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Deux fourrières ouvertes à Cotonou pour les véhicules

24 Heures au Bénin - lun, 27/10/2025 - 15:20

La ville de Cotonou dispose désormais de fourrières municipales capables d'accueillir des véhicules réprimés pour diverses infractions au Code de la route. Ces nouvelles infrastructures ont été lancées, vendredi 24 octobre 2025, par le premier adjoint au maire, en présence des commissaires de Police, et des élus locaux.

Conformément aux dispositions des articles 35, 38 et 105 du Code de l'administration territoriale en République du Bénin, la mairie de Cotonou s'est dotée de deux fourrières municipales. Une fourrière à Agbondjèdo à Akpakpa, dans le 8e arrondissement, et destinée à accueillir les véhicules légers et les motocyclettes, et la seconde, à l'Abattoir dans le 1er arrondissement, réservé aux camions. Les deux fourrières ont été lancées vendredi 24 octobre dernier.

Ces fourrières municipales selon le premier adjoint au maire de la ville de Cotonou, répondent à la volonté des élus de contribuer à une meilleure gestion de la sécurité routière et de la mobilité urbaine. Pour eux, il s'agit d'outils d'incitation au respect du code de la route, et des espaces propices capables d'accueillir des véhicules réprimés pour diverses infractions au Code de la route et les stationnements abusifs et dangereux.

Après avoir salué le professionnalisme de la Police pour le maintien de l'ordre et de la sécurité dans la ville, Romain Ahoundjinou a rassuré que la municipalité de Cotonou à travers le service technique, jouera sa partition pour la fourniture des moyens logistiques et humains indispensables en vue d'une meilleure coordination des activités.

F. A. A.

Catégories: Afrique

How the Australia-US Minerals Framework Redefines Allied Industrial Strategy

TheDiplomat - lun, 27/10/2025 - 15:20
Going beyond other agreements, the Australia-U.S. Framework attempts to define what the future of mining will look like.

L'économie sociale et solidaire au cœur de la Rentrée à ESM-BENIN

24 Heures au Bénin - lun, 27/10/2025 - 15:16

C'est à travers un Séminaire spécialisé, grand creuset d'échanges et de discussion entre étudiants, personnel administratif et enseignants, que l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN) a effectué la rentrée solennelle au titre de l'année académique 2025-2026, ce vendredi 24 octobre 2025. « Economie sociale et solidaire », était le thème principal de discussion.

Ça y est, c'est fait ! La rentrée académique 2025-2026 est officiellement lancée à l'Ecole Supérieure de Management. Le premier Séminaire spécialisé qui a eu pour cadre, le site d'Abomey-Calavi dans le département de l'Atlantique.Etudiants des sites de Cotonou, de Cocotomey, d'Akpakpa et de Porto-Novo ont pris part aux échanges riches et inspirants sur une thématique au cœur des enjeux contemporains de développement.

Pour Geoffroy DJENOUKPO, Directeur des Etudes de ESM-BENIN Calavi, la séance incarne bien plus qu'un simple moment académique. « L'évènement qui nous réunit ce jour, aussi anodin qu'il puisse paraître, est une source de motivation pour plus d'un. Pour ESM, c'est la concrétisation d'une vision exprimée depuis ses origines : former des cadres compétents susceptibles de faire face à tous les enjeux », a-t-il rappelé. D'après lui, la conférence constitue non seulement un outil de motivation pour les étudiants, mais aussi un gage de confiance pour les partenaires, et une confirmation de l'engagement de l'école à l'excellence. Le choix du thème a-t-il poursuivi, n'est pas anodin. Il vise selon le DE, à doter les apprenants d'une compréhension solide de l'économie en général, et de l'économie sociale et solidaire en particulier.

L'entrepreneuriat social, une voie d'avenir pour la jeunesse
S'adressant aux étudiants, le Directeur Général de l'ESM-BENIN a insisté sur la nécessité de repenser la réussite professionnelle. « L'avenir ne dépend plus seulement de vos diplômes, mais de votre capacité à créer de la valeur sociale et économique. Dans un monde où les emplois traditionnels se raréfient, l'entrepreneuriat social et solidaire apparaît comme une voie d'émancipation et d'innovation », a souligné Dr Isidore HOUNHUEDO. Une déclaration qui résonne particulièrement dans un contexte où la jeunesse béninoise est appelée à innover, à entreprendre et à participer activement au développement durable du pays.
Après avoir exposé les innovations de la nouvelle année, il a exhorté les parents ainsi que les nouveaux bacheliers à rejoindre ESM-BENIN, symbole d'excellence et d'innovation. L'école, a-t-il rassuré, est autorisée et dispose de l'agrément pour former les étudiants dans les filières porteuses d'avenir telles que le Génie civil et la Topographie ; l'Hôtellerie, Tourisme, et Restauration ; Système informatique et logiciel. Les filières Administration des finances ; Administration des Impôts ; Administration du Trésor, sont également ouvertes, a ajouté Isidore HOUNHUEDO exhortant les nouveaux bacheliers et les parents encore hésitants, à envoyer leurs enfants à ESM-BENIN qui forme non pas des diplômés, mais des hommes et des femmes capables de prendre leur avenir en main dès la première année.

