Le Danemark envisage d’interdire les réseaux sociaux aux enfants de moins de 15 ans. Dans une interview accordée à Euractiv, la ministre danoise du Numérique, Caroline Stage Olsen, explique.
The post Copenhague veut interdire les réseaux sociaux aux enfants en raison des craintes liées à la « collecte de données » appeared first on Euractiv FR.
La Chine a annoncé mardi 10 juin la prolongation de son enquête antidumping sur les importations de porc et de produits à base de porc en provenance de l’Union européenne, sur fond de différends commerciaux bilatéraux.
The post La Chine prolonge son enquête antidumping sur le porc européen appeared first on Euractiv FR.
Une fusillade est survenue ce matin dans une école de Graz, dans le sud-est de l’Autriche, faisant plusieurs morts.
The post Une fusillade fait plusieurs morts dans une école en Autriche appeared first on Euractiv FR.
Die chinesische Volksbefreiungsarmee (People’s Liberation Army, PLA) unterliegt derzeit einem Prozess grundlegender struktureller Reformen. Diese sollen ihre Einsatzbereitschaft und Schlagkraft erhöhen. Der Imperativ eines gegenüber der Parteiführung loyalen Militärs dominiert die Verteidigungspolitik und durchdringt die Organisationskultur der Armee. Die Zentralisierung der Entscheidungsgewalt beim Vorsitzenden der Zentralen Militärkommission, Xi Jinping, und dessen Beharren auf strikter Parteidisziplin widersprechen der auftragsorientierten Operationsführung, wie sie die Militärdoktrin vorgibt. Die Fähigkeit zur teilstreitkräftegemeinsamen Operationsführung (Joint Warfare) setzt verstärkte Übungstätigkeiten voraus. Sie kann bestenfalls nach einem Generationenwechsel unter den Kommandeuren erlangt werden. Die Strukturen und Entscheidungsprozesse in der PLA bleiben intransparent. Sie fördern Gruppendenken und erschweren den Informationsaustausch mit externen Akteuren erheblich. Weil auch in Europa verstärkt eine Bedrohung durch China wahrgenommen wird und sich die Spannungen zwischen China und den USA verschärfen, gewinnen direkte Kontakte zur PLA an Bedeutung. Neben repräsentativen Treffen mit dem Verteidigungsministerium, der Zentralen Militärkommission und Kommandeuren der Teilstreitkräfte sollten vor allem informellere Formate aktiver und strategischer genutzt werden.
Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a, dans la matinée de lundi 9 juin 2025, au palais de Koulouba, présidé la cérémonie de montée des couleurs nationales et du drapeau de la Confédération des États du Sahel (AES) avec exécution, pour la première fois, de l'hymne de l'AES. Au cours de ce cérémonial, le chef de l'État a invité ses compatriotes des administrations, à faire un état des lieux du premier semestre pour envisager les perspectives du deuxième semestre de l'année. Il s'est également réjoui de la marche de l'AES, en dépit des difficultés. « Nous continuerons à construire l'AES, à être forts, résilients, faire de l'AES un espace de sécurité totale... », lit-on dans le message du chef de l'État, que nous vous proposons in extenso.
Camarades, bonjour !
Nous sommes au dernier mois du premier semestre de l'année 2025 et je souhaite qu'on mette à profit ce mois pour réfléchir aux perspectives du 2e semestre : voir qu'est-ce qui a marché dans nos administrations et qu'est-ce qui n'a pas marché.
Comme vous le constatez, ce matin nous venons de monter les couleurs avec l'hymne de la Confédération AES, ce qui est encore un pas que nous effectuons dans notre union. Ce n'est pas sans difficulté, parce que l'unité est dure surtout en Afrique. C'est difficile de s'unir. Mais c'est la solution. Il faut qu'on s'unisse.
