Le Conseil régional de l'Ordre des pharmaciens de Bobo-Dioulasso a commémoré la Journée mondiale du pharmacien, célébrée chaque 25 septembre. Pour cette édition 2025, les pharmaciens de la région ordinale de l'Ouest ont organisé, du 25 au 27 septembre, trois jours d'activités commémoratives sous le thème : « Pensez pharmacien, Pensez santé ».
Au programme, un don de sang, des émissions radiophoniques et un cross santé ont rythmé ces 72 heures, témoignant de l'engagement du corps pharmaceutique en faveur de la santé publique. La clôture est intervenue le samedi 27 septembre 2025 par une activité sportive qui a réuni pharmaciens, collaborateurs et partenaires.
La clôture, le samedi 27 septembre, a été marquée par un cross santé, véritable moment de cohésion entre les acteursInstituée en 2009 par la Fédération internationale pharmaceutique (FIP), la Journée mondiale du pharmacien vise à mettre en lumière l'importance de la profession dans la prévention, le traitement et l'accompagnement des patients. Elle rappelle le rôle crucial des pharmaciens dans l'accès équitable aux médicaments et encourage la recherche pharmaceutique face aux nouveaux défis de santé.
À Bobo-Dioulasso, le CROP a voulu donner à cette commémoration un caractère participatif et inclusif. Le 25 septembre, en collaboration avec le Centre national de transfusion sanguine, pharmaciens, auxiliaires de vente, délégués médicaux et grossistes ont uni leurs forces pour une collecte de sang. « Cet élan de solidarité reflète notre engagement pour la santé de tous », a souligné le président du CROP-Bobo, Dr Abdou-Azize Djiré.
« Cet élan de solidarité reflète notre engagement pour la santé de tous », a souligné le président du CROP-Bobo, Dr Abdou-Azize DjiréTrois jours d'activités au service de la santé
Le programme a été riche et varié. Dès le 25 septembre, une émission radiophonique a abordé la question sensible des jeunes et des substances psychoactives sur les ondes de la radio LPC. Le lendemain, Radio Oméga a accueilli une autre émission consacrée à la place du pharmacien comme acteur principal du système de santé.
Les pharmaciens de la région ont non seulement célébré leur profession, mais aussi réaffirmé leur engagement à œuvrer pour une meilleure santé des populationsLa clôture, le samedi 27 septembre, a été marquée par un cross santé, véritable moment de cohésion. « Le sport, c'est la santé. Au-delà de l'exercice physique, cette activité symbolise notre communion d'esprit et notre volonté de travailler ensemble pour l'intérêt supérieur de nos concitoyens », a déclaré Dr Djiré.
Les pharmaciens jouent un rôle de première ligne dans le système de santé. Leur proximité avec les populations, leur implication dans la prévention et leur disponibilité font d'eux des acteurs incontournables. À travers ces 72 heures de commémoration, les pharmaciens de la région ont non seulement célébré leur profession, mais aussi réaffirmé leur engagement à œuvrer pour une meilleure santé des populations.
Romuald Dofini
Lefaso.net
Harouna Traoré a été officiellement installé dans ses fonctions de chef d'agence de la Caisse nationale de sécurité sociale de Banfora ce lundi 29 septembre 2025. Cette cérémonie a été présidée par la directrice régionale de Bobo-Dioulasso, Désirée Larissa Oualy, en présence du personnel. Le nouveau responsable a promis d'insuffler une dynamique participative, où chaque agent de l'agence de Banfora pourra contribuer à l'atteinte des objectifs de la CNSS.
Depuis le 23 mai 2025, date du départ à la retraite de l'ancien chef d'agence, Sibiri Serra, l'agence de Banfora fonctionnait sous la conduite intérimaire d'Aidi Ouédraogo. Cette situation, bien que gérée avec professionnalisme, avait créé un manque de stabilité, selon les responsables régionaux de la CNSS. Aujourd'hui, l'agence de Banfora a désormais un nouveau chef d'agence en la personne de Harouna Traoré.