La conférence animée par Christian AHOYO, enseignant à ESM-BENIN, a permis de mieux comprendre les fondements et les enjeux de ce modèle économique. « L'économie sociale et solidaire constitue une voie durable de développement capable d'accompagner la dynamique impulsée par le gouvernement du président Patrice TALON », a-t-il affirmé. Pour le conférencier, cette approche permettrait de consolider les performances économiques du pays — déjà notables en termes de PIB, de maîtrise de l'inflation et de réduction du déficit budgétaire — tout en renforçant les progrès sociaux. L'objectif visé selon l'enseignant, est que chaque étudiant, à la fin de son cursus, puisse devenir un acteur du développement et non un simple demandeur d'emploi.

Cette rentrée solennelle a été marquée par une prestation de l'artiste Vano Baby, une des figures emblématiques du Rap béninois, et plusieurs autres animations culturelles assurées par des groupes de jeunes de ESM-BENIN qui, pendant ce séminaire, ont égayé les participants.

ESM-BENIN, LE CHEMIN VERS L'EMPLOI !

Catégories: Afrique

Cameroun : Paul Biya, au pouvoir depuis 1982, réélu président

France24 / Afrique - lun, 27/10/2025 - 15:06
Le président Paul Biya, 92 ans et au pouvoir depuis 1982, a été réélu sans surprise président pour un huitième mandat au Cameroun avec 53,66% des suffrages, selon les résultats officiels proclamés par le Conseil constitutionnel lundi.
Catégories: Afrique

How to Implement the Cambodia-Thailand Peace Agreement

TheDiplomat - lun, 27/10/2025 - 15:03
Other ceasefire monitoring cases provide lessons for turning an agreement into lasting peace.

L’UE proposera un plan « concret » pour les minerais critiques avant la fin de l’année

Euractiv.fr - lun, 27/10/2025 - 14:59

Bruxelles envisage de présenter un plan visant à réduire la dépendance de l’UE vis-à-vis de la Chine pour les minerais critiques avant fin 2025, a déclaré lundi 27 octobre un porte-parole de la Commission européenne.

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France : le budget de la sécurité sociale débattu à l'Assemblé Nationale

France24 / France - lun, 27/10/2025 - 14:55
Julie Dungelhoeff, reporter pour France24, décrypte la situation.
Catégories: France

Catalan separatist party Junts breaks relations with Sánchez’s Socialists

Euractiv.com - lun, 27/10/2025 - 14:51
Seven MPs from Junts underpin Sánchez’s minority government
Catégories: European Union

« Tuez-moi si vous voulez, mais je libérerai ce pays par tous les moyens », Tchiroma Bakary

BBC Afrique - lun, 27/10/2025 - 14:50
Issa Tchiroma Bakary, le candidat arrivé en deuxième position selon le Conseil constitutionnel qui a proclamé les résultats de l'élection présidentielle du 12 octobre au Cameroun, a indiqué ce matin qu'il est déterminé à aller jusqu'au bout.
Catégories: Afrique

The Holy Fault Line: Why Israel Stands at the Epicenter of a Fractured World

Foreign Policy Blogs - lun, 27/10/2025 - 14:48

When faith defies reason — and the battle for sacred land becomes a mirror of humanity’s broken order.

By autumn 2025, the Middle East is no longer governed by the old rules. On September 29, U.S. President Donald Trump unveiled his Gaza Peace Plan — a meticulously designed, technocratic roadmap promising ceasefire, withdrawal, hostage release, disarmament, and international oversight.

But the plan failed instantly. Not because of poor drafting, but because it tried to impose rational logic on a sacred conflict — one shaped by divine destiny and existential struggle rather than political pragmatism.

For one side, the fight is jihad and salvation; for the other, divine promise and survival. To speak of “committees” and “transitional governance” in such a space is to speak the wrong language.

