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Le duo Agbodjo–Lodjou ne dispose pas du nombre de parrainages requis

24 Heures au Bénin - mar, 14/10/2025 - 12:56

Le parti "Les Démocrates" a enfin désigné, dans la matinée du mardi 14 octobre 2025, son duo de candidats pour la présidentielle de 2026. À l'issue d'une session extraordinaire marquée par de fortes tensions internes, Me Renaud Agbodjo et Jude Bonaventure Lodjou ont été retenus pour représenter la principale formation de l'opposition à la prochaine élection présidentielle. Mais à quelques heures de la clôture du dépôt des candidatures à la CENA, le duo fait face à un obstacle de taille : il ne dispose pas du nombre de parrainages requis.

Tout est parti d'un coup de tonnerre survenu ce lundi 13 octobre, lorsque le député Michel Sodjinou, membre du groupe parlementaire "Les Démocrates", a par exploit d'huissier, sommé le président Boni Yayi à lui rendre son parrainage. Tous les 28 parrainages du parti "Les Démocrates'" avaient été retirés à la CENA et remis au président Boni Yayi.

Saisi, le tribunal a statué publiquement et de manière contradictoire, ordonnant la restitution immédiate du formulaire de parrainage au député Sodjinou, et ce, « nonobstant toute voie de recours ». Une décision qui a profondément bouleversé les calculs du parti à quelques heures de la clôture du dépôt des dossiers.

Une candidature qui divise

Selon plusieurs sources, la désignation de Me Renaud Agbodjo à la tête du ticket présidentiel serait à l'origine de la crise. Le député Sodjinou aurait clairement fixé des conditions pour accorder son parrainage. La non-satisfaction de ses conditions a conduit au retrait de son parrainage. Ce qui prive le duo Agbodjo–Lodjou du nombre minimal de signatures exigées par la loi pour valider sa candidature. Plusieurs cadres affirment que « rien n'a changé » depuis le jugement du tribunal. Pire, des sources concordantes indiquent que d'autres députés du parti envisagent à leur tour de retirer leurs parrainages, en soutien à Michel Sodjinou.
La CENA clôture le dépôt des candidatures ce mardi 14 octobre à minuit. À l'heure où chaque minute compte, le parti ‘'Les Démocrates'' tente encore de sauver les meubles. Mais le temps joue contre lui : sans parrainages suffisants, le duo Agbodjo–Lodjou risque de voir son rêve présidentiel s'arrêter avant même d'avoir commencé.

A.A.A

Catégories: Afrique

Le personnel du Parlement sensibilisé sur les avantages et les risques liés aux réseaux sociaux

24 Heures au Bénin - mar, 14/10/2025 - 12:51

Le chef de la Cellule de communication et porte-parole du Président de l'Assemblée nationale, Vitali BOTON, a animé une communication sur « L'impact des réseaux sociaux sur nos vies privées, nos pratiques professionnelles et nos carrières dans la fonction publique parlementaire ». La séance s'est déroulée, lundi 13 octobre 2025, lors de la cérémonie des couleurs et vise vise à sensibiliser le personnel parlementaire, civil et militaire, sur les valeurs civiques et morales.

Sensibiliser la communauté parlementaire sur les opportunités et les risques liés à l'usage des réseaux sociaux d'une part, et montrer comment elle peut en tirer de grands profits sans compromettre sa vie privée, sa réputation et sa carrière d'autre part, c'est l'objectif d'une communication animée ce lundi 13 octobre 2025, par le chef de la Cellule de communication et porte-parole du Président de l'Assemblée nationale.

Au cours de la séance d'échanges avec le personnel parlementaire, civil et militaire, Vitali BOTON a souligné que les réseaux sociaux, notamment Facebook, WhatsApp, Instagram, TikTok, X (ancien Twitter), LinkedIn et autres, façonnent les comportements, influencent l'image et orientent, souvent à l'insu de l'agent, le cours de sa carrière et de ses responsabilités.