Avant cette nomination, Harouna Traoré officiait à la direction de la communication et de la qualité à la direction générale de la CNSS à Ouagadougou. Ce parcours lui a permis d'acquérir une solide expérience qu'il entend désormais mettre au service de l'agence de Banfora. Dans son mot de remerciement, le nouveau chef d'agence a exprimé sa gratitude à l'endroit de la direction générale pour la confiance placée en lui.
Harouna Traoré a ainsi exprimé sa détermination à poursuivre la feuille de route tracée par la direction générale. Avant d'insister sur la nécessité de placer les assurés au centre de toutes les actions. « Avec mes nouveaux collaborateurs, nous allons mettre tout en œuvre pour offrir des services de qualité aux assurés, qui sont nos frères, nos sœurs, nos parents. Ils seront au cœur de nos préoccupations. Ils doivent se sentir écoutés et bien servis », a-t-il déclaré, dans une volonté manifeste de renforcer la proximité entre l'institution et ses bénéficiaires.
Harouna Traoré a exprimé sa détermination à poursuivre la feuille de route tracée par la direction généraleUn tournant décisif dans la consolidation des acquis
L'installation du nouveau chef d'agence sonne comme un nouveau départ pour l'ensemble du personnel et des partenaires de la CNSS de Banfora. Elle marque aussi la fin d'une période de transition et l'ouverture d'une ère nouvelle placée sous le signe du renforcement des services sociaux. Dans son allocution, la directrice régionale de Bobo-Dioulasso, Désirée Larissa Oualy, a salué l'arrivée de « ce responsable très attendu ».
La photo de famille« C'est une grande joie qui m'anime aujourd'hui. Le départ de l'ancien chef avait quelque peu déséquilibré le navire. Avec cette installation du chef d'agence, nous pouvons désormais poursuivre sereinement les missions assignées à la CNSS », a-t-elle déclaré. Elle a rappelé que la mission de l'agence de Banfora, véritable direction régionale en miniature, reste de veiller au paiement des prestations et à la collecte des cotisations sociales.
À l'endroit du nouveau chef, elle a prodigué des conseils axés sur l'humilité, la fermeté et le respect des collaborateurs comme des assurés. « Les assurés sont au centre de tout ce que nous faisons, ils sont notre raison d'être. Le chef doit imprimer le rythme, mais il doit aussi traiter ses collaborateurs avec humanisme », a-t-elle insisté.
La directrice régionale de Bobo-Dioulasso, Désirée Larissa Oualy, a salué l'arrivée de « ce responsable très attendu »Pour elle, l'arrivée d'un nouveau chef marque un tournant décisif dans la consolidation des acquis et l'amélioration des services rendus aux assurés sociaux de la région de Tannouyan (ex-Cascades).
Elle a par ailleurs rappelé la nécessité pour le nouveau chef de « mettre la main à la pâte » pour insuffler la dynamique de travail à ses équipes. « Il faut être ferme quand il le faut, mais aussi courtois, endurant et à l'écoute. Le rythme de travail dépendra de lui », a-t-elle conseillé. L'installation de Harouna Traoré marque une nouvelle étape pour l'agence CNSS de Banfora, appelée à renforcer sa proximité avec les assurés et à assurer la continuité des missions de protection sociale.
Romuald Dofini
Lefaso.net
Le SITHO, bien plus qu'un simple salon, est un évènement qui rassemble non seulement des professionnels du tourisme, mais aussi des investisseurs, des amoureux de la culture autour d'un même objectif. Mais derrière les stands et les animations, ce sont surtout les expériences vécues qui marquent les esprits. Nous sommes allés à la rencontre des exposants et des visiteurs pour recueillir leurs impressions, leur satisfaction et leurs attentes pour les prochaines éditions.
L'ancien ministre de l'Agriculture et des Affaires rurales chinois, Tang Renjian, a été reconnu coupable d'avoir accepté des pots-de-vin en espèces et en biens, représentant un montant total de plus de 32 millions d'euros. La sentence tombée, le dimanche 28 septembre 2025, est lourde : condamnation à mort, avec sursis à exécution de deux ans.
Il est reproché à cette personnalité d'avoir accepté des pots-de-vin en espèces et en biens pour un montant total de plus de 268 millions de yuans (32 millions d'euros) de 2007 à 2024.
