L’éclairage de Pascal Boniface, directeur de l’RIS
Depuis la fin de la guerre froide et la montée du terrorisme islamiste, la menace nucléaire est devenue abstraite. En menaçant de se retirer de l'accord de 1987 sur les missiles de courte et moyenne portée, Donald Trump lui redonne une sinistre réalité.
Dans son entreprise de détricotage systématique de l'ordre international Donald Trump vient de franchir un nouveau palier. En déclarant vouloir se…
Le chalumeau de cuisine est un outil de cuisine très prisé des amoureux de la cuisine. Il facilite la réalisation de certaines tâches culinaires et permet de même de réaliser des recettes bien réussies. Il est plus utilisé pour réaliser des crèmes brûlées. Découvrez quelques recettes avec un chalumeau de cuisine.
Recette de tarte au citron meringuée au chalumeauPour réaliser une tarte au citron meringuée, il faut : après avoir préchauffé le four à 180 degrés, réaliser un mélange de beurre (150g), sucre glace (100g), un œuf, la farine (250g) et la poudre d’amande (100g). Faites de ce mélange une boule que vous laisserez reposer au frais pendant 15 mn dans un film alimentaire. Avec un rouleau à pâtisserie, étalez la pâte et réalisez des cercles de pâte. Laissez reposer pendant 30 mn. Disposez des feuilles de papier sulfurisé et des billes en céramiques et mettez au four pendant 20mn.
Pour réaliser la crème à citron, faites fondre à feu doux un mélange de deux jus de citrons et de beurre (125g). Blanchir 3 œufs avec du sucre (125g), puis y verser le mélange de jus de citrons et de beurre. Faire cuire le mélange pendant trois minutes jusqu’à épaississement. Versez la crème sur la pâte cuite et mettez au frais. Réalisez la meringue en montant en neige électriquement 2 blancs d’œufs avec du sucre (37,5g) et ajoutez une même quantité à la fin. Réalisez ensuite de petites meringues sur les tartes et les brûler avec un chalumeau.
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Recette de crème aux œufs et griottesPour une recette de six personnes, préchauffez le four. Mélangez 125 g de sucre et six œufs. Ensuite ajoutez un litre de lait et fouettez. Versez ensuite dans le fond des ramequins du caramel liquide. Remplir ensuite avec la préparation d’œufs, de sucre et de lait. Disposez par la suite des griottes dénoyautées dans chaque ramequin. Faites cuir au bain marie dans le four pendant 45 minutes. Vous pouvez vérifier si la crème est ferme à l’aide de la pointe d’un couteau. Une fois cuit, laissez refroidir et mettre au frigo pendant quelques heures. Avant de vous servir, saupoudrez de cassonade et passez au chalumeau. Voilà votre préparation est prête.
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Recette de tarte au citron déstructuréeLa tarte au citron déstructurée est très facile à réaliser. Faites cuir au préalable un lemon curd pour qu’il refroidisse. Ensuite, mixer 100g de spéculoos, 20 g de beurre mou. Mixez le spéculoos assez fin et versez-y un blanc de neige monté avec deux œufs. Ajoutez du sucre tout en fouettant. Mettez dans des verrines, quelques cuillères à café de spéculoos puis ajoutez au-dessus du lemon-curd. Couvrir de blanc de neige et passez au chalumeau. Décorez au besoin d’une rondelle de citron.
Ces recettes réalisées au chalumeau sont très simples à faire. Il suffit de suivre minutieusement, le procédé de préparation. Le plus important pour réussir une recette, est de mettre les bons dosages d’ingrédients et de suivre la chronologie des actions au risque de réaliser une préparation pas du tout réussie.
Je vous conseille ce petit chalumeau.
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Alors que les défis que représentent la robotisation et l’automatisation des tâches sont généralement perçus comme confinés aux emplois les moins qualifiés, plusieurs études (Brookings Institution Novembre 2017) ont pu mettre en évidence la vulnérabilité des emplois qualifiés. Notre perception de cette situation n’est-elle pas viciée en ce sens ?
L’effondrement des emplois industriels au cours des quatre dernières décennies dans les pays développés a eu tendance à être attribué au progrès technique plus qu’à la mondialisation des chaînes de production.
Sur la base de cette interprétation, qui est désormais remise en question par l’analyse sectorielle de la productivité, on a souvent pensé que l’automation menaçait essentiellement les emplois ouvriers et les emplois peu qualifiés plus généralement.