Ces réseaux sociaux selon le communicateur, relève de l'explosion des nouvelles technologies de l'information et de la communication dont il est difficile de s'en passer. « Ils rythment nos relations privées, structurent nos pratiques professionnelles et influencent jusqu'à nos carrières dans la fonction publique. Dans une institution aussi sensible que l'Assemblée nationale, la question est encore plus cruciale, car chaque agent devient, malgré lui, un ambassadeur de l'image du Parlement », a fait observer Vitali BOTON.

L'hyperconnexion aux réseaux et ses impacts sur la vie privée
Selon le porte-parole du président de l'Assemblée nationale, les réseaux sociaux ont profondément transformé la manière de communiquer, de partager et même d'exister publiquement. Une hyperconnexion qui soulève des interrogations majeures sur « la notion même de vie privée ». Laquelle renvoie d'après lui, à « cet espace personnel où chacun devrait pouvoir préserver son intimité, ses opinions, ses émotions et certaines informations qui ne regardent que lui ».

« Or, sur les réseaux sociaux, la frontière entre sphère publique et sphère privée devient de plus en plus floue : ce que l'on publie, commente ou partage peut facilement échapper à notre contrôle et être vu, interprété ou exploité par autrui », a-t-il indiqué avant d'évoquer quelques aspects positifs relatifs entre autres au maintien du contact avec la famille, les amis, les camarades de promotion, et l'accès facile à des groupes d'entraide et de solidarité. « Les réseaux sociaux peuvent également constituer un outil de mémoire et de valorisation des moments de vie, offrant un espace d'expression pour partager ses passions, ses réussites ou ses engagements », a souligné Vitali BOTON.

Au sujet des aspects négatifs, il a relevé les « risques d'exposition involontaire de données personnelles, la perte de contrôle sur les contenus partagés, la traçabilité et le profilage numérique, l'atteinte à la réputation, la pression sociale et psychologique, la confusion entre sphère publique et sphère privée, le risque de cyberharcèlement et d'usurpation d'identité ».

Réseaux sociaux et pratiques professionnelles
En plus d'être des outils de communication personnelle, les réseaux sociaux selon le porte-parole du Président de l'Assemblée nationale, sont devenus « des instruments puissants pour le travail et la diffusion de l'information ».

Dans la fonction publique parlementaire, a-t-il fait savoir, l'impact des réseaux sociaux est particulièrement visible et double car, offrant des opportunités uniques, mais aussi des risques.
Du point de vue des opportunités, les réseaux sociaux selon Vitali BOTON, constituent « un outil puissant de travail et de communication ». Il a évoqué à titre illustratif, les journalistes et communicateurs parlementaires qui, grâce aux réseaux X, LinkedIn et Facebook, peuvent diffuser rapidement des informations officielles, des communiqués, etc. Un simple tweet pouvant toucher des milliers de citoyens en quelques minutes.

Les archivistes et documentalistes selon ses explications, peuvent utiliser les réseaux sociaux pour créer une bibliothèque numérique, facilitant ainsi l'accès du public et des chercheurs. Il en est de même pour les juristes et légistes de l'Assemblée nationale pour qui les plateformes sociales peuvent constituer « un outil de veille, d'échange professionnel et de vulgarisation du droit », favorisant à la fois la transparence, la collaboration et le rayonnement du travail législatif.
A côté de ces opportunités, il y a des risques. Et ces risques sont liés à la fuite d'informations sensibles, aux conflits d'intérêts et la perte de crédibilité, la désinformation et les fake news.

Les défis dans l'administration parlementaire
L'un des défis majeurs qu'impose l'usage des réseaux sociaux dans la fonction publique parlementaire selon Vitali BOTON, réside dans la frontière, souvent floue, entre vie privée et vie professionnelle. A cet effet, il est recommandé à la communauté parlementaire, l'observance de la prudence, de la retenue et de la conscience du rôle qu'elle incarne en ligne.

