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Scientists and Commission clash over detecting Legionella risk

Euractiv.com - Mon, 10/28/2019 - 13:43
Some researchers and scientists firmly criticised the European Commission's approach on assessing the risk of Pneumonia-causing bacteria in the Drinking Water Directive (DWD) during an event organised at the European Parliament by EURACTIV.
Categories: European Union

A bíróság engedélyezte a Threema-üzenetek felolvasását

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 10/28/2019 - 13:42
A Speciális Bíróság szenátusa bizonyítékként fogadta el Marian Kočner Threema-alkalmazáson keresztül küldött üzeneteit és engedélyezte azok felolvasását a Markíza-váltók ügyében zajló tárgyaláson.

Befejeződött a tamperei Womex

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 10/28/2019 - 13:42
A finnországi Tamperében vasárnap befejeződött a világzenei piac legjelentősebb eseménye, a Womex, amelyet október 23-tól 27-ig immár 25. alkalommal rendeztek meg. Jövőre Budapest rendezi az eseményt.

Mauritanie : découverte du plus gros gisement de gaz naturel en eaux profondes de l’année

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 10/28/2019 - 13:39
Agence Ecofin - Lundi, Kosmos Energy et son partenaire BP ont annoncé la découverte d’un nouveau gisement de gaz naturel dans les eaux...
Categories: Afrique

Le FC Tevragh Zeïna inflige au leader sa première défaite de la saison

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 10/28/2019 - 13:38
RIM Sport - Les "galactiques" de Fc Tevragh-Zeina ont enchaîné leur 3e victoire d’affilée face au leader Tidjikja, jeudi 24 octobre...
Categories: Afrique

Mineurs sous les verrous pour avoir volé une voiture

24heures.ch - Mon, 10/28/2019 - 13:37
Un Genevois de 17 ans ainsi qu’un ressortissant des Pays-Bas de 16 ans habitant en Valais ont été écroués.
Categories: Swiss News

Nouvelle découverte de gaz sur les côtes mauritaniennes

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 10/28/2019 - 13:36
Sahara Médias - Le gouvernement mauritanien a annoncé lundi que les opérations de prospection effectuées par la société britannique British...
Categories: Afrique

Borzalmas baleset Udvarnok és Szentharaszt között

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 10/28/2019 - 13:34
Két emberéletet követelt az a közlekedési baleset, amely hétfőn kora délután körtént Udvarnok (Dvorníky/Galgóci járás) és Szentharaszt (Vinohrady nad Váhom/Galántai járás) között a II/507-es úton, ahol két furgon ütközött. Az egyik autó lángba borult.

Le chef de file de l'opposition sera nommé en conseil des ministres

24 Heures au Bénin - Mon, 10/28/2019 - 13:29

Sur proposition des experts du dialogue national, le chef de file de l'opposition politique sera nommé par décret pris en Conseil des ministres. Le comité d'experts chargé de la formulation technique des recommandations a fait une proposition de loi portant statut de l'opposition qui définit les dispositions générales, les critères d'appartenance à l'opposition, les droits et obligations de l'opposition et les dispositions diverses et finales.

