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The Brief – Celtic Paper Tigers

Euractiv.com - Tue, 01/21/2020 - 16:30
All three of the United Kingdom’s devolved parliaments - in Belfast, Cardiff and Edinburgh - will have refused to approve Boris Johnson’s Brexit deal by the end of today. But their protests will fall on deaf ears, as London has made clear that their worries are of little importance.
Categories: European Union

Am Dienstagmorgen im Training: Was macht Alex Frei beim FCZ?

Blick.ch - Tue, 01/21/2020 - 16:28
Da staunt der Beobachter am FCZ-Trainingsplatz: Da steht Alex Frei (40) und macht sich Notizen. «Er ist mein Praktikant», sagt Ludovic Magnin (40) augenzwinkernd.
Categories: Swiss News

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Le traité d’Aix-la-Chapelle de 2019: des opportunités pour renforcer la coopération franco-allemande en matière de développement durable

Le 22 janvier 2019, la France et l'Allemagne ont signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Cinquante-six ans après le traité de l’Elysée, les deux pays y rappellent leur soutien au multilatéralisme, au développement durable et aux politiques de coopération et de développement.
Malgré les ambitions exprimées dans ce document, la signature du traité appelle à la réflexion : dans quelle mesure ce type d’accord se traduit-il par des approches opérationnelles communes et des impacts réels sur la coopération franco-allemande ? Pour répondre à cette question, ce Briefing Paper analyse les obstacles au renforcement de la coopération franco-allemande dans le domaine du développement durable international. L’étude se concentre sur la manière dont ces engagements sont déclinés au niveau de la coordination politique et de la mise en œuvre des projets. L’analyse se fonde sur une vingtaine d’entretiens avec des représentants de ministères, d’agences de développement et de think tanks allemands et français. L’étude conclut que c’est au niveau de la coordination politique que les choses se compliquent le plus.
Trois principaux facteurs de blocage y sont identifiés : des visions stratégiques légèrement divergentes ; une incongruence entre structures institutionnelles liée aux degrés de spécialisation et mandats des ministères en charge du pilotage de l’aide, ainsi qu’au niveau d’implication des agences dans la prise de décisions stratégiques ; et des particularités culturelles, liées aux habitudes de communication et à la gestion du temps.
Cinq recommandations sont proposées :

  1. Préserver les acquis : l’alignement entre la France et l’Allemagne au niveau politique et au niveau de la mise en œuvre des projets sont des atouts dans un contexte international d’intérêts nationaux croissants. Ce type de collaboration devrait continuer à être défendu et renforcé.
  2. Traduire la dynamique politique à un niveau opérationnel : pour renforcer leur coordination, les deux pays pourraient établir un mécanisme de suivi solide et régulier de chaque engagement pris, détaillant les actions conjointes, les objectifs partagés et les étapes qui en découlent.
  3. Promouvoir la connaissance et la confiance mutuelle : des échanges de personnel entre administrations ainsi que des séances « approfondies » (deep dive) portant sur les activités et les stratégies des deux pays permettraient d’augmenter la connaissance de l’Autre.
  4. Partager les bonnes pratiques : une collaboration franco-allemande équilibrée passerait par l’échange de pratiques pour lesquelles un pays est plus avancé ou mieux positionné que l’autre (comme la coordination interministérielle française ou le suivi des résultats des projets allemand).
  5. Agir conjointement ou se répartir le travail : décider consciemment et de manière délibérée en amont de chaque engagement franco-allemand si les deux pays ont intérêt à unir leurs efforts ou à se répartir le travail. Ce choix permettrait d’optimiser l’impact, soit en se spécialisant, soit en travaillant ensemble.