En réalité, il apparaît que, l’évolution, assez modeste, de la productivité industrielle dans le monde développé, hors secteur informatique, ne permet pas d’expliquer l’ampleur des pertes d’emplois manufacturiers, et indique donc un rôle limité du progrès technique dans ce phénomène.
Les métiers de service qualifiés ont pour leur part résisté à la mondialisation ; ce qui a conduit à une vision sociologiquecentrée sur l’opposition entre une élite urbaine et mobilequi serait durablement gagnante et les milieux populaires des zones périphériques.Cette vision est aujourd’hui dépassée.
En attribuant l’effondrement des emplois industriels au progrès technique, on en a déduit à tort que les emplois qualifiés dans les services n’étaient pas véritablement menacés par les bouleversements technologiques en cours. Les développements techniques et économiquesliés à l’intelligence artificielle vont remettre en cause la stabilité associée à ces emplois ainsi que les constructions sociales et politiques qui reposaient sur cette dichotomie.
Il n’existe certes pas de lien direct ni immédiat entre les développements technologiques et l’évolution du marché du travail, qui est le fruit d’une construction sociale complexe,dépassant souvent les règles simples de la théorie économique. Il faut parfoisune vingtaine d’années pour qu’une technologie, à partir de sacommercialisation, ne se traduise par un bouleversement dans l’organisation du travail, qui plus est dans les services, où la contribution individuelle à la création de valeur est moins directe et moins transparente que dans le secteur manufacturier. De nombreux emplois de service, qualifiés, sont néanmoins en première ligne en ce qui concerne les effets de la digitalisation et de l’intelligence artificielle.
L’intelligence artificielle, sous la forme du deeplearning centré sur une tâche, relève moins aujourd’hui de grandes avancées conceptuelles que de l’application de principes développés au cours des quatre dernières décennies, en profitant désormais d’une puissance de calcul adaptée, de données massives et d’un terreau scientifique/entrepreneurial qui appliquent méthodiquement ces techniques à un nombre croissant de tâches et de secteurs. L’heure est donc à une application assez méthodique de l’intelligence artificielle ; ce qui nécessite certes une expertise informatique poussée, mais moins que ce que suggère la vision abstraiteofferte parune partie des médias mondiaux. C’est cet aspect en réalité très incrémental qui fait que la Chine parvient à se positionner efficacement dans l’intelligence artificielle depuis deux ans, comme l’explique judicieusement Kai-Fu Lee dans son dernier ouvrage. Y contribue également une tendance à la collecte systématique des données personnelles qui, en comparaison, pourrait faire passer les GAFA pour des sociétés savantes désintéressées.
Cette application méthodique de l’intelligence artificielle dans le monde va, au cours des prochaines années, remettre en cause l’organisation sociale du travail, qui a eu tendance ces dernières décennies à mettre en avant des fonctions relevant de la comptabilité au sens le plus large et de la gestion administrative. Les tâches qui reposent sur des schémas répétitifs et prévisibles sont appelés à être remplacées en bonne partie, en ce qui concerne un segment important du travail comptable, juridique, notarial, des ressources humaines, etc, pour ne prendre que quelques exemples.
Et là où le remplacement du travail ouvrier nécessite des investissements robotiques certes de moins en moins chers mais tout de même lourds, on risque de s’apercevoir que le remplacement d’emplois administratifs qualifiés consacrés à des tâches répétitives n’aura qu’un coûtrelativement limité en termes d’implémentation de processus algorithmiques.
L’outil informatique a affecté la réalité des organisations au cours des trois dernières décennies. La simplification apportée par l’informatique est cependant encore loin d’avoir produit ses véritables effets de long terme sur le monde du travail. Internet et la révolution informatique des années 1990 plus généralement ne se sont traduits que par des gains de productivité limités dans les services, car dans le fond l’organisation du travail est restée ancrée dans sa forme héritée de la bureaucratisation des années 1950-60.
Dans le secteur financier par exemple, lorsque le volume de crédit s’est effondré pendant la crise mondiale de 2008, la productivité du secteur a chuté de façon durable car il semblait difficile, à l’époque, de réduire autant les postes, pour des raisons techniques et réglementaires notamment. Même dans ce secteur, on a tout de même observé un bouleversement de nombreuses activités, avec la chute, par exemple, du nombre de traders dans les grandes banques, où ceux-ci ont eu tendance à être remplacés par un nombre plus limité d’ingénieurs informatiques. La tendance ne connait aucune limite qualitative, des marchés les plus structurés et codifiés comme celui des actions jusqu’au marché des devises.L’intelligence artificielle apparaît désormais adaptée à de nombreux emplois du secteur financier qui avait été pourtant préservés en 2008, et notamment aux tâches qui relèvent de l’allocation de crédit.
