Un kiosque de transfert d'argent et de vente de produits des réseaux GSM a été braqué par deux individus ce vendredi 8 mars à Abomey-Calavi.
Deux braqueurs sont entrés dans un kiosque de transfert d'argent et de vente de produits des réseaux GSM sis à quelques encablures du carrefour Aïcthédji dans la commune d'Abomey-Calavi ce vendredi 8 mars 2024. Les délinquants munis d'armes de fabrication artisanale ont pris des objets dans le kiosque avant de prendre la fuite.
Mais l'un des deux braqueurs a été rattrapé à l'issue d'une course-poursuite. Celui-ci a été conduit au commissariat où des objets volés dans le kiosque ont été récupérés.
Une enquête a été ouverte pour rattraper le deuxième braqueur
M. M.
Le MED'IA BENIN, un programme de formation du Regroupement des Promoteurs et Professionnels des Médias Digitaux du Bénin (REPROMED-Bénin) à l'endroit des promoteurs et professionnels des médias digitaux sur l'intelligence artificielle (IA), a démarré samedi 02 mars 2024. Le lancement officiel a lieu à la maison des médias de Cotonou en présence de Gamaï Léonce Davodoun, président du REPROMED-Bénin, et Zakiath Latoundji, présidente l'Union des Professionnels des Médias du Bénin (UPMB).
Dans un contexte marqué par le numérique et le digital, aucun secteur d'activités n'échappe à l'intelligence artificielle. Dans le secteur des médias, l'IA apparaît à la fois comme une opportunité et une menace, exposant la profession du journalisme en ligne à des enjeux et à des défis. Pour relever ces défis, le REPROMED-Bénin a initié MED'IA BENIN. L'atelier inaugural a lieu samedi 02 mars 2024 à la Maison des Médias de Cotonou sur le thème « L'Intelligence artificielle dans le journalisme : implications et innovations ». Une vingtaine de professionnels des médias en ligne (Web Tv, Web radio et Web journaux) ont pris part à la formation animée par Paul Arnaud Deguenon, Directeur Général de Benin Web TV. Occasion pour eux, de comprendre l'écosystème de l'IA et d'en apprendre sur quelques usages possibles dans le travail journalistique.
Le but visé à travers le MED'IA BENIN selon Gamaï Léonce Davodoun, est de « créer des creusets de réflexions et d'échanges entre acteurs des médias sur les problématiques, enjeux et défis liés à l'IA dans le journalisme, d'une part, et à renforcer les capacités des professionnels des médias sur les usages de l'IA dans le journalisme, d'autre part ».
Pour la présidente de l'UPMB, « l'IA est une innovation ». Elle a exhorté les professionnels de la presse en ligne à chercher à dénicher les opportunités qu'elle cache pour le métier, afin de s'adapter et devenir des journalistes de type nouveau.
Le REPROMED-Bénin après cette formation inaugurale, prévoit une série d'ateliers, de séminaires et de webinaires pour faciliter une meilleure maîtrise de l'IA dans le journalisme.
Un militaire béninois du service de renseignements a comparu jeudi 07 mars 2024 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). On reproche à l'homme en uniforme d'avoir protégé un présumé terroriste à Karimama, dans le département de l'Alibori, contre de l'argent.
Un militaire en service à Karimama dans le cadre de sa mission de renseignements est accusé d'avoir demandé la somme de 01 million de francs CFA à un éleveur, présumé terroriste afin de le protéger. La CRIET a examiné le dossier ce jeudi 07 mars 2024. Un chef de village et un éleveur sont également poursuivis pour « dénonciation calomnieuse ». L'agent de renseignement quant à lui est poursuivi pour abus de fonction.
A la barre ce jeudi 7 mars, l'homme en uniforme a rejeté les accusations portées sur sa personne. Il déclare n'avoir pas pris de l'argent pour quoi que ce soit ; et se serait juste consacré à sa mission. Celle de se renseigner sur la présence des terroristes dans la localité. Mais il sera confondu dans ses déclarations par le chef du village. Ce dernier a déclaré devant la Cour que l'éleveur en cause dans l'affaire l'aurait informé de ce que le militaire lui a pris une somme de 400.000 francs CFA.
Le juge après cette audience, a renvoyé le dossier au 21 mars 2024 pour les réquisitions et les plaidoiries.
Le Conseil des Investisseurs du Bénin (CIPB) a édité un livre sur ‘'La motivation et l'engagement des personnels dans l'administration publique et les entreprises privées au Bénin''. Le livre a été officiellement lancé, jeudi 7 mars 2024 à Cotonou, en présence du Ministre du travail et de la fonction publique ainsi que de plusieurs autres personnalités.
‘'La motivation et l'engagement des personnels dans l'administration publique et les entreprises privées au Bénin''. C'est le titre de l'ouvrage de 180 pages rédigé sous la direction du professeur Dodji Amouzouvi et Dr Comlan Fagnibo.
Le livre, une étude commissionnée par le Conseil des Investisseurs du Bénin (CIPB), présente le « diagnostic de nos mentalités pour en tirer des pistes visant à corriger les attitudes les plus contre-productives ». L'objectif est d'adapter le mental des Béninois aux défis qui les attendent car le capital ne peut être investi intelligemment sans le ‘'mental''.
« C'est le mental du Japonais ; du Sud-coréen ; du Chinois de Malaisie et de Thaïlande qui explique l'extraordinaire croissance de leur pays respectif », a expliqué Roland Riboux, le président du Conseil des Investisseurs du Bénin (CIPB), au lancement de l'ouvrage le jeudi 7 mars 2024.
