La diaspora burkinabè au Nebraska, USA, à l'instar de bien d'autres à travers le monde, ne tarit pas d'initiatives visant non seulement à nourrir la fibre patriotique et africaine, mais aussi à renforcer son esprit d'ouverture aux peuples du monde. A peine achevée la première édition de « Wendok Soccer Tournement », une sorte de coupe d'Afrique des communautés africaines résidant dans cet État, qu'est lancée la Foire internationale de l'agribusiness et de la manufacture (FIAM), portée par ce groupe de Burkinabè, regroupés autour de International Agribusiness Initiative (IAI), organisation à but non lucratif. Elle s'est déroulée les 29 et 30 octobre 2025 au Nebraska, État du centre des États-Unis d'Amérique, et a réuni des agriculteurs, des dirigeants d'entreprises agroalimentaires et des experts du secteur des États-Unis d'Amérique (USA) et d'Afrique. Pour ce coup d'essai, ce fut un coup de maître, à en croire les promoteurs.
Ce cadre, porté par John Ouédraogo (président du comité d'organisation), Julien koala (président du conseil d'administration) et Moussa Guira (directeur de programme de l'IAI), a ainsi permis de mettre en lumière, les potentialités de l'agriculture et de l'agro-industrie des deux continents, américain et africain.
Selon les organisateurs, la Foire internationale de l'agribusiness et de la manufacture (FIAM) est un espace d'échanges et de partages d'idées autour de l'agriculture des deux continents. « Le Midwest américain a longtemps été une référence mondiale en matière de productivité agricole, d'ingénierie des équipements et de chaînes d'approvisionnement résilientes. L'Afrique apporte une croissance de marché inégalée, une diversité de ressources et une énergie entrepreneuriale. Lorsque nous relions ces forces (Américains et Africains), lorsqu'un fabricant d'équipements du Nebraska s'associe à une entreprise agribusiness ghanéenne, malienne ou burkinabè, lorsqu'un transformateur alimentaire ivoirien co-conçoit avec une entreprise d'emballages de l'Iowa, lorsqu'un laboratoire de recherche béninois collabore avec une université,... le pont devient un moteur », a, à l'ouverture de la FIAM, présenté le président du comité d'organisation, John Ouédraogo.
Tables-rondes, rencontres B to B, panels et diverses autres activités ont donc orné ces deux jours de foire dédiée à la sécurité alimentaire, à l'innovation et aux partenariats agricoles. On note à ce titre que, et à titre illustratif, les participants ont eu un B to B avec Nebrask Corn Industry et ont pu visiter des usines à Grand Island (Chief Case HI et Kopony coffe factory), l'Innovation Campus à l'Université de Nebraska à Lincoln (UNL) et l'usine de fabrication de drones et tracteurs agricoles.
Ce qui leur a permis d'approfondir leur compréhension des technologies agricoles modernes et des stratégies de développement.
Pendant deux jours, des délégations du secteur agricole et des chambres d'industrie et de commerce de plusieurs pays d'Afrique, dont le Burkina Faso, le Botswana, le Mali, les USA, ont animé cette première édition de la FIAM.
« Nous avons échangé des idées, forgé de nouveaux partenariats et découvert des technologies qui redéfiniront l'agrobusiness dans les années à venir », a, à la clôture, dressé le président du conseil d'administration de l'IAI, Julien Koala, par ailleurs promoteur de « Wendok Soccer Tournement ».
Pour les organisateurs, à l'image du directeur de programme de l'IAI, Moussa Guira, qui a livré une communication sur la vision et les objectifs de l'initiative, cette première édition a été un succès, au regard notamment de la diversité des activités et de la richesse des échanges lors des panels.
« Nous adressons nos sincères remerciements à tous les partenaires, sponsors et participants qui ont contribué à la réussite de cet événement. Les échanges et les liens tissés ont jeté les bases d'une collaboration et d'une croissance accrues à l'échelle mondiale. Nous serons ravis de vous accueillir à nouveau lors de la prochaine édition, en septembre 2026, afin de poursuivre notre engagement commun en faveur du développement de l'agroalimentaire, de l'innovation et de la production industrielle à l'échelle mondiale », se sont ainsi montré reconnaissants les organisateurs, qui donnent rendez-vous pour la deuxième édition, les 3 au 4 septembre 2026.
O.L
Lefaso.net
Alors que le Burkina Faso poursuit sa transformation numérique à toute vitesse, une main-d'œuvre qualifiée dans le domaine du numérique est essentielle pour soutenir et accélérer la croissance de son secteur digital. En marge de la 20ᵉ édition de la Semaine du Numérique 2025, le leader technologique américain Cybastion organisera un cours intensif de trois jours dans le cadre de son programme Africa DigiEmpower. L'événement se tiendra du 18 au 21 novembre à Ouagadougou, sous le thème « L'IA au cœur de la transformation numérique ».
Africa DigiEmpower, un partenariat entre les entreprises américaines Cybastion et Cisco et le Gouvernement du Burkina Faso, est une initiative ambitieuse visant à former jeunes et femmes du continent aux compétences numériques les plus recherchées afin de les préparer aux emplois du futur.