A l'en croire, plus les responsabilités sont élevées, plus cette frontière devient difficile à tracer. « Une simple prise de position du Secrétaire général administratif, même émise sur un compte personnel, pourrait être immédiatement interprétée comme la position officielle de l'Assemblée nationale. De même, un commentaire du porte-parole du Président de l'Assemblée nationale sera spontanément associé à l'opinion du Président lui-même. Et une réflexion partagée par le Directeur des services législatifs pourrait être reliée, à tort ou à raison, à un texte de loi en examen ou à une orientation législative du moment ».

Autant d'exemples qui, pour lui, illustrent la responsabilité particulière qui pèse sur chaque fonctionnaire parlementaire. « Ses paroles, ses gestes et ses publications dépassent souvent le cadre de la sphère privée. Servir une institution d'une telle envergure impose de considérer que sur les réseaux sociaux, l'on ne s'exprime pas « totalement » en son nom propre.
L'usage des réseaux sociaux dans la fonction publique parlementaire requiert une vigilance accrue. « La fonction publique parlementaire n'est pas une administration comme les autres : elle implique des devoirs de réserve, de neutralité et de loyauté renforcés. Dans ce contexte, les agents doivent toujours garder à l'esprit que leurs actions, même en ligne et à titre personnel, peuvent avoir un impact sur la réputation de l'Assemblée nationale.

Entre vie professionnelle et vie privée, la frontière est souvent ténue », a-t-conseillé avant d'exhorter les agents à quelques recommandations. Il s'agit de
préserver la confidentialité et la sécurité des données ;
respecter le devoir de réserve et la neutralité politique ;
séparer vie professionnelle et vie privée ;
faire preuve de discrétion et de modestie ;
éviter toute confusion entre opinion personnelle et position institutionnelle ;
vérifier systématiquement la fiabilité des informations partagées ;
protéger son image et celle de l'institution ;
s'abstenir de toute publication polémique ou émotionnelle ;
contribuer positivement à l'image du Parlement ;
participer aux formations et respecter la charte d'utilisation interne.

F. A. A.

Catégories: Afrique

L’un des quatre F-35A devant être livrés à la Belgique est tombé en panne aux Açores

Zone militaire - mar, 14/10/2025 - 12:45

Pour le ministre belge de la Défense, Theo Francken, il n’y a pas matière à discuter : le F-35 de Lockheed Martin est un avion de chasse « au plus haut niveau » et c’est même le « meilleur ». Mieux : comme treize pays européens l’ont choisi pour moderniser leur aviation de combat, il considère que c’est aussi...

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Catégories: Défense

Dänemark fordert entschlossene EU-Reaktion auf Chinas Exportbeschränkungen für Seltene Erden

Euractiv.de - mar, 14/10/2025 - 12:41
Auch der EU-Handelskommissar Maroš Šefčovič kritisierte Beijings Maßnahmen scharf. Die Einschränkungen seien „nicht gerechtfertigt“ und stellten ein „zentrales Problem“ für die ohnehin angeschlagene europäische Industrie dar.
Catégories: Europäische Union

Aliou Sall, le frère de l'ancien président sénégalais Macky Sall bénéficie d'une liberté provisoire

BBC Afrique - mar, 14/10/2025 - 12:22
Aliou Sall, frère de l'ancien président sénégalais Macky Sall bénéficie d'une liberté provisoire. Il a été interpellé jeudi dernier à Dakar puis placé en garde à vue après son audition.
Catégories: Afrique

Expérience, âge des ministres… Les chiffres clés du gouvernement Lecornu II

Le Point / France - mar, 14/10/2025 - 12:15
INFOGRAPHIES. Sebastien Lecornu a devoile un gouvernement de 34 membres dont << la seule mission >> est de << surpasser la crise politique >> et de faire adopter le budget 2026. Comment se compose cette equipe 2.0 ?
Catégories: France

European court orders Russia to pay Georgia €253 million for 2008 war

Euractiv.com - mar, 14/10/2025 - 12:09
Moscow quit the ECHR in 2022 in the wake of its invasion of Ukraine but the court says it remains liable
Catégories: European Union

