Diminishing incentives for coercion in criminal justice systems and examining ways to strengthen or effectively implement safeguards against torture and other ill-treatment were the focus of an event organized by the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR) and the international NGO Fair Trials in Bishkek on 27 November 2018. The event took place on the margins of the Seventh Expert Forum on Criminal Justice for Central Asia, co-organized by ODIHR and hosted by the Supreme Court of Kyrgyzstan.
Together with defence lawyers from Uzbekistan and Kazakhstan, an independent expert from Tajikistan and a police expert from the United Kingdom, participants discussed existing practices in the development of criminal cases and the role of coercion in confession-based criminal justice systems.
The participants noted that incentives to use coercive measures or torture can take the form of crime-solving quotas in the promotion and performance evaluation for law enforcement officials, investigative police officers, prosecutors or judges. Such incentives can also result from torture-tainted evidence being neither challenged nor excluded from criminal proceedings. The participants also highlighted the need to ensure that torture is not used to obtain confessions, and the need to address the issue of overreliance on confession evidence.
“In the field of torture prevention, traditionally, a strong focus is placed on the establishment and implementation in law and practice of procedural safeguards, as well as on the treatment of prisoners and conditions of detention,” said Stephanie Selg, ODIHR Adviser on Torture Prevention. “Much less has been said and done about why torture still happens and what the existing incentives are. These questions should be addressed to assist states in living up to their commitment to eradicating torture and other ill-treatment in the OSCE region.”
Jago Russell, Chief Executive of Fair Trials, said: “Coercion is fuelling a vision of criminal justice that is only focused on 'efficiency', creating a conveyor belt of criminal justice that does not respect human rights. Coercion can take numerous forms, beyond torture itself, and can include the abuse of plea-bargaining and pre-trial detention.”
Specific examples of how policing can work without coercion, for instance through investigative interviewing methods, were presented and discussed. The discussion included a consideration of promising legislative measures and reform practices from the Central Asian region and beyond.
Le manager général du club de football du CS Constantine, Tarek Arama, a déclaré dimanche, à deux jours du match qui devra opposer au stade du chahid Hamlaoui son équipe au FC Gamtel (Gambie) pour le compte de la manche aller du tour préliminaire de la Ligue des champions de la CAF, que « les joueurs sont déterminés à remporter la victoire, synonyme du retour en force du CSC ».
S’exprimant en marge de la troisième séance d’entraînement de l’équipe des Sanafirs dans le cadre de la préparation de cette rencontre, le premier responsable du club a assuré que « les joueurs du CSC sont déterminés à défendre de toutes leurs forces le maillot vert et noir afin d’honorer leur pays et prouver que leur équipe mérite de représenter l’Algérie sur la scène continentale ». « Durant le stage de préparation entamé samedi dernier à Constantine, nous avons focalisé notre travail sur la gestion de l’effort et du temps ainsi que la possession du ballon afin de priver notre adversaire du jeu, dominer la rencontre et tuer le match en première mi-temps », a fait savoir Arama. Il a également affirmé que la formation du champion en titre de la saison précédente entamera ce match en force en vue d’assurer la victoire qui nous permettra d’avoir une position confortable au match retour et qui servira également à redonner un deuxième souffle à l’équipe pour renouer avec la série des victoires au championnat de Ligue 1 Mobilis.
L’avant-dernière séance d’entraînement du CSC a été marquée par le retour du coach Abdelkader Amrani pour diriger la barre technique du club, après que la direction du CS Constantine ait refusé de le laisser partir à la demande des propriétaires du club qui ont insisté auprès du technicien tlemcénien de ne pas partir, a ajouté le même responsable. Le CS Constantine qui participe pour la deuxième fois de son histoire à cette compétition continentale, fera face à un club gambien ayant été à deux reprises le tenant du titre du championnat local, vainqueur de la coupe de la Gambie quatre fois consécutives et deux fois finaliste a-t-on souligné.
