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Le Néerlandais Tom Wijfje a remporté, ce jeudi 1er mai 2025, la 4è étape du 20è Tour Cycliste International du Bénin. Longue de 110,90 Km, entre Bohicon et Athiémé, ils étaient 76 coureurs sur la ligne de départ ce matin. Deux sprints intermédiaires ont animé cette course qui s'est soldée par la victoire du Néerlandais Tom Wijfje. Le sociétaire de Universe Cycling Team a dominé cette 4è étape en 2h30'15''. Il est suivi par le Sud-africain Reinardt Janse Van Rensburg et le Marocain Essabahy Ibrahim (Agadir Vélo Propulsion).
Au classement général, le Sud-africain Reinardt Janse Rensburg conserve le maillot jaune. Vainqueur de la première étape, Reinardt Janse Van Rensburg a occupé la deuxième place sur les 3 étapes suivantes.
La 5è étape longue de 107,50 Km entre Ouinhi et Porto-Novo est prévue pour ce vendredi 2 mai 2025.
La chambre des appels a annulé lundi 28 avril 2025 le jugement rendu par la chambre correctionnelle de la CRIET dans l'affaire de l'ex-commissaire adjoint d'Abomey-Calavi poursuivi pour avoir pris dix-sept (17) millions FCFA chez un cybercriminel. Selon le verdict en appel, la peine de l'ex-commissaire adjoint a été réduite à cinq (5) ans de prison ferme et à deux (2) millions FCFA. La peine du militaire condamné à deux ans ferme est confirmé, mais sans amende en appel
Bonne nouvelle pour l'ex-commissaire adjoint de police d'Abomey-Calavi. Après plusieurs mois d'audience devant la chambre des appels de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), le verdict est tombé lundi 28 avril 2025. La chambre d'appel a décidé d'annuler le verdict rendu le jeudi 2 mai 2024 par la chambre correctionnelle de la CRIET.
Selon la décision en appel, la peine de prison de l'ex-commissaire de police adjoint ainsi que l'amende ont été réduites. Contrairement à la chambre de jugement qui l'avait condamné à 7 ans de prison ferme et à cinq millions FCFA d'amendes, l'ex-commissaire adjoint d'Abomey-Calavi Gouroubera est désormais condamné en appel à cinq (5) ans de prison et à deux millions FCFA d'amendes pour abus de fonction et extorsion de fonds.
Un autre militaire au nom de Batossi qui avait été reconnu coupable de tentative d'extorsion de fonds et condamné à 2 ans de prison ferme et un million FCFA par la chambre correctionnelle de la CRIET a vu sa peine réduite. Selon le verdict de la chambre des appels, sa condamnation est réduite à deux ans ferme. Il n'y a à présent plus de peines d'amendes pour ce militaire. Les deux autres policiers poursuivis dans le dossier restent relaxés, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Dans ce dossier, quatre hommes en uniforme dont trois policiers et un militaire ont été arrêtés et placés en détention préventive par le parquet spécial de la CRIET en mars 2023 pour des faits d'abus de fonction. Selon l'accusation, les quatre hommes en uniforme auraient pris 17 millions FCFA chez un présumé gayman après son interpellation avant de le relâcher. Un militaire également prévenu dans le dossier a été le principal informateur. Ce dernier a participé à l'opération de la police ayant conduit à l'interpellation du présumé cybercriminel. Mais l'opération ne s'est pas déroulée dans les conditions régulières. Car, une fois le présumé cybercriminel interpellé, ces hommes en uniforme lui auraient soutiré 17 millions FCFA avant de le laisser dans la nature.
Le Bénin accueille du 5 au 9 mai 2025 à Cotonou, la 2e édition du Forum Africain sur la Recherche et l'Innovation (FARI 2025). C'est dans le cadre de la célébration des 50 ans de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO).
Tous les États membres de la CEDEAO se réuniront à Cotonou à partir du 5 mai pour la 2e édition du Forum Africain sur la Recherche et l'Innovation (FARI 2025. Cette rencontre placée sous le thème : « Jeunesse africaine, innovation et entrepreneuriat : Bâtir un avenir durable, aura lieu à la Place de l'Amazone. Il y aura entre autres un concours startup, la conférence des Chefs d'Etat, panels et ateliers de formation, masterclass, exposition, découverte touristique du Bénin etc
A l'occasion de la fête du travail ce 1er mai 2025, le Gouvernement du Bénin envoie un message de reconnaissance à tous ceux qui se lèvent tôt et qui affrontent les défis du quotidien avec persévérance.Voici le message de reconnaissance aux travailleurs béninois.