Ces pots-de-vin « ont causé des pertes particulièrement graves aux intérêts de l'État et du peuple, et justifiaient donc la peine de mort », rendent comptent des médias sur place, citant un communiqué du tribunal populaire de Changchun (nord-est du pays).
Toujours selon des confrères, s'appuyant sur le communiqué, l'accusé, Tang Renjian, a avoué ses « crimes » et exprimé des remords.
Avant d'être ministre de l'Agriculture (2020-2024), Tang Renjian, a notamment été gouverneur de la province du Gansu (nord-ouest du pays) et vice-président de la région autonome du Guangxi (partie sud de la Chine).
Son épinglement s'inscrit dans le cadre d'enquêtes pour corruption ayant visé des anciens ministres de la Défense, dont l'un a été démis de ses fonctions, seulement sept mois après son entrée en fonction, puis exclu du Parti communiste chinois pour des infractions de soupçons de corruption. Celui qui lui a succédé aurait également fait l'objet d'une enquête pour corruption.
Avant ces derniers, en fin juin 2025, c'est un amiral de haut rang de la marine de l'Armée populaire de libération, qui a été démis de ses fonctions, après avoir, une année avant, été suspendu et mis en examen « pour graves manquements à la discipline », assimilable à de la corruption.
Cette condamnation est, apprend-on, la dernière en date de la vaste campagne anti-corruption menée par le président chinois, Xi Jinping, qui a ‘'balayé'' plusieurs personnalités de haut rang. Une action que les partisans de cette campagne applaudissent, estimant qu'elle favorise une gouvernance irréprochable tandis que les détracteurs estiment, d'eux, qu'elle offre au président Xi Jinping, le pouvoir d'écarter des rivaux politiques.
O.L.
Lefaso.net
Construite au début du XVᵉ siècle, sous la dynastie Ming, la Cité interdite s'étend sur 720 000 m², dont 150 000 m² bâtis. Également appelée Musée du Palais, elle a servi de résidence impériale pendant plus de 500 ans, abritant 24 empereurs des dynasties Ming et Qing. Reportage sur une demi-journée au cœur du plus vaste complexe palatial et de structures en bois du monde.
Si les gratte-ciel et les ponts spectaculaires de la Chine moderne impressionnent les visiteurs, la Cité interdite fascine encore davantage. Composée de palais grandioses, de jardins élégants et de pavillons sacrés, elle était autrefois interdite à la majorité des sujets de l'empire, d'où son nom. Aujourd'hui, elle est devenue un haut lieu de pèlerinage pour les touristes venus du monde entier.
Ce mercredi 24 septembre 2025, la foule est dense à la porte de la Cité interdite : personnes âgées s'appuyant sur leur bâton, visiteurs en fauteuil roulant, enfants accrochés à leurs parents, couples main dans la main… Tous attendent en file indienne. Avant d'entrer, chaque identité est vérifiée par reconnaissance faciale. Puis le véritable périple commence : 980 bâtiments, plus de 70 palais et salles, disposés avec une symétrie parfaite et des couleurs éclatantes.
Les visiteurs parcourent les bâtiments les uns après les autresLa visite, semblable à un parcours du combattant, épuise rapidement les visiteurs. Certains, à bout de souffle, s'assoient sur les marches pour reprendre des forces. « Chaque bâtiment franchi ressemble à une victoire », lance un touriste, visiblement épuisé après en avoir parcouru six. Après une dizaine de bâtiments, notre équipe choisit de rebrousser chemin, consciente de l'immensité du site.
En moyenne 40 000 visiteurs par jour
La construction de ce complexe monumental dura 14 ans (1406-1420). « C'est le plus grand complexe de palais et de structures en bois au monde », explique Susan Su, professeure au Centre de langue et de culture de Beijing pour les missions diplomatiques, précisant que la Cité interdite attire en moyenne 40 000 visiteurs par jour.
Les toits, murs et cours sont richement décorés de dragons, phénix et autres créatures mythiques, symboles de pouvoir, de prospérité et de bonne fortune. Chaque détail architectural témoigne de la recherche d'harmonie et d'équilibre chère à la culture chinoise.
