Le Président des Jeunes Turcs, coordonnateur du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE), dans la 12eme circonscription va se présenter devant le juge ce vendredi 1er juin 2018 dans un procès de flagrant délit.
Suite à son audition à l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité, le mardi 17 avril 2018, il a confié a la presse qu'il reconnaît être l'auteur d'un message audio publié sur les réseaux sociaux au lendemain du conclave de Djèffa. C'est après cette publication qu'on l'a interpellé. La police a qualifié ses propos d'incitation à la violence et à la rébellion.
Lucien Médjico a clarifié que ce n'était en aucun cas une incitation à la rébellion contre le gouvernement Patrice Talon comme la police l'a qualifié. ''La guerre politique n'est pas une guerre militaire. Nous, nous sommes des individus à la main nue qui ne peuvent rien contre un régime qui a tout'', a-t-il expliqué. Lucien Médjico, sera écouté à nouveau et jugé ce vendredi.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Written by Angelos Delivorias (1st edition),
© Björn Wylezich / Fotolia
Covered bonds are debt securities issued by credit institutions and secured by a pool of mortgage loans or credit towards the public sector. They are characterised further by the double protection offered to bondholders, the segregation of assets in their cover pool, over-collateralisation, and their strict supervisory frameworks. Currently, their issuance is concentrated in five Member States. National regulatory regimes vary widely in terms of supervision and composition of the cover pool. Lastly, despite benefiting from preferential treatment under the Capital Requirements Regulation (CRR), they share no common definition, which can lead to different securities benefiting from this treatment. To remedy this, the Commission has adopted proposals for, on the one hand, a directive, which would lay down investor protection rules and provide common definitions, and on the other, a regulation, which would amend the CRR with regard to covered bond exposures.
Versions2018/0042 (COD)
2018/0043 (COD)
Ordinary legislative procedure (COD) (Parliament and Council on equal footing – formerly ‘co-decision’) Rapporteur:
To be appointed.
Shadow rapporteurs:To be appointed.
Next steps expected: Initial discussion in committeeNouria Benghebrit a affirmé n’avoir rien laissé au hasard afin d’assurer un climat propice au bon déroulement de cet examen.
La journée d’hier a marqué le terme de l’examen de fin de cycle moyen (BEM). Ce dernier s’est dans l’ensemble, relativement bien déroulé. Mis à part quelques petites contrariétés, rien de bien grave n’est venu perturber le cours des épreuves.
A présent, tous les regards sont rivés vers l’ultime examen, à savoir celui du baccalauréat, dont l’enjeu n’est pas des moindres. Et c’est non sans une certaine appréhension, faut-il le dire, que les principaux concernés attendent de voir dans quel climat se dérouleront les épreuves. Mais surtout, comment les services du ministère de l’Education nationale comptent écarter ou du moins limiter le risque de fraude, dont le spectre ne cesse de planer à chaque nouvelle session du bac.
Cette crainte demeure perceptible, bien que le département de l’Education tente de rassurer et de faire bonne figure dans le but de certifier à l’opinion publique que tout est sous contrôle. La première responsable du secteur, Nouria Benghebrit, se voulant rassurante à ce propos, avait indiqué que les mêmes mesures rigoureuses de l’année passée seront retenues pour le 20 juin prochain, dès le premier jour de l’examen. Elle a ainsi affirmé que «toute fraude durant cet examen sera évitée.» Et ce, à travers la mise en place d’un dispositif qui consiste en la mise en place d’appareils sophistiqués, comprenant les caméras de surveillance et les appareils de brouillage. Sans compter les moyens humains, déployés pour l’occasion, (agents de police, surveillants, encadreurs…) On fera remarquer qu’en dépit de la mise en place d’un tel arsenal, des fuites ont bien eu lieu l’année dernière, quoique formellement démenties par le ministère de l’Education. Cela dit, ce couac a tout de même incité Nouria Benghebrit à recourir au blocage des réseaux sociaux durant la tenue des examens, ce qui a laissé place à nombre d’interrogations de la part de la population.