Les inscriptions sont désormais ouvertes pour les participants souhaitant s'inscrire à l'un des cours gratuits de formation technologique : Bases du matériel informatique, Cybersécurité et Entrepreneuriat. À partir du 19 novembre, les apprenants acquerront des compétences pratiques et recherchées pour démarrer une carrière dans le domaine de la technologie. À l'issue des formations, le 21 novembre, dernier jour de la Semaine du Numérique, les participants recevront un badge et un certificat numérique certifiés Cisco, reconnus à l'international dans l'industrie technologique.
Lancée cette année en Côte d'Ivoire, l'initiative Africa DigiEmpower sera prochainement déployée au Burkina Faso. Ce cours de formation pendant la Semaine du Numérique offrira un avant-goût de ce programme ambitieux, qui sera également étendu à la République Démocratique du Congo (RDC) et au Gabon d'ici la fin de l'année.
« Former les jeunes talents aux compétences numériques est essentiel pour que le Burkina Faso réussisse dans l'économie numérique actuelle, » a déclaré Dr Thierry Wandji, PDG de Cybastion. « Nous sommes reconnaissants pour notre partenariat avec le Gouvernement du Burkina Faso, qui nous permet d'élargir notre portée et de rendre la formation numérique plus accessible, tant dans les zones urbaines que rurales. »
Avec près des deux tiers de la population âgés de moins de 25 ans, le Burkina Faso fait face à un important déficit de compétences numériques. Africa DigiEmpower vise à doter les jeunes professionnels burkinabè des savoir-faire nécessaires pour accéder à des carrières à forte croissance et à l'entrepreneuriat, notamment en cybersécurité, en intelligence artificielle, en maintenance informatique et en technologies de l'information.
« En ouvrant les portes des métiers d'avenir à une nouvelle génération, Cybastion et notre organisation à but non lucratif, Theya Foundation, contribuent à répondre à la demande du marché du travail pour une main-d'œuvre numérique compétente, » a déclaré Ibrahim Younoussi, directeur général de Cybastion Burkina Faso. Theya Foundation administre le programme de formation numérique à travers l'Afrique.
« L'initiative Africa DigiEmpower contribue à former la prochaine génération de professionnels et d'innovateurs du numérique en Afrique, » a déclaré Anne-Valérie Sil, vice-présidente exécutive de la Fondation THEYA by Cybastion. « En dotant les jeunes et les femmes des compétences et des outils nécessaires pour s'épanouir dans l'économie numérique, nous construisons un avenir digital plus inclusif et plus résilient. »
Le nombre de places est limité. L'inscription est obligatoire et doit être effectuée avant le lancement de la Semaine du Numérique.
Accédez au lien d'inscription ici : bf.africadigiempower.org
Réunis ce 11 novembre 2025 au siège de l'Union nationale des sociétés coopératives des producteurs semenciers du Burkina (UNPS-B), à Ouagadougou, plusieurs dizaines d'acteurs de la filière sont venus participer aux travaux de leur assemblée générale ordinaire 2024. Une rencontre annuelle pour faire le bilan et faire une projection des activités du secteur. L'ouverture officielle a été faite par le ministre de l'agriculture, des ressources animales et halieutiques, représenté par son secrétaire général, Gaoussou Sanou.
Dans ce contexte marqué par les défis sécuritaires, le changement climatique et les nouvelles ambitions du gouvernement pour l'autosuffisance alimentaire, les producteurs semenciers souhaitent faire de cette assemblée une étape décisive vers une meilleure structuration et une plus grande capacité de production. En ouvrant les travaux, le secrétaire général Gaoussou Sanou, au nom du ministre, a salué la régularité des instances de l'UNPS-B, gage de transparence et de bonne gouvernance. Il a rappelé que la semence reste « le premier maillon de la chaîne de production agricole », expliquant qu'aucune politique agricole durable ne peut prospérer sans une semence de qualité, fiable et disponible. Le message du ministre se voulait encourageant, mais aussi exigeant. Il a réaffirmé également son engagement à accompagner la professionnalisation du secteur, particulièrement à travers un appui renforcé à la structuration et à la valorisation de la production semencière locale. « Le gouvernement a décidé de mettre à la disposition des petits producteurs agricoles 20 000 tonnes de semences certifiées pour la campagne humide 2025-2026. Une planification de 20 000 tonnes par an est prévue pour les cinq prochaines années », a-t-il précisé dans son discours.
Le secrétaire général, Gaoussou Sanou, représentant le ministre de l'agriculture, des ressources animales et halieutiques à l'ouverture de l'assemblée générale ordinaire 2024 de l'UNPS-BUne annonce qui rassure l'union et lui offre un cadre stable pour mieux anticiper et organiser la production dans les différentes régions. Dans son intervention, le président de l'UNPS-B, Inoussa Ouédraogo, a dressé un bilan satisfaisant. « Nous pouvons dire que c'est assez satisfaisant avec un taux d'exécution de 83 % et un taux d'exécution financier qui frôle les 90 % », a-t-il expliqué. Pour lui, ces résultats sont d'autant plus encourageants que le contexte national reste marqué par d'importantes contraintes sécuritaires. Selon lui, la vision des autorités et le dynamisme actuel du ministère de l'Agriculture permettent à la filière de se projeter avec ambition. Il insiste cependant sur la nécessité de redoubler d'efforts pour accompagner les objectifs nationaux en matière d'autosuffisance alimentaire. « Les producteurs sont très conscients des attentes du gouvernement et du peuple burkinabè, surtout en matière de disponibilité de semences de qualité », a-t-il rappelé.