Les barrières réglementaires restentun facteur de poids dans la préservation d’emplois administratifs et comptables qualifiés. Cependant, on peut penser que celles-ci seront progressivement levées au fur et à mesure que sera développée une offre commerciale concrète et éprouvée d’automation au moyen de l’intelligence artificielle, pour un nombre croissant de tâches et de secteurs économiques. Par-delà les constructions sociales complexes qui sous-tendent ces cadres réglementaires, l’évolution technologique fera inéluctablement sentir ces effets sur les emplois de service qualifiés, en dehors des tâches qui nécessitent une interaction humaine particulière.
Quelles sont les implications d’un tel défi concernant les emplois de demain ? Quels seront les moyens dont disposera la population active pour s’extraire d’une situation de vulnérabilité face à la robotisation et à l’automatisation ?
La technologie n’est que ce qu’on en fait, pour le meilleur comme pour le pire. On a vu, au cours des deux dernières décennies, l’organisation du travail évoluer de façon paradoxale avec le développement informatique. Le travail humain, au lieu d’évoluer dans un sens qualitatif et créatif, a plutôt eu tendance à s’orienter vers des tâches répétitives et prévisibles, notamment dans les métiers considérés comme intellectuels. En parallèle, une forme d’hyper-sociabilité, parfois acrimonieuse, s’est développée avec la multiplication de réunions ne remplissant pas nécessairement des objectifs productifs.
L’accompagnement du développement de l’outil numérique s’est traduit par une couche administrative supplémentaire qui aurait pourtant dû être rendue caduque par les moyens offerts par la technologie elle-même. Ces travers du travail humain, qui s’est bureaucratisé et a perdu en substance tout en devant très politique, rendent la structure actuelle du travail particulièrement vulnérable à l’automation.
Les emplois centrés sur l’implémentation de l’intelligence artificielle sont naturellement mis en valeur et nécessitent des compétences particulières, mais on constate également une certaine simplification de l’accès à la compréhension informatique. La prépondérance d’un langage comme Python, qui est d’une simplicité syntaxique sans précédent, en est un exemple. L’accès à l’informatique, en se simplifiant et en se prêtant à diverses strates de compréhension technique, pourrait permettre une réappropriation de l’automation par des milieux beaucoup plus larges.L’hyperactivité entrepreneuriale autour de ces outils, suivant des compétences très variées et qui échappent aux catégories bureaucratiques habituelles, en est une étape intéressante.
La maîtrise de l’intelligence artificielle relèvera notamment d’une capacité de conceptualisation algorithmique, qui peut à terme être accessible à une large partie de la population et prendre des formes variées. A l’opposé du schéma apocalyptique que semblent indiquer certains développements actuels, en particulier sur le marché des données, il serait possible d’adapter notre modèle économique et éducatif dans un sens qui permette de partager l’accès aux possibilités qu’ouvrent ces évolutions technologiques en termes de participation aux processus productifs et créatifs. La perspective d’une intelligence artificielle qui aurait un caractère général reste pour le moins lointaine, et l’intelligence humaine n’est pas la simple somme de compétences particulières. Combinée à l’évolution de la compréhension scientifique, qu’elle soit physique, médicale, ou autre,et aux autres innovations de la révolution industrielle en cours (dont la robotique et l’impression 3D notamment) la place de l’intelligence humaine reste à peu près illimitée pour orienter ce qui reste un outil informatique.
Quelles sont les implications et les conséquences politiques d’une telle situation de vulnérabilité des emplois qualifiés ?
On a vu monter, ces dernières années, en particulier depuis la crise mondiale, une prise de conscience de la fragilité des normes relatives au monde du travail, dans le contexte des évolutions technologiques, de l’instabilité du système financier et de la mondialisation. Une crise de croyance dans le monde du travail et le marché de l’emploi se développe et donne lieu à un certain nombre de prises de position et d’ouvrages intéressants sur ces sujets.
En parallèle, l’organisation politique des pays développés repose plus que jamais sur l’hypothèse d’une distinction durable entre des élites bénéficiant à la fois de la mondialisation et des évolutions technologiques d’un côté et les classes populaires reléguées de l’autre. Cette opposition, qui nourrit la rengaine du dépassement de la démocratie par une avant-garde administrative habitée par l’esprit de la gouvernance mondiale, est en réalité déjà caduque au vu de la relégation des jeunes générations éduquées dans un certain nombre de pays développés.L’idée selon laquelle les emplois administratifs qualifiés seraient pérennes sous-tend ce schéma binaire. Mais, plus en profondeur, le début de compréhension, semi-consciente, de la vulnérabilité de cette dichotomie existentielle par les couches concernées nourrit une angoisse qui accentue pour l’heure la crispationdu débat et les aspirations démiurgiques.