Europe is running out of water: Industry and policymakers unite

Euractiv.com - mar, 14/10/2025 - 12:00
Water scarcity threatens Europe’s competitiveness and resilience. Fragmented rules and weak incentives hinder progress, but industry is ready to collaborate with policymakers. Harmonised standards, strong enforcement, and cross-sector industrial alliances can turn this challenge into a shared opportunity.
Catégories: European Union

Toulouse : le mandat de Jean-Luc Moudenc passé au crible

Le Point / France - mar, 14/10/2025 - 12:00
Securite, logement, transports... Les sujets de friction avec l'opposition ne manquent pas. Etat des lieux a cinq mois des municipales.
Catégories: France

AMENDMENTS 1 - 324 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025 - PE778.128v01-00

AMENDMENTS 1 - 324 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025
Committee on Foreign Affairs
David McAllister

Source : © European Union, 2025 - EP
Catégories: Europäische Union

AMENDMENTS 1 - 324 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025 - PE778.128v01-00

AMENDMENTS 1 - 324 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025
Committee on Foreign Affairs
David McAllister

Source : © European Union, 2025 - EP
Catégories: European Union

Feuertaufe für Frankreichs Premier Lecornu

Euractiv.de - mar, 14/10/2025 - 11:31
Sébastien Lecornu steht vor der Bewährungsprobe: Mit seiner Agenda und dem Budget 2026 kämpft er gegen Misstrauensvoten und Forderungen der Opposition um das politische Überleben seiner jungen Regierung.
Catégories: Europäische Union

Global South Can Rebalance Climate Agenda in Belém, Says Gambian Negotiator

Africa - INTER PRESS SERVICE - mar, 14/10/2025 - 11:27

Climate change is a significant contributor to water insecurity in Africa. Water stress and hazards, like withering droughts, are hitting African communities, economies, and ecosystems hard. Credit: Joyce Chimbi/IPS

By Joyce Chimbi
NAIROBI, Oct 14 2025 (IPS)

The Gambia’s lead negotiator on mitigation believes that COP30 presents a unique opportunity to rebalance global climate leadership.

“This COP cannot be shrouded in vagueness. Too much is now at stake,” Malang Sambou Manneh says in an interview with IPS ahead of the climate negotiations. He identified a wide range of issues that are expected to define COP30 climate talks.

The global community will shortly descend on the Amazon rainforest, the world’s largest intact forest, home to more than 24 million people in Brazil alone, including hundreds of thousands of Indigenous Peoples. Here, delegates will come face-to-face with the realities of climate change and see what is at stake.

Malang Sambou Manneh.

COP30, the UN’s annual climate conference, or the Conference of Parties, will take place from November 10-21, 2025 in the Amazonian city of Belém, Brazil and promises to be people-centered and inclusive. But with fragmented and fragile geopolitics, negotiations for the best climate deal will not be easy.

Sambou, a lead climate negotiator who has attended all COPs, says a unified global South is up to the task.

He particularly stressed the need for an unwavering “focus on mitigation or actions to reduce or prevent greenhouse gas emissions.” Stating that the Mitigation Work Programme is critical, as it is a process established by the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) at COP26 to urgently scale up the ambition and implementation of efforts to mitigate climate change globally.

Sambou spoke about how COP30 differs from previous conferences, expectations from the global South, fossils fuels and climate financing, stressing that “as it was in Azerbaijan for COP29, Belem will be a ‘finance COP’ because climate financing is still the major hurdle. Negotiations will be tough, but I foresee a better outcome this time round.”

The Baku to Belém Roadmap to 1.3T is expected to be released soon, outlining a framework by the COP 29 and COP 30 Presidencies for scaling climate finance for developing countries to at least USD 1.3 trillion annually by 2035.

Unlike previous conferences, COP30 focuses on closing the ambition gap identified by the Global Stocktake, a periodic review that enables countries and other stakeholders, such as the private sector, to take inventory to assess the world’s collective progress in meeting its climate goals.

The first stocktake was completed at COP28 in 2023, revealing that current efforts are insufficient and the world is not on track to meet the Paris Agreement. But while the Paris Agreement, a legally binding international treaty on climate change, set off on a high singular note when it entered into force in November 2016, that unity is today far from guaranteed.