La Salle de l'Harmonie suprêmeLa Salle de l'Harmonie suprême
Le bâtiment le plus imposant du site est la Salle de l'Harmonie suprême, lieu des grandes cérémonies d'État et des couronnements impériaux. Elle est suivie de la Salle de l'Harmonie centrale, où l'empereur se préparait aux événements importants, et de la Salle de l'Harmonie préservée, qui servait notamment pour les banquets et les examens impériaux.
Le complexe abrite également un musée renfermant une collection estimée à 1,8 million d'objets culturels : peintures, calligraphies, céramiques, jades et trésors impériaux. Une bibliothèque conserve quant à elle de précieux manuscrits et documents historiques retraçant l'histoire de la Chine.
Susan Su, professeure au Centre de langue et de culture de Beijing pour les missions diplomatiquesEntre symbolisme et préservation
Selon les explications des guides, la conception de la Cité interdite s'inspire des principes du yin et du yang ainsi que du feng shui, symbolisant l'harmonie entre le ciel et la terre. Pour eux, le gouvernement chinois consacre d'importants moyens à la préservation de ce patrimoine, avec des projets de restauration réguliers. Le Musée du Palais collabore également avec des institutions internationales pour des expositions et échanges culturels, confient-t-ils.
Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, la Cité interdite demeure aujourd'hui l'un des joyaux les plus emblématiques de la Chine.
Serge Ika Ki
Lefaso.net
Les rideaux sont tombés sur le Salon international du tourisme et de l'hôtellerie de Ouagadougou (SITHO), le dimanche 28 septembre 2025. L'événement, présidé par Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, représenté par le ministre en charge du tourisme, Gilbert Ouédraogo, a drainé beaucoup de monde et engrangé bon nombre d'acquis. Son discours marquant le clap de fin a été un remerciement aux acteurs qui ont fait de cet événement une réussite.
Le SITHO a tenu toutes ses promesses et le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, par la voix du ministre en charge du tourisme, l'a exprimé dans son discours de clôture. « L'effervescence dans les allées, la qualité des rencontres professionnelles et surtout l'appropriation de l'événement par la population nous confortent dans nos orientations », s'est-il exprimé.
Le ministre Gilbert Ouédraogo a visité les stands des différents pays spéciaux le vendredi 26 décembre« Nous avons assisté à bien plus qu'un salon professionnel. Nous avons vécu un véritable moment, une fête populaire, un moment de communion nationale, où chaque citoyen a pu redécouvrir la richesse infinie de notre propre patrimoine. Cette adhésion populaire est le socle sur lequel nous bâtirons l'avenir durable de notre tourisme », se convainc le Premier ministre.
Quelques bracelets exposés au cours de cet événementRappelons que le Mali et le Niger étaient les pays invités spéciaux de cette 15ᵉ édition. « Ensemble, nous avons posé les fondations d'un écosystème touristique sahélien intégré où la circulation des personnes et la promotion du circuit conjoint deviendront la norme créant ainsi un espace de prospérité partagée et de paix consolidée », a affirmé le représentant de Jean Emmanuel Ouédraogo.
« La présence de nos frères du Mali et du Niger a transformé nos discussions en véritables dialogues stratégiques », Jean Emmanuel Ouédraogo, par la voix de Gilbert OuédraogoAvec le Ghana, les partenariats ont été élargis, souligne-t-il, toute chose qui a permis un rapprochement avec les peuples du Sahel et les autres nations africaines. « Le Ghana, par sa riche expérience touristique et sa vision novatrice, a inspiré nos débats et contribué à l'élévation de la qualité de cette édition », a-t-il avoué, ajoutant que cette édition est une fois de plus, une preuve de résilience du Burkina Faso face aux défis qui lui sont imposés.
Le ministre de la communication a félicité le président du comité d'organisation Fidèle Tamini pour la réussite de l'événement« En assurant un environnement propice pour cet événement d'envergure, l'État burkinabè a démontré par les actes son engagement indéfectible à protéger et à promouvoir les activités économiques sur l'ensemble du territoire. Ce salon est la conséquence logique d'une volonté politique et d'un professionnalisme sans faille de l'ensemble des acteurs. Nous envoyons au monde l'image d'un Burkina Faso debout, résilient, qui ne subit pas l'histoire mais qui l'écrit avec audace, abnégation et maestria », a-t-il lancé pour finir.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Le Mali, un des pays invités spéciaux à la 15ᵉ édition du Salon international du tourisme et de l'hôtellerie de Ouagadougou (SITHO), a mobilisé une forte délégation pour l'occasion. Mali Tourisme, l'Agence nationale de promotion du tourisme malien, a exprimé sa satisfaction quant à l'organisation de l'événement. Lefaso.net s'est entretenu avec son directeur général, Sidi Keïta, qui a lancé un appel en faveur d'un tourisme régional renforcé. Vidéo.
