Ein Auto hat am Montag bei einem Überholmanöver in Kölliken AG einen Töffli-Fahrer (86) zu Boden gerissen. Der Mann wurde schwer verletzt.
In Kölliken AG hat sich am Montagvormittag ein schwerer Unfall ereignet. Ein Autofahrer (67) und ein Töffli-Fahrer (86) waren beide in Richtung Oberentfelden unterwegs. Als der Autofahrer den 86-Jährigen überholte, kam es zu einer Streifkollision.
Der Töffli-Fahrer stürzte dabei zu Boden, wie Kantonspolizei-Sprecherin Barbara Breitschmid sagt. Der Mann wurde schwer verletzt.
Ein Ambulanz-Team brachte den Töffli-Fahrer ins Spital. Der Autofahrer und seiner Begleiterin blieben unverletzt.
Der genaue Unfallhergang wird abgeklärt. (dnp/noo)
par F. H.
Des dysfonctionnements dans l’alimentation en eau potable des communes d’Ath-Laâziz, Ath-Mensour, Ahnif, Chorfa et Oued El-Berdi, à partir du barrage de Tilesdit, ont été signalés. Renseignements pris, il s’agit de perturbations qui ont été observées dans le système de pompage de la station de traitement des eaux du barrage de Tilesdit. Pour mettre fin à cette perturbation, l’installation incessamment de 2 nouvelles pompes a été annoncée.Les habitants des communes concernées supportent péniblement les coupures fâcheuses et irrégulières dans l’alimentation en eau potable, en raison du système de pompage qui manque d’efficacité. Il faut noter que le barrage de Tilesdit, implanté dans la commune de Bechloul à une vingtaine de kilomètres à l’est de Bouira, est doté d’une capacité de stockage de 165 millions de m³. Conçu pour garantir de l’eau potable au profit de 12 communes de la wilaya de Bouira.
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Afin de fournir une feuille de route de développement durable, Sonatrach a dévoilé sa stratégie baptisée SH2030 Leading the Change (Conduire le Changement), qui fait la part belle à l’industrie pétrochimique et à la transformation locale, poursuit la même source.
« L’aval a toujours été négligé en Algérie et cela devient un important problème stratégique », explique le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, à OBG. « Nous importons plus d’un (1) milliard de dollars de carburant par an, ce qui n’a aucun sens. Nous voulons créer de la valeur ajoutée pour notre gaz et la transformation pétrochimique sera le développement le plus important que Sonatrach connaîtra au cours du siècle », avance-t-il dans cet entretien. Afin d’améliorer la situation, la compagnie procède actuellement à une modernisation de la raffinerie de Sidi R’cine (Alger) qui verra sa capacité de transformation passer de 2,8 millions de tonnes à 3,7 millions de tonnes et sa capacité de stockage du carburant augmenter de 73%. De plus, Sonatrach a conclu en mai dernier un accord de 1,5 milliard de dollars avec le groupe français Total pour la construction d’une usine pétrochimique à Arzew, rappelle OBG. Cette unité devra produire 550.000 tonnes/an de polypropylène, avec une partie de la production qui pourra être exportée vers l’Europe, la Turquie et l’Afrique du Nord.Abordant l’acquisition récente de la raffinerie d’Augusta (Italie), d’une capacité de traitement de 10 millions de tonnes/an, OBG souligne que cet achat, qui comprend aussi trois terminaux pétroliers situés à Augusta, Palerme et Naples, « représente la première acquisition de Sonatrach à l’étranger dans le domaine pétrochimique ».
En outre, Sonatrach « se penche de plus en plus vers les possibilités offertes par les énergies renouvelables, voyant dans celles-ci en particulier un moyen de réduire les coûts associés à la production énergétique ».« Nous envisageons d’utiliser l’énergie solaire dans tous nos champs pétroliers et gaziers. Dans la mesure où chaque installation consomme jusqu’à 20% de la production, l’utilisation de l’énergie solaire pour alimenter les opérations est absolument nécessaire », a noté M. Ould Kaddour, ajoutant que d’ici 2030, tous les champs fonctionneront à l’énergie solaire.