Les critères d'appartenance à l'opposition sont énumérés dans les article 6, 7 et 8.
L'article 6 stipule que pour être parti de l'opposition, « il faut être un parti politique régulièrement enregistré, faire une déclaration officielle et publique de son appartenance à l'opposition et la faire enregistrer au ministère chargé de l'intérieur ». Ce dernier « transmet dans un délai de deux mois au plus tard l'enregistrement au journal officiel pour publication (…).
Un parti de l'opposition doit aussi « développer pour l'essentiel des positions et des opinions différentes de celles du gouvernement et ne pas accepter un poste politique à un niveau quelconque du pouvoir exécutif ».
Concernant les chefs de l'opposition, l'article 7 souligne : « Est considéré comme l'un des chefs de l'opposition, tout chef d'un parti politique de l'opposition dont le nombre de députés à l'Assemblée nationale constitue de façon autonome un groupe parlementaire ».
Est également considéré comme l'un des chefs de l'opposition, « tout chef d'un groupe de partis de l'opposition constitué en groupe parlementaire à l'Assemblée nationale ».
Enfin, est considéré comme l'un des chefs de l'opposition, « tout chef de parti politique de l'opposition représenté ou non à l'Assemblée nationale mais ayant totalisé à l'issue des dernières élections législatives, au moins 15% des suffrages exprimés ».
Selon l'article 8, « est considéré comme chef de file de l'opposition, désigné, en son sein, le parti politique déclaré dans l'opposition, ayant le plus grand nombre de députés à l'Assemblée nationale à l'occasion des dernières élections législatives ».
L'article précise aussi qu' « en cas d'égalité du nombre de députés, le chef de file de l'opposition politique est désigné par le parti politique déclaré dans l'opposition ayant le plus grand nombre d'élus communaux à l'occasion des dernières élections communales ». S'agissant du nombre de conseillers communaux pour ce qui concerne l'opposition parlementaire, en cas d'égalité, « le plus âgé est déclaré chef de file de l'opposition politique ».
« En cas d'inexistence d'opposition politique parlementaire, est désigné chef de file de l'opposition politique le représentant du parti politique déclaré dans l'opposition et ayant obtenu le plus grand nombre d'élus communaux.
En cas d'égalité du nombre d'élus communaux pour ce qui concerne l'opposition extraparlementaire, le plus âgé est déclaré chef de file de l'opposition politique », souligne l'article 8. Il précise également que le « chef de file de l'opposition politique est nommé par décret pris en Conseil des ministres ».
A.A.A

Categories: Afrique

Les conditions à remplir pour être chef de file de l'opposition

24 Heures au Bénin - Mon, 10/28/2019 - 13:27

Sur proposition des experts du dialogue national, le chef de file de l'opposition politique sera nommé par décret pris en Conseil des ministres. Le comité d'experts chargé de la formulation technique des recommandations a fait une proposition de loi portant statut de l'opposition qui définit les dispositions générales, les critères d'appartenance à l'opposition, les droits et obligations de l'opposition et les dispositions diverses et finales.

Les critères d'appartenance à l'opposition sont énumérés dans les article 6, 7 et 8.
L'article 6 stipule que pour être parti de l'opposition, « il faut être un parti politique régulièrement enregistré, faire une déclaration officielle et publique de son appartenance à l'opposition et la faire enregistrer au ministère chargé de l'intérieur ». Ce dernier « transmet dans un délai de deux mois au plus tard l'enregistrement au journal officiel pour publication (…).
Un parti de l'opposition doit aussi « développer pour l'essentiel des positions et des opinions différentes de celles du gouvernement et ne pas accepter un poste politique à un niveau quelconque du pouvoir exécutif ».
Concernant les chefs de l'opposition, l'article 7 souligne : « Est considéré comme l'un des chefs de l'opposition, tout chef d'un parti politique de l'opposition dont le nombre de députés à l'Assemblée nationale constitue de façon autonome un groupe parlementaire ».
Est également considéré comme l'un des chefs de l'opposition, « tout chef d'un groupe de partis de l'opposition constitué en groupe parlementaire à l'Assemblée nationale ».
Enfin, est considéré comme l'un des chefs de l'opposition, « tout chef de parti politique de l'opposition représenté ou non à l'Assemblée nationale mais ayant totalisé à l'issue des dernières élections législatives, au moins 15% des suffrages exprimés ».
Selon l'article 8, « est considéré comme chef de file de l'opposition, désigné, en son sein, le parti politique déclaré dans l'opposition, ayant le plus grand nombre de députés à l'Assemblée nationale à l'occasion des dernières élections législatives ».
L'article précise aussi qu' « en cas d'égalité du nombre de députés, le chef de file de l'opposition politique est désigné par le parti politique déclaré dans l'opposition ayant le plus grand nombre d'élus communaux à l'occasion des dernières élections communales ». S'agissant du nombre de conseillers communaux pour ce qui concerne l'opposition parlementaire, en cas d'égalité, « le plus âgé est déclaré chef de file de l'opposition politique ».
« En cas d'inexistence d'opposition politique parlementaire, est désigné chef de file de l'opposition politique le représentant du parti politique déclaré dans l'opposition et ayant obtenu le plus grand nombre d'élus communaux.
En cas d'égalité du nombre d'élus communaux pour ce qui concerne l'opposition extraparlementaire, le plus âgé est déclaré chef de file de l'opposition politique », souligne l'article 8. Il précise également que le « chef de file de l'opposition politique est nommé par décret pris en Conseil des ministres ».
A.A.A