Malang Sambou Manneh with She-Climate Fellows. Credit: Clean Earth Gambia/Facebook

Unlocking high-impact and sustainable climate action opportunities amidst geopolitical turbulence was always going to be difficult. Not only did President Donald Trump pull the United States out of the Paris Agreement, but he is now reenergized against climate programs and robustly in support of fossil fuels—and there are those who are listening to his message.

Sambou says while this stance “could impact the transition from fossil fuels to clean energy, many more countries are in favor of renewable energy than against.”

“But energy issues are complex because fossil fuels have been a way of life for centuries, and developed countries leveraged fossil fuels to accelerate development. And then, developing countries also started discovering their oil and gas, but they are not to touch it to accelerate their own development and must instead shift to renewables. It is a complex situation.”

Ilham Aliyev, the President of Azerbaijan, famously described oil as a “gift from God” at COP29 to defend his country’s reliance on fossil fuels despite climate change concerns. This statement highlights the complexity of the situation, especially since it came only a year after the landmark COP28 hard-won UAE Consensus included the first explicit reference to “transitioning away from all fossil fuels in energy systems” in a COP agreement.

As a negotiator, Sambou says he is very much alive to these dynamics but advises that the global community “will not successfully counter fossil fuels by saying they are bad and harmful; we should do so through technology. By showcasing alternatives that work. This is an opportunity for the global South to take the lead and present best practices in renewables.”

And it seems there is evidence for his optimism. A recent report shows the uptake of renewables overtaking coal generation for the first time on record in the first half of 2025 and solar and wind outpacing the growth in demand.

This time around, the global south has its work cut out, as it will be expected to step up and provide much-needed leadership as Western leaders retreat to address pressing problems at home, defined by escalating economic crises, immigration issues, conflict, and social unrest.

It is in the developing world’s leadership that Sambou sees the opportunities—especially as scientific evidence mounts on the impacts of the climate crisis.

The World Meteorological Organization projects a continuation of record-high global temperatures, increasing climate risks and potentially marking the first five-year period, 2025-2029.

Sambou says all is not lost in light of the new and ambitious national climate action plans or the Nationally Determined Contributions.

This past September marked the deadline for a new set of these contributions, which will guide the COP30 talks. Every five years, the signatory governments to the Paris Agreement are requested to submit new national climate plans detailing more ambitious greenhouse gas emission reduction and adaptation goals.

“Ambition has never been a problem; it is the lack of implementation that remains a most pressing issue. Action plans cannot be implemented without financing. This is why the ongoing political fragmentation is concerning, for if there was ever a time to stand unified, it is now. The survival of humanity depends on it,” he emphasizes.

“Rather than just setting new goals in Belém, this time around, we are better off pushing for a few scalable solutions, commitments that we can firmly hold ourselves accountable to, than 200 pages of outcomes that will never properly translate into climate action.”

Despite many competing challenges and a step forward, two steps backwards here and there, from the heart of the Amazon rainforest, COP30’s emphasis on the critical role of tropical forests and nature-based solutions is expected to significantly drive action for environmental and economic growth.

Note: This interview is published with the support of Open Society Foundations.

IPS UN Bureau Report

 


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Excerpt:


COP30 negotiator Malang Sambou Manneh believes the method of countering growth in fossil fuel development lies in technology. Showcasing alternatives that work provides the opportunity for the global South to take the lead and present best practices in renewables.
Catégories: Africa

Spanish PM Sánchez calls for ‘no impunity’ over Gaza

Euractiv.com - mar, 14/10/2025 - 11:26
Sánchez was also pressed on comments by US President Donald Trump, who suggested Spain should be expelled from NATO
Catégories: European Union

FIREPOWER: New French defence minister redux

Euractiv.com - mar, 14/10/2025 - 11:25
Plus, Costa's EUCO letter, and Stoltenberg keeps his MSC backup job
Catégories: European Union

