la coordination nationale des bourses de sous-traitance, présent à une rencontre sur le développement de la sous-traitance organisée hier par la Confédération des industriels et des producteurs algérien (Cipa) à Alger, a relevé que cet objectif sera particulièrement ambitieux. Et s’il est réalisé, cela, a-t-il poursuivi, va permettre à Sonatrach de faire des économies de l’ordre de 14 milliards de dollars. M. Agsous a cependant estimé qu’au rythme actuel de production automobile, il serait illusoire de prétendre porter le volume de fabrication à 500 000 unités à l’horizon 2021, comme projeté par les pouvoirs publics.
Youcef Salami
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2017 gibt Wladimir Klitschko (42) den Rücktritt aus dem Boxring bekannt. Jetzt erklärt der mehrfache Schwergewichtsweltmeister in einem Interview, dass er eine Rückkehr nicht ausschliesst. Doch dafür «müsste es um was Aussergewöhnliches gehen».
Ein Jahr ist her, als der 42-jährige Wladimir Klitschko im Wembley gegen Anthony Joshua (29) verliert. Das Jahr 2017 steht ganz im Zeichen der Wachablösung im Box-Schwergewicht. Seither hat der Brite Joshua einen Lauf und bleibt weiterhin ungeschlagener Weltmeister.
Und Klitschko? Der Ukrainer und Wahl-Hamburger vermeldet noch im selben Jahr per Videobotschaft, dass er sich aus dem Box-Sport zurückzieht. «Es gibt immer einen Punkt im Leben, an dem wir ein neues Kapitel beginnen und neue Herausforderungen annehmen müssen oder wollen. Es ist genau jetzt der Zeitpunkt, diesen Wendepunkt einzuleiten».
Es ist alles andere als ein definitiver Rücktritt aus dem Ring. 27 Jahre lang kämpfte Wladimir – 64 Siege in 69 Profikämpfen. Jetzt denkt Klitschko tatsächlich an ein Comeback in den Boxring. Doch dafür «müsste es um etwas Aussergewöhnliches gehen», wie der Ukrainer in einem Interview mit «Fox Sports» betonte. «Wenn mich etwas aus dem Ruhestand bringen soll, dann muss es sich um etwas Unglaubliches handeln.» Für den früheren Schwergewichtsweltmeister von 2000 bis 2003 und 2006 bis 2015 kommt der «aussergewöhnliche Moment» weder heute noch morgen zu Stande.
Es geht nicht um Geld, sondern um den RekordSollte er im Alter von 46 Jahren noch fit genug sein, könne der «aussergewöhnliche Moment sein, den Rekord zu brechen und der älteste Schwergewichtsweltmeister zu werden», so Klitschko. Dabei gehe es ihm nicht um Geld, sondern um den Rekord von 1994. George Foreman (USA) hatte damals mit 45 die Bestmarke für den ältesten Schwergewichtsweltmeister aufgestellt.
Wir sind also gespannt, ob Klitschko frühestens im Jahr 2022 wieder in den Boxring steigt, um den Rekord von Foreman zu toppen. Im Moment sei er fit und gehe noch vor sechs Uhr ins Gym. «Ich trainiere regelmässig. Beinahe jeden Tag», erwähnt Klitschko beim US-TV-Sender. «Ich brauche das wie die Luft zum Atmen!» (fav)
Ce livre consacré à la lycéenne assassinée à l’âge de 17 ans, le 28 février 1994, par les hordes islamistes dont elle refusait le diktat, aborde, entre autres, la portée politique, culturelle et sociologique de son combat.
Il se veut un hommage à Katia Bengana, mais pas seulement. L’ouvrage qui vient d’être consacré à cette lycéenne assassinée le 28 février 1994, par la horde des islamistes dont elle refusait le diktat se veut aussi, selon son auteur, “l’exhumation” d’une mémoire, pourtant récente, “des abysses d’une amnésie collective programmée, qui broie, l’un après l’autre, tous nos symboles”. “Katia Bengana, la lycéenne qui a nargué l’islamisme”, cet ouvrage collectif dirigé par Allas Di Tlelli, un romancier qui a été lauréat du prix Mouloud-Mammeri en 1993, explore les dimensions, à la fois politique, culturelle, intellectuelle, sociologique et civilisationnelle du combat de Katia Bengana, cette jeune adolescente qui, estime l’auteur, en acceptant de faire don de sa vie pour sa liberté alors qu’elle n’était âgée que de 17 ans, est devenue une héroïne puis symbole de résistance contre l’ordre religieux. “Cet ouvrage n’a pas pour but de stigmatiser, non plus l’ambition de cerner toute l’origine et le sens anthropologique, idéologique, historique et politique de la brutalité religieuse que sous-tend le voile arabo-musulman”, prévient l’auteur dans l’introduction de l’ouvrage.
