Magyar Nemzeti Levéltár
a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény 20/A. • alapján
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közbeszerzési referens
munkakör betöltésére.
A közalkalmazotti jogviszony időtartama:
határozatlan idejű közalkalmazotti jogviszony
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Budapest, 1015 Budapest, Hattyú utca 14.
A munkakörbe tartozó, illetve a vezetői megbízással járó lényeges feladatok:
Beszerzési igények felmérése a Magyar Nemzeti Levéltár egészére vonatkozóan, beszerzési eljárások módjának meghatározása, közbeszerzési terv készítése, aktualizálása, közbeszerzési és beszerzési eljárások előkészítése, lebonyolítása, beszerzési folyamatokkal kapcsolatos tanácsadási és adminisztrációs feladatok ellátása.
Illetmény és juttatások:
Az illetmény megállapítására és a juttatásokra a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény rendelkezései az irányadók
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
• Végzettséget, szakképzettséget igazoló tanúsítványok, bizonyítványok, szakmai önéletrajz, erkölcsi bizonyítvány.
• Hozzájáruló nyilatkozat a személyes adatok pályázati eljárással összefüggésben szükséges kezeléséhez.
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2018. május 30.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának határideje: 2018. június 14.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2018. április 27.
A pályázati kiírás közzétevője a személyügyi központ. A pályázati kiírás a munkáltató által a személyügyi központ részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
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La commune d'Adja-Ouèrè est confrontée depuis quelques années à un phénomène en matière d'éducation. Il s'agit de la déscolarisation et l'abandon des écoles créées dans les zones rurales. Le phénomène est surtout remarquable en milieu Holli, malgré la présence d'infrastructures scolaires et la disponibilité du personnel enseignant. Le constat fait dans certains établissements de la commune montre l'ampleur des réalités. Certains apprenants abandonnent les classes, attirés par les mirages du Nigéria voisin
A Kounocho, une localité situé à sept (07) kilomètres du centre-ville d'Adja-Ouèrè, l'école primaire publique créée depuis 2007, ne compte qu'une cinquantaine d'élèves comme effectif pour les six (06) classes (du CI au CM2) autorisées pour l'année scolaire 2016-2017. « A ma prise de service en 2014, il n'y avait que 20 élèves dans l'établissement. Nous sommes ici dans un milieu Holli et les parents n'aiment pas envoyer les enfants à l'école. Avant la création de cette école en 2007, il n'y avait pas d'élèves dans cette localité.
EPP Kounoucho
Les tout premiers sont ceux inscrits en 2007 à la création de l'école », a rappelé le directeur de l'école primaire publique (EPP) de Kounoucho, Janvier Basile Ahoudégnon. Non loin de là, l'effectif de l'école primaire publique de Houéligaba, créée en 1971, a dramatiquement chuté cette année scolaire. Selon le directeur de l'établissement, Anicet Idohou Fabiyi, de plus de 300 élèves l'année dernière, cet établissement vieux de plusieurs décennies, ne compte que 168 élèves pour l'année scolaire 2016-2017. Cette situation est due selon lui, à la fermeture de la cantine installée depuis plusieurs années dans l'école. « Le Programme alimentaire mondiale (PAM) a plié bagages l'année dernière. La cantine est fermée. C'est notre première année de vie sans cantine au niveau de l'école et c'est ce à quoi on assiste. La fermeture de la cantine a joué sur nous. Notre effectif a chuté de près de 50% cette année scolaire », a expliqué le directeur de l'EPP Houéligaba. A l'EPP Dagbla toujours dans la circonscription scolaire d'Adja-Ouèrè et située à quinze (15) kilomètres du chef-lieu de la commune, grâce aux efforts des enseignants, l'effectif est passé de la quatre vingtaine à cent vingt-huit pour les six classes autorisées, selon le directeur Félix Kouchimi. « L'effectif était plus que ça en décembre 2016. Mais juste après les fêtes de fin d'année et de nouvel an, bon nombre des apprenants a abandonné les classes pour se rendre au Nigéria à la recherche de gain facile », a-t-il poursuivi.
Contrairement à ces trois premières écoles, la réalité est tout autre au niveau des écoles primaires publiques de Kpoulou et d'Itchougbo où aucun apprenant n'a repris les classes après les congés des fêtes de fin d'année. Les enseignants y vont par moment et y restent sans élèves.