La Fête du Travail est plus qu'un symbole. C'est une journée où l'on célèbre la force tranquille de millions de femmes et d'hommes qui, souvent loin des projecteurs, bâtissent notre société avec courage, patience et abnégation.
À toutes celles et tous ceux qui se lèvent tôt, qui travaillent dur, qui tiennent bon malgré les défis, le Gouvernement adresse aujourd'hui un message de profonde gratitude. Vous incarnez la résilience béninoise. Vous donnez sens à notre idéal collectif de progrès et de dignité pour toutes et tous.
Dans les champs, les marchés, les bureaux, les écoles, les ateliers, les hôpitaux, ...etc., votre engagement quotidien mérite non seulement d'être reconnu, mais aussi pleinement soutenu.
Le Gouvernement du Bénin réaffirme son engagement à créer les conditions d'un travail plus sûr, plus valorisant, et plus juste pour chaque citoyenne, pour chaque citoyen, quel que soit son secteur.
Bonne fête du Travail à toutes et à tous.
Ensemble, poursuivons la marche vers un Bénin plus digne, plus fort et plus solidaire.
La Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS), par le biais de son Amicale des Femmes (AF-CNSS), a signé une convention de partenariat avec la World Association for Development. C'est en marge de la célébration de la Journée Internationale des droits des Femmes (JIF), le 25 avril 2025 à Cotonou.
Un accord de partenariat a été scellé entre l'Amicale des Femmes de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (AF-CNSS), la Direction Générale de la CNSS et World Association for Development (Association internationale pour le Développement) le vendredi 25 avril 2025 à Cotonou. « Il y a des choses qu'on n'apprend pas à l'Université », a souligné le Directeur exécutif de l'Association internationale pour le Développement à la signature de la convention.
« Ce programme est un pas vers une CNSS plus inclusive et performante », a reconnu le Directeur général de la CNSS. Appolinaire Cadété Tchintchin a exhorté les femmes bénéficiaires à s'engager pour ce renforcement sur des « compétences transversales ». Il a réitéré l'engagement de la Direction générale à accompagner l'initiative.
Le programme entend : « développer le leadership féminin, renforcer le management opérationnel, favoriser l'autonomie professionnelle, améliorer les compétences dans les rôles sociaux et familiaux ». Il est prévu « des sessions de formation, des ateliers thématiques, des séances de coaching et d'orientation », selon la Raïssa Ami-Touré, la présidente de l'Amicale des Femmes de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (AF-CNSS). A terme, les femmes de la CNSS seront mieux armées pour affronter les défis professionnels. Dotées d'un capital humain renforcé, elles deviendront des actrices influentes dans leur environnement de travail.
World Association for Development est engagée dans la justice sociale l'égalité des chances et la dignité humaine.
M. M.
Les 8 et 9 mai prochains, le Sofitel Marina de Cotonou accueillera la 10e édition du Africa SME Champions Forum, un événement dédié au développement du secteur privé africain. Les organisateurs et partenaires ont dressé les grandes lignes de ce Forum, lors d'une conférence de presse tenue le 30 avril 2025.
L'édition anniversaire du Africa SME Champions Forum est « un plaidoyer, un espace de dialogue pour faire autrement », selon Didier Acouetey, Président du Forum et PDG d'AfricSearch. « L'enjeu, ce n'est pas juste de faire croître les PME, c'est de créer les millions d'emplois dont le continent a besoin », a-t-il précisé.
Paul Koffi Koffi, de la Commission de l'UEMOA, a évoqué une stratégie régionale déjà validée par les ministres sectoriels. « Le plus important, c'est d'accompagner les PME et de renforcer le capital humain ».
Régis Facia, vice-président du Patronat béninois, a rappelé que le choix du Bénin pour cette édition vient d'une initiative du ministre d'État Abdoulaye Bio Tchané, convaincu que les PME doivent être au cœur des politiques économiques. À l'en croire, le Bénin se veut catalyseur d'une nouvelle dynamique.