D’un autre côté, il faut en convenir, la triche aux examens est une pratique courante partout dans le monde. Ce n’est là, pas une tare propre au déroulement des examens en Algérie. Cependant, la différence subsiste dans les proportions que tendent à prendre les conséquences de tels faits. Ils prennent ainsi une toute autre dimension quand l’enjeu est purement idéologique.
Il est par ailleurs vrai que dans ce sens, tout le monde attend Nouria Benghebrit au tournant. Certains pour de bonnes raisons tandis que pour d’autres obscurantistes, il s’agit uniquement de faire barrage, à la réforme de l’école algérienne, engagée par la ministre. Et ce, en usant de tous les moyens possibles.
Ces derniers n’acceptant pas l’idée que l’école fasse un pas en avant, et que celle-ci soit lavée de tout raisonnement rétrograde empêchant son évolution dans le bon sens. En revanche, pour certains experts et autres spécialistes du domaine, même si cet argument tient la route, cela ne dédouane pas pour autant le ministère de l’Education nationale de toutes responsabilités quant aux dépassements enregistrés ces dernières années lors de la tenue de l’examen du baccalauréat.
Après l’épisode du bac 2017, où une session de rattrapage a dû être organisée sur instruction du chef de l’Etat, après avoir enregistré lors de la session ordinaire des épreuves du baccalauréat, un taux d’absentéisme important de candidats, mais aussi des retardataires, certains se sont demandés à ce moment-là, quel est au final, le rôle de celle qui représente ce secteur.
Laquelle s’est pourtant montrée intransigeante à l’égard des candidats qui ne se conformeraient pas aux règles. En attendant, Nouria Benghebrit a assuré n’avoir rien laissé au hasard afin d’assurer un climat propice au bon déroulement de cet examen. Se disant intraitable, elle prévient par conséquent contre toute tentative de fraude, laquelle serait suivie d’une sanction sévère. Elle a encore fait savoir que pour ne laisser aucune chance aux «fraudeurs», un logiciel des plus modernes a été installé avec les appareils adaptés, en sus d’une équipe de cybergendarmes pour veiller au grain.
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Heute Donnerstag findet im Zürcher Grossmünster die Trauerfeier für den verstorbenen Pfarrer Ernst Sieber statt.
Er war der bekannteste Pfarrer der Schweiz: Der Zürcher Pfarrer Ernst Sieber ist am Samstag vor Pfingsten im Alter von 91 Jahren friedlich eingeschlafen. Heute Donnerstag nehmen ganz Zürich, seine Freunde und Familie Abschied von ihm in der Grossmünster-Kirche.
Unermüdlich hatte sich Sieber den Anliegen der Randständigen gewidmet und so nicht selten auch der Gesellschaft den Spiegel vorgehalten. Die christlichen Werte lagen ihm am Herzen und danach richtete er auch sein tägliches Handeln.
Siebers «Pfuusbus» beim Zürcher Albisgüetli beispielsweise – über die Jahre war dieser zu einer wahren Institution geworden – bot Obdachlosen ein temporäres Zuhause. Sieber selber kümmerte sich dort regelmässig um die Besucher.
Im BLICK-Interview tönte er damals an, dass die Zeit näherkomme, um «nach Hause zu gehen».
Er habe damit niemandem Angst machen wollen, meinte Sieber danach zu BLICK. Doch der Tod sei nun mal ein Thema, mit dem man sich beschäftigen müsse. «Es ist nur ein rechtes Leben, wenn man mit dem Herrgott eins ist», sagte er. «Das habe ich erreicht.» (pma)
A tegnapi tanácsülésen eldöntötték, hogy a város által megvásárolt 10 busz átkerül a közszállítási vállalathoz, ezáltal pedig működésbe helyezik őket. Már arra is megvan a terv, hogy mely útvonalakon fognak közlekedni a buszok, melyek így összesen 42 kilométeres távot fednek le a városban. Három töltőállomást is létrehoztak a járművek számára. A buszok optimális kihasználása esetén 15 évig üzemelhetnek. A közszállítás fejlesztése céljából nemrég környezetkímélő, saját wifivel, hangberendezéssel és kerekesszék, valamint babakocsi-feljáróval felszerelt autóbuszokat is forgalomba helyzetek Kolozsváron.
