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Nov 10 2021 (IPS-Partners)
Commonwealth Secretary-General Patricia Scotland has appealed to world leaders attending the UN Climate Change Conference COP26 to close the gap in ongoing negotiations this week in Glasgow, with millions of lives and livelihoods on the line in climate-vulnerable countries.
Secretary-General Scotland delivered her statement today to the resumed high-level segment of the conference, hours after a draft outcome document was released by the United Kingdom, as chair of the summit.
She said: “If we lose vulnerable nations who have battled with courage and resilience, we lose the fight against climate change.”
“If the gaps on emissions are not closed, if improved access to climate finance does not materialise, we risk the most vulnerable nations amongst us being subsumed by sea level rises and being engulfed by debt, exacerbated by the Covid-19 pandemic.”
“Do not grow weary and lose heart. Dig deeper, come together, and close the gap in these negotiations.”
More than 2.5 billion people live in the Commonwealth’s 54 member countries, 60 percent of whom are under age 30. That includes 32 small states and 14 of the least developed countries of the world which are facing the brunt of the climate change impacts.
The Secretary-General added: “Millions are already losing lives and livelihoods from the impacts of climate change, but they are fighting. We must too.
“They know that, without action, the force and frequency of violent weather, fire, shortages of food, water and the threat of rising seas will continue to intensify until it overwhelms them. They require inclusive, just and equitable actions.”
Climate-related disasters in the Commonwealth doubled in number from the period 1980-1990 (431) to the period 2010-2020 (815), with economic damages increasing from US$39 billion to $189 billion over the same time frames.
In earlier discussions at COP26, the Secretary-General reiterated the call for developed countries to deliver the promised US$100 billion in annual climate finance to support developing nations, both for adaptation as well as mitigation purposes.
She added that funds also need to be accessible to the smallest and most vulnerable countries, who currently have difficulties tapping into finance due to lack of capacity and data.
She highlighted key Commonwealth initiatives responding to the climate crisis, including the Commonwealth Climate Finance Access Hub, the Commonwealth Blue Charter, the Call for Action on Living Lands and the Disaster Risk Finance Portal.
KYIV, 10 November 2021 – The Special Representative of the OSCE Chairperson-in-Office in Ukraine and in the Trilateral Contact Group (TCG), Ambassador Mikko Kinnunen, made the following statement to the press after the regular meetings of the TCG and its Working Groups held through video conferencing:
“The security situation along the contact line has further deteriorated. Since the last TCG meeting, SMM has reported 6746 cease fire violations, including 1451 explosions. During the last week of October, the Mission witnessed the highest number of cease-fire violations since July 2020.
Presence and use of weapon systems banned by joint commitments raises concern for risk of further escalation.
I am deeply worried by the recent intensification of difficulties that SMM is facing in implementation of its mandate. The number of impediments for SMM’s freedom of movement has increased. The Mission reports 37 freedom of movement impediments during the last two weeks, two of which on government-controlled areas. I reminded that SMM gives an invaluable role in different ways, from providing facts on the security situation all the way to contributing, by monitoring and by its presence, to the improvement of living conditions of the conflict-affected population.
A major theme in the Security Working Group concerned a continuous need for a possibility to exchange security guarantees for vital activities, such as critical infrastructure repairs.
Differences of views in the Political Working Group remain deep and prevented in engaging on substance related to the development of a single Plan of Action.
The meeting of the Humanitarian Working Group took place on the one-year anniversary of the planned opening of crossing points in Zolote and Shchastia. I am curious to learn and discuss, what still prevents this to happen and what are the other challenges relating to the crossing of the contact line.
The Economic Working Group had a good meeting and dealt in particular with water issues. With regard to ecological questions, the participants discussed concrete steps towards carrying out an inspection of IAEA. Pension payments and questions related to telecommunications were also addressed.”
La dernière escalade diplomatique entre l’Algérie et la France est-elle en train de vivre ses derniers jours ? Après le Tollé qu’ont soulevé des déclarations du président Macron, un communiqué de l’Élysée, invitant le président Tebboune à venir à Paris pour participer à une conférence sur la Libye, a finalement fait état des « regrets » du président Français.
Ce rebondissement qui n’a pas permis à la France de gagner l’oreille du président Tebboune, ni encore moins sa participation, a tout de même permis à Paris de garantir la présence de l’Algérie à cette conférence, comme cela a été confirmé par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
Le Chef de la diplomatique, qui a indiqué que « L’Algérie participera à la conférence sur la Libye qui se tiendra à Paris, mais le président Tebboune ne sera pas présent », a également profité de cette occasion pour commenter la dernière sortie de l’Élysée.