Étrange attelage que celui de Messieurs Erdogan, Macron, Poutine et de Mme Merkel à Istanbul ce samedi 27 octobre. Etrange d’abord parce que les Russes s’étaient bien gardés jusqu’ici d’associer en quoi que ce soit les puissances européennes à leurs démarches sur la Syrie. Ils préféraient la discussion directe avec Washington, et à défaut ils utilisaient le format dit d’ "Astana" réunissant Russes, Turcs et Iraniens. De ce point de vue, le sommet d’Istanbul…
Europawahlen galten lange als Wahlen zweiter Ordnung, mit nur geringer politischer Bedeutung. Doch 2019 mausern sie sich zur Richtungswahl über die Zukunft der EU – nicht nur weil das Europäische Parlament (EP) an Bedeutung gewonnen hat, sondern vor allem weil sich das europäische Parteiensystem fundamental wandelt. Während etablierte Parteien an Unterstützung verlieren, haben rechtspopulistische und EU-skeptische Parteien europaweit zugelegt. Gleichzeitig gibt es verstärkte Bemühungen, die traditionell zersplitterten EU-skeptischen Kräfte in einer Sammlungsbewegung zu vereinen. In der nächsten Wahlperiode ist zwar kein drastischer Anstieg der Zahl EU-skeptischer Abgeordneter zu erwarten. Die Umordnung im EU-skeptischen Spektrum könnte aber den Auftakt für einschneidende Veränderungen im politischen Gefüge der EU bilden.
Political map of Mali (Click for full graphic)
Violence associated with terrorist and extremist groups in Mali (Jan. 2017-Sept. 2018)(Click for full graphic)
In the non-permissive environments where they are often deployed, UN peace operations need to be increasingly creative to implement their mandate to protect civilians. They face particularly acute challenges in contexts marked by violent extremism, such as Mali, where attacks by terrorist groups have greatly constrained the capacity of peacekeepers to protect local populations.
This paper explores the operational challenges that the UN Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali (MINUSMA) faces in implementing its protection mandate. It analyzes protection threats related to violent extremism in Mali and explores the protection strategy, tools, and activities developed by the UN mission to address those threats. It highlights some of the practical constraints of operating in a hostile environment and added complications related to the mission’s proximity to non-UN counterterrorism forces.
The Malian case demonstrates that each peacekeeping theater needs to be its own laboratory for POC and that approaches, tools, and mechanisms are not directly replicable from one UN mission to another. The report makes three recommendations to improve the delivery of MINUSMA’s protection mandate:
On October 25th, IPI together with the United Nations Institute for Disarmament Research and the Permanent Mission of Japan to the United Nations cohosted an evening panel discussion on the role of conventional arms control in preventing conflicts and building peace.
Poor regulation of arms and ammunition is a key enabler of conflict and a means of sustaining it. Peace and sustainable development cannot be achieved without effective conventional arms control. Despite this, conventional arms control is rarely integrated into conflict prevention thinking and action. The Secretary-General’s Agenda for Disarmament calls for an examination of how disarmament and arms control can contribute to conflict prevention.
This event, held during the opening week of the 73rd session of the UN General Assembly’s Committee on Disarmament, aims to improve understanding of the roles and impact of conventional arms in preventing and managing conflicts, as well as to examine approaches to better identify, utilize, and integrate conventional arms control measures and tools to sustain peace.
Opening remarks:
H.E. Mr. Yasuhisa Kawamura, Ambassador Extraordinary and Plenipotentiary, Deputy Representative of Japan to the United Nations
H.E. Mr. Aidan Liddle, UK Ambassador and Permanent Representative to the Conference on Disarmament in Geneva
Dr. Renata Dwan, Director, United Nations Institute for Disarmament Research
Speakers:
Ms. Alexandra Fong, Senior Political Affairs Officer, UN Department of Political Affairs
Mr. Thomas Kontogeorgos, Disarmament, Demobilization and Reintegration Service, UN Department of Peacekeeping Operations
Mr. Himayu Shiotani, Programme Lead, Conventional Arms Programme, UNIDIR
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, IPI
Moderator:
Mr. Jake Sherman, Director of the Brian Urquhart Center for Peace Operations, IPI
Engaging non-state armed groups (NSAGs) is an essential tool for the protection of civilians (POC), a priority mandate and core objective for peace operations. Beyond the use of force to prevent or stop armed groups from threatening local populations, multidimensional missions can use a wide range of unarmed strategies, such as dialogue and engagement, to counter hostilities from non-state actors.
