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Diplomacy & Defense Think Tank News

Magazin "Die Politische Meinung": NRW - Im Westen was Neues?

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 08/12/2016 - 00:00
Einst stand NRW im Zentrum des Geschehens. Doch andere Länder konnten vorbeiziehen. Heute fehlt es an einer zündenden Idee, um den Stillstand zu überwinden.

Die bessere Demokratie.

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 08/12/2016 - 00:00
Die repräsentative parlamentarische Demokratie, ihre Institutionen und Verfahren geraten zunehmend unter Druck. Von außen werden sie durch autoritäre Regime und von innen durch extremistische und populistische Bewegungen herausgefordert. In kompakter Form und in einfacher und verständlicher Sprache hat das Team Innenpolitik die Grundsätze der repräsentativen Parteiendemokratie und des Parlamentarismus zusammengetragen.

Julien Damon – Mesures de la pauvreté, mesure contre la pauvreté

Fondapol / Général - Wed, 07/12/2016 - 17:55

Chaque année, les débats que suscite l’annonce des chiffres de la pauvreté éludent un aspect essentiel de son évolution : depuis le milieu des années 1980, la pauvreté s’est davantage transformée démographiquement qu’elle n’a augmenté statistiquement. À trop considérer le phénomène sous un angle comptable, les décideurs publics peinent à en appréhender les mutations profondes. […]

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Simulateur de vote 2017 : pourquoi il est aussi absurde de croire que toutes les surprises sont désormais possibles que d’avoir considéré que les jeux étaient faits

Fondapol / Général - Wed, 07/12/2016 - 17:47

L’un des déterminants du résultat de la présidentielle 2017 résidera dans le report des voix attribuées aux candidats du premier tour qui n’auront pas réussi à se qualifier pour le second. Afin de prendre en compte ce facteur essentiel du scrutin, la Fondapol vient de lancer un simulateur à l’approche fine et argumentée. Ce processus […]

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Reaching the Furthest Behind First: Implementing the 2030 Agenda

European Peace Institute / News - Wed, 07/12/2016 - 17:13

On Wednesday, December 7th, IPI together with the Permanent Mission of Norway to the United Nations, the Permanent Mission of the Somali Republic to the United Nations, and the United Nations Development Programme cohosted a policy forum event to discuss the implementation of the Sustainable Development Goals (SDGs) in fragile situations. Introductory remarks were delivered by H.R.H. Crown Prince Haakon, Crown Prince of Norway and UNDP Goodwill Ambassador.

In September 2015, member states of the United Nations adopted a new framework entitled: “Transforming Our World: 2030 Agenda for Sustainable Development.” This global agenda recognizes that, while its goals are universal, the pathways and pace of progress will vary from country to country and depend on different national realities and challenges. Addressing fragility is essential to laying the foundation for inclusive and peaceful societies and achieving the Sustainable Development Goals (SDGs).

To build peaceful and inclusive societies, as well as effective institutions, the root causes of fragility must be addressed. The 2030 Agenda provides a global framework that seeks to end poverty, reduce inequality, and combat climate change. For countries facing fragility, implementing the 2030 Agenda is an opportunity to overcome structural challenges and build resilience. Moreover, as recognized in the three recent peace and security reviews—on peace operations, peacebuilding, and Security Council resolution 1325—investment in prevention is a key priority.

Through the Commitment to Action, The World Humanitarian Summit set in motion the development of a “new way of working” that aims to meet immediate humanitarian needs, while reducing risk and vulnerability. In order for this to be achieved, and for fragility to be tackled effectively, the development, humanitarian and peace communities must work together to ensure no one is left behind, and to reach the furthest behind first.

Fragility was arguably a key impediment to the advancement of the Millennium Development Goals, and continues to be a major challenge for the 2030 Agenda. The number of people living in fragile situations has risen considerably and extreme poverty is becoming increasingly concentrated in fragile situations. As noted by the Secretary-General’s High-Level Panel on Humanitarian Financing, “success or failure to achieve the [Sustainable Development Goals] will depend upon whether or not we are up to the challenge of managing fragility and risks.”