Categories: Afrique

Les chercheurs estiment les contrôles suffisants

24heures.ch - Mon, 10/28/2019 - 13:18
L'initiative cantonale genevoise «pour un meilleur contrôle de l'expérimentation animale» inquiète les HUG et l'UNIGE. Pour eux, elle serait un frein à la recherche biomédicale.
Categories: Swiss News

Record numbers of young voters backed AfD in Thuringia state election

Euractiv.com - Mon, 10/28/2019 - 13:09
The state elections in Thuringia on Sunday (27 October) demonstrated how strong the AfD was among young people under 30, who voted in record numbers for the far-right party. Die Linke (the Left) came in second, while the Greens lagged far behind. EURACTIV's media partner Der Tagesspiegel reports.
Categories: European Union

L’UE demande l’impossible [Promoted content]

Euractiv.fr - Mon, 10/28/2019 - 13:06
L’Union européenne veut que les fournisseurs d’infrastructures dans le « cloud » surveillent les données de leurs clients, ce qui ralentirait leur transformation numérique et engendrerait l’arrêt des protections du Règlement général sur la protection des données (RGPD). Avec son projet de...
Categories: Union européenne

Der Gesellschaftsvertrag: ein Analyseinstrument nicht nur für Länder im Nahen Osten und in Nordafrika (MENA)