AMENDMENTS 325 - 698 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025 - PE778.129v01-00

AMENDMENTS 325 - 698 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025
Committee on Foreign Affairs
David McAllister

Source : © European Union, 2025 - EP
Catégories: Europäische Union

AMENDMENTS 325 - 698 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025 - PE778.129v01-00

AMENDMENTS 325 - 698 - Draft report Implementation of the common foreign and security policy – annual report 2025
Committee on Foreign Affairs
David McAllister

Source : © European Union, 2025 - EP
Catégories: European Union

AI content proliferates in Hungary ahead of next year’s elections

Euractiv.com - mar, 14/10/2025 - 11:15
Experts warn that because some AI content can generate very emotional reactions, the use of the technology could sway public opinion
Catégories: European Union

Rapporteur | 14. Oktober

Euractiv.de - mar, 14/10/2025 - 10:43
Willkommen bei Rapporteur! Jeden Tag liefern wir Ihnen die wichtigsten Nachrichten und Hintergründe aus der EU- und Europapolitik. Need-to-knows: Frankreich: Premierminister Sébastien Lecornu wird vor den Abgeordneten seine politischen Prioritäten vorstellen – während Misstrauensanträge im Raum stehen. Migration: Die EU-Innenminister dürften sich heute in Luxemburg über die Regeln für Abschiebungen streiten. Europaparlament: Die Abgeordneten sprechen […]
Catégories: Europäische Union

Frauen in ländlichen Gebieten verdienen mehr als nur einen Weltgedenktag

Bonn, 14. Oktober 2025.  Während Frauen in ländlichen Gebieten eine entscheidende Rolle in der Landwirtschaft und in Ernährungssystemen spielen, werden sie in Datenerhebungen und Entscheidungsprozessen allzu oft vergessen.

Am 15. Oktober begehen wir den Internationalen Tag der Frauen in ländlichen Gebieten und würdigen damit „die zentrale Rolle von Frauen [...] und ihren Beitrag zur Förderung der landwirtschaftlichen und ländlichen Entwicklung, zur Verbesserung der Ernährungssicherheit und zur Beseitigung der ländlichen Armut“. Das Thema für 2025, „Der Aufstieg der Frauen auf dem Land: Mit Beijing+30 eine resiliente Zukunft aufbauen“, unterstreicht die Ungleichheit, mit der ländliche Frauen nach wie vor konfrontiert sind, und ihre entscheidende Rolle für eine nachhaltige Entwicklung.

Zahlreiche Fakten belegen die entscheidende Rolle von Frauen in der landwirtschaftlichen Produktion. Zum Beispiel das Anpflanzen, Ernten und Verarbeiten von Feldfrüchten, das Sichern der Ernährung ihrer Haushalte und das Hüten der natürlichen Ressourcen für künftige Generationen. Allerdings gehören Frauen in ländlichen Gebieten oft zu den Ärmsten und stellen den Großteil der Analphabet*innen weltweit. Schätzungen zufolge wäre das Potenzial von Frauen enorm, wenn sie nur denselben Zugang und die gleichen Chancen wie Männer hätten. Millionen von Menschen würden so aus der Armut herauskommen.

Eines ist klar: Frauen in ländlichen Gebieten sind Multiplikatorinnen in ihren Gemeinschaften. Damit dieses Potenzial ausgeschöpft werden kann, müssen politische Maßnahmen jedoch auf einem differenzierten Verständnis der vielfältigen Lebensrealitäten von Frauen in ländlichen Gebieten beruhen. Hinter der öffentlichen Anerkennung von „ländlichen Frauen“ steht eine vereinfachende Zuschreibung. Wer verbirgt sich tatsächlich hinter dieser Bezeichnung? Datenlücken zeigen, dass ihre Lebensrealitäten bislang nur unzureichend abgebildet werden.