Pour Laurent Gangbès, Directeir Général de l'Agence de Développement des Petites et Moyennes Entreprises (ADPME), ce forum est l'occasion d'offrir aux PME béninoises l'opportunité de rencontrer banques, investisseurs et partenaires techniques, dans un cadre structuré. Il a saisi l'occasion pour rappeler les initiatives mises en place par le gouvernement béninois pour soutenir les PME.
Le besoin des PME n'est pas que financier, c'est parfois des projets d'investissement, selon les explications de Ababacar DIAW, Adminstrateur-Directeur Général SGI Impaxis.
Yedau Ogundele, Directrice Générale de la Caisse Régionale de Refinancement Hypothécaire (CCRH-UEMOA) a rassuré de l'accompagnement de son institution à travers le refinancement des banques pour l'accès à des logements abordables.
Créer un véritable écosystème pour les PME
Durant deux jours (8 et 9 mai 2025), les participants auront accès à un centre de solutions PME, une Deal Room pour des rencontres B2B ciblées, et des master class pratiques. Un dîner de gala viendra couronner l'événement, avec la remise des Africa SME Awards.
Le Forum 2025 sera marqué par le lancement du Pacte Continental pour les PME Africaines (2025-2035), une feuille de route ambitieuse pour un écosystème africain des PME plus compétitif et innovant.
Depuis 10 ans, Africa SME Champions Forum réunit chaque année plus de 300 à 400 participants : décideurs publics, investisseurs, banques, fonds d'investissement, fondations, et les PME elles-mêmes, venant de plus d'une vingtaine de pays.
M. M.
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Le Secrétaire Général de la Confédération des Syndicats des Travailleurs du Bénin (CSTB), Kassa Mampo, son adjoint, Norbert Kouto, ainsi que quelques militants ont été arrêtés, à Cotonou, ce jeudi 1er mai 2025. Ils viennent d'être libérés après leur audition
Une équipe de la police républicaine, dirigée par le Directeur Départemental de la Police Républicaine (DDPR) Dah Lokonon, s'est rendue à la Bourse du travail, ce jeudi 1er mai 2025, à Cotonou. Kassa Mampo a été interpellé dans son bureau. Son adjoint, Norbert Kouto, ainsi que quelques militants ont été également arrêtés.
Les deux responsables syndicaux et leurs militants sont conduits à la brigade criminelle pour leur audition.
Les huit personnes interpellées viennent d'être libérées après leur audition.
Ce jeudi 1er mai 2025, la CSTB avait appelé à une marche pacifique à travers les 12 départements du pays pour commémorer cette journée dédiée à la fête des travailleurs. L'objectif était de revendiquer les droits des travailleurs et de rappeler l'importance des libertés syndicales.
Les responsables syndicaux n'ont pas reçu les autorisations des autorités compétentes pour leur manifestation. Malgré cela ils ont organisé la marche avec des pancartes et en prononçant des slogans hostiles aux autorités et à la gouvernance du pays.
L'alerte, diffusée sur la page Facebook du SA/CSTB, dénonce non seulement la violence policière, mais aussi la violation de l'immunité de la Bourse du travail.
Pour l'heure, aucune déclaration officielle n'a été faite par la Police républicaine concernant les raisons précises de ces arrestations.
M. M.
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IPI and the United States Holocaust Memorial Museum’s Simon-Skjodt Center for the Prevention of Genocide co-hosted an event on “The Ongoing Mass Atrocity Crimes Against the Uyghurs and How the UN Can Respond” on May 1st. The event featured a film screening of the Emmy award-winning film Reeducated, produced by the New Yorker.
This event raised awareness and galvanized discussion about the role of the United Nations to respond to and prevent mass atrocities in the Xinjiang region, nearly three years after the release of the report by the Office of the High Commissioner for Human Rights (OHCHR) detailing violations against Uyghurs and other Muslim minorities that the High Commissioner noted may constitute crimes against humanity. In August 2024 the OHCHR released an update on their work in China, sharing that they are engaging with Chinese authorities, including on Xinjiang, and noting that “many problematic laws and policies remain in place.”
The Uyghur community is a Turkic Muslim minority group of roughly 11 million people who live primarily in the province of Xinjiang in western China. The Chinese government has persecuted Uyghurs and other Turkic Muslim communities on the basis of their identity for decades.
