Les surprises dans le monde du ballon rond ne cessent de se produire. C’est d’ailleurs le cas de la terrible nouvelle qui a bouleversé le club féminin de la capitale française, le Paris Saint-Germain en l’occurrence.
Il s’agit en effet, d’une affaire d’agression, dont la victime est une joueuse franco-algérienne, dénommée Kheira Hamraoui. Cette dernière a subi une violente agression de la part de deux inconnus, à proximité de sa maison, alors qu’elle retournait avec ses coéquipières, d’un diner organisé par leur club.
Ce jeudi 11 novembre, le média français L’Équipe a révélé de nouveaux détails dans cette affaire d’agression contre la joueuse algérienne du Paris Saint-Germain Khaira Hamraoui.
Sa coéquipière, Aminata Diallo, présente au moment des faits, a été placée en détention provisoire, après avoir été soupçonnée d’être impliquée dans l’affaire en question.
La détention de Diallo prolongée et son cousin interpelléCe jeudi matin, la coéquipière de 26 ans, demeure au siège de la police judiciaire à Versailles, où sa détention a été prolongée pour 24 heures supplémentaires.
En outre, le proche de la suspecte, a été, lui aussi, mis en prison de Lyon. Ce dernier est présumé auteur de cette agression. Il est accusé d’être impliqué, avec sa cousine Aminata Diallo, à planifier à cette agression.
Pour rappel, l’incident s’est déroulé la soirée du jeudi 04 novembre, quand deux individus ont agressé Kheira Hamraoui, au moment où elle se retrouvait dans la voiture d’Aminata Diallo et autres coéquipières. Sachant que cette dernière avait reçu, quelques jours avant l’incident, des messages portant des menaces.
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Suite à la réouverture des frontières aériennes de plusieurs pays, beaucoup se précipitent pour organiser leur prochain voyage après une longue période d’attente, comme c’est le cas pour les algériens après la réouverture partielle des frontières aériennes annoncée le 1er juin dernier.
Cette réouverture vient avec des restrictions dans le cadre de l’application du protocole sanitaire. En dépit de la décrue du nombre des cas de contaminations du Covid-19 enregistrée dans plusieurs pays, qui, a justement permis la reprise des vols et des traversées, les mesures préventives demeurent exigées notamment la vaccination.
La vaccination figure donc parmi les conditions d’entrée, ce qui est le cas pour le Royaume-Uni, qui accepte enfin les vaccins chinois pour les voyageurs étrangers, une bonne nouvelle pour les algériens souhaitant s’y rendre.
Deux doses obligatoiresLe Royaume-Uni reconnaît et accepte désormais les vaccins chinois à savoir Sinovac, Sinopharm et le vaccin indien Covaxin pour épargner les mesures restrictives imposées aux personnes n’ayant pas reçu de vaccin.Cette mesure sera appliquée dès le 22 novembre prochain, seulement les voyageurs vaccinés de deux doses au moins 14 jours avant leur voyage vers le Royaume-Uni pourront y entrer.
Le document (certificat de vaccination) prouvant leur vaccination doit être reçu par une autorité de santé étatique et publique.
En comptant le Royaume-Uni, plus de 15 pays européens reconnaissent et acceptent les vaccins chinois homologués par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le vaccin Sinovac est reconnu dans plus de 40 pays.
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La pandémie reste maitrisable en Algérie au moment où des pays européens pulvérisent des records en termes d’infection à la covid-19. La quatrième vague ne serait qu’une question de temps assurent tous les spécialistes. En Attendant, les chiffres officiels restent plutôt rassurants.
Aujourd’hui, le 11 novembre 2021, l’Algérie a recensé pas moins de 115 nouveaux cas de contamination à la covid-19, contre 131 cas annoncés pendant la journée d’hier. Les chiffres communiqués par le ministère de la Santé font également état de 6 nouveaux décès enregistrés ces dernières 24 heures et causés par des complications liés au coronavirus.
En outre, le département de Benbouzid a ajouté que 79 nouvelles guérisons et 25 nouvelles admissions en soins intensifs ont été recensées ce jeudi.
Ces chiffres font grimper le bilan total des contaminations à la covid-19 en Algérie à pas moins de 207.624 nouveaux cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre des décès à cause des complications liées au virus ont atteint aujourd’hui les 5970 cas.
Benbouzid, énième mise en gardeLe ministre de la Santé s’égosille depuis plusieurs semaines à mettre en garde les citoyens contre la quatrième vague, et à encourager la population à aller s’inoculer le vaccin anti-covid.
Après un engouement pendant la 3e vague, la campagne vaccinale a connu un flop total. Pour le ministre, cette situation est inquiétante.
Outre les centaines de milliers de doses de vaccins qui risquent la péremption, la santé des citoyens risque gros, vu que l’on ne connait pas encore la nature des symptômes qui vont accompagner la prochaine vague du virus.
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