L'un des défis majeurs évoqués par le président reste la situation sécuritaire, qui a contraint plusieurs producteurs à se déplacer. Malgré cela, l'Union assure avoir procédé à des réajustements internes permettant à de nombreux producteurs de poursuivre leurs activités dans d'autres localités. Parmi les autres défis se trouvent la planification à long terme, la question de la mécanisation et la mobilisation des jeunes dans la production agricole.
Le président de l'UNPS-B, Inoussa Ouédraogo, a dressé un bilan satisfaisantMécaniser pour maintenir la compétitivité
La question de la mécanisation a constitué un point central pour le président de l'UNPS-B. Constatant le désintérêt croissant des jeunes pour l'agriculture, accentué par l'attrait du secteur minier, l'Union estime que seule une mécanisation accrue pourrait rendre les travaux agricoles plus attractifs et moins pénibles. « Sans mécanisation, l'activité reste difficile, et il devient compliqué de mobiliser les jeunes autour de la production agricole », a expliqué Inoussa Ouédraogo. L'UNPS-B travaille actuellement à renforcer les capacités matérielles de ses membres et annonce une avancée majeure : une prochaine convention avec le ministère de l'Agriculture pour l'acquisition de 167 tracteurs destinés aux producteurs semenciers.
Le président de l'union a mis en avant des avancées importantes enregistrées au cours de l'année. Il y a le renforcement des capacités des producteurs à travers des formations et un meilleur accès aux intrants, la certification renforcée des semences, gage de compétitivité au niveau régional, l'inscription officielle du Burkina au système OCDE, ouvrant de nouvelles opportunités commerciales, la signature d'une convention pour fournir chaque année 20 000 tonnes de semences sur cinq ans, etc. Ces acquis, a-t-il dit, montrent que malgré les contraintes, la filière semencière burkinabè avance, structurée par une vision à long terme et un travail collectif visible.
Joseph Tiéba, producteur semencier dans la région de Banfora et vice-président de l'UNPS-B, remercie le gouvernement pour ses effortsProducteur dans la région de Banfora et vice-président de l'UNPS-B, Joseph Tiéba estime que cette assemblée vient à point nommé pour affiner la stratégie. « Après le travail, il est bien de se retrouver pour faire le bilan et donner une bonne directive aux actions futures », confie-t-il. Il souligne une avancée majeure : la production de semences est aujourd'hui mieux corrélée aux besoins réels, grâce à l'appui technique du ministère. « Avant, on produisait sans tenir compte des besoins. Maintenant, avec la formation et le matériel technique, c'est plus rationnel », se réjouit-il.
Avant de déclarer les travaux ouverts, le secrétaire général a insisté sur l'importance de faire de cette rencontre un moment de lucidité collective. Les producteurs sont invités à proposer des solutions réalistes et à maintenir une cohésion interne forte, condition indispensable pour relever les défis qui se posent à eux. L'assemblée générale se poursuit jusqu'au 12 novembre 2025 avec des discussions techniques, la validation du rapport d'activités et du rapport financier, mais aussi des échanges de terrain permettant d'orienter les actions futures.
Farida Thiombiano
Crédit photo : Bonaventure Paré
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Le Comité permanent inter-États de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) tient, du 11 au 13 novembre 2025, à Ouagadougou, la 32ᵉ session de son Comité régional de programmation et de suivi (CRPS). Cette rencontre annuelle, qui réunit les représentants des États membres, des institutions partenaires et des organes spécialisés, constitue une étape clé dans le dispositif de gouvernance du CILSS.
Véritable cadre de concertation technique et stratégique, le CRPS prépare les décisions majeures qui seront soumises à la session ordinaire du Conseil des ministres du CILSS, prévue le 25 novembre 2025, à N'Djamena, au Tchad.
Au cours de l'exercice 2024-2025, le CILSS a multiplié les initiatives pour renforcer son leadership et mobiliser des ressources en faveur du développement durable dans la région sahélienne. Il s'agit entre autres de la table ronde des bailleurs de fonds arabes, tenue à Vienne sur le financement du plan stratégique du CILSS 2050, du forum de Dakar sur l'irrigation, en avril 2025, qui a débouché sur la nouvelle stratégie Sahel pour l'irrigation et l'adoption de la déclaration Dakar +10 sur l'irrigation, et du forum de Nouakchott sur l'élevage et le pastoralisme, en novembre 2024.
La photo de familleMalgré ces avancées notables, des défis persistent. Le CILSS entend renforcer sa culture institutionnelle et son efficacité opérationnelle afin de s'adapter aux mutations mondiales.
Selon le directeur exécutif du CILSS, Dr Abdoulaye Mohamadou, il s'agit désormais d'intégrer davantage les innovations technologiques, notamment les outils liés à l'intelligence artificielle, tout en anticipant les impacts des transformations démographiques, migratoires et économiques en cours dans la région.
Au cours de la cérémonie, le directeur exécutif du CILSS a fait une mention spéciale au Cap Vert et à la Gambie qui ont repris le versement de leurs contributions au CILSS après plusieurs années de suspension.