Hamas formally accepted the plan, but added “conditions”: Jerusalem and Al-Aqsa are not negotiable; The movement’s identity as resistance is untouchable; Weapons could only be handed to a future Palestinian state; Disarmament would come only “after occupation ends” — meaning Israel’s very existence. Thus, the agreement was symbolic at best, and hollow in practice.

While liberal democracies tried to enforce their “universal values,” the rest of the world built an alternative architecture. BRICS and the Shanghai Cooperation Organization now speak for half of humanity, openly rejecting Western monopoly.

The Westphalian concept of equality among nations is fading. In its place stands a new order of competing blocs, where sovereignty is earned, not guaranteed — and where deals between powers matter more than principles. Israel, positioned between faith, identity, and geopolitics, has become the fault line of this fracture.

Trump’s peace plan was perfect on paper but dead on arrival. It was technically flawless but politically impossible. A ceasefire, troop withdrawal, 72-hour hostage release, amnesty for fighters, external oversight — are all logical steps that ignored the core truth: religious conviction trumps rational compromise.

For Hamas, disarmament is blasphemy. For Israel’s religious nationalists, surrendering land is betrayal. Two absolutes faced each other — and reason was crushed between them.

The October 7, 2023 massacre didn’t just ignite war; they split Israel’s soul in two. On the one side is Liberal Israel — urban, secular, anchored in democracy and human rights, which sees the conflict as a moral test. With rising casualties and growing isolation, 66% of Israelis now say the war should end.

On the other side is Religious-nationalist Israel — the settlers, the messianic right, who views compromise as heresy. For them, divine promise overrides diplomacy. “This is our land by God’s decree,” Israel’s Finance Minister Bezalel Smotrich declared. Institutions meant to stand above politics — the IDF, Shin Bet, judiciary — have lost neutrality after years of political appointments. Pragmatism is gone; ideology rules.

Two Israel’s now coexist in one state — but only one will define its future. This is Israel’s ontological revolution, which is a struggle between secular, liberal, rational and Western Israel against religious Zionist Israel, which is theological, prophetic and absolute.

 A pragmatic middle — embodied by the army and Likud — tries to mediate, shifting tone between audiences: democracy for Washington, security for voters at home. October 7 shattered that fragile code-switching.

Polls reveal the transformation:

  72% support “whatever force necessary”;

  Support for the two-state solution has plunged from 43% to 24%;

  The line between combatants and civilians is fading fast.

The moral foundation of Israel’s Western legitimacy is crumbling — and Netanyahu, instead of restraining the drift, has accelerated it.

Religious Zionism and Hamas now reflect each other’s logic. Each sees itself as divinely chosen, each views the other as evil incarnate, and each rejects human law. Both sanctify martyrdom, both deny compromise. This is not civilization versus barbarism — it is two theologies of total victory staring at their own reflections.

Hamas’s attack was not a traditional war. It was a trap designed to make Israel confirm every accusation ever made against it. Unspeakable atrocities forced Israel into overwhelming retaliation; civilian casualties followed; global outrage exploded — and Israeli society turned further right. Hamas loses the battlefield but wins the narrative. The far right gains strength. Moderates disappear.

The liberal “script” — human rights, proportionality, international law — has burned away. Neither side recognizes neutral authority. The UN and Geneva Conventions are powerless. Moderates are silent; extremists speak in the name of God. There’s no longer a shared language of reason — only faith and fury.

The Dor Moriah Institute, led by analyst Igor Kaminnyk, surveyed Israelis in August 2025. The data reveal a stunning reality:

  41.1% heard of the Trump-Putin summit in Alaska — and didn’t care.

  28.9% didn’t even know it happened.

  Only 6% believed it achieved anything.

Experts saw existential stakes — Iran, global power balance — but citizens shrugged. The gap between elite anxiety and public indifference was vast.

Meanwhile, Israel’s right-wing media declared a new doctrine:

“America as partner — yes. At any price? No.”

“Dependence is dangerous.”

“Israel must act alone.”

Thus emerged a new strategic reflex — solitude by choice. In a world of uncertain alliances, Israelis are learning to trust only themselves. Smotrich called Trump’s plan “a tragic leadership failure” and “return to Oslo’s illusions.” Ben-Gvir was uncharacteristically silent — but his circle fumed over prisoner releases and recognition of the Palestinian Authority.