L'EPP Kpoulou, créée depuis des décennies et qui dispose d'infrastructures nécessaires, de mobilier et de résidence pour les enseignants, n'est pas du tout fréquentée. Il en est de même à Itchougbo où faute d'apprenants les deux enseignants (le directeur et un collaborateur) qui animent l'école sont devenus irréguliers. Aux dires des responsables en charge des enseignements maternel et primaire dans la commune d'Adja-Ouèrè, ces deux dernières écoles risquent d'être fermées, vu les réformes en cours dans le secteur. « Les enseignants qui sont affectés dans les écoles y vont et ne trouvent aucun élève. Mais à la fin du mois, ils doivent percevoir leur salaire sans pouvoir accomplir la mission pour laquelle ils sont recrutés. C'est une perte pour l'Etat », déplorent un conseiller pédagogique et un directeur d'école. Ils menacent même d'affecter les trois enseignants en service dans cet établissement. Le besoin se fait sentir ailleurs, ont-ils conclu.
EPP Houéligaba
EPP Dagbla
EPP Kpoulou abandonnée par les apprenants
La résidence des enseignants abandonnée à cause de la déscolarisation à Kpoulou
Directeur EPP Kounoucho
Déscolarisation et abandon scolaire en milieux Hollis
Les acteurs identifient les causes du phénomène
Plusieurs causes sont à la base de la déscolarisation et de l'abandon scolaire des jeunes en milieux Hollis, dans la commune d'Adja-Ouèrè, selon les enseignants. Les directeurs d'école Janvier Basile Ahoudégnon, Félix Kouchimi et Idohou Anicet Fabiyi dressent une liste de facteurs. Il s'agit de l'ignorance et la fuite de responsabilité des parents, la pauvreté, l'exode rural, les cérémonies ruineuses, le fort taux d'analphabétisme, le désintéressement, la proximité du Nigéria, le non suivi des apprenants, la culture, l'absence de cantine dans les écoles, le manque de politique d'accompagnement, les difficultés d'accès aux écoles, la transhumance etc.
Bon nombre de parents d'élèves en milieu Holli pensent, qu'une fois qu'ils n'ont pas été instruits, il n'est pas question d'envoyer leurs enfants à l'école. « Nos parents ne nous ont pas habitués à envoyer les enfants à l'école. C'est progressivement que nous allons nous mettre au pas grâce à des sensibilisations et à d'autres appuis », a confié un parent d'élève. « Notre préoccupation majeure est qu'il faut former les nouvelles générations à ce pourquoi on a été formé aussi pour la relève », a déclaré Michel Ogoudjobi, un parent d'élève à Kpoulou. Selon M. Ogudjobi, à base d'une forte sensibilisation et des appuis des pouvoirs publics, les parents d'élèves en milieu Holli pourront changer totalement leur mentalité et commencer à instruire et à maintenir les enfants à l'école.
Pour Jean Sènankpon Aholo, chef de l'arrondissement de Kpoulou, en dehors du manque de moyen (la pauvreté), il y a aussi le phénomène de la transhumance, la mauvaise collaboration entre enseignants et parents d'élèves, le manque et l'absence d'enseignants et le phénomène du trafic d'enfants qui font que les parents d'élèves ont de réticence à envoyer leurs enfants à l'école dans les zones rurales. Selon lui, la communauté Hollie n'a pas connaissance des bienfaits de l'école.
« Avant, les parents d'élèves prenaient prétexte sur le seul bachelier de Kpoulou qui, faute de moyen n'a pas poursuivi les études et a rejoint le village sans emploi. Chaque fois, c'est son exemple qu'ils avancent pour démobiliser les gens lors des sensibilisations. Mais, j'ai eu des négociations avec le maire et le jeune homme a été recruté par une société de la place et a gagné un bon contrat. Ils sont en train de comprendre. Mais ils disent que sans la fin de la période de transhumance, les enfants ne vont pas reprendre le chemin de l'école car, l'un d'entre eux a été abattu par les bouviers au début de la saison. Nous avons d'autres séances de sensibilisations en vue. Nous allons essayer de les ramener à la raison », a expliqué l'élu local fatigué de la situation. « La majorité des enfants sont allés aussi au Nigéria juste après les fêtes de nouvel an mais, des dispositions sont en train d'être prises pour les ramener afin qu'ils reprennent les classes », a-t-il ajouté.