Petit à petit, l'AES poursuit son petit bonhomme de chemin, malgré toutes les difficultés et tous les défis devant nous. Si j'étais naïf, j'allais me poser la question de savoir pourquoi les impérialistes ne veulent pas de cette union ? Mais je ne suis pas naïf et je sais pourquoi. C'est la même question que ceux-là qui ont tendance encore à dormir doivent se poser : pourquoi ils ne veulent pas qu'on s'unisse ? Pourquoi la Confédération fait tant peur ou fait mal à certains ?
Nous sommes approchés tous les jours par ces impérialistes pour amener un des trois à trahir les autres. Nous sommes confrontés à cela depuis belle lurette. Chaque fois, ce sont ces genres de manœuvres qui sont là pour vous emmener à quitter la Confédération. Cela doit nous amener à réfléchir.
Quand on regarde nos rapports avec ces pays impérialistes, il n'y a pas d'amitié, il n'y a que des intérêts. Les gens ne viennent vers nous que pour leurs intérêts. Il faut qu'on soit bien conscient de cela. On va nous combattre, on continuera à nous combattre, mais nous sortirons victorieux et forts.
Ces situations que nous vivons, nous ne devons pas les prendre et nous apitoyer sur nous-mêmes. Au contraire cela doit nous renforcer. Nous devons sortir très forts de cette guerre, comprendre pourquoi on nous a tant assaillis, nous forger et faire en sorte que dans les décennies et siècles à venir, nous ne connaissions pas ces genres de situation. C'est ce qu'il faut avoir à l'idée.
J'invite donc chacun à redoubler d'effort parce que le Burkinabè est connu comme quelqu'un de très courageux, très travailleur, très résilient et ces valeurs, nous devons travailler donc à les améliorer. Partout où vous partez en Afrique ou ailleurs dans le monde, vous trouverez des Burkinabè. Et ce sont ces valeurs qui qualifient, qui identifient le Burkinabè. Donc, nous devons tout mettre en œuvre pour être des hommes intègres comme le nom du pays le dit ; être des gens courageux, résilients, pleins d'abnégation et redoubler d'efforts dans tout ce que nous faisons pour le bonheur du Burkina mais aussi pour le bonheur de notre Confédération. C'est très important.
Une fois que nous avons atteint un certain niveau, vous comprendrez encore mieux pourquoi on nous combattait. Parce que notre pays est riche, riche de sa valeur humaine, riche de ses valeurs morales, mais surtout riche de son sous-sol. Le Burkina est bien riche et ce sont ces richesses-là qui sont convoitées. Mais ces richesses doivent profiter aux Burkinabè. Rien n'a encore commencé en termes d'exploitation des ressources naturelles et de rétribution au niveau des masses populaires.
Nous pouvons changer le visage de notre pays, nous pouvons quitter cette situation de sous-développement et nous retrouver très vite en pays émergent. Il suffit de travailler. Il faut que chacun s'y mette. Autant les combattants se sacrifient au front, il faut que dans l'administration nous arrivions à nous sacrifier aussi. Il faut que nous puissions faire en sorte de travailler au-delà de ce que nous avons l'habitude de faire, de pousser nos capacités plus loin, parce que comme je le disais, il faut qu'on aille très vite. C'est en allant vite que l'on peut surprendre ceux qui cherchent à nous diviser, ceux qui cherchent à nous maintenir dans notre situation de pauvreté. Le Burkina Faso n'est pas pauvre. Je vous le dis, je vous le répète, nous sommes un pays très riche et c'est ça notre problème majeur.
Ils ne veulent pas que nous prenions conscience que nous sommes riches et pouvoir exploiter nos richesses. Et au-delà du Burkina, le Sahel tout entier est riche, immensément riche et je sais que vous le savez tous. Le Sahel ne restera pas pauvre.
Nous continuerons à construire l'AES, à être forts, résilients, faire de l'AES un espace de sécurité totale, pouvoir exploiter convenablement les ressources et que cela profite à nos masses populaires.