De son côté, l’entraîneur du Gamtel FC, Souleymane Kanté, a estimé que son équipe n’a pas eu assez de temps pour bien préparer cette rencontre, affirmant cependant s’être fait une idée du club constantinois et sur ses points faibles après avoir visionné ses deux derniers matchs. Le climat n’est pas très différent de celui de la Gambie, dit-il, ajoutant : ‘’nous avons programmé quatre séances d’entraînement dont la dernière aura lieu dans le stade où se déroulera la rencontre pour que nos joueurs s’adaptent’’, a informé le coach gambien. Il est à noter l’équipe du Gamtel FC, qui est arrivée, samedi, à Constantine avec une délégation de 29 membres, a été chaleureusement accueillie par les responsables du club constantinois à l’aéroport Mohamed Boudiaf avant de se rendre à l’hôtel El Khiam de la nouvelle ville Ali Mendjeli (commune d’El Khroub), où elle séjourne.
Il est à signaler qu’un trio arbitral de la Mauritanie a été désigné par la Confédération africaine de football (CAF) pour diriger cette rencontre, précisant que ce match sera officié par l’arbitre central Boubakeur Sar ainsi que les juges de touche Abderrahmane Ouar et Ismail Hamidou.
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CHISINAU, 27 November 2018 – The OSCE Representative on Freedom of the Media, Harlem Desir, is visiting Moldova from 27 to 30 November 2018. During the visit, he will meet the Speaker of Parliament Andrian Candu, Minister of Foreign Affairs and European Integration Tudor Ulianovschi, President of the Co-ordinating Council of Audiovisuals Dragoș Vicol, other political actors, the management of the National Public Broadcaster “Teleradio-Moldova”, as well as representatives of the media and media NGOs.
Desir will also speak at the award ceremony of the 2018 ADAMI Media Prize for Cultural Diversity in Eastern Europe, and address Moldovan media representatives during the annual Media Forum on 29 November.
During the visit to Moldova, Desir aims to receive first-hand information on the state policies on media freedom, to exchange views on the latest media freedom developments in the country, and to discuss areas where the Office of the OSCE Representative on Freedom of the Media can provide assistance.
As part his mandate, the OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in the 57 OSCE participating States and promotes full compliance with the Organization’s principles and commitments in respect of freedom of expression and free media.
On Friday, 30 November 2018, journalists are invited to a press conference with the OSCE Representative on Freedom of the Media, at 11:30 at the premises of the OSCE Mission to Moldova in Chisinau, 75 Alexei Mateevici Street.
IMPORTANT: Advance registration of media representatives for the press conference is mandatory. Media representatives should register by sending an e-mail with their name and the name of their media organization to MtMpress@osce.org by 17.00, Thursday, 29 November 2018.
Registered media representatives should present a valid press card and/or ID in order to attend the press conference.
For more information, please contact the Press Office of the OSCE Mission to Moldova, at +373 22 223 495 or e-mail: MtMpress@osce.org.
Auteur d’un but et d’une passe décisive, l’attaquant algérien Oussama Darfalou a été l’un des artisans de la victoire de Vitesse Arnhem sur la pelouse de Willem II (3-1), ce dimanche à l’occasion de la 13e journée de l’Eredvisie. L’ancien usmiste a servi d’une superbe talonnade le Slovène Bero à la 13e minute de jeu pour l’ouverture du score (1-0, 13’).
Auteur de trois buts toutes compétitions confondues avec les Jaune et Noir cette saison, Darfalou a doublé la mise à la 35e minute de jeu (2-0, 35’). Juste avant la pause, Linssen enfoncera le clou en inscrivant le troisième but des hommes du technicien russe Leonid Sloutski (3-0, 44’).
Devenu titulaire indiscutable, l’enfant de M’sila cèdera sa place à la 82e minute de jeu. La formation de Willem II qui reste sur une série de quatre matches sans victoire à domicile en championnat sauvera l’honneur en fin de rencontre grâce à l’Espagnol Fran Sol sur penalty (3-1, 87’). Au classement Vitesse occupe la septième place à… 21 points du leader l’Ajax.
