En visite de travail au Maroc, le ministre d'État chargé des Ressources pétrolières du Nigéria, Ekperikpe Ekpo, a échangé, mercredi 24 janvier 2024, à Rabat avec la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali sur le projet stratégique du Gazoduc Nigéria-Maroc ainsi que d'autres projets communs dans le domaine énergétique et du développement durable.
Des échanges entre la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali et le ministre d'État chargé des Ressources pétrolières du Nigéria, Ekperikpe Ekpo. Selon la ministre Leila Benali, la visite de son homologue au Maroc a permis d'examiner les projets communs. Au titre des projets, il y a celui du Gazoduc Nigéria-Maroc.
À en croire le ministre d'Etat du Nigéria l'objectif est de fait le point de ce projet stratégique. « Au vu de ce qui a été réalisé, le projet progresse », a confié Ekperikpe Ekpo. Il n'a pas manqué d'apprécier et de saluer les efforts fournis par le Maroc dans le cadre de la mise en œuvre du projet Gazoduc.
استقبلت السيدة ليلى بنعلي @LeilaRBenali، وزيرة الانتقال الطاقي والتنمية المستدامة، يوم أمس بالرباط، السيد إكبيريكبي إيكبو، وزير الدولة للموارد البترولية في نيجيريا، إلى جانب وفد رفيع المستوى مرافق له، بهدف مناقشة سبل تعزيز التعاون pic.twitter.com/DetXqKnrGi
— MTEDD وزارة الانتقال الطاقي والتنمية المستدامة (@MTEDDMAROC) January 25, 2024
Le Maroc et le Nigéria entretiennent de bonnes relations bilatérales au cours de ces dernières années. Elles ont été renforcées avec la visite du roi Mohammed VI au Nigéria en décembre 2016. Les deux pays ont des partenariats dans les domaines de la transition énergétique et du développement durable. Ces partenariats permettent entre autres l'échange d'expériences et d'expertise, le renforcement des capacités et le développement de plusieurs projets.
Le mardi 23 janvier dernier, Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc a eu un entretien téléphonique avec le président de la République Fédérale du Nigéria, Bola Ahmed Adekunle Tinubu. Ils ont aussi échangé sur le projet Gazoduc Nigéria-Maroc. Sa Majesté le Roi a d'ailleurs adressé au président du Nigéria une invitation pour une visite officielle au Maroc.
Gazoduc Nigéria-Maroc est un projet structurant qui « sera un levier stratégique pour l'intégration régionale et le développement économique, social pour l'ensemble des pays d'Afrique de l'Ouest ». Avec une capacité annuelle de 30 à 40 milliards de mètres cubes de gaz, le gazoduc devrait mesurer plus de 5700 kilomètres. Il doit relier le Maroc au Nigéria en traversant 13 pays africains et à terme être connecté au marché européen.
A.A.A
Written by Hendrik Mildebrath (1st edition).
Ever since the General Data Protection Regulation (GDPR) became applicable in May 2018, the European Parliament and civil society organisations have been flagging deficits in its enforcement and pushing for better implementation, but little has changed. To address the situation, in July 2023 the Commission tabled a proposal aimed at improving GDPR enforcement.
The proposal seeks to support the smooth functioning and timely completion of enforcement procedures in cases of cross-border processing. To this end, the Commission suggests harmonising parties’ procedural rights, streamlining and frontloading cooperation among supervisory authorities, and detailing the GDPR’s dispute resolution mechanism.
Views on the Commission proposal diverge. Digital rights organisations advocate for enhanced complainant rights, an equal say for the lead supervisory authority and the supervisory authorities concerned on the substance of enforcement decisions, a stronger role for the European Data Protection Board (EDPB), new mechanisms to facilitate cross-country enforcement, and stricter deadlines. Industry and allied organisations favour increased transparency for the parties under investigation, a stronger role for the lead supervisory authority and lesser roles for the supervisory authorities concerned and the EDPB.
The Parliament and the Council are in the process of assessing whether the Commission’s proposal presents an adequate response and are working on their respective positions.
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Pour tentative d'extorsion de fonds et usurpation de titre du commissaire central de Parakou, un policier béninois risque 2 ans de prison. Il a comparu ce mardi 23 janvier 2024, à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET).
Une affaire d'usurpation de titre du commissaire central de Parakou à la Criet. L'accusé est un policier béninois. Selon ‘'Libre Express'', l'homme s'est présenté au téléphone en tant que le commissaire central de Parakou. Il a demandé une somme de 800.000 FCFA pour libérer le journaliste nigérian Damilola Ayeni. Ce dernier avait été arrêté en août 2023 dans le Parc Pendjari, zone sous surveillance renforcée en raison des attaques de groupes armés. Le journaliste a été libéré en septembre 2023 après sa présentation au procureur de la CRIET.
Suite aux dénonciations de la famille du journaliste, le policier présumé auteur de la demande de la somme de 800.000 FCFA a été identifié et interpellé le 9 septembre. A la barre ce mardi 23 janvier 2024, l'agent de police a plaidé non coupable. Il a nié les faits de tentative d'extorsion de fonds et d'usurpation de titre.
Le ministère public a requis contre lui, 2 ans de prison ferme et 500.000 FCFA d'amende. L'avocat de la défense a plaidé la relaxe pure et simple de son client. Pour l'avocat, il n'y a pas de preuve. Le procès a été renvoyé au mardi 20 février 2024.
A.A.A