Welcoming Remarks:
H.R.H. Crown Prince Haakon, Crown Prince of Norway and UNDP Goodwill Ambassador

Speakers:
H.E. Mr. Yusuf‑Garaad Omar, Permanent Representative of Somalia to the United Nations
Mr. Magdy Martínez-Solimán, Assistant Administrator and Director Bureau for Policy and Programme, United Nations Development Programme
H.E. Mr. Geir O. Pedersen, Permanent Representative of Norway to the United Nations
Ms. Gwi-Yeop Son, Director, United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Ms. Jimena Leiva Roesch, Senior Policy Analyst, International Peace Institute

Moderator:
Dr. Adam Lupel, Vice President, International Peace Institute

L’empire du Milieu contre-attaque : la Chine à l’assaut de la domination de la Nasa sur l’espace

IRIS - Wed, 07/12/2016 - 13:15

La Chine souhaite devenir la première puissance mondiale en termes de technologie spatiale. Pour ce faire, elle est prête a débloquer des moyens techniques et financiers colossaux.

La Chine a mis au point un plan sur 5 ans visant à faire des découvertes en sciences fondamentales et être à la pointe dans la technologie spatiale. Une douzaine de chercheurs souhaiteraient que le gouvernement chinois débloque davantage d’argent et que les investissements dans la technologie spatiale passent de 695 millions de dollars entre 2011 et 2015 à 2,3 milliards de dollars à l’horizon 2026-2030. Enfin, la Chine compte se doter de sa propre station spatiale. Peut-elle réussir à rattraper les Etats-Unis et la Russie dans le domaine spatial ?

« La Chine veut la Lune ».

Tel était le titre du livre[1] écrit en 2007 par Philippe Coué, spécialiste français des programmes spatiaux chinois. Il annonçait l’exploration de notre satellite par « des explorateurs automatiques » qui prépareraient « l’arrivée des taïkonautes sur la Lune dans les années 2020 ». Presque 10 ans plus tard, un premier robot chinois s’est déjà posé sur la Lune (en 2013) et les ambitions chinoises restent les mêmes.

Dans le domaine spatial ce plan de 5 ans est l’un des volets du très vaste XIIIème plan quinquennal (2016-2020), dans une société et une économie qui demeurent rythmées par ce système de planification hérité de l’Union soviétique et jamais abandonné. La volonté de progresser de manière continue et cohérente est manifeste, pour devenir une grande puissance spatiale et, surtout, pour développer et mettre au point des technologies capables de se comparer à ce qui se fait de mieux dans le monde. Le tir réussi d’un nouveau lanceur, une Longue Marche 7, en juin 2016, inaugure ce nouveau plan de manière assez frappante. En effet, la LM 7 est la première d’une nouvelle génération de lanceurs qui permettra de remplacer ceux de la génération précédente, aujourd’hui très dépassés et qui utilisent des ergols particulièrement polluants. Les grands objectifs de la politique de Pékin sont annoncés depuis quelques années déjà par l’agence spatiale chinoise : amélioration de la compétitivité dans le domaine scientifique, mise en œuvre d’une station orbitale, envoi d’hommes sur la Lune, puis établissement d’une base lunaire habitée et enfin, envoi d’une mission habitée vers la planète Mars. Le plan quinquennal actuel est axé sur les deux premiers de ces objectifs. Il est certain que les moyens actuellement alloués demeurent insuffisants, d’autant plus que les coopérations avec les Etats-Unis et la Russie demeurent très limitées et que les développements entièrement indépendants coûtent cher. Le budget de l’ensemble du secteur spatial en Chine est très difficile à évaluer, tant est grande l’imbrication entre différents secteurs et complexe l’organisation. Il était estimé par l’OCDE à 7 milliards de dollars par an en 2014, loin derrière les Etats-Unis (40 milliards) mais devant la Russie (4 milliards). L’appel de quelques scientifiques pour une nette augmentation du budget de l’Agence, qui finance en grande partie le domaine purement scientifique, est cohérent avec les buts recherchés, mais il n’est pas certain que les priorités dans d’autres domaines permettent un tel accroissement. On peut cependant être certain que les efforts nécessaires seront faits, en particulier pour la mise en fonction d’une station spatiale habitée dans les cinq ans à venir.