Pour rappel, hier mardi, le président Macron, via un communiqué de l’Élysée, a indiqué qu’il « regrette les polémiques et les malentendus engendrés par les propos rapportés». Cette déclaration qui sonne comme un appel à l’apaisement n’a pas manqué de faire réagir positivement Ramtane Lamamra.
« L’Algérie ne fera pas le premier pas »« Il est connu que la nature des relations algéro-françaises est compliquée, eu égard de l’histoire, de la géographie et de l’importante présence de la diaspora algérienne sur le sol Français », a indiqué aujourd’hui le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
Selon le chef de la diplomatie, la complexité de ces relations a aussi pour cause « la politique de l’Algérie indépendante d’une indépendance entière ». Il ajoute que « l’Algérie n’est pas influencée par les positions des pays étrangers quel que soit leur poids ».
Lamamra indique que les relations algéro-françaises « sont passées, depuis l’indépendance de l’Algérie, par plusieurs crises, et c’est l’une de ces crises que nous sommes en train de vivre ». Cette crise « est née des déclarations du président français Emmanuel Macron », précise toutefois Lamamra, qui ajoute que « l’Algérie a répondu avec des positions fortes ».
Selon le même intervenant, « l’Algérie ne fera pas le premier pas pour atténuer cette crise, car elle n’en est pas la responsable ». L’Algérie, ajoute-t-il, « a défendu sa dignité et celle de son peuple » ainsi « qu’un principe sacré qui est celui de la non-ingérence dans ses affaires internes ».
Des idées « raisonnables »Concernant la dernière sortie de l’Élysée, Ramtane Lamamra, a déclaré qu’il s’agit d’une déclaration « qui est contraire à ce qui a causé les différents et la crise, et qui porte des idées raisonnables, vu qu’elles respectent l’Algérie, son histoire et sa souveraineté ». Lamamra a rappelé que le communiqué de l’Élysée a qualifié l’Algérie d’« acteur majeur dans la région« .
« C’est en se basant sur tout cela qu’il a été décidé, indique le chef de la diplomatie, de participer à la conférence qui se tiendra ce vendredi 12 novembre ».
Concernant la participation du président Tebboune, Lamamra a indiqué que cette conférence « n’est pas du niveau du président de la république ». Il explique ensuite que « toutes les conditions ne sont pas réunies pour la participation du président à cette réunion malgré son engagement auprès de nos frères libyens ».
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Comme annoncé, les 26 œuvres du trésor royal d'Abomey ont atterri sur le territoire béninois dans l'après-midi de ce mercredi 10 novembre 2021. Après l'accueil à l'aéroport de Cotonou, les œuvres ont été acheminées au palais de la Marina.
Au cours de la cérémonie d'accueil organisée à la présidence de la République, le chef de l'Etat patrice Talon a exprimé sa joie et sa satisfaction de retrouver au pays, ces œuvres. Le retour au Bénin de ces œuvres selon le chef de l'Etat, est « la symbolique du retour au Bénin de notre âme, de notre identité. C'est le témoignage « de ce que nous avons été, du témoignage de ce que nous avions existé avant, du témoignage de ce que nous avons connu la grandeur », a ajouté Patrice Talon.
L'histoire du monde, l'histoire des communautés humaines dans leur évolution, a toujours confronté les uns aux autres, a rappelé le président de la République.
Pour lui, « il n'y a pas de honte à se rappeler que la déportation des reliques de notre grandeur hors du territoire du Bénin par suite de la force matérielle, technologique de l'envahisseur français, que cette déportation qui au-delà du Bénin s'est manifestée partout ailleurs dans le monde d'une manière ou d'une autre, pour les uns contre les autres, que cela relève également de l'histoire de l'humanité ». Il s'est réjoui que la nature faisant bien les choses, les générations savent dans l'histoire, et au fil du temps, réparer ce que les générations antérieures ont pu gâcher. « La convivialité entre les hommes, la solidarité entre les hommes, la coopération », a indiqué le président de la République.
Selon Patrice Talon, l'homme ne sera parfait qu'à la fin des choses. Et pour cela, il faut selon lui, admettre que les réparations bien souvent, ne sont pas à la hauteur des attentes. « Tout cela relève simplement du genre humain », a-t-il observé.
F. A. A.