Fears of an all-encompassing inquisition into internet platforms – with commission officials bursting into the offices of Facebook and Google like a Monty Python sketch – have not come to pass.
"Nobody expects the European Commission."
Read moreAvant d’être tué par une frappe américaine alors qu’il se trouvait dans la province du Balouchistan, au Pakistan, le mollah Mansour, le chef du mouvement taleb afghan, revenait d’un voyage en Iran (ce que Téhéran dément). Mais selon des responsables pakistanais, il aurait effectué pas moins de 37 déplacements à l’étranger en 10 ans, principalement […]
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May 24, 2016 (JUBA) – South Sudan's Vice President, James Wani Igga, has told forces of the Tiger Battalion which are redeployed around the national capital, Juba, to stay alert and be ready for any eventualities.
Igga, in his speech broadcasted on the state-owned South Sudan Broadcasting Corporation (SSBC) on Monday evening, made the warning to the troops of the Sudan People's Liberation Army (SPLA) of President Salva Kiir's faction when he visited them on Monday near Nesitu, east of Juba.
The third powerful politician in the war-ravaged nation who is an ally to President Kiir during the two years of the civil war that ended in August 2015, told the forces to always be on alert like members of an ethnic group, the Kachipo, who he said allegedly wash one eye at a time in order for the other eye to see what was going on.
“Comrades, you should always wash your face like the Kachipo. The Kachipo do not cover both eyes like we do when washing our faces. They first wash one eye while using the other one to see and guard against any attacker around them,” Vice President Igga told the forces who responded by singing war songs in Dinka language.
Also, the newly appointed presidential adviser on Military Affairs, General Daniel Awet Akot, who accompanied the Vice President to the military base, congratulated the Tiger Division for a “job well done” in fighting the war against the opposition faction of the Sudan Peoples' Liberation Movement (SPLM-IO) led by the current First Vice President, Riek Machar.
The presidential guards reportedly are recruited in Bahr el Ghazal region by the current chief of general staff, Paul Malong Awan, when he was governor of Northern Bahr el Ghazal state.
The Vice President also told the forces to stem out tribalism among them and promote reconciliation.
It was not clear why the senior government politicians visited the forces around Juba and urged for readiness.
(ST)
Jean-Edouard Gueugnon a été nommé Délégué régional de l’Association Nationale des Auditeurs Jeunes de l'Institut des Hautes Etudes de Défense nationale (ANAJ-IHEDN) pour la Basse-Normandie.
Cette délégation couvre trois départements: Calvados, Orne et Manche, l'ANAJ ayant conservé le découpage régional d’avant 2016. A quand une fusion avec l'autre Normandie?
Attaché parlementaire, originaire de L'Aigle dans l'Orne, Jean-Edouard Gueugnon a été nommé début avril. A lui d'animer un petit réseau d'une quarantaine de personnes.
Contact: basse-normandie@anaj-ihedn.org
Pour voir la liste de tous les délégués régionaux, cliquer ici.
Le site de l'ANAJ-IHEDN, c'est ici.
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Le chemin de la démocratie est normalement pavé de bonnes élections. De ce point de vue, la situation africaine s’améliore. Dans son histoire, l’Afrique n’a jamais eu autant de pays pourvus de systèmes politiques issus des élections multipartistes qu’en 2015 et 2016. Seule l’Erythrée, l’Etat-caserne qui pousse sa population à l’émigration, ne s’encombre pas d’élections, tandis que la Somalie n’est pas en mesure d’en organiser depuis l’effondrement du régime de Siyaad Barre en 1991. Il faut cependant se méfier d’une lecture à courte vue sur la relation démocratie/élections et mettre en exergue la diversité des situations.
Les bons élèves
Faut-il chercher la vertu politique du côté de la Côte d’Ivoire qui est parvenue en novembre 2015 à réélire sans heurts son président, Alassane Ouattara, dès le premier tour, avec plus de 80 % des suffrages, mais avec guère plus de la moitié des électeurs qui se sont rendus dans les urnes ? Ou du côté du Nigeria qui a réalisé une tranquille alternance politique avec l’élection de Muhammadu Buhari en mars 2015 ? Ces deux cas illustrent bien une tendance dans la bonne direction. L’histoire retiendra probablement aussi le Burkina Faso, dont la société civile, conduite par une jeunesse déterminée à ne pas céder sur les acquis démocratiques, est parvenue, un an après avoir chassé Blaise Compaoré qui voulait s’accorder un nouveau mandat après vingt-sept ans de pouvoir, à déjouer un coup d’État de putschistes issus du Régiment de la sécurité présidentielle (RSP) et à rétablir les institutions de la transition en charge de préparer les élections. Avec la large élection en mars 2016 de l’homme d’affaires Patrice Talon contre le Franco-Béninois, Lionel Zinsou, soutenu par le précédent chef de l’Etat, le Bénin s’inscrit parmi les quelques rares pays du continent où le principe de l’alternance peut s’installer.