Das Wissen um die bestehenden Lücken hat verschiedene Datensysteme mit geschlechtsspezifischer Differenzierung hervorgebracht. Die Gender Disaggregated Labor Database der Weltbank liefert detaillierte Einblicke in die Erwerbsbeteiligung in unterschiedlichen Berufsfeldern. Der UN Women Data Hub erhebt Daten, um die Überwachung der Nachhaltigkeitsziele (SDG-Monitoring) aus einer Geschlechterperspektive zu unterstützen. Ebenso misst der Women’s Empowerment in Agriculture Index (WEAI), die Handlungsfähigkeit und Mitbestimmung von Frauen in landwirtschaftlichen Entscheidungsprozessen. Doch auch wenn die Verfügbarkeit solcher Daten zunimmt, zeigen die bisherigen Erkenntnisse klar: Geschlechtsspezifische Ungleichheiten bestehen fort und unser Wissen bleibt begrenzt.

Trotz erzielter Fortschritte bilden unsere Datensysteme die Vielfalt der Lebensrealitäten von Frauen noch immer nicht umfassend ab. Wir sind uns der strukturellen Benachteiligung und Mehrfachdiskriminierung von Frauen bewusst. Sie manifestiert sich in ungleichen Voraussetzungen für den Zugang zu, die Kontrolle über und den Besitz von grundlegenden Ressourcen, in asymmetrischen Machtverhältnissen, dem Ausschluss von Frauen aus Entscheidungsprozessen sowie der geschlechtsspezifischen Arbeitsteilung. Hinzu kommen Gewalt und soziale Normen, die dem Empowerment von Frauen entgegenstehen. Während die Diskriminierung von Frauen gut dokumentiert ist, bleiben intersektionale Diskriminierungen weitgehend unsichtbar. Denn die Überschneidung von Geschlecht mit Alter, ethnischer Zugehörigkeit, Familienstand, Klasse oder geografischem Kontext schafft jeweils eigene Muster von Privileg und Ausgrenzung. Hier beginnen die Datenlücken sichtbar zu werden.

In vielen Fällen verschleiern unsere Annahmen über „die Frauen“ jene Vorurteile, die schon bei der Datenerhebung und -interpretation zum Tragen kommen. Viele Erhebungen erfolgen auf Haushaltsebene oder aus öffentlichen Quellen, meist aus einer männlich geprägten Perspektive. So mag ein Haushalt Land besitzen, ohne dass Frauen Einfluss auf dessen Nutzung haben. Der Kauf moderner Landmaschinen bedeutet nicht automatisch, dass Frauen sie auch bedienen können, da ihnen die entsprechende Ausbildung fehlt.

Darüber hinaus existieren Dimensionen der Lebenswirklichkeit von Frauen, die gänzlich außerhalb unseres derzeitigen Wissens liegen. Wer fundierte politische Empfehlungen für Frauen in ländlichen Gebieten entwickeln und ihre zentrale Rolle sichtbar machen will, muss sich bewusst mit diesen blinden Flecken auseinandersetzen. Die bloße Aufnahme einer Geschlechtsvariable in eine Umfrage genügt nicht mehr. Echte Inklusivität erfordert einen tiefgreifenden Wandel in Forschungsdesign und Methodik. Partizipative Ansätze – etwa gemeinschaftliche Lernplattformen, Fokusgruppendiskussionen oder kooperative Forschungsprozesse – können helfen, die verborgenen Dynamiken innerhalb von Haushalten und Gemeinschaften offenzulegen.

Am Internationalen Tag der Frauen in ländlichen Gebieten sollten sich Entwicklungsorganisationen, Regierungen, Forschende und Gemeinschaften gleichermaßen dazu verpflichten, Frauen in all ihrer Vielfalt als zentrale Akteurinnen ländlicher Entwicklung anzuerkennen und das Bewusstsein für das zu schärfen, was wir noch nicht wissen. Frauen in ländlichen Gebieten sichtbar zu machen, bestehende Lücken bei Ressourcen, Rechten und Daten zu schließen und ihre vielfältigen Perspektiven einzubeziehen, sind konkrete Schritte auf dem Weg zu Geschlechtergerechtigkeit, ökologischer Nachhaltigkeit und einer inklusiveren ländlichen Wirtschaft.

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