Opening Remarks:
Adam Lupel, Vice President and Chief Operating Officer, International Peace Institute
Speakers:
Ben Mauk, Writer and Filmmaker of Reeducated
Rushan Abbas, Founder and Executive Director of Campaign for Uyghurs
Rayhan Asat, Senior Legal and Policy Advisor and China Project Lead, Atlantic Council Strategic Litigation Project
Sophie Richardson, Co-Executive Director, Chinese Human Rights Defenders
Moderator:
Naomi Kikoler, Director of the Simon-Skjodt Center for the Prevention of Genocide at the United States Holocaust Memorial Museum
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La Société d'investissement et de promotion de l'industrie (SIPI-BENIN), structure en charge de l'aménagement et du développement de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), a célébré le lundi 28 avril 2025, la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail. La Safety Week, une nouvelle initiative de la zone économique spéciale, a été lancée à cette occasion.
La Zone industrielle de Glo-Djigbé renouvelle son engagement en faveur de la santé et de la sécurité des travailleurs. Commémorant l'édition 2025 de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail, elle a procédé au lancement de la Safety Week ; une semaine spéciale entièrement dédiée à la prévention, à la sensibilisation et à la valorisation des bonnes pratiques en matière de santé et sécurité au travail.
Au cours de la célébration, Songbian Zimé, expert en Intelligence artificielle (IA) et conseiller technique au ministère du numérique et de la digitalisation, a animé une communication sur le thème retenu cette année : « Révolutionner la santé et la sécurité : le rôle de l'IA et de la numérisation au travail ». Ce thème selon la Cellule de communication de la SIPI-BENIN, met en lumière les transformations des environnements professionnels et l'importance d'intégrer les technologies au service du bien-être des travailleurs.
Plus d'une centaine d'employés de la zone ont été mobilisés pour la cérémonie de lancement de cette initiative présidée par Faki ADJE, directeur général adjoint de la SIPI-BENIN.
Plusieurs policiers et sapeurs-pompiers ont été distingués pour leur dévouement exemplaire, leur professionnalisme et leur contribution active à la promotion de la santé et de la sécurité au sein de la zone économique spéciale.
À l’occasion de la Journée internationale du travail, l’inspecteur général du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Ammar Ghamri, a mis […]
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By CIVICUS
May 1 2025 (IPS)
CIVICUS speaks with Ukrainian gender rights activist Maryna Rudenko about the gendered impacts of the war in Ukraine and the importance of including women in peacebuilding efforts.
Russia’s full-scale invasion of Ukraine has profoundly impacted on women and girls. Many have been displaced and are struggling with poverty and unemployment. Those who’ve stayed endure daily missile attacks, damaged infrastructure, lack of basic services and sexual violence from Russian forces if they live in occupied territories. Women activists, caregivers and journalists are particularly vulnerable. The international community must increase support to ensure justice for victims and women’s inclusion in peace efforts.
Maryna Rudenko
What have been the impacts of the war in Ukraine, particularly on women and girls?The war began in 2014 when Russia annexed Crimea, with Indigenous women, particularly Crimean Tatars, immediately and severely affected. They risked losing their property and livelihoods, and to continue working they were forced to change their citizenship. Pro-Ukraine activists had to flee and those who stayed faced arrest. This placed a heavier burden on many women who were left in charge of their families.
At the same time in 2014, Russia began supporting separatist movements in eastern Ukraine, leading to the occupation of territories such as Donetsk and Luhansk and the displacement of over a million people. When Russia launched its full-scale invasion in 2022, many lost their homes again. Nearly seven million fled to European countries. This population loss poses a significant demographic challenge to Ukraine’s post-war development.
Since 2015, conflict-related sexual violence has been a major issue. Around 342 cases have been documented. The International Criminal Court recognised that conflict-related sexual violence has been committed in the temporarily occupied territories since 2014.
Ukraine also experienced the largest campaign of child abduction in recent history: Russia took close to 20,000 Ukrainian children from occupied territories and sent then to ‘camps’ in Crimea or Russia, where the authorities changed their names and nationalities and gave them to Russian families. Ukrainian children were forced to change their national identity. This is evidence of genocidal approach in Russia’s war activities.
The war has also devastated infrastructure and the economy. In my town, 30 km from Kyiv, the heating station was hit by 11 ballistic missiles, leaving us without electricity or water for a long time. It was very scary to stay at the apartment with my daughter and know that Russian ballistic missiles were flying over our house. Roughly 40 per cent of the economy was destroyed in 2022 alone, causing job losses at a time when the government spends over half its budget on the military. Civilians, including a record 70,000 women, have taken up arms.
