Alors que la pandémie de coronavirus surmène le personnel hospitalier dans le monde, l’Institut Pasteur a mis en place un petit test pour s’auto tester au coronavirus, il suffit de se rendre directement sur la plateforme en ligne https://maladiecoronavirus.fr/ afin d’évaluer votre état de santé. Tout au long d’un rapide questionnaire, il vous suffira simplement […]
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Face à la pandémie du Coronavirus, la société BENAFRIQUE a pris des mesures pour préserver la santé de ses passagers. Outre les mesures recommandées par les autorités sanitaires et le gouvernement béninois, la société a pris des mesures pour éviter la propagation de la pandémie.
À cet effet, tous les bus de BENAFRIQUE sont systématiquement désinfectés après chaque voyage.
Ce qu'il faut savoir de BENAFRIQUE
BENAFRIQUE est une société béninoise de transport créée en 2012. Elle est implantée à Cotonou, capitale économique du Bénin. Son but est de réduire l'insécurité routière, la pollution atmosphérique et de faciliter la mobilité urbaine.
BENAFRIQUE, c'est une société qui apporte une solution au problème crucial du transport urbain des passagers par des navettes à Cotonou et dans les zones périphériques.
BENAFRIQUE, dispose aussi d'un service Locabus pour la location de bus pour toutes les occasions.
Avec ses nouveaux bus climatisés, elle assure le confort et la sécurité des passagers.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Quelques images
La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a affirmé, vendredi, qu’elle poursuivait, sur le terrain, ses actions de sensibilisation aux dangers de propagation du coronavirus, outre la communication sur les mesures préventives à respecter pour éviter la contamination, a indiqué vendredi un communique de la DGSN. « La DGSN lance ses campagnes de sensibilisation […]
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C'est dans des moments comme ceux-ci, lorsque les nouvelles tristes se suivent et que chacun reste seul avec ses anticorps, que l'existence du Diplo paraît encore plus précieuse que d'habitude. Une boussole qui, face à une pandémie qui vous coupe le souffle, vous aide à ne pas haleter. Le choix de la raison, qui vous invite à observer avec les bonnes lentilles, en saisissant les connexions sans chevaucher les plans. Ici en Italie, dans un pays semi-libre ou en résidence surveillée, travailler sur (...)
- Lettres de... / Italie, SantéTout se serait passé dans le comté de Kwale, alors que le concerné, George Kotini Hezron, rentrait chez lui après avoir fait un petit tour dans un bar situé dans le village de Msambweni, il fut agressé. Mais pour quelle raison ? Selon les médias locaux, George Kotini Hezron était suspecté par les habitants d’être […]
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Après 70 ans de construction communautaire, l’Europe reste un combat. Les vingt-chefs d’État et de gouvernement se sont à nouveau réuni mardi 17 mars après-midi, par visioconférence, désormais la modalité des rencontres européennes, pour « montrer que l’Union agit pour combattre le coronavirus », selon les mots d’un diplomate européen. Ce n’est pas gagné : le sommet du 9 mars, il y a une semaine, qui appelait déjà à une « approche commune » n’a pas empêché dès le lendemain la multiplication de mesures nationales parfaitement incohérentes, chacun agissant comme si l’Union n’existait pas : fermeture des frontières intérieures de l’Union d’intensité variable, mesures sanitaires désordonnées, du laisser-faire au confinement général, plans de soutien à l’économie non coordonnés. D’où la réunion de mardi soir destinée à essayer de remettre un peu d’ordre.
«Pas efficaces sur le plan sanitaire et néfastes sur le plan économique»
À l’issu de ce sommet virtuel, David Sassoli, le président du Parlement européen, s’est réjoui que « l’Europe contrebalance l’égoïsme et le manque de coordination entre les gouvernements nationaux face à la crise du COVID-19 ». La décision la plus spectaculaire prise par les Vingt-sept est la fermeture totale des frontières de l’Union pour un mois proposée par la Commission, mais dont la mise en oeuvre relève de la souveraineté de chaque État. Ils ont aussi accepté le plan de la Commission visant à limiter les effets du rétablissement des contrôles aux frontières intérieures afin préserver le marché unique : Emmanuel Macron, le chef de l’État français, a d’ailleurs dénoncé ces « mesures non coordonnées » qui « ne sont pas efficaces sur le plan sanitaire et néfastes sur le plan économique ». L’idée est d’inciter les États à ne procéder à des contrôles sanitaires que d’un côté de la frontière, contrôles qui devront être « proportionnés » et « non discriminatoires ». De même, afin de ne pas interrompre les flux de marchandises et donc la chaine d’approvisionnement, des « voies vertes » seront instaurées pour faciliter les passages des camions.
«Tout ce qui est nécessaire»
Enfin, les Vingt-sept ont endossé les conclusions de l’Eurogroupe de lundi qui a donné un habillage européen aux plans d’aide nationaux aux économies. Dans un communiqué particulièrement musclé, les dix-neuf ministres des Finances de la zone euro ont affirmé leur « forte détermination à faire tout ce qui est nécessaire » (to do whatever it takes) pour répondre à la récession qui s’annonce. Une formule qui n’est pas innocente : c’est celle qu’avait employée Mario Draghi, l’ancien patron de la BCE, en juillet 2012 pour annoncer que l’institut monétaire de Francfort allait racheter à tour de bras des bons d’État, ce qui a mis fin à la crise de la zone euro.