L'état des lieux présente plusieurs facteurs qui structurent le corpus des valeurs béninoises. « Ces facteurs incluent le modèle familial, l'éducation, la traite négrière, le ressenti de la colonisation, le choc de la période marxiste et la persistance du laxisme dans l'administration malgré les différentes réformes ». Une proposition de solution à trois composantes a été faite par les auteurs du livre pour inverser la tendance. Il s'agit de la création d'un cadre institutionnel, la promotion de valeurs éthiques, la mise en place d'espace de communication.
Le professeur Dodji Amouzouvi propose d'agir sur le long terme pour changer les attitudes. Il suggère de diffuser de « nouvelles façons d'être béninois ».
Un livre d' « actualité » dont le contenu « pertinent » laisse voir à travers un grand miroir des réalités, a commenté Thanguy Agoï dans sa présentation sur ‘'La motivation et l'engagement des personnels dans l'administration publique et les entreprises privées au Bénin''.
Contribution au développement socio-économique
Le ministre du travail et de la fonction publique a estimé pertinentes les conclusions du livre selon lesquelles « le développement d'un pays ne dépend pas vraiment de l'abondance de ses ressources en matière première, mais plutôt du mental de son peuple ».
« (…) Nous voulons saluer l'initiative de l'édition de cet ouvrage qui a mis en lumière l'épineuse question de la motivation et de l'engagement du personnel au travail tant dans l'administration publique et dans le secteur privé », a ajouté le ministre.
Adidjatou Mathys a félicité le CIPB et son président Roland Riboux pour leur « riche et exaltante contribution au développement socio-économique de notre pays, le bénin depuis 1996 jusqu'à ce jour ».
M. M.
Binance, la plus grande plateforme d'échange de cryptomonnaies au monde en termes de volume de transactions, a annoncé l'arrêt de tous les services utilisant le naira, la monnaie nigériane. C'est ce que rapporte le portail Crypto News.
À partir du 5 mars, tous les soldes en naira restants sur les comptes des utilisateurs de Binance seront automatiquement convertis en stablecoin USDT, a indiqué la plateforme dans un communiqué. En outre, Binance cessera complètement de soutenir le naira dans les opérations au comptant, P2P, Auto Invest et Binance Pay.
En février, les autorités nigérianes se sont inquiétées de l'impact négatif des échanges de cryptomonnaies sur la monnaie nationale et l'économie du pays dans son ensemble. Le gouvernement a ordonné aux entreprises de télécommunications de bloquer l'accès à plusieurs plateformes, dont Binance, Coinbase et Kraken.
Deux responsables de Binance, qui se sont rendus au Nigeria pour tenter de résoudre les problèmes, ont été détenus par des agents de sécurité pour un interrogatoire sur la réglementation du marché des devises, note la publication. Les autorités nigérianes ont par ailleurs exigé de Binance une compensation de 10 milliards de dollars pour avoir manipulé le taux de change du naira. De son côté, la commission parlementaire contre les délits économiques et financiers a exigé que le PDG de Binance, Richard Teng, se présente devant elle au plus tard le 4 mars pour témoigner sur des allégations de financement du terrorisme et de blanchiment d'argent.
TASS
Alors que le Ramadan 2024 approche à grands pas, la communauté musulmane de France se prépare à observer un mois de jeûne, de prière et […]
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Sous l’égide de la direction de la Résidence Universitaire Hassiba Ben Bouali et en collaboration avec la Direction des Services Universitaires, un nouvel espace voit […]
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IPI together with the Atlantic Council and the Malala Fund cohosted a high-level panel discussion on March 8th, addressing the deteriorating rights of girls, women, and individuals of diverse sexual orientations and gender identities in Afghanistan while also highlighting ongoing efforts to ensure justice and accountability for these abuses—in particular, the momentum around efforts to recognize and codify the crime of gender apartheid. This event was co-sponsored by the Global Justice Center, Rawadari, Georgetown Institute of Women, Peace & Security, Malta, and Mexico.
Since the Taliban took over Afghanistan in August 2021, they have implemented a range of laws, policies, and practices that systematically oppress women, girls, and LGBTQI+ persons, including 85 decrees focused on curtailing girls’ and women’s rights. Under an increasingly entrenched, institutionalized legal system that curtails freedom, stifles potential, and erodes dignity, victims and survivors have endured and resisted. Reflecting on the lived experiences of Afghan women, girls, and LGBTQI+ persons, the event promoted discussion on avenues for accountability for the crimes being perpetrated. One such avenue is the codification of the crime of gender apartheid under international and domestic law.
At the event, the Atlantic Council’s South Asia Center publicly launched its initiative “Inside Afghanistan’s Gender Apartheid,” an interactive audio timeline that allows listeners to hear directly from Afghan women and girls about the profound and harrowing impacts of the escalating gender apartheid in Afghanistan.
Full coverage of the event is forthcoming.
Opening/Closing Remarks:
Zeid Ra’ad Al Hussein, President and Chief Executive Officer, International Peace Institute
H.E. Vanessa Frazier, Permanent Representative of the Republic of Malta to the UN
H.E. Alicia Buenrostro Massieu, Deputy Permanent Representative of Mexico to the UN
Speakers:
Malala Yousafzai, Nobel Peace Laureate
Nayera Kohistani, Afghan Activist and Expert
Penelope Andrews, John Marshall Harlan II Professor of Law & Director, Racial Justice Project, New York Law School
Dorothy Estrada-Tanck, Chair, UN Working Group on Discrimination against Women and Girls
Moderator:
Jomana Karadsheh, International Correspondent, CNN