Je vous invite donc à redoubler encore d'efforts dans les tâches quotidiennes, à passer ce message à tous vos proches. Il faut se sacrifier ici à l'arrière dans les bureaux pour pouvoir soutenir ceux qui sont au front. Je vous souhaite une très bonne semaine, très bon mois de juin et une très bonne fin du premier semestre.
Rendez-vous dans peu de temps pour affronter le 2e semestre avec plus d'énergie, plus d'abnégation, plus de courage !
La Patrie ou la Mort, nous Vaincrons !
L'avant-première de « Gurunga : une marmite pour un projet » a eu lieu au Ciné Burkina le lundi 9 juin 2025. L'œuvre cinématographique réalisée par Ildevert Méda prône le vivre-ensemble.
Si vous voulez avoir un fou rire, décompresser après une journée chargée, eh bien, cette fiction a été spécialement concoctée pour vous.
Le personnage principal, Gurunga, veut à tout prix manger un chien. Son épouse Tolma, d'ethnie Bissa (son parent à plaisanterie), s'y oppose farouchement. Ce chien ne sera pas cuisiné dans sa marmite, martèle-t-elle. Les voisins s'en mêlent. Il va s'ensuivre une série de mésaventures. Le chef du village intervient, mais, contre toute attente, ses conseillers et lui veulent avoir une part du gâteau, pour ne pas dire de la soupe de chien.
La parenté à plaisanterie de plusieurs ethnies du Burkina Faso est mise en lumière dans cette fiction.Gurunga parviendra-t-il à manger ce chien source de conflit ? Pour le découvrir, rendez-vous est pris du 9 au 22 juin 2025. Les cinéphiles sont attendus au Ciné Burkina aux séances de 18 h 30, 20 h 30 et 22 h 30.
« Gurunga : une marmite pour un projet » traite de la parenté à plaisanterie, mais pas que. Au-delà de son caractère drôle, ce long métrage de 1 h 50 minutes prône le renforcement du tissu social au Burkina Faso.
« Ce film traite de notre vécu, qui est une source de grande richesse culturelle. On peut s'inspirer de notre quotidien pour proposer des œuvres. La parenté à plaisanterie est une grande richesse dans nos contrées, mais elle n'est pas assez exploitée à mon avis. Sans le prononcer de façon didactique, nous avons abordé beaucoup d'aspects sur la cohésion sociale », a notifié le réalisateur Ildevert Méda.
Ildevert Méda a jugé pertinent d'utiliser la comédie pour interpeller sur la nécessité du vivre-ensembleLe rôle de Gurunga a été incarné par Anatole Koama et celui de Tolma par Eudoxie Gnoula. Mahamadi Nana a endossé le rôle du chef. D'autres visages connus et de nouveaux talents ont également joué dans ce film.
L'avant-première s'est déroulée en présence du ministre de la culture, Gilbert Ouédraogo. Il a profité de l'occasion pour saluer les talents qui s'appliquent au quotidien pour faire rayonner le cinéma made in Burkina Faso.
« C'est un film comique qui est fondamentalement axé autour de nos valeurs culturelles. Sous le leadership du capitaine Ibrahim Traoré, le gouvernement a fait le choix de valoriser nos cultures et coutumes. Ce film montre un aspect de notre culture qui est la parenté à plaisanterie.
Gilbert Ouédraogo a félicité toute l'équipe de tournage pour la qualité de l'œuvre cinématographiquePlusieurs communautés ont été mises en exergue dans ce film. Nous avons pu nous distraire et nous égayer. Nous avons également pu nous instruire et être éduqués », a déclaré le ministre de la culture.
Les acteurs qui ont joué dans le filmEn rappel, en plus d'être un réalisateur, Ildevert Méda est un acteur, comédien, dramaturge, metteur en scène et écrivain. L'homme de théâtre a incarné des rôles cultes dans « Kadi Jolie » et « Trois hommes un village ».
SB
Lefaso.net