Modification de la loi sur les hydrocarbures « Si une hausse des investissements et des projets de diversification devraient soutenir la croissance dans le secteur de l’énergie, les autorités ont également évoqué des modifications à la législation actuelle dans le cadre d’une stratégie visant à attirer une plus grande participation des acteurs internationaux », souligne OBG. « Les acteurs du secteur critiquent depuis longtemps la législation en vigueur, considérée comme dissuasive pour les acteurs internationaux désireux de s’installer dans le pays, affirmant que certaines mesures ne correspondent plus à la réalité des activités du secteur dans un contexte de prix de l’énergie plus bas ». Outre les changements fiscaux, les propositions de réforme du code des hydrocarbures comportent une simplification des procédures bureaucratiques et administratives pour les investissements, ce qui devrait « encourager encore davantage les activités dans les secteurs pétrolier et gazier ». Saïd B.The post Selon Oxford Business Group : Ascension des investissements énergétiques algériens appeared first on .
Suite à la diffusion d’une vidéo jugée offensante envers le président de la république algérienne Abdelaziz Bouteflika, tournée au siège de l’Union Européenne en Belgique, par Leila Haddad, une ancienne correspondante de l’ENTV. John O’Rourk, l’ambassadeur de l’Union Européenne en Algérie, a régi à la convocation qu’il a reçu de la part du ministère algérien des affaires étrangères en Algérie.
A travers un Tweet John O’Rourk déclare avoir informer les autorités algériennes que l’institution qu’il représente ne porte en aucun cas la responsabilité des déclarations des journalistes qui sont accrédités auprès d’elle: « Nous avons souligné aux autorités algériennes que les journalistes accrédités auprès des institutions européennes ne parlent pas au nom des institutions mais en leur propre nom, en ligne avec les principes de liberté d’expression et liberté des médias » écrit l’ambassadeur de l’UE sur son compte twitter.
Le ministère des affaires étrangères, incite les autorités européennes à prendre des mesures contre la journaliste en question.
LDJ. Sarah
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Suite au Règlement Général sur la Protection des Données entré en vigueur le 25 mai 2018, nous vous informons que :
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VIENNA, 4 June 2018 – OSCE Representative on Freedom of the Media, Harlem Désir, today expressed his concern about the continued detention of Oleg Sentsov, a writer and film director from Crimea, Ukraine, after sending a letter to the Minister of Foreign Affairs of the Russian Federation last week, urging to review the case.
“I call on the Russian authorities to review Sentsov’s case and to release him immediately,” Désir wrote in a letter to Sergey Lavrov, Minister of Foreign Affairs of the Russian Federation. “His continued detention is unjustified and creates a strong chilling effect for those in Crimea who have the right to express their views and opinions freely. His voice should not be silenced, no matter how critical.”
Sentsov was arrested in Simferopol by Russian security services in May 2014 and convicted in Rostov-on-Don in August 2015. He is currently serving a 20-year prison term on terrorism charges at a high-security penal colony in the Russian Federation. His sentence was upheld on appeal in November 2015. He has been on a hunger strike since 14 May 2018.
“I am particularly worried about the deterioration of his health condition and morale after he has started a hunger strike,” Désir added.
In his letter to Foreign Minister Lavrov, Representative Désir also noted reports indicating a number of irregularities in the judicial proceedings of the case as well as disturbing allegations of torture against Sentsov, including beatings, suffocation and threats of sexual assault.
The Representative raised Sentsov’s case in a public statement in May 2014 (see: https://www.osce.org/fom/119329).
The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. He provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more at www.osce.org/fom, twitter @OSCE_RFoM and on www.facebook.com/osce.rfom.
«La médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice.»