Lefaso.net
Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 2 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Executive Master of Business Administration (Executive MBA) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV)
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres.
II. CONDITIONS D'ACCES
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques option droit privé pour les cursus suivants :
Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques ou sciences de gestion pour les cursus suivants :
Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines ou sciences de l'information et de la communication pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques ou sciences economiques pour les cursus ci-après :
Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques, sciences économiques ou sciences de gestion dans le cursus Executive Master of Business Administration (Executive MBA).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
1 712 000 FCFA pour le cursus Executive MBA ;
856 000 FCFA pour les autres Masters ;
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de l'attestation du BAC/Diplôme du BAC ;
Photocopies légalisées de l'attestation de la maitrise, de l'attestation de niveau master 1 ou tout autre diplôme équivalent et des relevés de notes de la licence 1 au M1 ou de la première à la quatrième année (scannées dans un seul fichier au format PDF) ;
Curriculum Vitae (en PDF) ;
Extrait d'acte de naissance
Certificat de nationalité
Lettre de motivation
Lettre de motivation
Copie certifiée conforme de la CNIB
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais
Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 1 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 1 et semestre 2).
II. CONDITIONS D'ACCES
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences juridiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences économiques ou sciences de gestion ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus suivants :
– Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
– Comptabilité Contrôle Audit (CCA)
– Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences de l'information et de la communication ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques, sciences économiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus ci-après :
Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
856 000 FCFA
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
– 301 500 F CFA FCFA avant le début des cours ;
– 191 500 F CFA FCFA au plus tard fin février 2026 ;
– 191 500 F CFA FCFA au plus tard fin avril 2026 ;
– 171 500 FCFA F CFA au plus tard fin juin 2026.
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
Curriculum Vitae (CV) détaillé daté et signé avec photo (fichier unique en PDF) ;
Photocopies légalisées de l'attestation de licence et des relevés de notes dela licence 1 à la licence 3 (scannées dans un seul fichier PDG) ;
Extrait d'acte de naissance ;
Certificat de nationalité ;
Copie certifiée conforme de la CNIB.
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 8 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais
Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Licence professionnelle niveau 3 (L3) à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
• Marketing et Communication d'Entreprise (MCE) ;
• Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE) ;
• Sciences Politiques (SP) ;
• Fiscalité.
I. DUREE DE LA FORMATION
Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 5 et semestre 6).
II. CONDITIONS D'ACCES
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu équivalent pour les cursus suivants :
– Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
– Comptabilité-Contrôle-Audit (CCA) ;
– Marketing et Communication d'Entreprise (MCE).
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, en sciences juridiques, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour les cursus suivants :
– Fiscalité ;
– Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
– Sociologie de la Santé.
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Sciences politiques.
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences humaines, en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Protection et Droits de l'Enfant (PDE).
III. COÛT DE LA FORMATION :
• Frais d'inscription :
51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA
251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
506 000 FCFA
Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
– 201 500 FCFA avant le début des cours
– 101 500 FCFA au plus tard fin février 2025
– 101 500 FCFA au plus tard fin avril 2025
– 101 500 FCFA au plus tard fin juin 2025
IV. MODALITES DE CANDIDATURE :
• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
Copie légalisée de de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
Extrait d'acte de naissance (PDF) ;
Curriculum Vitae (CV) détaillé (PDF) ;
Copie certifiée conforme de la CNIB ;
Les copies légalisées des relevés de notes des semestres S1, S2, S3 et S4 et de l'attestation du DEUG ou de l'attestation de niveau BAC+2 (scannées dans un seul fichier au format PDF) .
• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.
• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
Début des cours : novembre 2025.
N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.
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