« Ces dynamiques traduisent une appropriation croissante du CILSS par ses États membres et une volonté partagée de renforcer la coordination technique et la cohésion régionale », a-t-il indiqué.
Le directeur exécutif du CILSS Dr Abdoulaye MohamadouLe représentant du ministre en charge de l'agriculture, Boukary Savadogo, a rappelé aux participants que les pays du CILSS continuent d'être confrontés à de multiples défis. Notamment la variabilité climatique accrue, la pression foncière, la dégradation des terres, et l'insécurité multiforme qui affectent la production et la mobilité des acteurs ruraux.
« Ces contraintes n'ont jamais empêché la détermination de mon pays, le Burkina Faso, ainsi que des autres pays membres du CILSS, à bâtir une agriculture forte, moderne et orientée vers la souveraineté alimentaire. En effet, au Burkina Faso, sous l'impulsion du président du Faso, l'offensive agro-pastorale et halieutique a été lancée en 2024 pour la souveraineté alimentaire du pays. Elle constitue une réponse audacieuse et structurée à la dépendance alimentaire et à la vulnérabilité de nos systèmes de production. Grâce à ses institutions spécialisées comme l'institut du Sahel et le Centre régional AGRHYMET, le CILSS accompagne les États dans la gestion intégrée des ressources naturelles, la prévention des crises alimentaires et la planification résiliente face au changement climatique », a souligné le directeur technique du ministère en charge de l'agriculture, représentant du ministre Ismaël Sombié.
Le directeur technique du ministère en charge de l'Agriculture Boukary Savadogo, représentant du ministre Ismaël SombiéIl a salué les efforts de mobilisation de ressources engagés en 2024-2025 par le CILSS. « Ces résultats illustrent le dynamisme de notre institution commune qu'est le CILSS et l'excellence de ses rapports avec ses États membres et les partenaires techniques et financiers. La présente session du Comité régional de programmation et de suivi offre une plateforme privilégiée pour évaluer les réalisations de l'année écoulée et planifier les actions de l'année 2026 », a notifié M. Savadogo.
Il a terminé en rappelant que le Burkina Faso demeure « fermement » attaché aux idéaux de solidarité, d'autonomie et d'intégration régionale qui guident le CILSS depuis plus de 50 ans.
Rama Diallo
Lefaso.net
La grande famille SANOU à Bobo Dioulasso, Sakaby, Tounouma, Dingasso, Wolonkoto, Ouagadougou, Canada.
Abbé Joseph SANOU, Chef de Famille,
Les familles alliées : COULIBALY, OUATTARA, KI, LEGALLIC,
La grande famille ARISTE au Burkina, en France, en Angleterre et au Canada
La famille de feu Jean André DIALLO
La famille de feu Lédéa Bernard OUEDRAOGO
Les familles alliées
Mr. Abel SANOU ex Directeur Général Adjoint de Bolloré Transport & Logistics à la retraite époux de la défunte.
Les enfants : SANOU Franck Ismael Maghan et SANOU Andrea Alika
Le petit fils : TRAORE Yanis Abel Ismael
Vous traduisent leurs sincères remerciements et leur profonde gratitude pour les nombreuses marques d'amitié, de compassion et les soutiens multiformes (spirituel, moral, matériel et financier) manifestés tout au long de la maladie, du rappel à Dieu le 11 octobre 2025, de l'inhumation et des funérailles à Sakaby de leur fille, soeur, cousine, tante, belle-fille, épouse, mère et grand-mère…
Madame SANOU / ARISTE Clémence précédemment Gestionnaire de Projet
Votre présence bienveillante à leurs côtés lors de cette douloureuse épreuve leur a apporté force, consolation et réconfort.
Nos remerciements et notre infinie reconnaissance vont à l'endroit :
Des parents, amis et connaissances du Burkina et de l'étranger,
Du personnel soignant en France,
Des voisins du quartier zone 1 à Ouagadougou et ceux des secteurs 5 et 12 à Bobo Dioulasso,
Des anciens collègues et collaborateurs du groupe Bolloré, du projet PARITE, de Save The Children Burkina et RDC, EDC Mali, CRS Burkina et du CESAO
Des structures, associations et personnes individuelles
De L'Archevêque de Bobo Dioulasso, Monseigneur Laurent DABIRE
De L'Archevêque Émérite de Bobo Dioulasso, Monseigneur Paul OUEDRAOGO
De L'Archidiocèse de Bobo Dioulasso
De La paroisse Saint Maurice de Sakaby
De La cathédrale de l'Immaculée Conception de Ouagadougou
De la CCB Sainte Cecile de la Zone 1
Des notabilités et les populations de Sakaby
Des membres des différentes confessions religieuses
Que le Dieu Tout Puissant, dans son infinie bonté bénisse et comble chacun de ses grâces.
