Plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés après la forte pluie qui s'est abattue sur la commune de Karimama, département de l'Alibori, dans la nuit du vendredi 02 au samedi 03 août 2024.
Des habitations détruites et des inondations par endroit, c'est le triste constat après la pluie torrentielle qui s'est abattue sur la ville de Karimama dans la nuit du vendredi 02 au samedi 03 août 2024. Le bilan selon le premier adjoint au maire, Oumarou MAIDAWA, dans un entretien à Fraternité, fait état de 200 ménages touchés, et environ 900 personnes impactées. On dénombre parmi les victimes, des hommes, des femmes enceintes, des femmes allaitantes, et des enfants de 0 à 5 ans. Des animaux ont été également emportés par les eaux, surtout à Gourouberi, a expliqué l'élu communal, fier de ce que aucune perte en vie humaine n'ait été enregistrée.
A l'en croire, l'arrondissement central de Karimama, le quartier de Logo notamment, et les villages de Gourouberi et Monsi peulh sont les plus touchés. Aussitôt informée, une équipe de la mairie s'est dépêchée sur les lieux pour constater l'ampleur des dégâts, et procédé à la mise en place des équipes d'intervention rapide pour évaluer les dégâts occasionnés par cette pluie. Profitant de l'occasion de cette descente, l'équipe de communale selon le premier adjoint au maire, a sensibilisé les populations en détresse par rapport aux comportements qu'elles doivent adopter en cette période extrêmement difficile.
Contrairement aux dernières inondations, celle survenue depuis le weekend écoulé ne relève pas du débordement des eaux du fleuve Niger. C'est à cause de la pluie torrentielle qui s'est abattu sur la ville, a précisé Oumarou MAIDAWA exhortant les population à quitter les zones à risque, d'éviter de se baigner dans le fleuve ainsi que l'usage de pirogue de fabrication artisanale pour leur déplacement.
Il n'a pas manqué de lancer un appel au gouvernement et aux différentes organisations à assister ces populations en détresse.
F. A. A.
Les Réunions mi-annuelles de l'Agence Monétaire de l'Afrique de l'Ouest (AMAO) au titre de l'année 2024 se sont tenues du 25 au 30 juillet 2024 au siège de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) à Dakar (Sénégal). Plusieurs sujets de développement de l'Afrique de l'ouest ont été abordés à ces assises.
L'état d'avancement des actions entreprises par l'Agence Monétaire de l'Afrique de l'Ouest (AMAO) et la situation de la convergence macroéconomique de la région au titre de l'année 2023, dans le cadre du Programme de Coopération Monétaire de la CEDEAO (PCMC) ; l'analyse du cadre commun de la politique monétaire de la future Banque Centrale de l'Afrique de l'Ouest (BCAO) ainsi que les préalables à la réussite du ciblage de l'inflation choisi par les Hautes Autorités de la Communauté sont, entre autres, les sujets débattus lors des Réunions mi-annuelles de l'Agence Monétaire de l'Afrique de l'Ouest (AMAO) au titre de l'année 2024.
En marge de ces réunions tenues du 25 au 30 juillet 2024 au siège de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) à Dakar (Sénégal), le Comité des Gouverneurs des Banques Centrales de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) ainsi que des Gouverneurs des Banques Centrales des Etats membres de la CEDEAO (BCEM) se sont réunis sous la présidence de Jean-Claude Kassi Brou, Gouverneur de la BCEAO.
Le rapport sur la convergence macroéconomique des Etats membres de la CEDEAO, les perspectives économiques ont été examinés.
Le rapport d'activités de l'AMAO donne un aperçu de la surveillance multilatérale sur les économies des Etats membres de la CEDEAO et fait le point sur les autres activités menées par l'Agence au titre de la feuille de route pour le lancement de l'ECO, la monnaie unique régionale.
M. M.
Den Einbruch der Aktienmärkte an den weltweiten Börsen kommentiert DIW-Präsident Marcel Fratzscher wie folgt:
Die Korrekturen an den Börsen sind notwendig und richtig. Die Börsen sind trotz Pandemie, Energiekrise und einer schwachen Weltwirtschaft in den vergangenen Jahren stark gestiegen und haben sich deutlich von der Entwicklung der Wirtschaft abgekoppelt. Was wir nun sehen, ist eine Korrektur der Überbewertungen vieler Unternehmen an den Aktienmärkten. Vor allem der Hype um Künstliche Intelligenz hatte in den vergangenen Monaten die Börsenpreise getrieben; mit dem Platzen der Blase kommt es nun zu dieser Korrektur. Ich erwarte auch in den kommenden Jahren größere Korrekturen an den Aktienmärkten, da viele Unternehmen nach wie vor überbewertet sind und viele Investoren mit ihren Spekulationen zu einer Blase beigetragen haben. Es ist schwierig Überbewertungen und Blasen akkurat zu messen, die Diskrepanz bei den Bewertungen ist jedoch signifikant und auch das Risikoverhalten nimmt nun wieder ab.