Démarré samedi, les matchs comptant pour la 12e journée du championnat professionnel ont pris fin dans la soirée de ce dimanche 17 décembre 2023. Le champion en titre, Coton FC nous a régalé en corrigeant Étoiles Filantes FC.
Toutes les rencontres prévues dans le cadre de la 12e journée de la Super Ligue Pro ont livré leur verdict ce week-end. La suite des matchs ont eu lieu ce dimanche avec notamment la belle victoire de Coton FC. A domicile, le champion en titre n'a pas fait à demi-mesure. Étoiles Filantes FC en a pris 3 sans en marqué aucun.
Pour cette journée, Loto Popo a été mis au repos. Voici tous les résultats de la 12e journée :
CAVALIERS FC 0-0 DAMISSA FC
DYNAMIQUE FC 0-1 BANI GANSÉ FC
SOLEIL FC 1-1 ABEILLES FC
RÉAL SS 2-2 HODIO FC
REQUINS FC 0-0 AS COTONOU
ADJIDJA FC 4-0 AS POLICE
JSO 1-0 ASVO
DJEFFA FC 0-1 JSP
BUFFLES FC 1-1 PANTHÈRES FC
TAKUNNIN FC 1-1 BÉKÉ FC
AS TONNERRE 0-1 DYNAMO D'ABOMEY
ESPOIR SAVALOU 0-1 DADJÈ FC
COTON FC 3-0 ÉTOILES FILANTES FC
AÏNONVI FC 1-1 ASPAC
SOBEMAP FC 0-0 AO
DRAGONS FC 1-1 AYÉMA FC
J.S
En déplacement ce dimanche 17 décembre 2023 dans le cadre de la 16e journée de Ligue 1, le Stade Brestois s'est facilement imposé devant Nantes qui jouait sur sa propre pelouse. Steve Mounié et ses coéquipiers sont répartis avec les 3 points de la rencontre en battant leur adversaire 0-2.
Nantes vs Brest, c'était la première affiche de ce dimanche en Ligue 1. Un choc très attendu entre des Canaris très enthousiasmants depuis l'arrivée de Jocelyn Gourvennec et des Brestois impressionnants durant la première partie de saison. Au bout de la première période, c'est Nantes qui dominait légèrement la partie.
De retour des vestiaires, le match démarrait l'ouverture du score des Brestois grâce à Magnetti à la 50e minute. Les hommes d'Eric Roy allaient en profiter sept minutes plus tard pour inscrire le but du break. Il venait bien évidemment du capitaine des Guépards du Bénin, Steve Mounié.
En fin de match, Nantes poussait pour revenir mais, le score restait donc à 2-0 et Brest en profite pour passer provisoirement devant Lille (5e), qui a fait nul avec le PSG en fin de soirée (1-1).
J.S
Palaces, retraites de yoga, spas de luxe, centres de remiseen forme, lodges luxueux en pleine brousse… Les destinations pour un séjourbien-être en Afrique ne manquent pas. Ce type de tourisme est, en effet en pleine croissance. Lesvoyageurs désirant allier bien-être et découverte lors de leurs expéditions, sontde plus en plus nombreux. Cherchent-ils à fuir le stress du quotidien ? Àéchapper aux nouvelles technologies pour tenter de se retrouver ? Quoiqu'ilen soit, l'Afrique sait aussi se montrer apaisante. Grâce à de nombreusesoffres bien-être, les voyageurs peuvent aller à la rencontre du continentafricain, tout en se reconnectant à eux-mêmes.
Le tourisme debien-être : définitionSi l'on peut trouver des éléments pour saisir ce que recouvrela notion sur ce site sur le bien-être, qu'entend-on partourisme de bien-être ? Par séjour ou hôtel wellness ? Le Global Wellness Institute proposeune définition du tourisme bien-être comme « un voyage associé à la poursuite du maintienou de l'amélioration de son bien-être personnel ». On peut icifaire une distinction entre deux types de voyageurs. Ceux qui placent lebien-être au cœur de leur voyage, comme élément essentiel pour le choix de ladestination. Et les voyageurs qui recherchent plus simplement quelquesactivités orientées bien-être, à intégrer à leur séjour. Ces deux catégoriesreprésentent des profils différents. Si le tourisme bien-être a nettementaugmenté ces dernières années, la crise sanitaire a évidemment renforcé cebesoin de se reconnecter à soi et à l'environnement. Ainsi, chaque année, denouveaux adeptes des séjours wellness sont avides de nouvelles destinations dansle monde, pour prendre soin de leur corps et de leur esprit.