C’est plutôt, soutient-il, une nécessité intrinsèque à la thématique principale qui est celle de l’évocation des repères et des évènements structurants de notre histoire récente et lointaine. Son ouvrage, Allas Di Tlelli l’entame avec la dernière confession faite par la jeune Katia à sa mère à la veille du lâche assassinat dont elle a été l’objet. “Plutôt mourir que porter ce hidjab. Si je suis obligée de garder une seule tenue toute ma vie, ce sera la robe kabyle, mais jamais ce voile importé d’ailleurs”, a été cette phrase qui résumait à la fois son combat et la cause de sa liquidation par les islamistes. Au fil du texte, l’auteur nous replonge, et c’est inévitable, dans l’univers de l’horreur islamiste des années 1990, puis fait revisiter au lecteur les origines historiques, religieuses et idéologiques du voile islamique, ses différentes sortes, leurs évolutions, les antagonismes qu’il a suscités entre les différentes tendances, les centres d’appui à l’apologie du voilement des femmes dans la propagande islamiste et, ainsi, son évolution jusqu’à devenir un étendard idéologique. L’auteur ne s’arrête pas au hidjab en tant que tel, mais va piocher plus profondément dans la culture qui l’entoure, et ce, en abordant les sujets toujours d’actualité de l’égalité des sexes, la place de la femme dans la société algérienne et dans les lois algériennes ainsi que les enjeux politiques et idéologiques sous-jacents.
Le reste du livre est articulé autour de témoignages, analyses et surtout une lecture transversale du combat de Katia Bengana, faite sous forme de contributions, par 56 auteurs, algériens et étrangers, venus du monde de la littérature, de la sociologie, des médias, de la culture. L’ouvrage est édité par les éditions de la Pensée.
Samir LESLOUS
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Der Rekordmeister liegt auf dem letzten Tabellenplatz. Doch die GC-Führung hält an ihrem Trainer, Thorsten Fink fest. «GC hat keinen schwachen Trainer, sondern ein zu schwaches Team», meint BLICK-Fussballreporter Max Kern.
Thorsten Fink, Kind des Ruhr-Potts, ist ein geerdeter Mann. Sein Papa arbeitete unter Tage. Auch als Champions-League-Sieger mit Bayern hob Thorsten nie ab. Angesichts der (fast) aussichtslosen Lage vor dem Spiel gegen Meister und Leader YB – Fink fehlten 9 (!) Spieler – sagte der GC-Trainer: «Ausdauer war immer meine Stärke – auch im Geiste. Hartnäckigkeit zahlt sich irgendwann aus.» Darf er von seiner Hartnäckigkeit in Zürich noch profitieren?
GC verliert 0:3. Der Letzte Xamax punktet in Thun. Fink und GC fallen ans Tabellenende. Der Rekordmeister hält branchen-unüblich weiter hartnäckig an Fink fest.
Ein Fehler? Nein, aus Sicht von Finks Chefs sicher nicht. Sie hoffen ganz einfach, dass Fink die Suppe, die sie ihm eingebrockt haben, wird auslöffeln können.
Bis jetzt hat sich Fink immer loyal hinter seine Chefs gestellt und das Team stark geredet. Doch die Tatsache, dass er Grossverdiener Lucas Andersen (kostete GC gegen 700 000 Fr. pro Jahr) aussortiert hat und Ex-HSV-Spieler Nabil Bahoui bei normalen Personalbestand nicht für die Startelf reicht, zeigt, was er von den «Königs"-Transfer seiner Vorgesetzten hält. Andersen war ein Transfer von CEO Manuel Huber, Bahoui einer von Sportchef Mathias Walther.