Il est aujourd’hui courant d’entendre que la Chine a rattrapé son retard dans le domaine spatial vis-à-vis des Etats-Unis et de la Russie. Le premier satellite chinois a été lancé une douzaine d’années après Spoutnik et Explorer. Mais le premier vol d’un être humain chinois n’a eu lieu que 42 ans après les vols russes et américains. Ce retard d’un peu plus de 42 ans se retrouve pour toutes les grandes étapes : premier arrimage dans l’espace, premier robot sur la Lune, première « brique » d’une station spatiale. Ces différences demeurent importantes, mais elles ont vocation à se combler, surtout parce que les pays en pointe ont simplement arrêté de courir.

Pourquoi la Chine, qui est déjà la première puissance économique mondiale cherche-t-elle à devenir un acteur majeur du domaine spatial ?

La Chine n’est la première puissance économique mondiale qu’en parité de pouvoir d’achat, ce qui n’est sans doute pas un critère dans le domaine spatial. Les raisons qui la poussent à vouloir en devenir un acteur majeur sont multiples. Il y a bien entendu le prestige que confère une telle capacité et l’impact positif que cela peut avoir sur le plan géostratégique. Mais il faut d’abord penser aux avancées technologiques nécessaires au spatial et aux retombées qu’elles ont dans tous les domaines. Elles sont cruciales pour un pays qui est l’objet de sérieuses restrictions de coopération de la part de la plus grande partie des pays plus évolués.

Les embargos décidés par les Occidentaux après les événements de juin 1989 ont théoriquement bloqué, à l’exception de quelques contournements, toutes les ventes et tous les transferts de technologies à usage militaire. En dehors de ce seul domaine, les pays détenteurs des savoir-faire les plus évoluées sont très réticents à les vendre ou les transférer à une Chine qui a démontré qu’elle n’hésitait jamais, quand elle le pouvait, à les contrefaire ou à en utiliser les éventuelles capacités duales, entre autres au profit de programmes d’armement. Elle doit donc accomplir, par elle-même ou en utilisant des moyens détournés, toutes les avancées technologiques nécessaires. C’est particulièrement vrai dans le domaine du spatial militaire, où on la voit afficher une volonté de se hisser au meilleur niveau. Pékin a démontré sa volonté de s’impliquer dans la guerre dans l’espace en abattant l’un de ses propres satellites à l’aide d’un missile. La Chine est aussi le seul pays à avoir en développement un système de missiles balistiques antinavires. Ces derniers sont clairement conçus dans le seul but de détruire les porte-avions américains (qui, pour des raisons techniques, ne peuvent être « visés » que par des satellites). Il y a eu enfin le développement, en partie grâce à l’aide des Européens, d’un programme national de géopositionnement, Beidou, concurrent des systèmes GPS, Glonass et Galileo.

La Chine, a aussi espéré, avant même le début des années 1990, devenir un fournisseur de lancements commerciaux, en proposant des mises sur orbite à des prix nettement inférieurs à ceux de la concurrence. Les échecs qui ont marqué les premières années ont rendu très prudents les éventuels clients. Jusqu’en 2010, le nombre de lancements très variable d’une année sur l’autre a pu aussi être perçu comme un manque de cohérence et de maturité. La fiabilité s’est largement améliorée dans les dernières années, mais la Chine n’est toujours pas un acteur majeur dans ce segment. De plus, le ralentissement du marché et l’apparition de nouveaux acteurs tant privés qu’étatiques rend la concurrence plus difficile.

Quels objectifs peuvent atteindre les Chinois sachant qu’ils ont déjà réussi à explorer l’espace et aller sur la Lune ?

Le simple fait d’être capable de réaliser, en complète autonomie, des lancements de satellites de tous types, militaires ou civils, habités ou non, et d’avoir commencé à entreprendre la construction d’une station orbitale fait de la Chine une grande puissance spatiale. Par contre, les deux Grands ont commencé plus tôt qu’elle et d’une manière nettement plus cohérente, dans une ambiance de compétition pure. Celle-ci semble actuellement terminée, mais un certain nombre d’étapes majeures ont déjà été franchies et les outils mis en place dans les années 1960 demeurent solides. Les prochaines « premières » que l’on peut envisager sont l’établissement d’une base permanente sur la Lune et l’envoi d’hommes vers Mars. Ces deux projets font partie des objectifs à long terme de la Chine. Elle les a clairement annoncés et les prépare, mais les délais sont importants et il faudrait que les concurrents, qui gardent de l’avance, ne se relancent pas dans la course pour qu’elle puisse réussir enfin une grande première.