Beyond the immediate human cost, the war is causing serious environmental damage, with weapons and missile debris polluting soil and water beyond national borders. Russia’s occupation of Zaporizhzhia, the largest nuclear power plant in Europe, poses a very real risk of a nuclear disaster for Ukraine and Europe as a whole.
How have Ukrainian women’s organisations responded?
Starting in 2014, we focused on advocacy, championing United Nations (UN) Security Council Resolution 1,325, which reaffirms the role of women in conflict prevention and resolution. The government adopted its National Action Plan on the implementation of the resolution in 2016. We formed local coalitions to implement this agenda, leading to reforms such as opening military roles to women, establishing policies to prevent sexual harassment, integrating gender equality in the training curriculum and gender mainstreaming as part of police reform.
Following the full-scale invasion, Ukrainian women’s civil society organisations (CSOs) shifted to providing immediate humanitarian relief, as survival became the top priority. Women’s CSOs began helping people, particularly those with disabilities, relocate to western Ukraine and providing direct aid to those who remained. As schools, hospitals and shelters for survivors of domestic violence were destroyed, women’s CSOs tried to fill the gap, providing food, hygiene packages and cash and improvising school lessons in metro tunnels.
People stood up and helped. In Kharkiv, which is located 30 km from the boarder with Russia, the local government created underground schools. It’s unbelievable that this happened in the 21st century and because of the aggression of a permanent member of the UN Security Council. Our children, women and men can’t sleep normally because every night there are missile and drone attacks.
In the second half of 2022, women’s CSOs and the government tried to refocus on long-term development. One of the first initiatives was to amend the National Action Plan on Women, Peace and Security to better address conflict-related sexual violence in both occupied and liberated areas. This was a much-needed response given the many reported cases of killing, rape and torture. This involved training law enforcement officers, prosecutors and other officials on how to document these crimes and properly communicate with survivors, who often blame themselves due to stigma surrounding the violence.
We have also reported Russia’s violations of the Geneva Conventions, particularly those concerning women, to UN human rights bodies.
Women’s groups are pushing for more donor support for psychological services to address trauma and helping plan for long-term recovery, aiming to rebuild damaged infrastructure and improve services to meet the needs of excluded groups. Some donors, like the Ukrainian Women’s Fund, have agreed to support the costs of mental recovery for women activists to help them restore their strength and support others.
How should women’s voices be integrated into recovery and peacebuilding efforts?
Women must have a real seat at the negotiation table. Genuine participation means not just counting the number of women involved but ensuring their voices are heard and their needs addressed. Unfortunately, the gender impacts of the war remain a secondary concern.
We have outlined at least 10 key areas where the gender impacts of the war should be discussed and prioritised in negotiations. However, it looks like these are being largely ignored in the current high-level negotiations between Russia and the USA. We heard that President Volodymyr Zelenskyy highlighted the importance of returning Ukrainian children when he met with Donald Trump. It’s highly important for the mothers and fathers of these children and for all Ukrainians.
Women’s CSOs are working to ensure all survivors can access justice and fair reparations, and that nobody forgets and excuses the war crimes committed. We urgently need accountability; peace cannot be achieved at the expense of truth. This is particularly important because the Council of Europe’s Register of Damage for Ukraine only accepts testimonies of war crimes that happened after the 2022 invasion, leaving out many survivors from crimes committed since 2014. We are working to amend this rule.
The international response should follow the principle of ‘nothing about us, without us’. International partners should collaborate directly with women-led CSOs, using trauma-informed approaches. For women affected by combat, loss or abduction, recovery must start with psychological support, and civil society can play a vital role in this process.
The effective implementation of Resolution 1,325 also requires reconstruction funds that incorporate a gender perspective throughout. Ukrainian women’s CSOs prepared a statement to highlight the importance of analysing the war’s impact on the implementation of the UN’s Beijing Platform for Action on gender equality and we used this as common message during the recent meeting of the UN Commission on the Status of Women.
Additionally, we believe it’s time to consider the successes and failures in implementation of Resolution 1,325 and its sister resolutions, because it’s 25 years since its adoption and the world is not safer.
We appreciate any platforms where we can speak about the experience of Ukraine and call for action to support Ukraine to help make a just and sustain peace in Europe and the world.
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