Der Gesellschaftsvertrag ist ein Schlüsselbegriff in der sozialwissenschaftlichen Literatur, der auf die Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft fokussiert. Er bezeichnet die Gesamtheit expliziter oder impliziter Vereinbarungen zwischen allen relevanten gesellschaftlichen Gruppen und dem Souverän (d.h. der Regierung oder einem anderen Machthaber) über wechselseitige Rechte und Pflichten (Loewe & Zintl, forthcoming).
Die Analyse von Gesellschaftsverträgen verdeutlicht u.a. (i) warum einige Gesellschaftsgruppen sozial, politisch oder wirtschaftlich besser gestellt sind als andere, (ii) warum es Revolten und Forderungen nach neuen Gesellschaftsverträgen gibt, (iii) warum also manche Länder in Gewaltkonflikte abgleiten. Zudem zeigt das Konzept, dass externe Akteure die Bezie¬hungen zwischen Staat und Gesellschaft beeinflussen können, indem sie die Regierung oder bestimmte Gesellschafts¬gruppen stärken. Und es verdeutlicht, dass staatliche Fragilität, Flucht und Migration daraus resultieren können, dass Gesellschaftsverträge weniger inklusiv geworden sind.
Trotzdem ist der Begriff Gesellschaftsvertrag bisher weder klar definiert noch operationalisiert worden – zum Nachteil von Forschung und Politik. Ein strukturierter Ansatz zur Analyse der Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft ist überfällig, v.a. im Hinblick auf die MENA-Länder. Im vorliegenden Papier schlagen wir einen Analyserahmen vor, der auf (i) Geltungsbereich, (ii) Inhalt und (iii) zeitliche Dimension von Gesellschaftsverträgen fokussiert.
Nach Erreichen der Unabhängigkeit schlossen die MENA-Regierungen sehr spezifische Gesellschaftsverträge mit ihren Bürgern, die auf der Umverteilung von Renteneinnahmen aus natürlichen Ressourcen, Entwicklungshilfegeldern und anderen Transfers basierten. Sie versorgten die Bürger mit Lebensmittel- und Energiesubventionen, kostenloser Bildung sowie Jobs im öffentlichen Dienst im Gegenzug dafür, dass diese die Legitimität der Regierungen anerkannten, obwohl es fast keine politische Partizipation gab. Aufgrund von wachsender Bevölkerung und sinkenden Staatseinnahmen konnten die Regierungen ihre Aufgaben aber immer weniger erfüllen. Daher konzentrierten sie ihre Ausgaben immer stärker auf strategisch wichtige Gesellschaftsgruppen und machten sie verstärkt von politischer Zustimmung abhängig. Die Aufstände, die sich 2011 in vielen arabischen Ländern ereigneten, können so auch als Ausdruck tiefer Unzufriedenheit mit den damaligen Gesellschaftsverträgen verstanden werden, die keine politische Partizipation, für große Teile der Bevölkerung aber auch kaum noch Sozialleistungen vorsahen.
Seither entwickelten sich die MENA-Länder in verschiedene Richtungen. Tunesien ist auf gutem Weg zu inklusiver Entwicklung und mehr politischer Partizipation. Marokko und Jordanien versuchen, die alten Gesellschaftsverträge – Ressourcenumverteilung ohne nennenswerte Partizipation – wiederherzustellen. Im neuen Gesellschaftsvertrag Ägyptens verspricht die Regierung wenig mehr als individuelle und kollektive Sicherheit, und auch das nur gegen umfassende politische Zustimmung. In Libyen, dem Jemen und Syrien sind Bürgerkriege ausgebrochen, und es besteht keine Aussicht auf einen neuen landesweiten Gesellschaftsvertrag, um den auch der Irak seit 2003 kämpft. Flucht und Migration beeinträchtigen zudem die Gesellschaftsverträge der Nachbarländer Jordanien, Türkei und Libanon.
Alle MENA-Länder entwerfen derzeit neue Gesellschaftsverträge oder sollten dies bald tun, um Stabilisierung bzw. Wiederaufbau zu ermöglichen. Im Folgenden informieren wir über den Stand der konzeptionellen Überlegungen zur Neugestaltung der Gesellschaftsverträge in den MENA-Ländern und deren Bedeutung für die internationale Zusammenarbeit.
 

Der Gesellschaftsvertrag: ein Analyseinstrument nicht nur für Länder im Nahen Osten und in Nordafrika (MENA)