Une nouvelledestination bien-être : l'AfriqueL'Afrique attire habituellement pour sa faune et sa naturesauvage. Moins (jusqu'à présent) pour un séjour centré autour du bien-être. Etpourtant, il existe plusieurs destinations sur le continent africain quioffrent de précieuses parenthèses bien-être. Il faut savoir que la plupart deshôtels réputés, la majorité des lodges de luxe, proposent l'accès à demagnifiques spas. Disons-le, le niveau en Afrique pour les retraites de typebien-être, est vraiment très élevé. Ce qui a une incidence sur l'excellence desoffres de la part des hôtels. Mais l'Afrique ne se limite pas aux spas et aux massages, pource qui concerne l'offre de voyages bien-être. L'Afrique a ce petit quelquechose de plus, cette magie qui émane d'une nature unique, ces paysages sauvages, intacts, qui bouleversent le voyageur lorsqu'il y fait face.
Les offres bien-êtreen Afrique
Depuis que les voyageurs se sont mis à rechercher desdestinations plus reculées pour leur séjour bien-être, les hôteliers et lestours opérateurs se sont penchés sur la question, afin de proposer des offreswellness. Centres de villégiature, lodges de safari de luxe, hôtels axé sur laremise en forme… Les établissements de luxe fleurissent tout en conservant unecertaine élégance, proches de la nature et propices à la relaxation.
Mais wellness et safari peuvent tout à fait fonctionnerensemble. Par exemple, la société Singita qui exploite des lodges de safari deluxe en Afrique australe et dans le Serengeti, mise sur cette alliance entresafari et bien-être. Des lodges dans le parc national Kruger ont vu leur sparénové, et de nouveaux produits cosmétiques, comportant des ingrédients biologiqueslocaux, ont été introduits. D'ailleurs, le dirigeant Tom Fels pense que Singitapropose « une expérience holistique de bien-être. Nous offrons l'espace,le calme, l'intégration avec la nature avec des offres alimentaires réfléchieset pertinentes et la possibilité de détendre le corps et l'esprit. Le nouveauluxe c'est l'enrichissement personnel. »
Ainsi, remise en forme, relaxation, yoga, massages,nutrition, cosmétiques, participent à former une offre complète pour letourisme bien-être en Afrique. Cette tendance du tourisme s'explique par l'évolutionde la société contemporaine. Un quotidien toujours plus connecté et plusstressant, force le besoin de couper pour tenter de retrouver l'essentiel. Une pause rendue possible, grâce à l'Afrique., terre magique
Promising initiatives to address risks of human trafficking for sexual exploitation in the context of major sporting events have been implemented in several OSCE participating States, including France, Germany, Ukraine, the United Kingdom, and the United States.
On 15 December, the OSCE hosted an interactive roundtable in Vienna, gathering civil society organizations, national anti-trafficking experts, law enforcement, sports organizations, as well as local authorities and international organizations who have developed awareness-raising campaigns to advance the fight against trafficking. Participants shared good practices and experiences that will serve as an inspiration for future initiatives, particularly ahead of the UEFA Euro 2024 in Germany and the 2024 Olympic and Paralympic Games in France.
In 2003, the OSCE Action Plan recommended that participating States raise awareness by “addressing, also through the media, the need to reduce the demand for the activities of persons trafficked for sexual exploitation.” Sporting events also offer a unique opportunity to reach out to a large audience through awareness-raising campaigns as a prevention measure and to tackle the scale of the demand that enables trafficking for the purpose of sexual exploitation.
Strengthening youth resilience to organized crime and corruption in South-Eastern Europe was the aim of a civil society organizations’ regional grants programme, carried out by the OSCE Transnational Threats Department, the Office of the Co-ordinator of OSCE Economic and Environmental Activities and the Global Initiative against Transnational Organized Crime.
Between July and October, 5,142 young people engaged in 72 in-person events, workshops, art performances and film festivals. Moreover, the programme reached 436,257 young people through social media channels, raising their awareness on the rule of law and integrity to create a peaceful and prosperous society.