Des actions pour renverser la tendance
Pour freiner le phénomène de la déscolarisation et de l'abandon scolaire des jeunes en milieu Holli, les directeurs d'écoles ont confié avoir mené des séances de sensibilisation avec les associations des parents d'élèves de chaque localité et même avec la coordination communale de bureau de l'association des parents d'élèves d'Adja-Ouèrè. D'après eux, ces séances ont été faites à travers des portes-à-portes dans les villages, les églises et autres confessions religieuses et même à travers des assemblées générales.
Les structures étatiques et des Organisations non gouvernementales ne sont pas restées en marge des actions sur le terrain.
De 2006 à 2013, l'Unicef a fait la promotion de l'accès et le maintien des enfants dans les écoles à travers la mise en œuvre du projet Educom dans certaines écoles d'Adja-Ouèrè. Selon la chef service de l'éducation, de la santé, de l'action sociale et de l'artisanat à la mairie d'Adja-Ouèrè, Florentine Alavoyédo, au cours de la mise en œuvre du projet Educom dans la commune, un comité communal était mis en place et a pour rôle, la sensibilisation des parents d'élèves sur des thèmes donnés dans les localités des écoles ciblées pour la scolarisation des enfants. Mais depuis la fin du projet, le comité ne fonctionne plus, faute de moyen. Du coup, la déscolarisation et l'abandon scolaire ont resurgit sous d'autres formes dans certaines localités surtout en milieu Holli où certains enfants aident les parents dans les champs en période d'intenses activités agricoles et alors que d'autres vont en aventure au Nigéria, a-t-elle souligné. « La maigre ressource financière de la commune explique le fait que les activités dans ce sens sont bloquées dans les écoles », a évoqué Mme Alavoyédo avant de rappeler qu'il y aussi d'autres organisations non gouvernementales qui interviennent dans domaine et qui œuvrent pour la scolarisation des enfants dans certaines localités.
Mais ces actions sont loin de combattre efficacement la déscolarisation et l'abandon scolaire dans les milieux Holli à Adja-Ouèrè.
Les actions menées par le passé ont amené quelques parents a changé un peu leurs mentalités, selon certains acteurs. Pour la plupart des directeurs, les sensibilisations ont amené certains parents qui ont commencé à inscrire les enfants dans les écoles. Selon eux, les enfants y restent du CI au CE1 seulement. « Les parents dès qu'ils constatent que les enfants deviennent majeures et peuvent déjà leur porter assistance, ils les enlèvent de l'école pour qu'ils les accompagnent dans les champs. D'autres enfants, de leur propre gré, abandonnent les classes et se rendent au Nigéria à la recherche du gain facile. A l'approche de période des fêtes, les jeunes dès qu'ils aperçoivent leurs frères revenus du Nigéria avec quelques matériels ambitionnent d'y aller et commencent par mener des démarches. Bon nombre y vont avec la complicité des parents, d'autres voyagent sans le consentement de la famille et c'est après qu'on constate leur absence à l'école », ont témoigné plusieurs responsables d'établissements primaires. Selon eux, c'est la proximité du Nigéria qui est surtout à la base du faible taux de scolarisation des enfants en milieux Hollis dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Proximité du Nigéria, principale cause de la déscolarisation
EPP Kpoulou dépourvue d'apprenants
La frontière nigériane, située à quelques kilomètres d'Adja-Ouèrè, attire les jeunes Hollis qui, choisissent volontairement ou avec la complicité des parents d'immigrer dans ce pays voisin où ils espèrent avoir de meilleures conditions de vie, en abandonnant les écoles. Abèountoko, Ilaro, Abéokouta, Oyo, Ibadan sont quelques-unes des villes du Nigéria qui accueillent un nombre considérable de ces jeunes gens. Selon les témoignages, ces mineurs sont soient placés auprès de tiers personnes, soient exploités dans les carrières de sable, de pierre ou dans des plantations agricoles pour servir de la main d'œuvre. Ces enfants, une fois sur le terrain, poursuivent leur périple à travers des contrats entre des intermédiaires et leurs parents. « Les jeunes dès qu'ils voient leurs aînés revenir, ambitionnent d'y aller et font tout possible pour s'y rendre. En début d'année scolaire, les enfants inscrits restent jusqu'en décembre au plus tard. A l'approche des fêtes de fin d'année, les jeunes inondent les milieux avec des étrangers. Juste après les fêtes, on constate les absences dans les écoles. Après, on se rend compte que les enfants sont partis travailler au Nigéria. Surtout qu'il est facile de s'acheter une moto après un ou deux ans de travail. Il y a ce problème du Nigéria qui joue beaucoup sur les effectifs surtout que ce pays se situe juste à quelques pas de notre localité », explique Janvier Basil Ahoudégnon, directeur de l'école primaire publique de Kounoucho.