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Les participants à un séminaire portant sur l’irrigation agricole et son développement ont mis l’accent, samedi, lors d’une rencontre à M’sila, sur la nécessaire extension à 60 000 hectares des surfaces irriguées dans la wilaya. Dans son allocution d’ouverture, au cours de cette rencontre organisée à la Maison de la culture Genfoud Hemlaoui, le wali, Hadj Mokdad, a précisé que des efforts sont consentis pour l’extension à 60 000 hectares des surfaces irriguées dans la wilaya, actuellement estimées à 41 000 hectares, rappelant qu’en l’an 2000, la wilaya ne disposait que de 20 000 hectares irrigués.
Le développement des superficies irriguées dans la wilaya a été concrétisé à travers la mobilisation des eaux superficielles et la réduction de l’utilisation des eaux souterraines, a ajouté le même responsable, rappelant que la wilaya de M’sila a réceptionné, durant les deux dernières années, le barrage de Sobla, dans la commune de Magra, réservé aussi bien pour l’alimentation en eau potable qu’à l’irrigation des terres agricoles. De son côté, le Directeur des services agricoles (DSA), Maâmar Herizi, a indiqué que la mobilisation des eaux superficielles de plus de 11 oueds, d’où des millions de mètres cubes d’eau sont déversés au chott El Hodna, est devenue «une obligation» pour diminuer l’utilisation des eaux souterraines dans le domaine de l’irrigation agricole, tout en mettant en avant les efforts déployés dans le soutien de la mobilisation des eaux superficielles à travers, notamment l’introduction des techniques modernes d’irrigation économe d’eau, à l’instar du système goutte à goutte et l’irrigation par aspersion. Il a, dans ce contexte, souligné l’apport des efforts orientés vers le développement des cultures protégées «peu consommables d’eau» dans l’économie des eaux souterraines.
Pour le responsable local du Haut-Commissariat de la steppe (HCDS), Aïssa Sahraoui, l’extension des surfaces irriguées en milieu des steppes se fait en deux mécanismes, dont le premier axe sur l’intensification des barrages pour l’orientation des crues vers les plaines qui permettent de développer les cultures des fourrages et des céréales, alors que le second consiste en l’exploitation du système d’épandage (déversement de poche d’eau de pluies dans une terre agricole).
Plusieurs communications liées au domaine de la promotion de l’irrigation agricole sont au programme du séminaire, qui s’étend sur deux jours, ont indiqué les organisateurs.
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La coalition progouvernementale sous commandement saoudien au Yémen a lancé dimanche, des raids aériens sur les lignes d’approvisionnement des rebelles aux alentours de la ville stratégique de Hodeida tenue par les Houthis, ont indiqué des responsables progouvernementaux, des insurgés et un habitant.
Ces raids, accompagnés d’échanges de tirs dans l’est de la ville portuaire, font suite à une visite sur place vendredi de l’émissaire de l’ONU, Martin Griffiths, qui a souhaité une trêve permanente à Hodeida avant les négociations de paix en Suède. Elles auront lieu début décembre selon les États-Unis. Les raids aériens ont pris pour cible des convois de renforts rebelles à l’entrée nord (bien nord) de la ville de Hodeida, ainsi que dans des zones situées à quelques kilomètres au sud de la cité, ont précisé des responsables des forces progouvernementales. Hodeida, dont le port est crucial pour l’entrée de l’aide humanitaire destinée aux populations de ce pays ravagé par la guerre, est située à l’ouest du Yémen, au bord de la mer Rouge.