GC, Budget über 20 Mio, hat keinen schwachen Trainer. Sondern eine zu schwache Mannschaft. Vor allem eine, die nicht für den Abstiegskampf geschaffen ist. Ruhrpott-Kind Fink braucht in der Winterpause echte Malocher.
Le gouvernement éthiopien a lancé en début de week-end un programme de visa à l’arrivée pour tous les ressortissants de pays africains, dont l’Algérie, il met ainsi fin au régime de demande de visa avant l’arrivée, indique le ministère éthiopien des affaires étrangères dans un communiqué rendu public.
Le gouvernement éthiopien dit de vouloir promouvoir la libre circulation des personnes et des biens sur le Continent comme le demande l’Union africaine. A noter que l’instance africaine a exhorté tous les pays africains à émettre des visas à l’arrivée pour 2023.
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Mellal s’est montré, toutefois, disposé à jouer mercredi si la LFP reporte le match de 24 heures.
La réunion des présidents des clubs des Ligues 1 et 2, initiée par le président de la JSK, Cherif Mellal, pour la destitution du président de la LFP, Medouar, a été finalement annulée. Et pour cause, la majorité des présidents des clubs professionnels n’ont pas répondu à l’invitation de la JSK et de son président Cherif Mellal. En effet, à l’exception du responsable du MO Bejaia, aucun autre dirigeant n’a daigné assister à cette réunion. Un scenario attendu sachant que tous les présidents des clubs ont exprimé leur refus d’y prendre part.
Une réunion qui devait initialement avoir lieu à l’hôtel l’Hirondelle avant d’être carrément délocalisée à l’hôtel Mercure, faute d’autorisation.
Le président de la JS Kabylie, accompagné de quelques dirigeants, dont Nassim Abderrahmane, se sont donné au rendez-vous dans le hall de l’hôtel afin d’accueillir les invités. Le premier responsable kabyle faisait les cent pas attendant patiemment l’arrivée des présidents des clubs, en vain. Il a décidé par la suite, vers 17h30, de quitter les lieux tout en refusant la moindre déclaration à la presse. Toujours est-il que la direction de la JSK campe toujours sur sa position. Une source autorisée a révélé hier à Liberté que “la JSK se déplacera ce lundi au stade Omar-Hamadi en vue de disputer la rencontre face à l’USMA. Nous serons accompagnés d’un huissier de justice pour constater la présence de notre équipe”, dira notre source qui indique que “comme la LFP n’a pas daigné répondre à nos doléances, nous allons faire valoir notre droit. D’autant que nous n’avons pas reçu de notification de la part de la Ligue de football professionnel”.
De son côté, le président Mellal, qui a refusé de faire de déclaration à l’hôtel Mercure, s’est exprimé hier matin au siège du club. Toujours inflexible dans sa décision de ne pas jouer ce mardi contre l’USMA, Mellal nous dira que “la JSK ne pliera pas devant une telle injustice car, à ce jour, nous n’avons toujours pas reçu la moindre explication de la part de la LFP quant à cet énième report du match USMA-JSK et malgré toutes nos tentatives de joindre la LFP, par fax ou par téléphone, sont restées vaines, ce que nous considérons comme un grave manque de considération pour le club qui a été déjà victime de machinations depuis le début de saison et qui dit aujourd’hui halte à la programmation à la carte et au clientélisme”. Dans sa lancée, Mellal dira que “si le président Serrar vient de déclarer à la presse que l’USMA n’a pas demandé de report de match, alors on se demande pourquoi la LFP s’est empressée de prendre une décision hâtive, dans après-midi du 1er novembre, autrement dit un jour férié où tous les membres de la Ligue étaient présents au stade Tchaker de Blida pour assister à la supercoupe d’Algérie CSC-USMBA, ce qui suscite beaucoup d’interrogations et des zones d’ombre dans cette magouille qui ne dit pas son nom”. Le président Mellal de confirmer que la JSK exige de jouer ce lundi, ce qui relève de son droit légitime, sinon le boycott sera maintenu. “Nous avons été floués dans cette affaire et nous avons été victimes de la hogra, d’autant plus que la LFP a reprogrammé le match JSK-NAHD pour dimanche prochain, premier jour de semaine, et sans aucune explication de la part de la LFP, alors qu’il était initialement programmé pour ce vendredi. Je persiste et signe, la JSK joue ce lundi et refuse catégoriquement le report du match à mardi. Notre équipe va rallier Alger dès ce soir (ndlr : hier soir) pour s’y préparer en conséquence”, conclut le président de la JSK. Mellal s’est montré, toutefois, disposé à jouer mercredi si la LFP reporte le match de 24 heures.