Recognizing the civil society’s essential role in working with and for youth on the ground, during the programme, the OSCE and the Global Initiative against Transnational Organized Crime supported two civil society organizations in each of the involved participating States including Albania, Bosnia and Herzegovina, North Macedonia, Montenegro and Serbia. The organizations conducted grass-root extra-curricular educational and awareness-raising events engaging young people.
“Young people want to make sure that their opinions are heard, particularly when it comes to tackling organized crime and corruption. It is thus important to include them in efforts to address these challenges,” said one of the young participants from Montenegro, where the research by NGO Juventas showed that 40 per cent of the most listened songs in Montenegro glorify criminal activities and invited youth to critically assess the media they consume.
“I did not know about the risks and dangers of youth engagement in criminal and corrupt activities before. Through the creative approach of using photography, this initiative helped me learn to critically detect delinquent behaviour among young people and utilize effective ways to prevent it,” pointed out a young participant from Bosnia and Herzegovina, where NGO Sensus organized a youth camp creatively exploring photography to understand crime patterns and negative influences in the local communities and social media.
The programme was delivered in the framework of the OSCE-wide multi-year project Enhancing youth crime and drug use prevention through education on legality and awareness campaigns addressing threats of organized crime and corruption, funded by Italy. Other donors supporting this project are Andorra, Finland, Germany and Poland.
On December 15, 2023, the OSCE Project Co-ordinator in Uzbekistan, jointly with the National Center for Human Rights and the National Commission for Combating Trafficking in Persons and Forced Labor, held a roundtable discussion on Challenges and Solutions in Promoting Business Respect for Human Rights Across the Supply Chain.
Fifty (twelve women and 38 men) representatives from the govenment agencies and business entities exchanged good practices on ensuring respect for human rights in the supply chain, and discussed methods for identifying the challenges with respect for human rights that companies encounter at various levels of business operations.
During the event, the leading experts presented operational approaches to build a more equitable, inclusive, and responsible business world. In addition, a brief introduction to the draft National Action Plan on Business and Human Rights was presented at the roundtable.
This Roundtable was organised in the framework of the PCUz project “Promoting Gender Equality and Combating Human Trafficking”.
Bonn, 18. Dezember 2023. Die laufende 28. UN-Klimakonferenz startete mit einem Paukenschlag: die Mitgliedsstaaten einigten sich auf die Schaffung eines Fonds für Verluste und Schäden, mit dem reichere Länder erstmals formal Verantwortung für ihre historischen Treibhausgas-Emissionen übernehmen, die ärmere Länder am stärksten treffen. Der Fonds zeigt, dass internationale Konventionen zwar umständlich sind, aber mit der Zeit durch messbare Ziele und die Unterstützung reicher Länder große Hebelwirkungen erzielen können.
Viele Mitgliedsstaaten, die meist gleichzeitig Mitglieder der oft „Wüstenkonvention“ genannten Konvention der Vereinten Nationen zur Bekämpfung der Wüstenbildung in den von Dürre und/oder Wüstenbildung schwer betroffenen Ländern, insbesondere in Afrika (UNCCD), haben die Erfahrungen mit dem Fonds im Speziellen und mit der UN-Klimakonferenz im Allgemeinen genau im Blick, wenn sie in der Vorbereitung für die nächste UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz im Dezember 2024 in Saudi-Arabien auf ein verbindliches Abkommen zur Dürrebekämpfung drängen.
Für viele Länder, insbesondere in den trockeneren Regionen der Erde und speziell in Afrika, ist Dürre ein großes Problem für Umwelt, Wirtschaft und Gesellschaft. Global werden die in den letzten hundert Jahren durch Dürre verursachten Schäden auf mehrere hundert Milliarden USD geschätzt. Über 10 Millionen Menschen haben ihr Leben durch Dürre verloren, mehr als durch jede andere Art von Naturkatstrophe. 85 Prozent der von Dürre betroffenen Menschen lebten in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen.
