La production de poissons pélagiques, à Boumerdès, a enregistré une « amélioration» durant les huit premiers mois de 2019, estimée à prés de 21% comparativement à la même période de 2018, ayant induit une fluctuation dans les cours de ce produit, a-t-on appris dimanche, du directeur de la pêche et de l’aquaculture de la wilaya. […]
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La contestation dans le cycle primaire est en train de s’accentuer. Après la grève organisée lundi passé, les enseignants de ce palier de l’Éducation observent aujourd’hui une autre action et en réponse, cette fois, à l’appel de l’Union nationale du personnel de l’éducation et de la formation (Unpef). Alors que les élèves restent les grands […]
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(B2) L’Alliance atlantique a connu des crises, graves, dans le passé. Ce qui se passe aujourd’hui avec l’offensive turque non concertée dans le nord-est de la Syrie est hors de proportion
Une rupture politique et militaire au sein de l’Alliance
Qu’un pays membre de l’OTAN (Turquie), avec le consentement d’un autre (USA) — tous deux membres principaux de l’Alliance — interviennent dans une zone sensible, désorganisant la stratégie patiemment construite par les Alliés dans la zone, est assez extraordinaire. Que cela se fasse sans aucun délai ni discussion préalable entre les Alliés, en particulier ceux présents sur le terrain au sein de la coalition contre Daech est encore plus étonnant. Rajoutez à cela des Américains, dont la ligne politique est difficile à cerner et erratique (1). Et vous avez un cocktail inédit qui suscite bien des interrogations sur la fiabilité de l’Alliance.
Rendre les armes à la Russie : quel paradoxe
Le premier résultat de cette intervention est d’ores-et-déjà visible. Le seul interlocuteur international valable dans la zone, au niveau politique comme militaire, devient Moscou. Les USA ont ainsi réussi à placer la Russie, l’ennemi héréditaire, la raison d’être de l’OTAN, dans une position incontournable tant au plan politique que militaire, sur un de ses principaux champs d’action : le Moyen-Orient et le Golfe. Vladimir Poutine peut se réjouir. Il n’a plus besoin de manœuvrer. En désertant le champ de bataille, les Alliés lui offrent la victoire sans combattre. Magnifique. Un retrait tactique = une défaite stratégique.
Un sabordage politique
Le second effet de l’intervention est plus imperceptible. La colère gronde dans les cercles feutrés de l’organisation euro-atlantique. Cette action constitue, en effet, une brèche au concept même de l’Alliance qui s’affirme comme une entité politique, solide, organisée, indestructible. Sa crédibilité est en jeu, au niveau européen comme mondial. Les questions qui se posent sont fondamentales. A quoi sert de montrer ses muscles à la Russie si on facilite son action aux portes de l’Europe ? Qui pourra faire confiance demain à des alliés qui tournent casaque du jour au lendemain ? Les Alliés eux-mêmes seront-ils prêts à suivre les yeux fermés les Américains demain dans une coalition ? (2). L’OTAN ne va-t-elle pas être contrainte de se replier sur sa zone historique : l’Europe ? L’organisation n’est-elle pas condamnée en fait à errer sans but politique, comme un coq à qui on aurait coupé la tête ?
Une réflexion interne nécessaire
Dire que « l’OTAN est morte » comme le proclame l’ancien conseiller de François Mitterrand Jacques Attalli, c’est aller vite en besogne. La force d’attraction et d’inertie de l’organisation euro-atlantique demeure car elle n’a pas d’équivalent ni de remplaçant. Mais ce qui est sûr c’est qu’en quelques jours, les États-Unis et la Turquie ont effacé les gains occidentaux depuis la chute du mur en 1989, mettant en évidence les faiblesses et la friabilité de l’Alliance. Les Européens vont devoir, très vite, réfléchir à ce qu’ils veulent faire. Sont-ils prêts à investir l’OTAN pour en faire ‘leur’ organisation ? Sont-ils prêts à se doter, en parallèle, eux-mêmes de certains instruments de puissance, au moins au plan politique ? Ce n’est pas gagné…
(Nicolas Gros-Verheyde)
Une singulière différence avec la crise de 2003
L’OTAN n’en est pas à sa première crise importante. Elle avait vécu une crise similaire à l’été 1974 avec le coup d’état grec à Chypre, suivie de l’intervention militaire turque (3). Mais cela semble si loin : presqu’un demi-siècle. La crise de 2003 est plus récente, quand les USA et une partie des alliés sont partis en Irak détruire le régime de Saddam Hussein et qu’une autre partie emmenés par les franco-allemands ont refusé. Un véritable schisme. Entre Alliés, les mots étaient durs. La bataille était rude, mais sur le plan politique et diplomatique. Il n’y avait pas un pays de l’Alliance qui combattait l’autre indirectement sur le terrain. Français et Allemand avaient simplement refusé de participer à une action militaire qu’ils jugeaient contraire au droit international et à leurs intérêts. Ils ne s’étaient pas alors rangés militairement du côté de Saddam…
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L’Algérie célèbre, aujourd‘hui, le 65eme anniversaire de la réunion des 6 dirigeants historiques organisée en 1954 au cours de laquelle la date du 1er novembre a été retenue pour le déclenchement de la glorieuse Guerre de Libération nationale. Cette célébration se tient cette année dans une conjoncture toutefois particulière, faut-il le noter, marquée par un […]
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David Kaye Credit: UN
By David Kaye
NEW YORK, Oct 23 2019 (IPS)
The prevalence of online hate poses challenges to everyone, first and foremost the marginalised individuals who are its principal targets. Unfortunately, States and companies are failing to prevent ‘hate speech’ from becoming the next ‘fake news’, an ambiguous and politicised term subject to governmental abuse and company discretion.