Azerbaijan: remembering red carnations and looking into the future

Euractiv.com - Tue, 01/21/2020 - 16:27
Hikmat Hajiev, Head of the Foreign Affairs Department of Azerbaijan's Presidential Administration talks about the state of play of EU-Azerbaijan relations, geopolitics, trade and violent Soviet repression.
Categories: European Union

Tribunal de Constantine : Abdelkrim Zeghileche condamné à 6 mois de prison ferme

Algérie 360 - Tue, 01/21/2020 - 16:25

Le comité national pour la libération des détenus CNLD a annoncé aujourd’hui le verdict du tribunal de Constantine concernant l’affaire de Abdelkrim Zeghileche. En effet, le CNLD a fait savoir que « le verdict est tombé au tribunal de Constantine : Abdelkrim Zeghileche condamné à 6 mois de prison ferme et une amende de 100 000 […]

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Categories: Afrique

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

The Treaty of Aachen of 2019: opportunities to strengthen Franco-German cooperation on sustainable development

On 22 January 2019, France and Germany signed the Aachen Treaty. Therein, 56 years after the Elysée Treaty, re-emphasising their support for multilateralism, sustainable development and development cooperation.
Despite the ambitions expressed in this document, the signing of the Treaty calls for reflection: to what extent does this type of agreement indeed lead to joint operational approaches and have a real impact on French–German cooperation?
To answer this question, this Briefing Paper analyses the obstacles to a closer French–German cooperation in the field of sustainable international development. It focuses on how these commitments are put into practice at the level of political coordination and project implementation. The analysis is based on about 20 interviews with representatives of French and German ministries, development agencies and think tanks. It finds that things get most complicated at the level of political coordination.
Three main obstacles are identified: slightly diverging strategic visions; an incompatibility between institutional structures concerning the degree of specialisation and the mandates of the ministries responsible for steering aid, as well as the degree to which development agencies are involved in strategic decision-making; and cultural particularities regarding communication and time management. Five recommendations are proposed:

  1. Protect what has been achieved: the alignment between France and Germany at the political and project implementation levels is an asset in an international context where the focus on national interests is increasing. Such cooperation should thus continue to be supported and reinforced.
  2. Channel the political momentum to the working level: in order to reinforce their coordination, the two countries could establish a solid and regular follow-up mechanism for each commitment, detailing joint actions, shared objectives and milestones.
  3. Promote mutual knowledge and trust: personnel exchange between the departments, as well as deep dive sessions on the two countries’ activities and strategies would allow increased understanding of each other.
  4. Share best practices: a balanced and respectful French–German collaboration could be encouraged by the sharing of practices for which one country is more advanced or better positioned than the other (such as the French interministerial coordination or the German project evaluation and monitoring procedures).
  5. Act jointly or divide the work: in the run-up to each joint Franco-German action, make a deliberate and conscious decision whether the two countries have an interest to act jointly or to divide the work. This decision would allow maximisation of the impact, either by specialising or by working together.

A Boghé, le délégué du Commissariat à la Sécurité Alimentaire disparait avec 80 millions UM

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/21/2020 - 16:16
Al-akhbar - Le Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) a sommé son délégué au niveau de la ville d’Aïoun, la capitale du Hodh...
Categories: Afrique

Új immunológiai felfedezés lehet az alapja egy új rákterápiának

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 01/21/2020 - 16:15
Az emberi immunrendszer egy frissen felfedezett eleme felhasználható arra, hogy egyszer a "rák sok fajtáját gyógyíthassa" - számolt be róla a BBC hírportálja.

Rock-Legende kommt zur Behandlung in die Schweiz: Ozzy Osbourne (71) leidet an Parkinson

Blick.ch - Tue, 01/21/2020 - 16:09
Die letzten Jahre waren für Ozzy Osbourne die «schlimmsten seines Lebens», wie er in einem neuen Interview sagt. Der Heavy-Metal-Sänger leidet an der Parkison-Krankheit.
Categories: Swiss News

Gyarapodik a személyi igazolványos 15 év alatti gyerekek száma

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Tue, 01/21/2020 - 16:08
Január 20-ig több mint 2882-en kérvényeztek személyi igazolványát 15 év alatti gyerekek számára. Ezzel az igazolvánnyal elsősorban az EU-ban lehet utazni – mondta a TASR-nek Denisa Bárdyová, az országos rendőr-főkapitányság szóvivője.

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