Un habitant, contacté au téléphone, a également indiqué avoir entendu des échanges de tirs entre rebelles et forces du gouvernement dans les quartiers est de Hodeida. Un porte-parole des rebelles, Mohammed Abdessalam, a fait état dimanche, sur Twitter de «35 raids aériens durant les douze dernières heures sur Hodeida accompagnés de pilonnages à l’artillerie». Selon des sources progouvernementales et deux médecins opérant dans des hôpitaux, 26 rebelles ont été tués au cours des dernières 24 heures: 14 dans les affrontements dans l’est de la ville et 12 dans ceux ayant eu lieu au sud de Hodeida. Cinq membres des forces progouvernementales ont également trouvé la mort dans la ville au cours des dernières 24 heures, soit dans l’explosion de mines soit dans des affrontements, selon des sources loyalistes. Le port de Hodeida est vital pour l’acheminement de la quasi-totalité des importations et des aides au Yémen, pays au bord de la famine.
Selon l’ONU, 14 millions de personnes vivent en situation de pré-famine. Sous la pression internationale, une trêve dans les combats était globalement respectée depuis une dizaine de jours dans cette ville aux mains des Houthis et que les forces progouvernementales, appuyées par une coalition militaire sous commandement saoudien, tentent de reprendre depuis des mois au prix de combats meurtriers. Mais pour Mohammed Abdessalam, un porte-parole rebelle, «cette escalade (à Hodeida) détruit les efforts de l’émissaire de l’ONU». Pour Mohammed Ali al-Houthi, chef du Conseil révolutionnaire suprême des rebelles, les affrontements et les raids près de Hodeida sont «une insulte à l’émissaire de l’ONU». La guerre au Yémen a fait depuis 2015 quelque 10 000 morts et provoqué la pire crise humanitaire au monde selon l’ONU.
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Pas moins de 30 entreprises publiques et privées participent à la quatrième édition du Salon régional de l’emploi de Sétif, a indiqué le directeur général de l’Institut de Management, business international (MBI), Mohamed Yahiaoui, organisateur de cette manifestation.
La même source a affirmé, dans une déclaration à l’APS, en marge de l’ouverture de la 4e édition de ce Salon, de deux jours, abritée par la Maison de la culture «Houari Boumediène», que cet événement est une occasion de créer de nouveaux emplois et projets et d’échanger des idées dans le monde de l’emploi et l’entrepreneuriat. M. Yahiaoui a ajouté que cette édition a enregistré, au premier jour de son ouverture, la venue d’environ 1000 demandeurs d’emploi et porteurs d’idées au niveau des 30 stands des différentes entreprises économiques, proposant des postes d’emploi, à l’instar de l’entreprise «Safsar’’, le groupe «Khenfri», «SAC Ceram» et l’unité de ciment d’Aïn-Kebira relevant du complexe GICA, et Brandt.
L’objectif des organisateurs de la manifestation est d’arriver à placer 300 étudiants et décrocher 800 stages de formation au profit des jeunes dans divers domaines techniques tels que la mécanique, l’électricité, la maintenance industrielle, la programmation numérique de machines et autres spécialités retenues en fonction des exigences du marché du travail et de l’entrepreneuriat. De son côté, le responsable de l’agence de wilaya de l’emploi, Salah Eddine Maârcha, a affirmé à l’APS, que cette agence a enregistré durant la période comprise entre janvier et le 31 octobre 2018, pas moins de 36 901 demandes d’emploi contre 21 242 offres d’emploi, dont 76% dans le secteur privé, 15% dans secteur public et 9% émanant du secteur étranger, se soldant par le recrutement de 17 722 étudiants au cours de cette même période.
Au cours de cette manifestation, Rabiê Harkati, responsable de l’agence spécialisée emploi cadres supérieurs de Sétif, a révélé que ses services qui regroupent 11 wilayas, à savoir Sétif, Bordj Bou-Arréridj, Jijel, Béjaïa, M’sila, Batna, Mila, Khenchela, Constantine, Oum El-Bouaghi et Skikda, ont enregistré au 31 octobre de la même année, 607 demandes d’emploi cadres, contre 433 offres d’emploi et 374 placements au cours de la même période, alors que 59 offres d’emploi cadres sont en cours d’étude.