Ahmed Ifticen/Mohamed Haouchine
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Le royaume wahhabite est-il réformable ? La question a été débattue à Montréal lors d’une conférence organisée dans le cadre du Festival du monde arabe (FMA).
Le politologue Sami Aoun croit que l’assassinat du journaliste Khashoggi risque de compliquer les plans du prince héritier Mohamed Ben Salmane (MBS). C’est que pour le professeur de sciences po à l’université de Sherbrooke (Québec), le journaliste assassiné en Turquie, connu pour ses entrées à Washington, constituait une menace pour les ambitions de MBS, engagé dans une entreprise de séduction des réseaux américains pour asseoir son pouvoir. L’actuel souverain saoudite a bouleversé la tradition consensuelle de succession et de partage du pouvoir, en imposant contre toute attente son fils MBS comme héritier au trône, rappelle l’intervenant. Maîtrisant les rouages de l’État, le prince héritier a voulu frapper les esprits, en imposant son style de gouvernance, calqué sur l’autoritarisme absolu. C’est dans ce cadre que s’inscrit la campagne d’arrestation de dignitaires saoudiens, dont le but était le renforcement du pouvoir personnel. “Le retour récemment de Ahmed Ben Abdelaziz, frère du roi, à Riyad, pourrait se comprendre comme une volonté d’aspirer au trône. Ce qui peut aiguiser la guerre des clans”, observe Aoun.
Celui-ci ne manquera pas de relever le double jeu du président américain Donald Trump alternant manœuvre et manipulation. “MBS a fait tomber son pays dans une impasse, peut-être pas existentielle. Il a commis un meurtre ignoble”, souligne le conférencier. Pour sa part, l’universitaire Samir Saul a tenté d’expliciter le sens des réformes économiques que veut se donner Riyad. La chute des prix du pétrole fin 2014 a entraîné le pays dans des turbulences socioéconomiques : un déficit abyssal pour un pays qui n’est pas habitué aux déficits, un emprunt de plus de 100 milliards de dollars, un chômage endémique qui avoisine les 30% de la population active dont la moitié a moins de 30 ans, des restrictions budgétaires dans les services sociaux, etc. Ce tableau sombre laisse voir un avenir compromis dans une conjoncture charnière pour le royaume.
D’où la résolution prise dans le cadre du Plan 2030, élaboré par un think tank américain (Mackenzie), de diversifier l’économie saoudienne à coup de réformes structurelles, indique M. Saul, non sans s’interroger si une économie rentière est à ce point réformable. C’est que, estime l’universitaire, on ne peut pas réformer l’économie sans transformations sociales radicales, lesquelles vont ensuite impliquer un changement politique. Or, le système politique bâti depuis 1932 est basé sur l’idéologie wahhabite prégnante ; il n’y a pas d’institutions représentatives, ni de séparation des pouvoirs, ni de partis politiques, ni de lois codifiées. “Je crois qu’il ne peut pas y avoir de réformes économiques, sans transformations sociales et changement politique”, tranche-t-il. L’ambition géopolitique de l’Arabie Saoudite est très coûteuse. Elle est assise sur la diplomatie du chéquier, se désole Samir Saul. Riyad recourt aussi à la force, comme c’est le cas avec la “sale guerre” au Yémen. Outre son interventionnisme international sous le parapluie américain, l’Arabie Saoudite exporte pétrodollars et wahhabisme, conclut Sami Aoun, comme pour souligner l’impossible projet de MBS : réformes économiques, sans changement de système politique.
De Montréal : Yahia Arkat
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Des « nettoyeurs » saoudiens, un chimiste et un expert en toxicologie, sont arrivés à Istanbul le 11 octobre, neuf jours après le meurtre de Khashoggi pour effacer les preuves du meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, dont le corps reste introuvable un mois après sa disparition, a affirmé aujourd’hui un haut responsable turc.