Mit dem Klimawandel verstärken sich Dürren in Bezug auf Häufigkeit, Länge, Intensität und regionale Ausbreitung, aber Dürren fanden und finden auch ohne Klimawandel statt, und lokale Land- und Wassernutzungsänderungen tragen ebenfalls erheblich zu zunehmenden Dürreproblemen bei. Ohne Gegenmaßnahmen könnten sich sowohl die weltweite Landfläche als auch die Bevölkerung, die mit extremen Dürren konfrontiert ist, von 3 Prozent im Zeitraum 1976-2005 auf 8 Prozent bis zum Ende des 21. Jahrhunderts erhöhen. Nicht zuletzt verstärken Dürren lokale und regionale Konflikte und Migration.
In der Vergangenheit wurde Dürren eher mit reaktiven Strategien begegnet, in ärmeren Ländern insbesondere mit Not- und Nahrungsmittelhilfe. Inzwischen setzt sich die Überzeugung durch, dass proaktives Dürre-Risiko-Management die Schäden wesentlich verringern kann und günstiger ist als reaktive Strategien. Für die USA wurde eine durchschnittliche Kosten-Nutzen-Relation von Präventionsmaßnahmen von 1:2 errechnet im Vergleich zu einer Situation ohne pro-aktives Dürremanagement, für andere Fälle auch deutlich mehr.
Zu einem proaktiven Dürre-Risiko-Management gehören drei Säulen: (1) Vorhersage und Monitoring, (2) Verletzlichkeitsanalysen zur Abschätzung möglicher Folgen und Identifizierung von prioritären Schutzbedarfen sowie (3) Maßnahmen zur Erhöhung der Resilienz. Zu Dürreresilienz-Maßnahmen zählen unter anderem Wassermanagement, Landschafts- und Bodenmanagement zur Regulierung und Rückhaltung von Wasser in der Fläche, Anpassungen in der Land- und Forstwirtschaft, soziale Sicherungsmaßnahmen, Dürreversicherungen, sektorale und räumliche Diversifizierung von wirtschaftlichen Aktivitäten, Diversifizierung von Nahrungsquellen und -handel sowie flexible Lagerhaltung.
Von einem verbindlichen Dürreabkommen erhoffen sich ärmere Länder Unterstützung bei den entscheidenden Weichenstellungen für mehr Dürre-Risiko-Management. Durch internationale Sichtbarmachung des Problems, globalen Druck auf nationale Regierungen und verbesserte internationale Finanzierungsmöglichkeiten soll nationale Dürrepolitik ambitionierter und proaktiver werden. Der erwähnte Fonds für Schäden und Verluste könnte dafür ein Instrument bieten. Allerdings wird er nur für durch den Klimawandel bedingte Dürren verwendet werden können. Außerdem ist seine Befüllung noch unklar, seine Nutzung für proaktives Dürre-Risiko-Management ist alles andere als gesichert, und erfahrungsgemäß werden gerade ländliche Gebiete und die kleinbäuerliche Landwirtschaft bei Klimaschutzmaßnahmen stark vernachlässigt. Es braucht also mehr eigenständige Anstrengungen zur Bekämpfung von Dürrerisiken.
Ob es zu einem verbindlichen globalen Dürreabkommen kommt, wird sich wohl auf der nächsten UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz entscheiden. Eine zwischenstaatliche Arbeitsgruppe erarbeitet derzeit Optionen. Dazu gehören neben einem verbindlichen Dürreprotokoll und einer Veränderung der oft sehr weich formulierten Konvention auch der Beschluss eines globalen Arbeitsprogramms zur Dürrebekämpfung mit einer konzertierten Aktion der vielen internationalen Organisationen, die sich an einem umfassenden Dürre-Risiko-Management-Programm beteiligen müssten. Außerdem wird die Definition eines globalen Ziels wie dem 1,5-Grad-Ziel des Pariser Klimaabkommens erwogen, sowie Optionen zur besseren Finanzierung und Herstellung größerer politischer Sichtbarkeit und Dringlichkeit. Bis Juni 2024 sollen diese Optionen ausgearbeitet und auf der Vertragsstaatenkonferenz verhandelt werden.
Sicher ist, dass die ärmeren und dürregeplagten Länder sichtbares und substantielles Engagement von reicheren Ländern erwarten, so wie sie dies für die Klimaziele bereits ausführlich formuliert haben. Wird diese Erwartung nicht erfüllt, könnte nicht nur die UNCCD Schaden nehmen, sondern auch andere Umweltkonventionen, die auf die kontinuierliche und konstruktive Zusammenarbeit aller Mitgliedsstaaten angewiesen sind.