Ce Salon est organisé, à l’initiative de l’Institut de Management, business international de Sétif, en coordination avec le forum des chefs d’entreprises (antenne locale) et divers dispositifs de soutien à l’emploi (Anem, Cnac, Angem, Ansej), en plus de la présence de la Banque d’Algérie, le CPA et la CNEP, notamment, sous le slogan «Transformation numérique des entreprises».
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Au moins 22 policiers ont été tués dans une embuscade des talibans dans la très instable province de Farah, dans l’ouest de l’Afghanistan, a-t-on appris lundi, auprès de responsables locaux. «Vingt-deux corps et deux policiers blessés ont été emmenés à l’hôpital de Farah. Ils ont tous été tués dans l’embuscade», a déclaré le docteur Shir Ahmad Weda, qui dirige cet établissement. Les talibans ont revendiqué l’assaut, assurant avoir tué 25 policiers. «Quatre véhicules ont été détruits et une large quantité d’armes a été saisie», a déclaré Qari Yousuf Ahmadi, un porte-parole des insurgés, via la messagerie WhatsApp.
Le porte-parole de la police de Farah, Mohibullah Mohib, a de son côté fait état de 5 policiers tués et 7 blessés lors de l’attaque d’un convoi de police dans le district de Juwain. Les forces de sécurité afghanes sont enclines à minimiser leurs pertes, quand les talibans exagèrent au contraire celles qu’ils leur infligent. L’adjoint au chef de la police de Farah a été tué dans l’incident, a déclaré Shahla Abubaker, un membre du conseil provincial. Police et armée sont régulièrement acculées par les talibans dans la province de Farah, frontalière de l’Iran, où la culture du pavot est répandue et qui a été le théâtre d’intenses combats ces dernières années. Les rebelles ont essayé à trois reprises de s’emparer de Farah, la capitale provinciale éponyme, en 2017, selon le réseau d’analystes Afghanistan Analysts Network. Ils ont tenté à nouveau en mai dernier, avant que des frappes afghanes et américaines ne les contraignent à reculer.
Le contrôle du gouvernement de Kaboul sur le territoire afghan est tombé à son plus bas niveau depuis trois ans ces derniers mois, alors que les services de sécurité subissaient des pertes record, selon un rapport récent de l’Inspecteur général pour la reconstruction de l’Afghanistan (Sigar), une entité publique américaine. Cette intensification des combats se produit alors que les talibans ont donné des signes de vouloir négocier. L’envoyé spécial américain Zalmay Khalilzad a dernièrement indiqué qu’il espérait qu’un accord de paix sera signé avant la prochaine présidentielle, prévue le 20 avril. Cette élection pourrait toutefois être reportée de trois mois, a annoncé lundi ,la Commission électorale indépendante (IEC), organisatrice du scrutin, et la Commission de vérification électorale (ECC). Depuis le début de l’année 2015, quand les forces afghanes ont pris le relais des troupes de combat de l’Otan dirigées par les États-Unis, près de 30 000 soldats et policiers afghans ont été tués, a révélé ce mois-ci le président Ashraf Ghani.
Un chiffre qui équivaut à 20 morts par jour, beaucoup plus élevé que tout ce qui avait été reconnu jusqu’ici.
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The OSCE Mission to Montenegro organized three workshops aiming to strengthen the capacity of parliamentary committees in maintaining inclusiveness, upholding international standards, communicating with media, citizens and civil society, as well as in improving co-operation with independent state institutions on 5, 19 and 26 November 2018 in Podgorica.
“These workshops are a continuation of the work that we have done together with Montenegro’s parliament, focusing on issues of great importance to democratic life,” said Lia Magnaguagno, Programme Manager at the OSCE Mission to Montenegro, addressing the participants. “They are not meant to be a lecture, but rather a discussion and an opportunity to share experiences with the aim to help you further reflect on your work, and to give you useful ideas and suggestions.”
The first workshop gathered more than 15 participants from the parliament and parliamentary committees, including several MPs whose discussions focused on achieving stronger parliamentary legitimacy through inclusiveness and international standards. Experts from Albania and Croatia presented the challenges they faced and the achievements accomplished in applying international standards.