Union de prières
Son Excellence Naba Yemdé Chef du canton de Tanghin ;
Son Excellence Naba Sanem Chef de Zorgho ;
Son Excellence Naba Bagonponré Chef de Tooghin ;
Son Excellence Naba Tigré Chef de Gouantenga ;
La grande Famille DONDASSE à Ouagadougou et à Méguet ;
La grande famille DONDOULGOU à Bobo Dioulasso ;
La grande famille KABORÉ à Bobo Dioulasso, Ouaga, Zorgho et Tanghin ;
La grande famille OUÉDRAOGO et alliées à Bobo Dioulasso, Ouaga et Zorgho ;
La famille Bonkoungou à Bobo Dioulasso, Ouaga, et Tanghin ;
La famille Dembèga et Rimbèga à Ouaga et Tanghin ;
La famille Soudré à Ouaga et Méguet ;
Monsieur DONDOULGOU N Roger, Contrôleur des télécommunications à la retraite à Bobo Dioulasso ;
Les enfants Edith, Elise, Evariste, Emeline, Emma, Augustine Elizabeth, Emile et Eveline à Bobo Dioulasso et à Ouaga ;
Mme SAGNON/KABORE Florence, frère et sœurs ;
KABORE Victor, frères et sœurs ;
KABORE Albert, frères et sœur ;
KABORE Clémentine, frères et sœurs ;
Les familles alliées SAVADOGO, TRAORE, NEBIE, YAMEOGO, SONGBANE, LANKOANDE et DELMA ;
Les petits enfants, arrières petits-enfants, nièces et neveux ;
Ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu de leur épouse, sœur, mère, tante, grande mère, belle-mère, arrière grande mère, Madame DONDOULGOU/OUEDRAOGO Assèta Chantal Marie Françoise le vendredi 07 Novembre 2025 à la clinique Saint Léopold de Bobo-Dioulasso dès suite de maladie dans sa 82 -ème année.
Elle vous informe par ailleurs que les obsèques se déroulerons selon le programme suivant :
– Levée du corps : Hopital Sanou Souro mercredi 12/11/2025 à 15h00mn ;
– Veillée de prière le mercredi 12/11/2025 à 19 h 30 mn au domicile de la défunte sis a Sarfalao secteur 17 à Bobo Dioulasso ;
– Levée du corps au domicile le Jeudi 13/11/2025 à 07 h 00 mn pour la messe ;
– Messe le jeudi 13/11/2025 à 08 h 00 mn à l'Eglise Saint Vincent de Paul ;
– Transfert du corps à partir de 10 h 00 mn pour Tanghin (Province du Ganzourgou) après la messe.
– Messe d'absoute le vendredi 14/11/2025 à 08h suivi de l'Inhumation à partir de 10 h.
“Et Dieu essuiera toutes larmes de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses sont passées”. Apocalypse 21-4.
L’historien français spécialisé dans la guerre d’Algérie, Benjamin Stora, a relancé, cette semaine, un débat sensible sur la mémoire coloniale. Dans ses récentes déclarations, il […]
L’article Passé colonial : Benjamin Stora appelle la France à reconnaître ses crimes en Algérie est apparu en premier sur .
LES GRANDES FAMILLES :
• SANOU à Bobo-Dioulasso, Farakan, Donona, Dioulassoba
• AGALEOUE à Tiébélé, Ouagadougou et Bobo-Dioulasso
• NEBIE à Longa
• BASSIA et YAGO à Léo
Monsieur Ousmane SANOU au Ministère de l'Economie et des Finances
LES ENFANTS
• Aminata Djamila
• Abdoul Chahid
• Jalal Udine
• Mouhamad Achraf
• Fatim Hanifa
LES PARENTS
Feu Aimé Gérard AGALEOUE ADOUA
Mme Alice NANA à Ouagadougou
LES TANTES ET ONCLE
• Son Excellence Madame DICKO/AGALEOUE ADOUA Maria-Goretti Blandine, ancien Ambassadeur du Burkina Faso auprès du Royaume du Danemark ;
• Mme OUEDRAOGO/AGALEOUE ADOUA Solange Rachel, Notaire à Bobo-Dioulasso ;
• Mme OUEDRAOGO/AGALEOUE ADOUA Claire à Ouaga ;
• M. AGALEOUE ADOUA David Ismaël, agent à la SONAGESS
Ont la très profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu le dimanche 09 novembre 2025 à 1h00 à la Clinique « Cercle D'Or » à Ouagadougou de leur épouse, mère, fille, petite fille, cousine, tante, nièce, belle-sœur, et amie dans sa 44ème année.
Mme SANOU/AGALEOUE ADOUA Rolande Annonciata
Les obsèques se dérouleront selon le programme suivant :
• Mardi 11 novembre 2025 : transfert du corps de la clinique Source de Vie au domicile familial à Ouidi à 17h00 Grande veillée prière de 20h30
• Mercredi 12 novembre 2025 : levée du corps au domicile familial à 08h30 suivie de la messe d'action de grâce à 09h00 heures à l'église notre Dame du Rosaire de Kolgh Naaba. Suivie de l'enterrement au cimetière de Gounghin
Union de prière pour le repos de son âme.
« Je te le dis en vérité, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis » Luc 23, 43
La grande famille YONLI, à Tansarga, Fada N'Gourma et Ouagadougou,
la grande famille TANKOANO/SININI, à Nassougou, Fada N'Gourma et Ouagadougou
Les familles alliées et amies
YONLI Kanhouanda Mathieu, gendarme à la retraite à Fada et épouse TANKOANO Bernadette
ont la profonde douleur de vous faire part du rappel à Dieu de leur fils, frère, père, oncle, beau-frère et grand-père, Monsieur YONLI Fernand Bertin Myabah, Professeur d'Education Physique et Sportive (EPS), décès survenu le jeudi 6 novembre 2025 à Ouagadougou de suite d'une courte maladie. L'enterrement a eu lieu le samedi 8 novembre 2025 au cimetière de Karpala.