Le même constat est fait par le directeur de l'EPP Dagbla. Félix Kouchimi a déclaré avoir perdu deux de ses apprenants de la classe du CE2, qui se sont portés au Nigéria soit disant qu'ils iront chercher de l'argent pour des réalisations. « On va dans les maisons, les parents cachent les enfants. Ils disent qu'en lieu et place de l'école, les enfants vont les accompagner au champ ou bien à un âge donné, ils se rendront au Nigéria pour l'amélioration de leurs conditions de vie et leur prise en charge », a souligné M. Kouchimi tout en déplorant le comportement des parents d'élève qui, selon lui exploitent mal la proximité du Nigéria.
Pour d'autres acteurs du secteur éducatif, cette proximité du géant voisin, constitue un handicap pour l'éducation des enfants surtout dans les zones rurales. A les écouter, ces enfants ne se soucient guère de leur avenir et ne pensent qu'aux biens matériels.
Le directeur Idohou Anicet Fabiyi estime que la proximité du Nigéria favorise l'exode rural et le développement d'une forme de trafic d'enfants dans les localités d'Adja-Ouèrè, ce qui selon lui n'encourage pas la scolarisation des enfants.
La proximité du Nigéria constitue un facteur déterminant dans la déscolarisation et l'abandon scolaire des jeunes non seulement en milieux Hollis mais aussi dans toutes les zones rurales de la commune d'Adja-Ouèrè.
La pauvreté, la fuite de responsabilité et l'ignorance des parents en sont les principales causes, selon les acteurs du milieu. Ceux-ci pensent que pour réduire le phénomène, il faut réinstaller des cantines dans toutes les écoles périphériques, instaurer d'autres mesures de gratuité de l'école à travers lesquelles on doit garantir l'accompagnement des enfants afin d'encourager les parents à les suivre et à les maintenir dans les écoles. Aussi, faut-il des dispositions pour contrer les phénomènes d'exode rural, de trafic d'enfants et d'exode de mineurs qui se développent clandestinement dans les localités surtout en milieu Holli dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Encadré
Témoignages de quelques jeunes Hollis qui ont abandonné les classes
« J'ai abandonné l'école faute de moyens »
Joseph Ladélé Igué a abandonné l'école en 4ème
Teint noir, yeux marron, taille moyenne, l'air malheureux, Igué Ladélé Joseph, est originaire de Idogbo Kounoucho dans la commune d'Adja-Ouèrè. Agé d'environ dix-huit ans, ce jeune élève nanti de Cep vient d'abandonner l'école en classe de 4ème au Ceg Adja-Ouèrè. C'est avec un visage désespéré qu'il s'ouvre à nous par son histoire. « Hum ! Moi présentement, j'accompagne mes parents aux champs. Ils n'ont plus de moyens pour me maintenir à l'école. Ce qu'ils produisent ne donne plus en tant que tel. Ils ont de difficultés à joindre les deux bouts. Depuis quelques années, c'est moi-même qui m'arrangeais pour me payer les fournitures et assurer ma scolarité à travers des mains d'œuvre que je portais un peu partout. Je n'ai pu rien faire cette année scolaire, c'est pourquoi j'ai abandonné l'école et j'accompagne mes parents dans leurs activités », a confié Joseph. Il poursuit avec un ton nourri d'espoir. « Je pense reprendre l'école. J'ambitionne de devenir enseignant ou cadre de l'administration. En ville et même au collège, je vois nos professeurs, des jeunes intellectuels bien habillés. Il me plaît aussi de devenir un jour comme eux », espère-t-il. « Mais faute de moyen, le sort est en train de décider autrement et je me retrouve aujourd'hui avec mes parents aux champs », regrette Joseph. Il lance un appel aux personnes de bonne volonté pour divers appuis afin qu'il puisse reprendre le chemin de l'école pour obtenir tout au moins son BEPC.