« Nous pensons que ces deux individus sont venus en Turquie dans le seul but d’effacer les preuves du meurtre de Jamal Khashoggi avant que la police turque ne soit autorisée à fouiller les locaux », a indiqué le responsable turc sous couvert d’anonymat.
D’autres sources ont indiqués que les deux hommes ont quitté la Turquie le 20 octobre après s’être régulièrement rendus au consulat et à la résidence du consul saoudien à Istanbul. La police turque n’a reçu l’autorisation de fouiller le consulat que le 15 octobre et la résidence deux jours plus tard.
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Des dizaines de rebelles houthis ont été tués depuis samedi dans des combats et des frappes aériennes à Hodeida, sur la côte ouest du Yémen, ont affirmé hier à l’AFP des sources médicales. La ville portuaire de Hodeida, qui est aux mains des rebelles houthis, est, depuis jeudi, le théâtre de violents combats et la cible de frappes aériennes menées par les forces pro-gouvernementales appuyées par la coalition dirigée par l’Arabie Saoudite. La coalition avait envoyé mardi des renforts vers la côte ouest en vue d’un nouvel assaut contre Hodeida — port stratégique sur la mer Rouge —, selon des responsables militaires yéménites. Au total, 53 combattants houthis ont été tués et des dizaines d’autres blessés depuis samedi, ont indiqué à l’AFP des sources médicales à Hodeida.
Les forces loyalistes ont elles perdu 13 hommes, ont affirmé d’autres sources médicales à Aden et Mokha, villes sous contrôle gouvernemental où les corps sans vie ont été transportés. Les combats entre les forces pro-gouvernementales et les rebelles font rage depuis jeudi dans les environs de l’université de Hodeida et se sont intensifiés samedi et dans la matinée d’hier, selon une source au sein des forces pro-gouvernementales. Les affrontements ont éclaté alors que les unités pro-gouvernementales arrivaient dans les environs de l’université, et quelques heures après que le gouvernement yéménite, basé à Aden, s’est dit prêt à reprendre les négociations de paix avec les rebelles.
Les Nations unies ont récemment appelé les belligérants à s’asseoir à la table des négociations dans un délai d’un mois, après avoir tenté sans succès en septembre d’organiser des pourparlers de paix à Genève. Des discussions de paix à Koweït avaient aussi échoué en 2016. La coalition intervient au Yémen depuis 2015, sous commandement saoudien, pour rétablir à Sanaa le gouvernement internationalement reconnu du président Abd Rabbo Mansour Hadi, réfugié à Riyad. Les Houthis sont encore maître de la capitale Sanaa et tiennent d’autres villes comme Hodeida, point d’entrée de trois quarts des importations au Yémen.
R. I./Agences
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Skandal in Bangkok: Der siebenfache Muay-Thai-Weltmeister Christian Daghio geht nach einem doppelten K.o. zu Boden, ringt mit dem Tod. Unmittelbar daneben findet die Siegeszeremonie statt ...
Tragische Szenen in Thailand. Christian Daghio (†49) muss für seinen letzten Kampf im Ring mit dem Leben bezahlen.
Eine heftige Schlagabfolge von Gegner Don Parueang bringt den Italiener zu Boden – der siebenfache Muay-Thai-Weltmeister ist sofort bewusstlos. Doch obwohl umgehend Ärzte in den Ring springen und ihn versorgen, erliegt Daghio nach rund einer Woche im Koma seinen Verletzungen.
Die Veranstalter des Box-Kampfes in Bangkok sind sich der Tragweite des Vorfalls offenbar nicht bewusst. Denn während Daghio am Boden liegend mit dem Tod ringt, läuft die Siegesfeier im Ring einfach weiter.
«Er starb als Champion»Im Internet wird Daghio, der nach Thailand ausgewandert war, als Legende verehrt. Andere empfinden es als eine «Schande», dass die Zeremonie für den Gewinner einfach so stattgefunden hat, während die Ärzte wenige Meter daneben ums Leben des italienischen Athleten kämpften.
Daghio lebte in Thailand zusammen mit seiner Freundin und seiner fünfjährigen Tochter.