Bonn, 18. Dezember 2023. Die laufende 28. UN-Klimakonferenz startete mit einem Paukenschlag: die Mitgliedsstaaten einigten sich auf die Schaffung eines Fonds für Verluste und Schäden, mit dem reichere Länder erstmals formal Verantwortung für ihre historischen Treibhausgas-Emissionen übernehmen, die ärmere Länder am stärksten treffen. Der Fonds zeigt, dass internationale Konventionen zwar umständlich sind, aber mit der Zeit durch messbare Ziele und die Unterstützung reicher Länder große Hebelwirkungen erzielen können.
Viele Mitgliedsstaaten, die meist gleichzeitig Mitglieder der oft „Wüstenkonvention“ genannten Konvention der Vereinten Nationen zur Bekämpfung der Wüstenbildung in den von Dürre und/oder Wüstenbildung schwer betroffenen Ländern, insbesondere in Afrika (UNCCD), haben die Erfahrungen mit dem Fonds im Speziellen und mit der UN-Klimakonferenz im Allgemeinen genau im Blick, wenn sie in der Vorbereitung für die nächste UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz im Dezember 2024 in Saudi-Arabien auf ein verbindliches Abkommen zur Dürrebekämpfung drängen.
Für viele Länder, insbesondere in den trockeneren Regionen der Erde und speziell in Afrika, ist Dürre ein großes Problem für Umwelt, Wirtschaft und Gesellschaft. Global werden die in den letzten hundert Jahren durch Dürre verursachten Schäden auf mehrere hundert Milliarden USD geschätzt. Über 10 Millionen Menschen haben ihr Leben durch Dürre verloren, mehr als durch jede andere Art von Naturkatstrophe. 85 Prozent der von Dürre betroffenen Menschen lebten in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen.
Mit dem Klimawandel verstärken sich Dürren in Bezug auf Häufigkeit, Länge, Intensität und regionale Ausbreitung, aber Dürren fanden und finden auch ohne Klimawandel statt, und lokale Land- und Wassernutzungsänderungen tragen ebenfalls erheblich zu zunehmenden Dürreproblemen bei. Ohne Gegenmaßnahmen könnten sich sowohl die weltweite Landfläche als auch die Bevölkerung, die mit extremen Dürren konfrontiert ist, von 3 Prozent im Zeitraum 1976-2005 auf 8 Prozent bis zum Ende des 21. Jahrhunderts erhöhen. Nicht zuletzt verstärken Dürren lokale und regionale Konflikte und Migration.
In der Vergangenheit wurde Dürren eher mit reaktiven Strategien begegnet, in ärmeren Ländern insbesondere mit Not- und Nahrungsmittelhilfe. Inzwischen setzt sich die Überzeugung durch, dass proaktives Dürre-Risiko-Management die Schäden wesentlich verringern kann und günstiger ist als reaktive Strategien. Für die USA wurde eine durchschnittliche Kosten-Nutzen-Relation von Präventionsmaßnahmen von 1:2 errechnet im Vergleich zu einer Situation ohne pro-aktives Dürremanagement, für andere Fälle auch deutlich mehr.
Zu einem proaktiven Dürre-Risiko-Management gehören drei Säulen: (1) Vorhersage und Monitoring, (2) Verletzlichkeitsanalysen zur Abschätzung möglicher Folgen und Identifizierung von prioritären Schutzbedarfen sowie (3) Maßnahmen zur Erhöhung der Resilienz. Zu Dürreresilienz-Maßnahmen zählen unter anderem Wassermanagement, Landschafts- und Bodenmanagement zur Regulierung und Rückhaltung von Wasser in der Fläche, Anpassungen in der Land- und Forstwirtschaft, soziale Sicherungsmaßnahmen, Dürreversicherungen, sektorale und räumliche Diversifizierung von wirtschaftlichen Aktivitäten, Diversifizierung von Nahrungsquellen und -handel sowie flexible Lagerhaltung.