La famille tient à remercier sincèrement tous ceux et celles qui, par leurs prières, leurs visites, leurs appels, leurs messages de compassion et leur présence, leur ont témoigné affection et soutien pendant ces moments douloureux.
Elle vous prie de trouver ici l'expression de sa profonde gratitude et de ses sincères remerciements.
« Si nous mourons avec le Christ, avec lui nous vivrons. » (2 Timothée 2, 11)
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Selon l'agence d'information du Burkina (AIB), un éléphanteau de moins d'un an a été retrouvé dans les périphéries du quartier du Yiézan dans le département de Yaho, le dimanche 9 novembre 2025.
Alerté sur la situation, le service départemental des eaux et forêts s'est rendu sur les lieux pour constater et sécuriser le pachyderme.
L'animal a été retrouvé tout seul par des riverains s'aventurant vers les logements.
L'animal a été conduit dans une cour où la population s'est déportée massivement en visiteurs.
En effet, le département de Yaho est frontalier à la forêt du Grand-Balé où l'on trouve des troupeaux d'éléphants. Pour rappel, le Grand-Balé est une commune rurale située dans le département de Yaho dans la province des Balé, région de Bankui au Burkina.
Selon le témoignage de la population locale, les éléphants font souvent des incursions dans les champs, à la limite de la forêt.
L'éléphanteau a été mis sous protection par le service départemental des eaux et forêts, dirigé par le lieutenant Thomas Kombasséré.
Ce, en vue de prendre des mesures urgentes pour la survie de l'animal qui etait visiblement épuisé et affamé.
Cette situation intervient quelques mois après la découverte d'un éléphant (finalement abattu), au secteur 26 de la ville de Bobo-Dioulasso, dans la région du Guiriko. C'était en août 2025.
Lefaso.net
Source : AIB
Hannibal Kadhafi, le fils de l'ancien guide libyen, Mouammar Kadhafi, est désormais libre et autorisé à quitter le Liban.
Cette libération intervient après dix ans de détention dans ce pays. Le fils de l'ancien dirigeant libyen avait été arrêté en 2015, soupçonné de détenir des informations sur la disparition du religieux chiite libanais, Moussa al-Sadr, apparu en Libye en 1978, alors que Hannibal n'était âgé que de deux ans.
Sa libération intervient quelques jours après que les autorités libanaises ont levé son interdiction de voyager et ont fait passer la caution de 11 millions à 900 000 dollars, facilitant ainsi sa remise en liberté.
Selon des sources judiciaires et sécuritaires, la somme a été versée par une délégation libyenne. La justice a également précisé que l'équipe de défense de Kadhafi avait retiré la plainte déposée en octobre 2025 à Genève contre l'État libanais, laquelle dénonçait sa détention prolongée sans procédure.
Avant son arrestation, Hannibal Kadhafi vivait en exil en Syrie avec son épouse libanaise, Aline Skaf, et leurs enfants, jusqu'à son enlèvement en 2015 par des militants libanais exigeant des informations sur le sort d'al-Sadr.
Lefaso.net
Source : Africanews
L'affaire de l'ancienne première dame gabonaise, Sylvia Bongo, et son fils Nourredine Bongo a amorcé une autre phase.
Leur procès s'est ouvert, ce lundi 10 novembre 2025, dans la capitale gabonaise, Libreville. Un procès pour détournement de fonds intenté par l'Etat gabonais, contre l'ex-première dame, et son fils.
Devant la Cour criminelle spéciale, ils sont accusés, aux côtés de plusieurs membres du gouvernement déchu, dont Mohamed Ali Saliou, ex-directeur de cabinet de l'ancien président Ali Bongo Ondimba, de blanchiment de capitaux, de corruption et de falsification de la signature du chef de l'État.
Ces derniers ont quitté le pays en mai dernier, après un accord présumé avec les autorités. Ils seront donc jugés par contumace. Leurs avocats ont décidé de ne pas participer à ce procès. Les principaux accusés parlent d''´une parodie de justice”.
Le procès pourrait durer jusqu'au 14 novembre selon les informations. Arrêtés le 30 août 2023, Sylvia Bongo et son fils affirment avoir subi des tortures dans les sous-sols de la présidence gabonaise avant leur départ pour Londres en mai dernier 2023.
Lefaso.net
Source : Africanews
La communauté éducative de la commune de Kokologho était en fête ce vendredi 7 novembre 2025. Pour cause, la première école bioclimatique de Kokologho a été inaugurée. L'infrastructure comprend 6 salles de classes, un bureau, un magasin ainsi qu'une salle de réunion de 20 places. L'ensemble est entièrement équipé et entouré d'une ceinture végétale de plants de neem. La réalisation de cette infrastructure a été faite par l'ONG Le Soleil dans la main. Les autorités communales et celles en charge de l'éducation ont exprimé leur gratitude à l'ONG qui, à travers la réalisation de cette infrastructure, permet d'augmenter l'offre éducative, d'améliorer les conditions d'apprentissage des élèves et de travail des enseignants. Ils ont pris la résolution de prendre grand soin des bâtiments, afin que les générations futures puissent en profiter.