  Likud MK Amit Halevi insisted “nothing short of total control over Gaza” will do. Yossi Dagan, from Washington, warned against “creating a terror state in the heart of Israel.” Hamas sources described the plan as “a declaration of defeat,” demanding guarantees for their own immunity.  Netanyahu, ever the tactician, dodged a government vote to keep the coalition intact — approving only the hostage deal. The right protests. Hamas hesitates. Netanyahu smiles. Another day in the Middle East.

The Gaza war has become the world’s mirror. It exposes the paralysis of the UN, the decay of the “rules-based order,” and the shift of the Arab world toward BRICS and SCO. Israel now stands as a microcosm of global breakdown — where faith, identity, and raw power matter more than treaties and resolutions.

Trump’s plan will remain a diplomatic ghost — admired on paper, ignored in practice. Hamas will delay, Israel’s coalition will wobble, Netanyahu will maneuver. The war will end eventually — by exhaustion or by escalation. But the age of rational peace is over. The world has entered an era where belief, not logic, defines politics.

Israel is not just fighting a war — it is acting out humanity’s larger fracture. Liberal universalism has lost its grip; sacred identities have returned to the center of world politics. You cannot negotiate theology with spreadsheets. The next global order will need a new language — one that speaks to the sacred without surrendering to it. Until then, Israel remains the holy fault line of our broken world — where faith defies reason, and compromise itself has come to an end.

Dix personnes jugées à Paris pour cyberharcèlement envers Brigitte Macron

France24 / France - lun, 27/10/2025 - 14:48
Johan Bodin est en direct du Tribunal judiciaire de Paris.
Catégories: France

Ten people go on trial over online harassment of French first lady

Euractiv.com - lun, 27/10/2025 - 14:47
The trial comes after she and Macron filed a defamation lawsuit in the US in July
Catégories: European Union

Saudi Investors Are Eyeing Afghanistan’s Resources  

TheDiplomat - lun, 27/10/2025 - 14:47
Investor interest could open doors for deeper engagement between Riyadh and the Taliban, now in power in Kabul.

Quelles troupes pour combattre au sol en Ukraine?

RFI (Europe) - lun, 27/10/2025 - 14:43
Alors que la Russie peut potentiellement compter sur une réserve active de deux millions de soldats, pour éviter la mobilisation très impopulaire. L’Ukraine est face à un problème insoluble... celle d’une démocratie qui rechigne à enrôler de force... pour l’instant, pas question d’abaisser l’âge de la mobilisation au-dessous de 25 ans, le gouvernement a même assoupli la loi martiale et permis aux hommes de 18 à 22 ans de traverser la frontière librement.
Catégories: Union européenne

Octobre rose : Une marche solidaire pour sensibiliser sur le cancer du sein au Burkina Faso

Lefaso.net (Burkina Faso) - lun, 27/10/2025 - 14:42

Dans le cadre de ses activités organisées en marge d'Octobre Rose, la Fondation Orange Burkina Faso a organisé une marche solidaire contre le cancer du sein. Cette marche qui s'est tenue le samedi 25 Octobre 2025 à Ouagadougou, a connu la mobilisation active des agents de l'entreprise Orange, tous engagés pour la prévention et le dépistage précoce de cette maladie qui touche de nombreuses personnes au Burkina Faso.

Il est 7h du matin lorsque les agents de Orange Burkina Faso, vêtus de tee-shirt arborant le logo d'Octobre Rose ont battu les artères de la capitale. Cette marche qui visait à encourager les personnes atteintes du cancer du sein, marque aussi l'engagement de l'entreprise à lutter contre la maladie.

C'est ainsi que le secrétaire exécutif de la Fondation Orange Burkina Faso, Ibrahim HEMA, a invité l'ensemble des populations à plus de sensibilisation et au dépistage précoce, gage d'un meilleur taux de survie.

« Le message que j'ai à l'endroit des clients, de toute la population, c'est la sensibilisation, mais aussi le dépistage car c'est le premier moyen pour lutter efficacement contre la maladie. Lorsqu'on détecte la maladie grâce au dépistage, la prise en charge devient plus facile », a-t-il conseillé.

« C'est une maladie qui touche tout le monde. Ça n'a pas d'âge, ni de sexe, ni de classe sociale », Ibrahim Hema, secrétaire exécutif de la fondation Orange Burkina Faso

La marche s'est déroulée sur un parcours de 5Km sans halte. Du siège de l'entreprise à Koulouba en passant par l'avenue François Bouda, au rond-point de la médiathèque, jusqu'au tournant au niveau de l'entreprise Orca déco, avant de revenir sur leurs pas. De retour au siège, ils ont effectué une séance d'étirements.