Les praticiens de la médiation des tribunaux de Sidi-Aich, Akbou, Kherrata, Amizour et Béjaïa ont rendu public leur plan d’action pour l’année sociale 2017-2018. Réunis par le bureau de l’association des médiateurs judiciaires de la wilaya de Béjaïa au siège de la cour, ces derniers ont consacré cette opportunité pour débattre du plan d’action articulé sur quatre axes stratégiques devant répondre à un ensemble de besoins dans le but d’atteindre les résultats escomptés. Il s’agit de la médiation sociale, familiale, pénale et conventionnelle. Les participants ont mis en exergue les multiples facettes de la médiation, en particulier, ses différences avec d’autres modes de résolution des conflits. Au chapitre des affaires sociales, les participants se sont appuyés sur la loi du 6 février 1990 relative à la prévention des conflits collectifs du travail.
Dans le domaine de la médiation familiale, ils ont estimé que la priorité doit être donnée au médiateur pour résoudre les litiges avant que les couples ne décident d’aller se séparer devant le juge. Selon l’Office national des statistiques (ONS), 68.000 cas de divorce ont été enregistrés au niveau national par les tribunaux en 2017 et les litiges de tous ordres sur lesquels les juridictions doivent se prononcer pour les régler, ne cessent de croître. Des chiffres effarants et les conclusions de l’enquête de l’ONS, le montrent assez bien. Ainsi, le choix devait revenir aux époux de prendre la décision. Dans cette perspective, les médiateurs interpellent le ministère de la Justice pour revoir la réglementation et procéder à la modification des dispositions des articles 439 et suivants du Code de procédure civile et administrative, qui consacrent la tentative de conciliation par un juge. En matière pénale, le médiateur algérien est exclu du champ d’application pour la confier au procureur de la République, relève-t-on bien que lors d’un séminaire international sur la médiation judiciaire, tenu à Alger les 15 et 16 juin 2009, l’ancien ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, avait déclaré à l’époque: «La médiation judiciaire appliquée actuellement dans le domaine civil sera bientôt élargie au champ pénal.» Cette déclaration n’a pas été suivie d’effet. C’est pourquoi les médiateurs de Béjaïa souhaitent se réapproprier la médiation pénale. Pour ce qui est, enfin du cadre juridique de la médiation conventionnelle, il n’existe pour l’heure, aucune loi organisant son fonctionnement dans notre pays.
Il s’agit avant tout d’un processus «extrajudiciaire» par lequel les parties tentent de parvenir à un accord pour résoudre un différend sans passer par la case «justice».Aujourd’hui, la médiation ne doit plus être restreinte à son champ d’intervention actuel, mais doit s’élargir davantage, soutiennent les participants, relevant la nécessité de revoir le cadre réglementaire pour la porter plus loin afin d’aboutir à une médiation conventionnelle où le médiateur, en tant qu’expert en relation, est choisi en dehors des tribunaux. Aujourd’hui, les freins sont nombreux dans la pratique de la médiation judiciaire: les juges des tribunaux, contraints par la loi, recourent à la médiation mais pas toujours avec conviction, les parties n’assistent pas aux audiences civiles et les avocats craignant d’y perdre leur clientèle, pensent que la médiation leur enlève une partie de leurs prérogatives, sinon leur gagne-pain. La loi, telle qu’elle est conçue, est fermement responsable de la situation actuelle que vit le médiateur judiciaire en Algérie. Les médiateurs judiciaires de la cour, réitèrent leur demande à la chancellerie, pour la révision des dispositions de l’article 994 du Code de procédure civile et administrative, lequel constitue un «FREIN» pour le développement de la médiation judiciaire dans notre pays. Le citoyen algérien doit, en effet, être informé du recours possible à la médiation, avant toute saisine du tribunal.
Au volet formation, il a été relevé plusieurs sessions de formation dispensées par des experts internationaux en médiation de l’UE. Il est attendu la sortie de 15 promotions pour la formation de base et huit promotions pour la formation approfondie. Le président Khimoum nous a déclaré qu’«outre sa rapidité, l’intérêt de la médiation judiciaire évite des procès lents et coûteux et permet aux citoyens de se réapproprier le procès en évitant les aléas de la justice. Ainsi, la médiation civile va demeurer la meilleure manière qui va inculquer la paix dans la société».
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