Von einem verbindlichen Dürreabkommen erhoffen sich ärmere Länder Unterstützung bei den entscheidenden Weichenstellungen für mehr Dürre-Risiko-Management. Durch internationale Sichtbarmachung des Problems, globalen Druck auf nationale Regierungen und verbesserte internationale Finanzierungsmöglichkeiten soll nationale Dürrepolitik ambitionierter und proaktiver werden. Der erwähnte Fonds für Schäden und Verluste könnte dafür ein Instrument bieten. Allerdings wird er nur für durch den Klimawandel bedingte Dürren verwendet werden können. Außerdem ist seine Befüllung noch unklar, seine Nutzung für proaktives Dürre-Risiko-Management ist alles andere als gesichert, und erfahrungsgemäß werden gerade ländliche Gebiete und die kleinbäuerliche Landwirtschaft bei Klimaschutzmaßnahmen stark vernachlässigt. Es braucht also mehr eigenständige Anstrengungen zur Bekämpfung von Dürrerisiken.
Ob es zu einem verbindlichen globalen Dürreabkommen kommt, wird sich wohl auf der nächsten UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz entscheiden. Eine zwischenstaatliche Arbeitsgruppe erarbeitet derzeit Optionen. Dazu gehören neben einem verbindlichen Dürreprotokoll und einer Veränderung der oft sehr weich formulierten Konvention auch der Beschluss eines globalen Arbeitsprogramms zur Dürrebekämpfung mit einer konzertierten Aktion der vielen internationalen Organisationen, die sich an einem umfassenden Dürre-Risiko-Management-Programm beteiligen müssten. Außerdem wird die Definition eines globalen Ziels wie dem 1,5-Grad-Ziel des Pariser Klimaabkommens erwogen, sowie Optionen zur besseren Finanzierung und Herstellung größerer politischer Sichtbarkeit und Dringlichkeit. Bis Juni 2024 sollen diese Optionen ausgearbeitet und auf der Vertragsstaatenkonferenz verhandelt werden.
Sicher ist, dass die ärmeren und dürregeplagten Länder sichtbares und substantielles Engagement von reicheren Ländern erwarten, so wie sie dies für die Klimaziele bereits ausführlich formuliert haben. Wird diese Erwartung nicht erfüllt, könnte nicht nur die UNCCD Schaden nehmen, sondern auch andere Umweltkonventionen, die auf die kontinuierliche und konstruktive Zusammenarbeit aller Mitgliedsstaaten angewiesen sind.
Bonn, 18. Dezember 2023. Die laufende 28. UN-Klimakonferenz startete mit einem Paukenschlag: die Mitgliedsstaaten einigten sich auf die Schaffung eines Fonds für Verluste und Schäden, mit dem reichere Länder erstmals formal Verantwortung für ihre historischen Treibhausgas-Emissionen übernehmen, die ärmere Länder am stärksten treffen. Der Fonds zeigt, dass internationale Konventionen zwar umständlich sind, aber mit der Zeit durch messbare Ziele und die Unterstützung reicher Länder große Hebelwirkungen erzielen können.
Viele Mitgliedsstaaten, die meist gleichzeitig Mitglieder der oft „Wüstenkonvention“ genannten Konvention der Vereinten Nationen zur Bekämpfung der Wüstenbildung in den von Dürre und/oder Wüstenbildung schwer betroffenen Ländern, insbesondere in Afrika (UNCCD), haben die Erfahrungen mit dem Fonds im Speziellen und mit der UN-Klimakonferenz im Allgemeinen genau im Blick, wenn sie in der Vorbereitung für die nächste UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz im Dezember 2024 in Saudi-Arabien auf ein verbindliches Abkommen zur Dürrebekämpfung drängen.
Für viele Länder, insbesondere in den trockeneren Regionen der Erde und speziell in Afrika, ist Dürre ein großes Problem für Umwelt, Wirtschaft und Gesellschaft. Global werden die in den letzten hundert Jahren durch Dürre verursachten Schäden auf mehrere hundert Milliarden USD geschätzt. Über 10 Millionen Menschen haben ihr Leben durch Dürre verloren, mehr als durch jede andere Art von Naturkatstrophe. 85 Prozent der von Dürre betroffenen Menschen lebten in Ländern mit niedrigem und mittlerem Einkommen.
Mit dem Klimawandel verstärken sich Dürren in Bezug auf Häufigkeit, Länge, Intensität und regionale Ausbreitung, aber Dürren fanden und finden auch ohne Klimawandel statt, und lokale Land- und Wassernutzungsänderungen tragen ebenfalls erheblich zu zunehmenden Dürreproblemen bei. Ohne Gegenmaßnahmen könnten sich sowohl die weltweite Landfläche als auch die Bevölkerung, die mit extremen Dürren konfrontiert ist, von 3 Prozent im Zeitraum 1976-2005 auf 8 Prozent bis zum Ende des 21. Jahrhunderts erhöhen. Nicht zuletzt verstärken Dürren lokale und regionale Konflikte und Migration.