Les élèves de l'école Kokologho C pourront désormais étudier dans de meilleures conditions. Grâce à ces classes bioclimatiques, les effectifs pléthoriques qui étaient autrefois constatés sont désormais un vieux souvenir. Et cerise sur le gâteau, ces bâtiments sont réalisés à partir de matériaux locaux, ne consomment aucune électricité et maintiennent une température intérieure inférieure d'environ deux degrés à celle d'une école classique. Ils offrent donc aux élèves un confort lumineux, thermique, acoustique ainsi qu'une excellente qualité de l'air.
Les salles de classes offrent confort et lumière aux apprenantsFatogoma Stéphane Millogo, assistant architecte, indique que l'école bioclimatique offre un confort amélioré par rapport aux écoles classiques. " C'est une école faite sur mesure pour le climat du Burkina Faso. Au bout de 30 ans, cette école est neutre en carbone. Elle est réalisée avec des matériaux biosourcés, avec une accessibilité pour personnes handicapées respectée et une aération abondante dans les salles de classe. La température à l'intérieur est très agréable", explique-t-il.
À en croire Fatogoma Stéphane Millogo, assistant architecte, l'école bioclimatique offre un confort amélioré par rapport aux écoles classiques.Ce joyau architectural a été réalisé grâce à l'accord-cadre Biig-Veenem, pour un montant total de 140 millions de francs CFA. Il a été cofinancé par Le Soleil dans la Main au Luxembourg et le ministère des Affaires étrangères et européennes du Grand-Duché de Luxembourg. Selon le coordonnateur, représentant national de l'ONG Le Soleil dans la main, Didier Kienou, ce bâtiment est la réponse à un besoin en infrastructures scolaires exprimé avec insistance par la Direction provinciale de l'éducation nationale du Boulkiemdé. "Ensemble, nous avons réfléchi, ajusté et amélioré, pour que le résultat réponde aux besoins des usagers d'aujourd'hui comme à ceux des générations futures...Grâce à l'engagement de chacun, tous les travaux prioritaires ont été livrés à temps, permettant une rentrée scolaire sereine le 1er octobre 2025", a-t-il relevé.
Selon le coordonnateur, représentant national de l'ONG Le Soleil dans la main, Didier Kienou, ce bâtiment est la réponse à un besoin en infrastructures scolaires exprimé avec insistance par la Direction provinciale de l'éducation nationale du BoulkiemdéDidier Kienou a fait savoir que le bâtiment a été conçu par l'architecte et directeur de l'ONG Le Soleil dans la Main, David Demange, accompagné de l'ingénieur fluides Guillaume Renault et de l'ingénieur structure Noël Ganlaky, afin de maximiser le confort des élèves et des enseignants. Il a pour objectif de permettre aux élèves d'étudier dans des locaux agréables, où l'architecture valorise l'apprentissage.
Autorités communales et éducatives satisfaites des classes bioclimatiques
Les autorités en charge de l'éducation n'ont pas caché leur joie et leur satisfaction de réceptionner ce jour ces nouvelles salles de classe. Le directeur régional de l'éducation nationale du Nando, Boureima Ouédraogo, a laissé entendre que ces infrastructures sont d'un apport considérable pour le secteur de l'éducation et vont contribuer à l'amélioration de la qualité de l'éducation dans la commune de Kokologho.
Le directeur régional de l'éducation nationale du Nando, Boureima Ouédraogo, a laissé entendre que ces infrastructures sont d'un apport considérable pour le secteur de l'éducationLa directrice de l'école Kokologho C, Agnès Kaboré, a exprimé sa fierté de voir son école devenir un modèle en matière de durabilité et d'éducation verte." Ce projet est non seulement un outil pédagogique en soi, mais aussi un symbole d'espoir et d'engagement pour les générations futures. Grâce à cette infrastructure innovante, pensée dans le respect de l'environnement et adaptée à notre climat, nos élèves bénéficieront désormais de conditions d'apprentissage saines, confortables et inspirantes. Cette école est une promesse d'avenir, un lieu où nos enfants pourront rêver, apprendre, se construire et s'épanouir", s'est-elle réjouie. En tant que directrice, elle a pris l'engagement d'entretenir l'école, d'en faire bon usage, et de transmettre aux enfants les valeurs qui l'ont rendue possible : respect, responsabilité, et solidarité.
La directrice de l'école Kokologho C, Agnès Kaboré, a exprimé sa fierté de voir son école devenir un modèle en matière de durabilité et d'éducation verteLe président de la délégation spéciale de Kokologho, Jérôme Yaméogo, a exprimé sa gratitude à l'ONG Le Soleil dans la main ainsi que la fierté de la commune de bénéficier d'une école bioclimatique qui répond aux normes climatiques du pays. " Ce chef d'œuvre allie plusieurs aspects garantissant un confort pour une réussite scolaire évidente. Il y fait moins chaud, l'air y est plus sain, on peut ventiler à la demande les courant d'air et la lumière naturelle est assez abondante pour que nos enfants lisent sans électricité", a-t-il affirmé.