Echoroko et Ogoudikpè ont abandonné l'école à cause des bouviers
Echoroko Bidémi et Ogoudikpè Ogoulayé ont abandonné les classes, après avoir passé deux ans à l'école primaire. Aujourd'hui, ils ne veulent plus retourner dans ce lieu d'éducation. Ils envisagent tous de s'inscrire dans des ateliers d'apprentissage de métier artisanal. Tous âgé de moins de dix-huit ans, ces enfants qui portent actuellement assistance à leurs parents ont confié avoir abandonné l'école à cause du comportement des bouviers transhumants. Selon eux, en période de transhumance, bon nombre d'entre eux sont massacrés par les éleveurs peulhs sur les routes, raison pour laquelle ils ne veulent plus retourner à l'école.
Echoroko Bidémi a abandonné les classes au CE2 à l'EPP Kpoulou
Ogoudikpè Ogoulayé a quitté les classes au CE2
Encadré
Les Hollis à Adja-Ouèrè
Selon l'histoire, le peuple Holli est parti d'Ilé-Ifê au Nigéria vers le 16ème siècle pour venir s'installer au sud-est du Bénin dans la dépression médiane à Issaba dans la commune de Pobè. Ce peuple purement agricole a été marqué par des migrations progressives dans tous les sens à la recherche des terres fertiles. Dans la commune d'Adja – Ouèrè, cette communauté est majoritaire dans plusieurs arrondissements notamment dans les zones rurales d'accessibilité difficile et n'aime pas envoyer les enfants à l'école. C'est un peuple à caractère de défense sauvage, irréversible et endurant sur un sol hydromorphe d'accessibilité impossible ou non adapté lors à des rivalités tribales. Il est aussi caractérisé par des cicatrices raciales tachetées de noir à l'intérieur au visage et sur d'autres parties du corps humain (la poitrine et les bras) qui marquent la différence entre le Holli et les Yoruba ainsi que les Nagos.
Les Hollis sont aussi mélangés à d'autres ethnies notamment les Fons ou les Mahi dans certaine localités dans la commune d'Adja – Ouèrè mais le phénomène ne frappe pas à l'œil dans les zones où ils sont minoritaires. Dans les milieux purement Holli comme les quelques-uns ciblés, on sent que mis à part les conditions (la pauvreté, le manque de moyen et autres) les parents Hollis n'ont pas du tout la volonté d'envoyer les enfants à l'école. Les quelques-uns qui le font, ne donnent même pas de petit déjeuner aux enfants. Tout le temps les enfants viennent à l'école avec des boules d'akassas en lieu et place du petit déjeuner le matin et le déjeuner à midi. A en croire les acteurs du système, la gratuité de l'école décrétée par le gouvernement défunt prend en compte tous ses aspects selon la mentalité des Hollis qui malgré tout n'envoient pas les enfants à l'école. Par rapport aux statistiques, les responsables d'écoles n'ont pas accepté donner des détails par classe. Mais à l'EPP Kounoucho sur sept écoliers il ne reste qu'un seul qui va représenter les tous prochains jours l'école au CEP 2017. Les six autres ont abandonné et l'administration a été obligée de jumeler le CM1 et le CM2 qui n'ont que 06 (six) comme effectif. Même l'effectif de l'école qu'a donné le directeur, les enfants présents dans les six classes n'atteignent pas la cinquantaine qu'il a déclarée.
La déscolarisation est spécifique au peuple Holli. Dans les autres communes du département, là où cette communauté est majoritaire le phénomène est remarqué. Les localités ciblées sont en majorité occupées par les Hollis. Kpoulou est arrondissement mais le chef-lieu Kpoulou dont il s'agit dans le papier est un milieu purement Holli. Il en est de même pour Kounoucho et Itchougbo. A Houéligaba et Dagbla, les Hollis sont avec les Mahis et c'est pourquoi les effectifs diffèrent à ceux des autres écoles.
Adja-Ouèrè est l'une des communes du département du Plateau. Elle s'étend sur une superficie de 550 km² et compte 81.497 habitants. La population d'Adja-Ouèrè est composée de Nagots, de Hollis, de Mahis, de Wémès, d'Adjas, Fons et Gouns.