Der Gesellschaftsvertrag ist ein Schlüsselbegriff in der sozialwissenschaftlichen Literatur, der auf die Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft fokussiert. Er bezeichnet die Gesamtheit expliziter oder impliziter Vereinbarungen zwischen allen relevanten gesellschaftlichen Gruppen und dem Souverän (d.h. der Regierung oder einem anderen Machthaber) über wechselseitige Rechte und Pflichten (Loewe & Zintl, forthcoming).
Die Analyse von Gesellschaftsverträgen verdeutlicht u.a. (i) warum einige Gesellschaftsgruppen sozial, politisch oder wirtschaftlich besser gestellt sind als andere, (ii) warum es Revolten und Forderungen nach neuen Gesellschaftsverträgen gibt, (iii) warum also manche Länder in Gewaltkonflikte abgleiten. Zudem zeigt das Konzept, dass externe Akteure die Bezie¬hungen zwischen Staat und Gesellschaft beeinflussen können, indem sie die Regierung oder bestimmte Gesellschafts¬gruppen stärken. Und es verdeutlicht, dass staatliche Fragilität, Flucht und Migration daraus resultieren können, dass Gesellschaftsverträge weniger inklusiv geworden sind.
Trotzdem ist der Begriff Gesellschaftsvertrag bisher weder klar definiert noch operationalisiert worden – zum Nachteil von Forschung Politik. Ein strukturierter Ansatz zur Analyse der Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft ist überfällig, v.a. im Hinblick auf die MENA-Länder. Im vorliegenden Papier schlagen wir einen Analyserahmen, der auf (i) Geltungsbereich, (ii) Inhalt und (iii) zeitliche Dimension von Gesellschaftsverträgen fokussiert.
Nach Erreichen der Unabhängigkeit schlossen die MENA-Regierungen sehr spezifische Gesellschaftsverträge mit ihren Bürgern, die auf der Umverteilung von Renteneinnahmen aus natürlichen Ressourcen, Entwicklungshilfegeldern und anderen Transfers basierten. Sie versorgten die Bürger mit Lebensmittel- und Energiesubventionen,     kostenloser Bildung sowie Jobs im öffentlichen Dienst im Gegenzug dafür, dass diese die Legitimität der Regierungen anerkannten, obwohl es fast keine politische Partizipation gab. Aufgrund von wachsender Bevölkerung und sinkenden Staatseinnahmen konnten die Regierungen ihre Aufgaben aber immer weniger erfüllen. Daher konzentrierten sie ihre Ausgaben immer stärker auf strategisch wichtige Gesellschaftsgruppen und machten sie verstärkt von politischer Zustimmung abhängig. Die Aufstände, die sich 2011 in vielen arabischen Ländern ereigneten, können so auch als Ausdruck tiefer Unzufriedenheit mit den damaligen Gesellschaftsverträgen verstanden werden, die keine politische Partizipation, für große Teile der Bevölkerung aber auch kaum noch Sozialleistungen vorsahen.
Seither entwickelten sich die MENA-Länder in verschiedene Richtungen. Tunesien ist auf gutem Weg zu inklusiver Entwicklung und mehr politischer Partizipation. Marokko und Jordanien versuchen, die alten Gesellschaftsverträge – Ressourcenumverteilung ohne nennenswerte Partizipation – wiederherzustellen. Im neuen Gesellschaftsvertrag Ägyptens verspricht die Regierung wenig mehr als individuelle und kollektive Sicherheit, und auch das nur gegen umfassende politische Zustimmung. In Libyen, dem Jemen und Syrien sind Bürgerkriege ausgebrochen, und es besteht keine Aussicht auf einen neuen landesweiten Gesellschaftsvertrag, um den auch der Irak seit 2003 kämpft. Flucht und Migration beeinträchtigen zudem die Gesellschaftsverträge der Nachbarländer Jordanien, Türkei und Libanon.
Alle MENA-Länder entwerfen derzeit neue Gesellschaftsverträge oder sollten dies bald tun, um Stabilisierung bzw. Wiederaufbau zu ermöglichen. Im Folgenden informieren wir über den Stand der konzeptionellen Überlegungen zur Neugestaltung der Gesellschaftsverträge in den MENA-Ländern und deren Bedeutung für die internationale Zusammenarbeit.

Der Gesellschaftsvertrag: ein Analyseinstrument nicht nur für Länder im Nahen Osten und in Nordafrika (MENA)