During the second workshop, experts presented tools that can be utilized in improving communication with citizens, media and civil society. They shared their views on some of the best practices when communicating with the public, and referred to some of the challenges that they encountered in their day-to-day work.
The third workshop focused on Parliament’s co-operation with independent state institutions, and formal and informal approaches to the parliament’s oversight function, one of the cornerstones of democracy.
The OSCE Mission to Montenegro remains committed to improving the capacity of parliamentary committees through expert assessments and tailored workshops, with the ultimate aim of enhancing the effectiveness of the parliament.
Devant les colonnes corinthiennes du théâtre romain de Bosra, dans le sud de la Syrie, des dizaines de jeunes posent pour une photo de groupe. Inscrit par l’Unesco sur sa liste du patrimoine mondial en péril, le site a survécu aux combats.
Pour prendre part à une visite de Bosra, organisée par une petite association syrienne sous le patronage du ministère du Tourisme, certains des 150 participants ont parcouru des centaines de kilomètres, à l’instar du jeune Abdel Aziz, venu d’Alep, la grande métropole du Nord. Perché tout en haut des gradins de pierre de ce théâtre datant du IIe siècle, l’étudiant de 23 ans ne cache pas sa stupéfaction. «Je m’attendais à le trouver détruit, mais il a échappé à cette guerre impitoyable», lance-t-il. Depuis plus de sept ans, la Syrie est déchirée par une guerre qui a fait plus de 360 000 morts et contraint des millions de personnes à l’exil. Le sud du pays où se trouve le théâtre de Bosra n’a pas échappé aux violences. Au terme d’une offensive militaire meurtrière et d’accords de reddition imposés aux rebelles, le pouvoir du président Bachar al-Assad a reconquis en juillet des zones qui étaient tombés dès 2012 aux mains des insurgés opposés à son pouvoir. Même si le théâtre a survécu, les affrontements ont laissé des traces. Une partie des gradins semi-circulaires s’est écroulée. Des impacts de balles sont visibles sur l’imposant mur de scène, haut de plusieurs mètres, ainsi que sur les élégantes colonnes blanches coiffées de chapiteaux corinthiens. «Le pourcentage des dégâts dans le théâtre ne dépasse pas les trois à cinq pour cent», assure toutefois le président du conseil local de la ville de Bosra, Wafi al-Douss.
«Icône» du sud
L’ancienne ville de Bosra, célèbre aussi pour ses ruines byzantines, ses églises chrétiennes, ses mosquées et madrasas (établissement islamique d’enseignement) historiques, fait partie des six sites antiques de Syrie classés en 2013 par l’Unesco sur la liste du patrimoine mondial en danger. «Le théâtre romain, bâti probablement sous l’empereur Trajan, avait ensuite été intégré à des fortifications plus tardives pour créer une puissante citadelle gardant la route de Damas», rappelle l’organisation onusienne. Avant le début du conflit en 2011, le théâtre accueillait un prestigieux festival de musique, auquel la diva libanaise Fairouz avait participé. En 2004, l’orchestre philharmonique de la Scala de Milan y avait donné une représentation devant
4 000 spectateurs. Les autorités ambitionnent d’effacer les traces de la guerre, mais aussi de faire revivre le festival, assure à l’AFP M. al-Douss. «Bosra, c’est l’icône du Houran», lance-t-il avec enthousiasme, utilisant le nom traditionnellement donné au sud syrien, devant les visiteurs prenant part à l’excursion organisée par la «Société syrienne d’exploration et de documentation». Les participants déambulent dans les gradins et se prennent en photo, tenant à la main un petit drapeau syrien.