Entourée des communes de Pobè, Kétou, Zangnanado et Ouinhi, Adja-Ouèrè, située à 6 km au nord-ouest de Pobè est une zone essentiellement agricole. C'est une zone cosmopolite où dominent majoritairement les populations Holli. Cette communauté qui n'est pas la moindre dans la commune, n'a pas grande connaissance de l'importance où des bienfaits de l'école. Dans les localités où habitent les Hollis se développent, depuis plusieurs années, le phénomène de la déscolarisation et de l'abandon scolaires. Kounoucho, Houéligaba, Dagbla, Itchougbo et Kpoulou sont quelques-unes des localités rurales où se développe ce phénomène dans la commune d'Adja-Ouèrè.
Maximilian Bach, a DIW PhD candidate and Research Associate at the Education and Family Department, has received the BeNA Innovation Research Award 2018. The prize was awarded for his current paper "Teacher Incentives and Grade Retention" at this year's BeNA Labor Economics Workshop on May 14.
The GC congratulates Max on his success!
Somogy Megyei Kaposi Mór Oktató Kórház
Projekt Iroda
a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény 20/A. • alapján
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munkakör betöltésére.
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Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
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Somogy megye, 7400 Kaposvár, Tallián Gyula utca 20-32.
A munkakörbe tartozó, illetve a vezetői megbízással járó lényeges feladatok:
Projekt(ek) végrehajtásához szükséges adminisztratív tervezési és koordinációs feladatok ellátása a vonatkozó előírások, szerződések, jogszabályok és útmutatók előírásainak figyelembevételével. Projekt(ek) előrehaladási jelentések, kifizetési kérelmek elkészítésében való közreműködés. A projekt(ek) végrehajtásának folyamatos figyelemmel kísérése. A projekt(ek) megvalósításával összefüggő dokumentumok adminisztratív összeállítása, pályázati kiírásban és támogatási szerződésben meghatározott kritériumok szerint. Egyéb a projekt(ek) végrehajtásához kapcsolódó jelentések, adatszolgáltatási tevékenységek ellátása, összeállítások koordinálása. A projektmenedzsment tagok munkájának adminisztratív támogatása a végrehajtással kapcsolatos előírások betartásának megfelelően. A projekteket érintő külső ellenőrzések végrehajtásában való adminisztratív közreműködés, a határidők betartásának figyelemmel kísérése, a kimenő dokumentumok tartalmának összeállítása, szerkesztése. Együttműködés más érintett szervezeti egységekkel, valamint a külső ellenőrző szervekkel. Szoros együttműködés a Kórház többi pályázati projektjét végrehajtó szervezeti egységekkel, valamint külső szervezetekkel, ügyvédi irodákkal, közbeszerzési tanácsadókkal és hatóságokkal. Naprakész elektronikus nyilvántartás vezetése a projektek végrehajtásáról. Projektülések összehívása, szervezés és jegyzőkönyvvezetés.
Illetmény és juttatások:
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A pályázat benyújtásának határideje: 2018. május 31.
A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Ilk Balázs Ferenc Projekt Iroda irodavezetője nyújt, a 82/501-300/1894 -os telefonszámon.
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A pályázat elbírálásának határideje: 2018. június 16.
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A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.kmmk.hu honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2018. május 9.
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Macédoine : lourd verdict pour les « terroristes » de Kumanovo, manifestations au Kosovo
La Macédoine et le Kosovo vont demander une enquête internationale sur les événements de Kumanovo
Macédoine : Kumanovo, les jours d'après ?
Macédoine : un poste de police attaqué près de la frontière kosovare
Macédoine : opération Kumanovo, nom de code « La petite guerre »
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Érd Megyei Jogú Város Polgármesteri Hivatal
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a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
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határozott idejű 2019.11.10-ig tartó közszolgálati jogviszony.
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Pest megye, 2030 Érd, Alsó utca 1-3.
A közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III. 7.) Korm. rendelet alapján a munkakör betöltője által ellátandó feladatkörök:
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Ellátandó feladatok:
Jogállás, illetmény és juttatások:
A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény , valamint a(z) Érd Megyei Jogú Város Polgármesteri Hivatal Közszolgálati Szabályzat rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
Elvárt kompetenciák:
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A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban 2018. június 16. napjától tölthető be.