En plus des salles de classes, une salle de réunion a aussi été construitePrésente au Burkina Faso depuis plus de 20 ans, l'ONG Le Soleil dans la main s'est forgée une solide expérience dans le domaine de l'éducation notamment dans la construction de salles de classes. Pour cette rentrée scolaire 2025-2026, l'ONG a construit 21 nouvelles salles de classe bioclimatiques sur 5 sites, rénové 25 salles de classes, équipé 60 salles de classe et réalisé 4 forages et adductions d'eau ainsi qu'une centrale solaire. 500 bourses scolaires et 150 bourses de formation professionnelle ont aussi été offertes, 7 500 manuels scolaires distribués et 100 enfants en détresse accueillis dans un centre pour enfants en danger.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
• 53 bourses d'études octroyées à des élèves du primaire et du secondaire pour un montant global de 22,450 millions FCFA
• 91 élèves, 2 enseignants et 2 établissements méritants récompensés avec divers matériels, soit un investissement de 11,31 millions FCFA
• 20 villages bénéficiaires des 5 communes : Kona, Bana, Pompoi, Safané et Yaho
• 144 bénéficiaires directs soutenus pour l'excellence et la persévérance scolaires
Mana, le 8 novembre 2025 – Endeavour Mining, à travers la Mine de Mana, a organisé ce samedi la double cérémonie de lancement du Programme de Bourses Scolaires 2025-2029 et de remise des récompenses du Programme d'Émulation Scolaire, deux initiatives phares de sa stratégie ESG (Environnement, Social et Gouvernance).
Ces programmes structurants visent à promouvoir une éducation inclusive, équitable et de qualité dans la zone d'impact de la mine, tout en encourageant la réussite des jeunes filles et garçons issus des communes de Kona, Bana, Pompoi, Safané et Yaho.
Deux initiatives complémentaires pour soutenir la réussite éducative
Le Programme de Bourses Scolaires, lancé en 2022, accompagne cette année 53 élèves méritants et vulnérables admis aux examens du CEP et du BEPC. Chaque boursier bénéficie d'un soutien de 400 000 à 450 000 FCFA couvrant un des deux cycles complets du secondaire, avec un suivi rigoureux en partenariat avec la Caisse Populaire de Wona et les autorités éducatives.
Parallèlement, le Programme d'Émulation Scolaire a permis de récompenser 91 élèves pour leurs excellents résultats, à travers la distribution de vélos, d'honorer deux enseignants du primaire pour leur engagement et deux établissements secondaires pour leur performance avec du matériel informatique et logistique. Financé conjointement par la Mine de Mana et ses partenaires locaux que sont Tropic Mining, EPASIO, Lema Press, ADDR et Exploration Mana, le projet vise à créer la compétition entre élèves et réduire les abandons scolaires, souvent liés à la distance ou au manque de moyens de déplacement.
Des résultats concrets et un impact durable
Ces deux programmes ont un impact direct sur la scolarisation et la réussite dans la zone d'impact de la mine, en touchant plus de 140 élèves et en favorisant une dynamique d'excellence communautaire. Ils traduisent la vision d'Endeavour Mining : faire de l'éducation un levier de développement durable, en renforçant le lien entre l'entreprise, les autorités et les populations.
« L'éducation est au cœur de notre stratégie communautaire. À travers ces programmes, nous investissons dans les talents de demain et participons à bâtir un avenir plus équitable pour les jeunes de notre zone d'impact », a déclaré Bassory Traoré, Manager de la Performance Sociale à la Mine de Mana.
Des initiatives complémentaires dans les autres sites du groupe
Au-delà de Mana, Endeavour Mining, à travers sa Fondation, déploie plusieurs initiatives complémentaires pour favoriser le maintien des enfants à l'école dans ses zones d'opération. À Houndé, la campagne de sensibilisation “Je choisis mon avenir” œuvre à prévenir les grossesses précoces et le décrochage scolaire à travers des activités d'éducation civique, des ateliers de sensibilisation et des actions d'accompagnement auprès des jeunes filles scolarisées.
Sous la bannière de la campagne “Rentrée Solidaire”, Endeavour soutient également le programme “Jeunes filles en scolarité”, qui attribue des bourses pluriannuelles à des collégiennes issues de milieux défavorisés. Ce dispositif vise à garantir la continuité éducative des adolescentes et à créer des conditions propices à leur réussite, renforçant ainsi la cohérence des actions éducatives du Groupe à travers l'ensemble de ses sites.
A propos d'Endeavour Mining
Endeavour Mining est l'un des principaux producteurs d'or au monde et le leader de la production en Afrique de l'Ouest, avec des actifs d'exploitation au Sénégal, en Côte d'Ivoire et au Burkina Faso. La compagnie possède un solide portefeuille de projets de développement avancés et d'actifs d'exploration dans les formations Birimienne de la ceinture de roches vertes très prometteuse en Afrique de l'Ouest. Membre du Conseil Mondial de l'Or, Endeavour Mining s'est engagé à respecter les principes de l'exploitation minière responsable et à offrir une valeur durable à ses employés, à ses partenaires et aux communautés auprès desquelles elle opère.
Endeavour est cotée à la Bourse de Londres et à la Bourse de Toronto, sous le symbole EDV.
Pour plus d'informations : www.endeavourmining.com