In der Vergangenheit wurde Dürren eher mit reaktiven Strategien begegnet, in ärmeren Ländern insbesondere mit Not- und Nahrungsmittelhilfe. Inzwischen setzt sich die Überzeugung durch, dass proaktives Dürre-Risiko-Management die Schäden wesentlich verringern kann und günstiger ist als reaktive Strategien. Für die USA wurde eine durchschnittliche Kosten-Nutzen-Relation von Präventionsmaßnahmen von 1:2 errechnet im Vergleich zu einer Situation ohne pro-aktives Dürremanagement, für andere Fälle auch deutlich mehr.
Zu einem proaktiven Dürre-Risiko-Management gehören drei Säulen: (1) Vorhersage und Monitoring, (2) Verletzlichkeitsanalysen zur Abschätzung möglicher Folgen und Identifizierung von prioritären Schutzbedarfen sowie (3) Maßnahmen zur Erhöhung der Resilienz. Zu Dürreresilienz-Maßnahmen zählen unter anderem Wassermanagement, Landschafts- und Bodenmanagement zur Regulierung und Rückhaltung von Wasser in der Fläche, Anpassungen in der Land- und Forstwirtschaft, soziale Sicherungsmaßnahmen, Dürreversicherungen, sektorale und räumliche Diversifizierung von wirtschaftlichen Aktivitäten, Diversifizierung von Nahrungsquellen und -handel sowie flexible Lagerhaltung.
Von einem verbindlichen Dürreabkommen erhoffen sich ärmere Länder Unterstützung bei den entscheidenden Weichenstellungen für mehr Dürre-Risiko-Management. Durch internationale Sichtbarmachung des Problems, globalen Druck auf nationale Regierungen und verbesserte internationale Finanzierungsmöglichkeiten soll nationale Dürrepolitik ambitionierter und proaktiver werden. Der erwähnte Fonds für Schäden und Verluste könnte dafür ein Instrument bieten. Allerdings wird er nur für durch den Klimawandel bedingte Dürren verwendet werden können. Außerdem ist seine Befüllung noch unklar, seine Nutzung für proaktives Dürre-Risiko-Management ist alles andere als gesichert, und erfahrungsgemäß werden gerade ländliche Gebiete und die kleinbäuerliche Landwirtschaft bei Klimaschutzmaßnahmen stark vernachlässigt. Es braucht also mehr eigenständige Anstrengungen zur Bekämpfung von Dürrerisiken.
Ob es zu einem verbindlichen globalen Dürreabkommen kommt, wird sich wohl auf der nächsten UNCCD-Vertragsstaatenkonferenz entscheiden. Eine zwischenstaatliche Arbeitsgruppe erarbeitet derzeit Optionen. Dazu gehören neben einem verbindlichen Dürreprotokoll und einer Veränderung der oft sehr weich formulierten Konvention auch der Beschluss eines globalen Arbeitsprogramms zur Dürrebekämpfung mit einer konzertierten Aktion der vielen internationalen Organisationen, die sich an einem umfassenden Dürre-Risiko-Management-Programm beteiligen müssten. Außerdem wird die Definition eines globalen Ziels wie dem 1,5-Grad-Ziel des Pariser Klimaabkommens erwogen, sowie Optionen zur besseren Finanzierung und Herstellung größerer politischer Sichtbarkeit und Dringlichkeit. Bis Juni 2024 sollen diese Optionen ausgearbeitet und auf der Vertragsstaatenkonferenz verhandelt werden.
Sicher ist, dass die ärmeren und dürregeplagten Länder sichtbares und substantielles Engagement von reicheren Ländern erwarten, so wie sie dies für die Klimaziele bereits ausführlich formuliert haben. Wird diese Erwartung nicht erfüllt, könnte nicht nur die UNCCD Schaden nehmen, sondern auch andere Umweltkonventionen, die auf die kontinuierliche und konstruktive Zusammenarbeit aller Mitgliedsstaaten angewiesen sind.