This paper looks at how, when, and why UN missions engage with NSAGs. It gives an overview of current practice, drawing on the experiences of the missions in Afghanistan, the Central African Republic, the Democratic Republic of the Congo, and Mali. It then examines the risks of engaging NSAGs and how POC mandates can help missions navigate these risks. Finally, it looks at peace operations’ unique capacities to engage with NSAGs and how best to leverage them.
Civilian protection is ever more urgent, and engaging NSAGs is crucial to this work. A pragmatic approach, anchored in POC considerations, can help guide missions through potentially polarizing debates and safeguard UN principles while simultaneously allowing them to adapt more effectively to the challenges they face.
Le 5 novembre 2018, de 9h – 12h30, Salle Médicis, Palais du Luxembourg – 15 rue de Vaugirard 75006 Paris Inscription obligatoire par mail dans la limite des places disponibles : n.goulet@senat.fr (une pièce d’identité vous sera demandée à l’entrée). Programme : Ouverture par Nathalie GOULET, Sénateur de l’Orne, Secrétaire de la Commission des Finances Une Europe en crise […]
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Avec votre souci de plus en plus grandissant de mieux prendre soin de votre santé, vous vous êtes acheté un oxymètre. Toutefois, en dépit de toute votre bonne volonté, vous n’avez toujours aucune idée de son principe de fonctionnement. Ici, nous vous expliquons tout ce qu’il y a à savoir.
Par quel principe un oxymètre de pouls fonctionne t-il ?L’oxymètre de pouls également appelé saturomètre vous permet d’avoir une idée précise de la fréquence de battement de votre cœur ainsi que du taux d’oxygène présent dans votre sang. Contrairement à tout ce qui se fait habituellement, l’utilisation de ce type d’appareil ne nécessite ni piqûre, ni prélèvement sanguin. En effet, il comprend un capteur, un moniteur et un câble qui à eux seuls sont capables de faire tout le travail.
C’est ainsi qu’une lumière infrarouge (invisible à l’œil nu) et une lumière rouge (visible à l’œil nu) sont émises par l’oxymètre pour éclairer votre doigt ou votre lobe. Vous vous demandez pourquoi ? Sachez donc que c’est grâce à ces deux types de lumière que votre appareil pourra percevoir la couleur du sang qui circule dans vos artères afin de pouvoir déterminer la quantité d’oxygène.
En effet, la couleur de votre sang dépend en grande partie du taux d’oxygène qu’il contient. Ainsi donc, pour la détermination de cette couleur, votre appareil cherchera le changement qui a été causé par une pulsation du cœur et qui a entrainé le sang au niveau du doigt. Ce changement de couleur est difficilement perceptible. Ce qui fait que le fonctionnement est bien meilleur après une forte impulsion.
Quels sont les facteurs qui peuvent influencer ce fonctionnement ?Dans certains cas, il peut arriver que votre oxymètre ne fonctionne pas très bien. Cela est dû à certains facteurs. Il n’est donc pas forcément défectueux. Au nombre de ces facteurs, les plus courants sont :
Comment bien entretenir un stérilisateur biberon ?
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La semaine dernière, l'AI Now Institute a tenu son troisième symposium à New York (l'enregistrement est disponible sur le site Web d'AI Now). Centrés sur l'éthique, l'organisation et la responsabilité, les conférenciers ont abordé certaines des questions majeures qui se posent aujourd’hui au moment où les États-Unis se tournent vers les systèmes d'intelligence artificielle (IA) pour gérer les transactions…
Le retrait unilatéral des Etats-Unis de l’Accord de Vienne, annoncé par M. Trump au mois de mai 2018, marque le retour des sanctions américaines contre l’économie iranienne. Celles-ci reposent sur l’extraterritorialité du droit américain, et posent la question de l’indépendance de la politique étrangère et commerciale de l’Union européenne vis-à-vis de Washington. Eric Chaney, conseiller économique à l’Institut Montaigne, répond à nos questions concernant les…
Una nueva ley de hidrocarburos parece inminente en Argelia y se ha avanzado en mejorar la relación del país con las compañías petroleras y gasistas internacionales. No obstante, parece que la aplicación de las reformas deberá esperar a las elecciones presidenciales de 2019.