Dans tous ces cas, l’évolution est assurément positive. Les jeux politiques sont plus ouverts, la contestation intérieure plus militante, la surveillance extérieure plus vigilante. La violence d’État s’atténue au fur et à mesure de l’adhésion aux droits politiques et humains et à la liberté d’expression. Les manifestations de résistance sociale devenues plus fréquentes traduisent le renforcement de la société civile. Même si l’idée de citoyenneté demeure souvent embryonnaire, ces pays, auxquels il faut ajouter le Ghana et le Sénégal, laissent s’exprimer les médias sur les affaires publiques. Dans un tel contexte favorable, les acteurs non étatiques jouent un double rôle : ils élargissent les possibilités d’engagement citoyen et font pression pour tenir les gouvernements et institutions publiques responsables de leurs actes.
Des sortants qui contournent les processus électoraux
Ces résultats sont-ils révélateurs d’une tendance vers un enracinement de la démocratie partout en Afrique subsaharienne ? Certes non. D’autres pays montrent que les élections sont surtout faites pour offrir de nouvelles opportunités aux Chefs d’Etat et à leur clan pour se maintenir durablement au pouvoir et pour perpétuer les pratiques prédatrices. Douze chefs d’Etat africains sont au pouvoir depuis plus de vingt ans.
Les élections récentes dans certains pays révèlent des méthodes antidémocratiques destinées à maintenir les pouvoirs en place, dont certains furent dans le passé obtenus par la force (un forme de « blanchiment » des coups d’Etat par le scrutin). Le résultat des élections présidentielles ne faisait guère de doute au Niger (Mahamadou Issoufou réélu avec plus de 90 % des voix), au Tchad (Idriss Déby), à Djibouti (Ismaïl Omar Guelleh) et aux Comores (Azali Assoumani).
Au Congo, le président Denis Sassou-Nguesso, qui totalise trente-deux ans de pouvoir, est parvenu à réduire ses adversaires au silence, après avoir fait adopter les amendements constitutionnels (dont la suppression de la limite d’âge fixée à 70 ans pour le chef de l’Etat et la limitation du nombre de mandats à trois contre deux auparavant) nécessaires lors d’un référendum organisé à la hâte pour se maintenir, coûte que coûte, au pouvoir lors d’élections qui se sont tenues tout aussi hâtivement – avec coupure des télécommunications et d’Internet pendant quatre jours, empêchant l’opposition de communiquer sur les résultats –, en mars 2016, avec un score de 60,91 % dès le premier tour. Les dirigeants de l’opposition ne purent répondre à la fraude électorale qu’en appelant à la désobéissance civile et à la grève nationale.
En Ouganda, Yoweri Museveni a été réélu pour un cinquième mandat en février 2016 après trente ans de pouvoir. Après que la commission électorale eut annoncé qu’il avait obtenu près de 60% des voix, le gouvernement continua à harceler et à emprisonner les militants de l’opposition et à faire disparaître toute trace de fraude. Le principal candidat de l’opposition, Besigye, fut arrêté à de nombreuses reprises. Les locaux de son parti furent pris d’assaut par les forces de sécurité qui s’emparèrent des documents qui lui auraient été nécessaires pour contester les résultats du scrutin.
Reste le cas du Rwanda. Les États-Unis se sont dit « profondément déçus » par l’annonce du président Paul Kagamé de son intention de briguer un troisième mandat. Mais ce mécontentement n’aura sans doute aucune traduction en matière de sanctions. En outre, le referendum unanimiste du 18 décembre 2015 a entériné la modification de la Constitution qui raccourcit le mandat présidentiel de sept à cinq ans à compter de 2024, mais autorise Paul Kagamé à briguer deux mandats supplémentaires, ce qui prolongerait en théorie son pouvoir jusqu’en 2034 !
La technologie pour frauder
Dans la majorité des pays, les opposants, convaincus qu’il apporte plus de transparence, plaident pour le recours au vote électronique et à l’usage de la biométrie pour l’établissement des listes électorales. La désillusion est grande. Comme le note Africa Confidential dans son numéro 738 de mai 2016, la technologie peut en réalité aider les fraudeurs à occulter les tripatouillages électoraux : « En général, lorsque deux grands partis sont au coude à coude, comme ils l’étaient au Kenya en 2013 au bout de vingt-quatre heures de dépouillement, et que la commission électorale annonce brusquement une panne générale, il y a anguille sous roche ». Certains systèmes de vote électronique commercialisés en Afrique peuvent servir à manipuler les résultats du scrutin et les chiffres de la participation ainsi qu’à détruire les preuves d’éventuelles malversations. Certains régimes, comme au Congo ou en Ouganda, ferment les réseaux sociaux, coupent l’accès à Internet et aux réseaux mobiles, ou ordonnent aux opérateurs de bloquer les SMS. L’objectif est d’empêcher toute information indépendante sur le déroulement des élections et le décompte des voix.