Der Gesellschaftsvertrag ist ein Schlüsselbegriff in der sozialwissenschaftlichen Literatur, der auf die Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft fokussiert. Er bezeichnet die Gesamtheit expliziter oder impliziter Vereinbarungen zwischen allen relevanten gesellschaftlichen Gruppen und dem Souverän (d.h. der Regierung oder einem anderen Machthaber) über wechselseitige Rechte und Pflichten (Loewe & Zintl, forthcoming).
Die Analyse von Gesellschaftsverträgen verdeutlicht u.a. (i) warum einige Gesellschaftsgruppen sozial, politisch oder wirtschaftlich besser gestellt sind als andere, (ii) warum es Revolten und Forderungen nach neuen Gesellschaftsverträgen gibt, (iii) warum also manche Länder in Gewaltkonflikte abgleiten. Zudem zeigt das Konzept, dass externe Akteure die Bezie¬hungen zwischen Staat und Gesellschaft beeinflussen können, indem sie die Regierung oder bestimmte Gesellschafts¬gruppen stärken. Und es verdeutlicht, dass staatliche Fragilität, Flucht und Migration daraus resultieren können, dass Gesellschaftsverträge weniger inklusiv geworden sind.
Trotzdem ist der Begriff Gesellschaftsvertrag bisher weder klar definiert noch operationalisiert worden – zum Nachteil von Forschung Politik. Ein strukturierter Ansatz zur Analyse der Beziehungen zwischen Staat und Gesellschaft ist überfällig, v.a. im Hinblick auf die MENA-Länder. Im vorliegenden Papier schlagen wir einen Analyserahmen, der auf (i) Geltungsbereich, (ii) Inhalt und (iii) zeitliche Dimension von Gesellschaftsverträgen fokussiert.
Nach Erreichen der Unabhängigkeit schlossen die MENA-Regierungen sehr spezifische Gesellschaftsverträge mit ihren Bürgern, die auf der Umverteilung von Renteneinnahmen aus natürlichen Ressourcen, Entwicklungshilfegeldern und anderen Transfers basierten. Sie versorgten die Bürger mit Lebensmittel- und Energiesubventionen,     kostenloser Bildung sowie Jobs im öffentlichen Dienst im Gegenzug dafür, dass diese die Legitimität der Regierungen anerkannten, obwohl es fast keine politische Partizipation gab. Aufgrund von wachsender Bevölkerung und sinkenden Staatseinnahmen konnten die Regierungen ihre Aufgaben aber immer weniger erfüllen. Daher konzentrierten sie ihre Ausgaben immer stärker auf strategisch wichtige Gesellschaftsgruppen und machten sie verstärkt von politischer Zustimmung abhängig. Die Aufstände, die sich 2011 in vielen arabischen Ländern ereigneten, können so auch als Ausdruck tiefer Unzufriedenheit mit den damaligen Gesellschaftsverträgen verstanden werden, die keine politische Partizipation, für große Teile der Bevölkerung aber auch kaum noch Sozialleistungen vorsahen.
Seither entwickelten sich die MENA-Länder in verschiedene Richtungen. Tunesien ist auf gutem Weg zu inklusiver Entwicklung und mehr politischer Partizipation. Marokko und Jordanien versuchen, die alten Gesellschaftsverträge – Ressourcenumverteilung ohne nennenswerte Partizipation – wiederherzustellen. Im neuen Gesellschaftsvertrag Ägyptens verspricht die Regierung wenig mehr als individuelle und kollektive Sicherheit, und auch das nur gegen umfassende politische Zustimmung. In Libyen, dem Jemen und Syrien sind Bürgerkriege ausgebrochen, und es besteht keine Aussicht auf einen neuen landesweiten Gesellschaftsvertrag, um den auch der Irak seit 2003 kämpft. Flucht und Migration beeinträchtigen zudem die Gesellschaftsverträge der Nachbarländer Jordanien, Türkei und Libanon.
Alle MENA-Länder entwerfen derzeit neue Gesellschaftsverträge oder sollten dies bald tun, um Stabilisierung bzw. Wiederaufbau zu ermöglichen. Im Folgenden informieren wir über den Stand der konzeptionellen Überlegungen zur Neugestaltung der Gesellschaftsverträge in den MENA-Ländern und deren Bedeutung für die internationale Zusammenarbeit.

Du chauffage produit avec des déchets organiques

24heures.ch - Mon, 10/28/2019 - 13:01
Une installation de pyrolise permettra aux Bâlois de produire de la chaleur en réutilisant des déchets végétaux. Le CO2 rejeté sera stocké dans le sol.
Categories: Swiss News

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