A pályázat benyújtásának határideje: 2018. május 31.
A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Csehné Szrnka Hortenzia nyújt, a 23/522-300/206 -os telefonszámon.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának határideje: 2018. június 15.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A munkáltatóval kapcsolatos egyéb lényeges információ:
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2018. május 9.
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Albian Ajeti (21) ist jung und neu Torschützenkönig der Super League. Darf er nun mit zur WM?
Irgendwie kommt es auch ein wenig überraschend. Albian Ajeti (21), beim FC Augsburg durchgefallen, ist neu Torschützenkönig der Super League. Nach einem Aufbau beim FC St. Gallen ist er in Basel durchgestartet, schiesst 17 Tore – und ist momentan der formstärkste Schweizer Stürmer.
Ajeti hat sechs Tore seit dem 29. April erzielt. Der Lohn: Er steht im 35-Mann-Kader von Vladimir Petkovic für die WM. Allerdings hat er minimale Chancen aufs endgültige 23-Mann-WM-Kader.
Aber Petkovic wird sich fragen: Soll ich einen Mann, der so richtig in Form ist, wirklich zuhause lassen? Im Normalfall wird der Nati-Coach zwischen drei bis vier Stürmer mitnehmen – je nachdem, wen man als Stürmer und wen als Mittelfeldspieler rechnet.
Die Konkurrenz für Ajeti ist in jedem Fall riesig. Gesetzt ist Haris Seferovic (26). Der Stürmer von Benfica Lissabon spielte zuletzt kaum noch, aber war in der WM-Qualifikation mit vier Toren und drei Assists der erfolgreichste Spieler im Kader.
Sicher mit dabei ist auch Breel Embolo (21). Seine Rückrunde bei Schalke war in Ordnung, zuletzt plagten ihn allerdings Probleme mit den Muskeln. Wird er fit, ist er ein heisser Kandidat für die WM-Startelf.
Und dann gibt es neben Ajeti drei Stürmer, die um ihre Teilnahme zittern müssen.
Josip Drmic (25) kam nach seiner schweren Verletzung zuletzt wieder in Gang, machte vier Bundesliga-Tore für Gladbach.
Eren Derdiyok (29) hat nicht seine beste Saison bei Galatasaray hinter sich, traf nur drei Mal. Offenbar war Petkovic zudem auch mit seinen Trainingsleistungen im Nati-Camp insgesamt nicht zufrieden. Er könnte bei der Nominierung einen schweren Stand haben.
Und Mario Gavranovic (28) hat eine starke Visitenkarte bei Dinamo Zagreb abgegeben: 15 Saison-Treffer und sieben Assists, er ist in Top-Form. Und gegen Panama im Test (6:0) spielte er gross auf.
Es wird die Qual der Wahl für Petkovic. Sein Vorgänger Ottmar Hitzfeld nahm im Zweifel immer einen Angreifer mehr mit: «Gute Stürmer kannst Du nie genug im Kader haben.»
EU Ministers for Foreign Affairs and Trade meet on 22 May 2018 in Brussels.
EU Ministers of Foreign Affairs and Development meet on 22 May 2018 in Brussels.
Cet article Carnet (22.05.2018). JCPOA (Zarif, Mogherini, Sipilä, Babiš). Agenda (COPS, Conseil développement). SMM Ukraine (tirs). Compernol (réponse UE). Finlande (conscription, aviation). Gaza (enquête ONU). Venezuela (élections). Diplomatie culturelle. Suède (manuel de survie). RDC (Ebola). Massolo (ministre). Fontaine (décès). Zuckerberg (audition). Verts (têtes de liste). est apparu en premier sur Bruxelles2.
Deana Patakovic est née à Belgrade ou elle a débuté ses études avec l'obtention d'un Master d'art – Pianiste en 1991 comme meilleure musicienne de sa génération. Elle a poursuivi ses études à Londres avec les professeurs John Binhgam (Trinity College) , Kendall Taylor (Royal College of Music) et à Paris avec Françoise Buffet Arsenijevic (Ecole Normale de Musique).
En parallèle elle a entamé sa carrière de pianiste concertiste sur le plan international – plus de 600 concerts en ex Yougoslavie, Italie, (...)