Les pseudos démocraties
En fin de compte, quelle image de la démocratie donne l’Afrique subsaharienne à l’issue de ces élections ? On se rassure : les pouvoirs autocratiques sont en voie de disparition. Le déclin des dictatures (on pense à celle de M. Oboté, I. Amin Dada, J.-B. Bokassa, J. Mobutu, S. Touré, S. Barré, H. Habré, Ch. Taylor, S. Abacha) est réel mais il reste des despotes (O. El Bechir, I. Afeworki, R. Mugabe, Mswati III, Y. Jammeh) et des régimes avec une fâcheuse tendance dynastique (Gabon, Togo, RD Congo).
On rencontre plutôt des systèmes intermédiaires désignés par divers qualificatifs : « anocraties », « pseudo démocraties », « démocraties molles » « démocraties de faible intensité », « démocraties illibérales », « démocraties par délégation ». Elles ont la forme de la démocratie mais pas sa substance. Elles procèdent à des élections, elles ont des institutions formelles (police, armée, justice) mais faibles, et elles restent vulnérables à la mauvaise gestion des affaires publiques, aux conflits sociaux. La classe dirigeante est composite ; les coalitions entre groupes rivaux sont changeantes et la vie politique est instable. Le désenchantement de la population s’ensuit, mais sans pour autant partout, par peur de la violence qui pourrait suivre, signifier le rejet total du système. Les libertés conquises s’exercent dans un faisceau de contraintes qui fragilisent les acquis démocratiques. Le système politique fait que, même si les élections ont lieu, les citoyens sont totalement coupés des informations sur les activités de ceux qui les gouvernent.
« Quand le ventre est vide, l’urne sonne creux », dit-on avec réalisme à Kinshasa. La démocratie formelle n’a pas ipso facto annulé la marchandisation du politique dans ces États où règne encore un régime politique de type patrimonial. Dans de nombreux cas, c’est la démocratie élective qui a été adaptée à la logique du clientélisme et non l’inverse. Les positions d’autorité légalisées continuent de permettre à ceux qui les occupent d’extraire et de redistribuer des ressources. L’institutionnalisation « État de droit » est pervertie par la personnalisation du pouvoir et la stratégie d’accumulation-redistribution qui préside à chaque niveau de la hiérarchie, du sommet à la base en passant par les intermédiaires. L’État existe mais il adopte la forme d’un rhizome dont les tiges – les institutions – sont moins importantes que les racines souterraines qui plongent dans la réalité complexe des solidarités et des rivalités. Quand le contexte se révèle de cette sorte, la démocratisation ne peut progresser que si un contrôle de la circulation des richesses s’exerce et permet de limiter les prébendes en forçant les détenteurs du pouvoir à, pour reprendre une formule africaine imagée, « manger moins vite et moins seul ».
Rien n’est écrit d’avance. Des évolutions sont perceptibles sur certains indicateurs. Le Worldwide Governance Indicator (WGI) qui tente de classer les manières avec lesquelles une population est capable de jouir de ses libertés (expression, association) et d’interroger le gouvernement sur ses actes (voice and accountability) donne des résultats plutôt en hausse, particulièrement en Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Ghana, Liberia, Nigeria et Sénégal). Au risque de choquer, on peut admettre que les modifications de Constitution, certes à la carte (mais par référendum), sont un progrès par rapport au passé, marqué par les répétitions de coups d’Etat. Des élections mêmes truquées sont un apprentissage pour la société civile qui exercera par la suite mieux sa vigilance. D’un mauvais comportement peut naître un mieux pour le prochain scrutin, ou le suivant.
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Ich freue mich, Ihnen meine herzlichsten Glückwünsche zu Ihrer Wahl zum Bundespräsidenten der Republik Österreich übermitteln zu dürfen. Im Namen des Europäischen Rates und auch persönlich wünsche ich Ihnen in jeder Hinsicht viel Erfolg.
Ich bin zuversichtlich, dass es in Österreich während Ihrer Amtszeit die politische Stabilität und den sozialen Zusammenhalt geben wird, die notwendig sind, um die bevorstehenden Herausforderungen zu meistern. Dass Österreich weiterhin einen produktiven Beitrag zu den Anstrengungen der EU leistet, war und ist auch künftig entscheidend bei der Suche nach gemeinsamen europäischen Lösungen.