Non protégés, ces aliments sont exposés à toutes sortes de microbes et de bactéries, véhiculés notamment par les nuées de mouches, les poussières et les rejets des véhicules.
De nombreux vendeurs, en particulier des enfants, activant dans l’informel, ont envahi depuis le début du mois du Ramadhan les trottoirs de différents boulevards, ruelles et quartiers de la ville de Ouargla, exposant des produits alimentaires sans le moindre respect des conditions et normes d’hygiène et de salubrité a constaté l’APS.
Le phénomène de commercialisation anarchique et illicite de produits alimentaires durant le mois sacré n’a pas cessé de s’intensifier à Ouargla, au fil des années, sans aucune considération pour la santé du consommateur qui très souvent est sérieusement menacé. A la rue Che Guevara, le marché quotidien du vieux ksar de Ouargla, ainsi que les quartiers de Gherbouz, En-Nasr, Béni-Thour, Sidi Bel-Abbès et plusieurs autres endroits de cette grande agglomération urbaine, du pain en tous genres, formes et saveurs, des galettes préparées à la maison et des «diouls» ou «malsouka» (feuilles de brick), des gâteaux traditionnels, telles que la «zlabia» et le «kalbellouz», en plus d’autres denrées de consommation sont proposées aux jeûneurs, en l’absence quasi-totale des règles de conservation et de propreté indispensables pour ce type de produits rapidement périssables.
Non protégés, ces aliments exposés à toutes sortes de microbes et de bactéries, véhiculés notamment par les nuées de mouches, les poussières et les rejets des véhicules, constituent un foyer de microbes et un véritable risque pour la santé des consommateurs, alertent des agents de la santé publique.
La vente des grillades sur la voie publique est un autre type de commerce informel qui a pris sa place, ces dernières années, dans la vie des Ouarglis, particulièrement durant les soirées du mois sacré. Elle est pratiquée généralement, juste après le ftour par des jeunes vendeurs occasionnels qui préparent des brochettes de viande rouge, volaille ou de merguez.
Pas moins de 77 brigades, dont 40 de contrôle des pratiques commerciales et 37 de la répression des fraudes, ont été mobilisées par la direction du commerce à travers les 21 communes que compte la wilaya de Ouargla, à l’occasion du mois du Ramadhan, selon la direction du secteur. Malgré ces efforts, la lutte contre l’informel reste un défi à relever, étant donné que les vendeurs activant dans l’informel se multiplient d’une année à une autre trouvant une clientèle nombreuse, surtout des passagers et des personnes à revenus modestes.
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Ma jár le a szaktárca határideje, hogy döntsön a marosvásárhelyi iskolahálózatról, melyben elrendelheti a Római Katolikus Gimnázium létrehozását is. Novák Csaba Zoltán szenátor közölte, hogy a minisztériumban dolgoznak az ügyön, de egyelőre nem született konkrétum. Kelemen Hunor, az RMDSZ Szövetségi elnöke, több alkalommal is elmondta, hogy miniszteri rendelettel szeretnék megoldani az iskola újraindítását, ezáltal már a szeptemberben induló tanévtől legálisan működhetne az iskola. Marosvásárhelyen negyedik éve nincs érvényes iskolahálózat. Az alkotmánybíróság egy hónappal ezelőtt alkotmányellenesnek minősítette a gimnázium újraalapításáról hozott törvényt.
A Bálványosfürdőn ülésező ET Helyi és Regionális Önkormányzatok Kongresszusának konferenciája ennek a jelentésnek az alapját adja meg, nyilatkozta az önkormányzati kongresszus elnöke nyitóbeszédében. Kiemelte azt is, hogy rengeteg panasz érkezik az Európa Tanácshoz azzal kapcsolatban, hogy az önkormányzatok miként alkalmazzák a kisebbségi és regionális nyelvek chartáját, melyet éppen húsz évvel ezelőtt fogadtak el. Kelemen Hunor, az RMDSZ elnöke köszöntőjében arra kérte az ET-t, hogy ajánlásaival segítsen nyomást gyakorolni a romániai vállalásokra és azok alkalmazására. Andrew Dawson a kongresszus angliai tagja, aki a jelentés elkészítéséért felel, elmondta, hogy kisebbségi nyelvek európai chartája sok mindent megoldott, de meg kell erősíteni a tagállami vállalások teljesítésének az ellenőrzését.