Tourisme asséché
En 2010, le secteur touristique avait engrangé quatre milliards de dollars (3,5 milliards d’euros) de revenus, et représentait la deuxième source de devises étrangères du pays, derrière les exportations pétrolières, selon le Fonds monétaire international (FMI). Avec la guerre, cette manne s’est «totalement asséchée», selon la même source. Et tout au long du conflit, plusieurs sites archéologiques ont souffert de pillages et de destructions. En 2015, le groupe Etat islamique (EI) avait ainsi saccagé Palmyre, la «perle du désert», un site antique de plus de 2.000 ans inscrit par l’Unesco au patrimoine mondial de l’humanité. Palmyre, mais aussi la vieille ville d’Alep et le château du Crac des chevaliers, font notamment partie des sites classés en danger par l’Unesco. A Bosra, Manal est venue avec sa petite fille de sept mois, Arij: «On ne peut pas voyager à l’étranger, c’est pas grave, on va faire du tourisme en Syrie».
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Új hatalmi tömb kialakítását célozta meg az Egyesült Államok a Közel-Keleten: a szövetséget mint szunnita politikai és katonai közösséget határozzák meg, a Fehér Házban csak az arab NATO-ként emlegetik.
2017-ben Donald Trump, amerikai elnök Szaúd-Arábiában tett látogatása alkalmával került napirendre egy együttműködési tervezet, mely főként az Öböl-menti monarchiákat, első sorban az Öböl Menti Együttműködési Tanács országait; Szaúd-Arábiát, Kuvaitot, Bahreint, Katart, az Egyesült Arab Emírségeket és Ománt tömörítené. Helyet kapna még Jordánia és Egyiptom is, mely Washington egyik legközelebbi szövetségese a térségben. A Fehér Ház elsődleges célja a szövetségi rendszer létrehozásával a Közel-Kelet stabilitásának megteremtése, valamint a térségben kialakult konfliktusokra való gyors reagálás. Az elképzelés nem újkeletű, korábban az Obama-adminisztráció is próbált lépéseket tenni az irányba, hogy egy érdeközösségbe tömörítse az Öböl-menti partnereit. A jelenlegi törekvés mellett érvként áll az amerikai elnök “America first” politikája, így az Egyesült Államok minimalizálná a katonai beavatkozásokat a régióban, viszont nem adná fel pozícióit, mitöbb, megerősítené azt, hiszen egy hozzá szorosan kapcsolódó védelmi szövetségen keresztül fenn tudná tartani a befolyását.
Szunnita államok, de ki ellen?
Az elmúlt időszakban Szaúd-Arábia katonai és politikai vállalkozásai a kudarc irányába mutatnak, jelentősen meggyengült Rijád hatásköre és befolyása Irakban, Libanonban, és Szíriában is, csak mint másodvonalbeli aktor tud beleszólni a folyamatokba. A már közel három éve kialakult jemeni konflktusban is csupán a katonai kiadásait növelte, stratégiai előrelépést nem tudott felmutatni. Politikai befolyásának csökkenése mögött komoly szerepet játszik a teheráni vezetés aktivitása, egyes vélemények szerint Irán Teherán mellett négy fővárosra terjesztette ki befolyását: Bagdadra, Damaszkuszra, Bejrútra és Szanaára. Irán ugyan nem minden gócponton avatkozik be közvetlenül a lokális folyamatokba, viszont igen komoly támogatást nyújt anyagilag és katonailag a hozzá közeli, főként síita összetétetlű miliciáknak. Ez kulcstényező nemcsak a kibontakozott konfliktusban, de az amerikai törekvésekben is, hiszen a szunnita egység révén a síita expanziós tervekkel szemben határozzák meg a tervezett szövetséget. Mindemelett komoly szerepe van a kőolajkereskedelemnek is; 2018 nyarának végén Irán jelentős csapatösszevonást hajtott végre a Hormuzi-szorosnál, ezzel egyidőben pedig Jemenben is sikerült az általa támogatott húszi lázadóknak az ellenőrzésük alá vonni a Báb-el-Mandeb-szorost a Vörös-tenger kijáratánál, ahol a világ kőolajexportjának jelentős részét bonyolítják. Ekkorra több híradás Roháni elnököt a szorosok uraként nevezte meg.