En dehors des employés de Orange, plusieurs participants comme des médecins à l'instar de Nayi Zongo du Programme national de lutte contre le cancer du sein (PNLC), des marcheurs professionnels, et des particuliers y ont pris part. La Brigade nationale des sapeurs-pompiers, ainsi que la sécurité étaient aussi présentes pour assurer la sécurité, toute chose concourant au bon déroulement de l'activité.

Aperçu des participants pendant les étirements

Âgé d'environ 70 ans, M Kibora, un ancien employé de Orange avec à son actif 25 ans de carrière était également de la partie, afin d'accompagner la noble cause que combat ses anciens collègues.

« C'est une cause noble pour laquelle je ne pouvais pas rester de côté. C'est la raison pour laquelle j'ai participé à cette marche, pour apporter mon soutien à la fondation », s'est-il exprimé.

« Faire le dépistage c'est aussi prendre conscience que nous devons veiller sur notre santé par tous les moyens », Akendaga Mahamadou Kibora, retraité de Orange Burkina Faso.

Le septuagénaire a également confié que revoir ses collègues lui a fait du bien. Des employés de Orange Burkina Faso comme Aïda DAO du département juridique ont salué l'initiative prise par l'entreprise au profit des personnes souffrantes.

« C'est vraiment tout à l'honneur de Orange d'initier ces activités pour soutenir la lutte contre le cancer du sein, parce que c'est un mal dont souffrent quand même beaucoup de femmes dans le silence », a-t-elle laissé entendre.

« J'exhorte mes jeunes sœurs à aller se faire dépister. C'est comme on le dit toujours, prévenir vaut mieux que guérir », Aïcha Dao, juriste à Orange Burkina

Du reste, elle confie que la lutte à Orange Burkina se fait tous les jours à travers les séries d'activités qu'organise l'entreprise. Elle lance un appel à l'endroit des citoyens burkinabè à faire le dépistage car prévenir vaut mieux que guérir.

Muriel Dominique Ouédraogo (stagiaire)
Lefaso.net

Catégories: Afrique

How China’s Green Surplus Defines Indonesia’s Energy Future

TheDiplomat - lun, 27/10/2025 - 14:41
China’s rise as a clean energy giant is reshaping the global economy faster than any previous industrial shift. Indonesia is a case in point.

Les enseignants de Maniema 1 et 2 reprennent les cours après 10 jours de grève

Radio Okapi / RD Congo - lun, 27/10/2025 - 14:39

Après dix jours de grève sèche, les enseignants des provinces éducationnelles Maniema 1 et Maniema 2 ont repris le chemin des classes ce lundi 27 octobre. Ce mouvement de grève, entamé le 13 octobre, faisait suite au non-paiement de leurs salaires pendant plusieurs mois. 

Catégories: Afrique

UK strikes deal for Turkey to buy 20 Eurofighter jets

Euractiv.com - lun, 27/10/2025 - 14:36
Washington booted Ankara out of its F-35 fighter programme in 2019 over its purchase of an S-400 Russian surface-to-air missile defence system
Catégories: European Union

La décision de la Cour constitutionnelle prévue pour ce soir

24 Heures au Bénin - lun, 27/10/2025 - 14:27

L'audience spéciale de la Cour constitutionnelle consacrée à l'examen des recours des militants du parti Les Démocrates (LD), est ouverte ce lundi 27 octobre 2025. Les sages de la Haute juridiction vont rendre ce soir leur décision dans les recours formés contre la Commission électorale nationale autonome (CENA), dans le cadre de la présidentielle de 2026.

Les militants LD seront situés dans l'après-midi de ce lundi 27 octobre 2025, sur les recours formés contre la CENA dans le cadre de l'élection présidentielle de 2026 au Bénin.
L'audience spéciale ouverte à cet effet est en cours, et la décision des sages de la Cour sera connue dans quelques heures.

A travers divers recours, les militants demandent à la Cour de valider le duo candidat du parti LD pour la présidentielle de 2026, la validation de la fiche de parrainage, et la comparution du député Michel Sodjinou aux fins de « cessation immédiate d'abus de minorité et de privation du droit de vote ».

Dans le dossier de fiche de parrainage qui oppose le parlementaire et sa formation politique, la Cour à travers une décision en fin de semaine écoulée s'était déclarée incompétente en l'état. Nonobstant cette décision de la Haute juridiction, les militants LD ont multiplié les recours.
Les différentes parties seront situées ce soir sur cette affaire liée à la présidentielle 2026.
F. A. A.

Catégories: Afrique

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