Online hate is no less harmful because it is online. To the contrary, online hate, with the speed and reach of its dissemination, can incite grave offline harm and nearly always aims to silence others. The question is not whether to address such abuse. It is how to do so in a way that respects the rights everyone enjoys.
States must meet their obligations by turning to key human rights treaties and the leading interpretations of human rights law by the Human Rights Committee and the 2013 Rabat Plan of Action.
Of particular concern is about governments that use ‘hate speech’ to restrict legitimate expression under the guise of ‘blasphemy’ or fail to define and enforce ‘hate speech’ rules according to human rights law’s rigorous standards of legality, necessity and proportionality, and legitimacy.
Governments and the public have legitimate concerns about online hate, but new laws that impose liability on companies are failing basic standards, increasing the power of those same private actors over public norms, and risk undermining free expression and public accountability.
Companies likewise are not taking seriously their responsibilities to respect human rights. It is on their platforms where hateful content spreads, spurred on by a business model and algorithmic tools that value attention and virality. They have massive impact on human rights and yet all fail to articulate policies rooted in human rights law, as the UN Guiding Principles on Business and Human Rights call upon them to do.
The report provides companies with a roadmap for tackling online hate according to basic principles of human rights law. It especially highlights the absence of human rights impact assessments at all stages of product development, the vagueness of company rules, and the lack of transparency of company processes.
https://www.ohchr.org/EN/Issues/FreedomOpinion/Pages/Annual.aspx
The human rights community has had a long-term conversation with social media and other companies in the Internet economy, and yet the companies remain stubbornly committed to policies that fail to articulate their actions according to basic norms of human rights law, from freedom of expression and privacy to prohibitions of discrimination, incitement to violence, and promotion of public participation.
The companies’ failure to recognise their power and impact, and to value shareholders over public interest, must end immediately. This report gives the companies the tools to change course.
The Special Rapporteurs and Working Groups are part of what is known as the Special Procedures of the Human Rights Council. Special Procedures, the largest body of independent experts in the UN Human Rights system, is the general name of the Council’s independent fact-finding and monitoring mechanisms that address either specific country situations or thematic issues in all parts of the world. Special Procedures experts work on a voluntary basis; they are not UN staff and do not receive a salary for their work. They are independent from any government or organisation and serve in their individual capacity.
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Excerpt:
David Kaye is the UN Special Rapporteur on Freedom of Opinion and Expression
In a landmark report that reinforces legal standards to combat online hate, the UN’s monitor for freedom of expression calls on governments and companies to move away from standardless policies and inconsistent enforcement, and to align their laws and practices against ‘hate speech’ with international human rights law.
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«Le livre, un continent» est le slogan choisi pour la 24ème édition du Salon international du livre d’Alger (SILA). Cet événement livresque aura lieu du 31 octobre au 9 novembre 2019 au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex-Alger). Selon le programme, quelque 1030 maisons d’édition dont près de 300 algériennes exposant près de 183 […]
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Procès de cinq détenus d’opinion: Ider Ali, Boudjemil Mohand, Karoune Hamza, Belakhal Kamal , Okbi Akli se tient en ce moment au tribunal de Bab El Oued, Bainem, rapporte le média en ligne Inter-lignes Algérie. Une dizaine d’avocat assureront la défense des détenus, et le procès se déroulera avec la présence des familles des détenus. […]
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Cet article (B2 Pro) Carnet (23.10.2019). Confidentiels (COPS. Combattants étrangers. Double usage). PESC (Rapport annuel PSDC. Sanctions. Palestine). Offensive turque en Syrie (Embargo et OTAN. Zone de sécurité AKK. Droit international Maas, Langström. Russie van den Voorde). Défense (France patrouilleur Antilles. Typhoon nouvelle génération. Finlande garde-côtes). Diplomatie (ONU : Conseil des droits de l’Homme, First Committee. Sondland mis en cause. Bolivie élections). Aides (Libye). Sécurité (Lituanie désinformation. Croatie Schengen. Roumanie-Bulgarie MCV. Trafic de migrants Europol). Brexit (Chambre des Communes. Conseil européen. Parlement européen. Task-force). Pouvoirs (Bilan Juncker. MFF conditionnalité. Pologne mise en cause. Catalogne pas de débat). Commission 2019-2024 (Consultations). À suivre. À lire (Carnegie, Ifri, Gorbatchev) est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.