L’Eurogroupe a ainsi donné sa bénédiction aux mesures nationales de soutien à l’économie - qui représentent jusqu’à présent 1 % du PIB de la zone euro – et accepte de laisser filer les déficits publics (soit 1% du PIB supplémentaire pour l’instant). À cela s’ajoutent les mesures de trésorerie, comme le paiement différé des impôts, qui pèsent environ 10 % du PIB européen… Enfin, l’Eurogroupe n’a pas exclu de mobiliser le Mécanisme européen de stabilité (MES) qui dispose d’une force de frappe de 700 milliards d’euros si un État rencontre des difficultés de financement. Et cette fois, pas question d’imposer un plan de rigueur qui serait contreproductif.
Réveil
Le sommet du 9 mars n’aura cependant pas été totalement vain en sonnant la mobilisation générale des institutions communautaires. La Commission est enfin sortie de son sommeil : création d’un fonds de soutien de 37 milliards d’euros aux systèmes de santé, aux entreprises et aux travailleurs touchés par l’arrêt des économies ; interprétation souple du Pacte de stabilité budgétaire afin de permettre aux États de laisser leur déficit public plonger et des règles sur les aides d’État afin de laisser les gouvernements voler au secours de leurs entreprises ; aide de 80 millions d’euros à la très performante société pharmaceutique allemande CueVac qui a fait l’objet d’une véritable tentative d’OPA de l’administration Trump pour s’assurer l’exclusivité du futur vaccin qu’elle met au point, somme à laquelle s’ajoute 100 millions d’euros pour la recherche d’un vaccin, interdiction d’exportation hors de l’Union du matériel de protection et facilitation de leur importation, autorisation donnée au « Mécanisme européen de protection civile » d’acheter des masques ou des respirateurs, etc..
De même, la Banque centrale européenne (BCE), lors de sa réunion du 12 mars, a décidé d’augmenter le niveau de son « quantitave easing » de 120 milliards d’euros sur un an en le concentrant sur le rachat d’obligations bancaires plutôt que sur les obligations d’État et en relançant son programme de LTRO (prêt à long terme aux entreprises) à un taux de -0,75%. Dans le même esprit, le Conseil de supervision unique (SSM), le gendarme bancaire de la zone euro placé sous l’autorité de la BCE, a autorisé le même jour les banques à ne plus respecter les exigences en fonds propres fixés depuis la crise de la zone euro afin de libérer de l’argent. Enfin, la Banque européenne d’investissement (BEI) va mobiliser 8 milliards d’euros qui, grâce à « l’effet de levier », pourraient générer jusqu’à 20 milliards d’euros de prêts aux entreprises.
Ne pas agir trop tard et trop peu
Cet ensemble spectaculaire, qui rompt avec l’attentisme de la période 2007-2012, montre que les États ont appris leurs leçons : pas question d’agir trop tard. Mais est-ce assez ? On peut sérieusement en douter : la seule réponse ne peut-être qu’européenne pour limiter la casse et surtout pour relancer l’économie des Vingt-sept après l’orage. En effet, les budgets nationaux ne sont pas extensibles à l’infini et la remontée des taux des emprunts d’État montre que les marchés commencent à s’inquiéter. Si une crise des dettes souveraines s’ajoute à la crise sanitaire et à la crise économique, l’Europe n’y survivra pas.
Le seul moyen de répondre durablement à cette crise est de rouvrir le projet de budget européen pour la période 2021-2027 et de le doter de vrais moyens au lieu de se battre sur des décimales (1,13 % du PIB européen ou 1 % ?) ; de mobiliser rapidement le MES ; et, enfin, de lancer des emprunts européens afin d’allouer cette ressource nouvelle aux États qui en ont le plus besoin. Les Vingt-sept seront-ils capables d’aller aussi loin ? « Dans les crises, on invente au fur et à mesure », espère un diplomate européen : « déjà, on assiste à un réarmement des États et des mentalités ». Bref, il n’est pas exclu qu’une Europe bien différente émerge de la pandémie du coronavirus.
Photo: Aris Oikonomou. AFP
In light of the passing of Whitney MacMillan, IPI President Terje Rød-Larsen has issued the following statement:
“It is with great sadness that I inform you of the death of our long-time Board member Whitney MacMillan. He passed away on Wednesday, March 11, 2020 in Vero Beach, Florida, of natural causes.
“Whitney served on IPI’s Board of Directors for more than two decades. He was a pillar of the governance of the organization. His support of and commitment to international cooperation was evident and appreciated throughout his time serving on the Board. He was always supportive and ready to give his wise advice. Whitney was a great friend of the organization and will be missed.”
Read the full obituary in the Minneapolis/St. Paul Business Journal.