Az Emberi Jogok Európai Bírósága mai ítéletében kimondja, hogy Románia egyik titkos CIA börtönében több szinten is szabálysértést követett el egy terroristának vélt elítélttel szemben, emiatt 100000 euró kártérítés kifizetésére kötelezi az országot. Az al-Káida terrorszervezet tagjának titulált férfi 2003 és 2006 között tartózkodott egy titkos romániai CIA fegyházba, miután az amerikaiak Irakban tartóztatták le. A férfi jelenleg az amerikai Guantantamo-i börtönben van. A román állam máig nem ismeri el, hogy léteznek az országban titkos CIA börtönök. A 2012-ben indított perben ez az első döntés, mely fellebezhető.
La nouvelle loi sur la santé prévoit plusieurs mesures d’intensification de la prévention et la lutte contre le tabagisme.
Le tabagisme est la cause de quelque 15 000 décès par an en Algérie, et 35% des cancers diagnostiqués sont causés par le tabac qui est également la source de maladies cardiovasculaires, respiratoires et infectieuses.
Face à cette calamité, les pouvoirs publics ne restent pas inactifs comme par exemple l’aide au sevrage qu’ils pourvoient au sein des structures sanitaires qui assurent des activités psychopédagogiques.
Ainsi, la loi sur la santé, adoptée le 30 avril dernier par l’Assemblée populaire nationale (APN), prévoit plusieurs mesures d’intensification de la prévention et la lutte contre le tabagisme, dans le but de protéger et préserver la santé de la population, et par là réduire les énormes dépenses de soins qui en découlent.
Il est énoncé que les services de santé, en collaboration avec les secteurs concernés, élaborent et mettent en place les programmes de prévention et de lutte contre le tabagisme.
Sont considérés comme produits du tabac, ceux destinés à être fumés, prisés, chiqués, mâchés ou sucés lorsqu’ils sont, même partiellement, constitués de tabac.
La loi adoptée introduit ainsi de nouvelles dispositions pénales à l’encontre des contrevenants. Toute promotion, parrainage ou publicité en faveur des produits du tabac est interdite stipule un article qui consacre une dizaine de mentions destinées à la prévention et la lutte contre le tabagisme. Quiconque contrevient à cette interdiction est puni d’une amende de 500 000 à
1 000 000 DA, selon les dispositions pénales de ce texte de loi qui sera voté aujourd’hui au Conseil de la nation, en vue de son application.
En matière de prévention et de sensibilisation, le texte prescrit par ailleurs que la commercialisation des produits du tabac est subordonnée à l’apposition, sur la partie la plus visible de l’emballage et en grands caractères, d’un avertissement général portant la mention suivante: «La consommation du tabac est nocive pour la santé». Pour les paquets de cigarettes, en plus de la mise en garde générale, un avertissement spécifique, des dessins ou des pictogrammes émanant de l’autorité sanitaire, doivent figurer sur l’autre grande face du paquet. En plus des recommandations sanitaires prévues, toutes les formes de conditionnement et d’étiquetage des produits du tabac doivent porter des «indications sur les principaux constituants toxiques et leurs émissions». Les fabricants et importateurs de produits du tabac sont tenus de communiquer toutes les informations relatives à la composition et aux émissions des produits du tabac aux autorités compétentes qui doivent opérer les vérifications nécessaires conformément aux critères et normes établis. Tout contrevenant aux dispositions des différents articles inhérents à la consommation de tabac, est puni d’un emprisonnement de six mois à une année accompagné d’une amende de 500 000 à 1 000 000 DA. En cas de récidive, l’amende est portée au double.
L’article cité mentionne qu’il est «interdit de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif ou accueillant du public», les modalités d’application de cet article seront fixées par voie réglementaire. De plus, la vente de tabac ou produits du tabac aux mineurs est interdite.
Le contrevenant aux dispositions de l’article 58 s’expose à une amende de 2 000 à 5 000 DA, alors que pour l’article 59 il est passible d’une amende de 200 000 DA à 400 000 DA et en cas de récidive, l’amende est portée au double.
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