Auch sein Bruder Fabrizio trauert um den langjährigen Thaiboxer. «Daily Mail» zitiert ihn wie folgt: «Christian wollte kämpfen bis er 80 Jahre alt ist. Der Ring war sein Leben. Er starb als Champion. Er starb so, wie er es wollte.» (mpe)
Der Mundartmusiker tourt wieder durch die Schweiz. Am Samstag legte er los, das Konzert war ausverkauft.
Mundartmusiker Bligg (42) bringt den Stammtisch wortwörtlich in die grossen Hallen. Er bedeutet für ihn ein Stück Heimat. «Hier nimmt keiner ein Blatt vor den Mund. Man diskutiert und debattiert auch mal, bis es eskaliert», sagt er.
Den Auftakt zu seiner neuen «KombiNation»-Tour durfte Bligg am Samstag in der ausverkauften Sporthalle im aargauischen Kaisten feiern. Sechs seiner grössten Fans platzierte der Zürcher in der Mitte des Raumes – am Stammtisch eben. Und gab von da aus auch den gleichnamigen Song zum Besten.
Ein Jahr lang mussten die Fans auf Bligg wartenViele der rund 2000 Fans waren schon sehr früh da. Denn auf Marco Bliggensdorfer, wie Bligg bürgerlich heisst, mussten sie lange warten.
Ein Jahr lang hatte er sich eine Auszeit von der Bühne genommen. Er verbrachte viel Zeit mit seiner Familie. Mit Sam (38), seinem Bruder, machte er einen Roadtrip durch Florida, den beide sehr genossen.
«Einfach losfahren und am Abend etwas zum Schlafen suchen, mit dem Luftkissenboot durch die Everglades zu den Alligatoren und vor der Küste auf den Jetski zu den Haien und Delfinen», schwärmt er noch heute. Während dieser Zeit entstand auch das Album, das den Namen seiner neuen Tour trägt und die Halle in einen Hexenkessel verwandelte.
Ein Stammtisch ist in der Mitte des Raumes platziert«Ich bin superglücklich mit dem Tour-Auftakt, die Energie vom Publikum war gigantisch», so der Musiker nach dem erfolgreichen Konzert. Den nächsten «KombiNation»-Halt macht Bligg am 17. November in Langenthal BE.
Bei den diesjährigen Europe Music Awards in Bilbao (E) liessen einige Stars den Sinn für Glamour vermissen – ihre Outfits wirkten eher gruselig.
Mit ihrem Mega-Sommer-Hit «Havana» räumte Camila Cabello (21) bei den diesjährigen MTV Europe Music Awards ab. Sie heimste am Sonntagabend bei der Preisverleihung im nordspanischen Bilbao vier Preise ab, darunter die Auszeichnungen als beste Künstlerin, für den besten Song und das beste Video.
In einem atemberaubenden roten Kleid nahm sie ihre Auszeichnungen entgegen und strahlte elegant auf dem roten Teppich. Ihre edle Robe stach noch mehr heraus, weil die anderen Prominenten bei ihren Outfits eher auf Grusel statt auf Glamour setzten.
Den Vogel schoss Hailee Steinfeld (21) ab. Die Schauspielerin kam in einem Mini-Space-Kleid, während Dua Lipa (23) auf Blumenmuster und XXL-Schultern setzte. Die spanische Sängerin Rosalia (25) schritt in einem rosa Rüschen-Jogging-Anzug über den roten Teppich. (paf)
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Dies diesjährigen Gewinner:BEST ARTIST
Camila Cabello
BEST VIDEO
Camila Cabello: Havana ft. Young Thug
BEST SONG
Camila Cabello: Havana ft. Young Thug - WINNER
BEST POP
Dua Lipa
BEST NEW
Cardi B
BEST LOOK
Nicki Minaj
BEST HIP HOP
Nicki Minaj
BEST LIVE
Shawn Mendes
BEST ROCK
5 Seconds Of SummerFoo Fighters
BEST ALTERNATIVE
Panic! At The Disco
BEST ELECTRONIC
Marshmello
BIGGEST FANS
BTS
BEST WORLD STAGE
Alessia Cara MTV Spotlight @ Hyperplay, Singapore 2018
BEST PUSH
Grace VanderWaal
BEST US ACT (BEST LOCAL ACT)
Camila Cabello
BEST UK AND IRELAND ACT
Little Mix