[1] La Chine veut la Lune, Philippe Coué, A2C Medias, 2007

Les affaires courantes, et le reste… Les deux scénarios très noirs qui pèsent sur la fin du quinquennat Hollande

IRIS - Wed, 07/12/2016 - 12:45

Alors que les cinq prochains mois du gouvernement seront forcément marqués par les échéances électorales à venir en 2017, la menace terroriste et le risque de crise financière au sein de la zone euro pourraient bien plomber la fin du quinquennat de François Hollande.

Par ailleurs, la démission de Matteo Renzi en Italie suite à son échec lors du référendum de ce dimanche a remis sous le feu des projecteurs le risque de crise financière au sein de la zone euro. Une telle crise est-elle possible selon vous ? Comment pourrait-elle se déclencher ?

Avec 360 mds d’euros de prêts douteux à son actif, le secteur bancaire italien inquiète à juste titre. En même temps, un certain nombre de banques d’autres pays, comme la Deutsche Bank, sont aussi en grande difficulté et seraient affectées par une crise systémique en Italie.

Alors que les créances des banques italiennes ne peuvent que se détériorer davantage tant que l’économie ne rebondit pas réellement, l’Italie est confrontée à la nécessité de recapitaliser les institutions au bord du gouffre, comme Monte dei Paschi di Sienna (à hauteur désirée de 5 mds d’euros pour l’heure). Les nouvelles règles européennes de l’union bancaire obligent à mettre à contribution les créanciers de la banque (souvent de simples épargnants auprès de qui on a fait passer de la dette bancaire pour des dépôts) avant toute intervention publique. Un compromis entre l’Italie et l’UE consistait à attirer des investisseurs extérieurs, notamment le Qatar, et tenter de limiter les dégâts pour les créanciers.

Sans gouvernement présent dans la durée, un tel projet vole en éclat aux yeux de la plupart des actionnaires potentiels. La perspective de recapitalisations en douceur s’évapore pour MPS et s’éloigne pour l’ensemble des banques italiennes. On en revient à l’alternative d’une injection d’argent public et d’une application stricte des règles de l’union bancaire. Dans le contexte de faiblesse actuelle, la généralisation de ce mécanisme entraînerait une vague de pertes financières et de tension qui se propagerait à travers le secteur bancaire européen et, union bancaire ou pas, aux Etats. L’équation politique étant particulièrement complexe, les marchés patientent pour l’heure tout en espérant que Mario Draghi les maintiendra sous perfusion, avec l’accord de Berlin.

Quelles seraient les conséquences d’une telle crise pour la France ?

La France ne serait naturellement pas épargnée. Elle est largement exposée économiquement et financièrement à l’Italie. De plus, bien que la structure du secteur bancaire français, très concentré, diffère de celle du secteur bancaire italien, le problème de la rentabilité se pose comme partout en Europe avec l’héritage de la crise, l’absence de rebond économique véritable et les effets pervers des taux négatifs. Une crise financière viendrait défaire le processus de normalisation progressive des volumes de crédit et affecterait la timide amélioration économique qui a été encouragée par la dépréciation de l’euro.

Face à un emballement de la crise bancaire italienne, on évoquerait à nouveau les fonds européens. Néanmoins, on se retrouverait dans une situation avec des gouvernements fantômes en Italie et en France face à un gouvernement allemand en pleine campagne électorale rigoriste. Un cocktail pour le moins toxique qui montrerait, de façon encore plus crue que dans le passé, l’absence de gestion de la zone. La BCE aura beau tenter d’éteindre une nouvelle fois l’incendie sous un déluge de liquidités, les failles du dispositif politique en seront d’autant plus visibles, mettant de nouveau en doute la viabilité de la monnaie unique.

GCI : La communication de crise aujourd’hui : enjeux et défis / 6-8 décembre 2016

IHEDN - Wed, 07/12/2016 - 11:35

Dans le cadre de son cycle de formation à la gestion des crises à l’international, l’IHEDN a organisé le 6 décembre 2016 une journée thématique consacrée aux enjeux et défis de la communication de crise aujourd’hui. L’objectif était d’approfondir au travers de tables rondes, débats et retours d’expérience cet aspect essentiel de la gestion de crise avec des spécialistes de ces questions.

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Ratspräsidentschaft 2017: Maltas Plan für Europa

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