Az iráni terjeszkedésre mind Szaúd-Arábia, mind Bahrein aggodalommal tekint, amellyel fel kell venni a harcot. A szaúdi és a bahreini külügyminiszterek Manámában tartott védelmi értekezleten hangsúlyozták, hogy az Öböl-menti országoknak kulcsszerepük van a térség biztonságának és stabilitásának a fenntartásában. A szaúdi külügyminiszter Teherán politikáját a “sötétség víziójának” nevezte, mely a vallási ellentéteket kihasználva próbál előretörni. Mint kifejtette, nem az a kérdés, hogy legyőzhető-e Irán, hanem az, hogy hogyan, mivel. “A fény mindig diadalmaskodik a sötétségen”, fogalmazott a külügyminiszter.
Mohammed bin Salman és Donld Trump. Forrás: AlJazeera.Közel-keleti Stratégiai Szövetség
A kialakítás előtt álló politikai együttműködés Közel-keleti Stratégiai Szövetség néven került a tárgyaló felek elé; azonban számos kérdést és akadályt vet fel a megállapodás. Az egyik fő kérdés, hogy képesek lesznek-e a társuló államok katonailag erőt felmutatni a teheráni vezetéssel szemben. Ennek a kérdésnek a megalapozottsága a jemeni konfliktus eseménytörténetében keresendő, ahol egy jóval erősebb reguláris hadsereget fel tud tartóztatni egy sokkal kisebb, Irán által támogatott katonai szervezet. A másik kérdéskör, mely – annak ellenére, hogy a közvélemény már rég elfelejtette – komoly gátat szabhat a szövetségnek, a korábban Katar körül kialakult válság. Katar ugyan tagja az Öböl Menti Együttműködési Tanácsnak, de a szomszédos monarchiák blokád alá vonták a sivatagi királyságot, a globális terrorizmus támogatásával vádolva a dohai vezetést. Végül külön kategóriát jelent Törökország helyzete, mely NATO-tag, így Amerika közvetlen szövetségese a térségben, azonban szíriai ambíciói egyedi megítélésbe helyezik.
A fenti nehézségeket figyelembe véve az együttműködési terv létrejötte egy elhúzódó folyamat kezdetének tűnik, melynek megvalósulása azonban igen távolinak látszik.
Vingt-trois (23) films seront projetés lors de la 1ère édition des journées nationales du court métrage amateur à Bouira, qui a débuté dimanche à la maison de la culture Ali Zaâmoum et qui s’étalera jusqu’à mardi prochain, a indiqué la directrice de la maison de la culture.
«Il y’a 23 films qui seront projetés lors de ces journées nationales du court métrage et une récompense sera remise au premier meilleur film court métrage amateur», a expliqué Saliha Cherbi à l’APS, précisant que Bouira est présente avec 11 films qui devront être projetés lors de ces journées. Mme Cherbi a déclaré que 12 wilaya sont également présentes à cet évènement, dont l’objectif est d’encourager notamment les échanges de connaissances dans le domaine du septième art entre les différents acteurs et réalisateurs. « Il s’agit d’une occasion pour eux d’échanger des idées, des projets, en vue de booster la production du film court métrage », a-t-elle dit. « Une enveloppe financière de 100 000 dinars ainsi qu’un cadeau symbolique seront remis à l’auteur du meilleur film.
Des montants de 50 000 et 30 000 dinars seront aussi décernés au deuxième et au troisième films », a fait savoir la responsable. Selon les détails fournis par Mme Cherbi, un jury procèdera à la sélection des trois vainqueurs . Un vibrant hommage sera rendu au réalisateur Larbi Rachid, connu pour ses films notamment celui « El-Maâssara » réalisé en 1986 et par lequel il a pu récolter quatre titres d’encouragement au niveau national, a relevé Mme Cherbi. « La majorité des films court métrage qui seront projetés à cette occasion racontent en général les souffrances qu’endure la jeunesse algérienne », a encore expliqué la même responsable, qui a donné le coup d’envoi officiel de cette manifestation culturelle en présence des autorités locales de la wilaya.
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