Regardez le premier épisode de la série Yemma épisode 1 en streaming sur la chaine youtube Yemma. المسلسل يما : الحلقة 1 A propos de la série Yemma : Synopsies : Khaled est un jeune homme qui a tout pour réussir, et d’ailleurs il a tout réussi. Pourtant, un soir, une rencontre inattendue lui fera […]
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Le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, fait savoir, hier, jeudi 23 avril, qu’il comptait inaugurer la Grande mosquée d’El Mohammadia (Alger) le début du mois de Ramadan. « J’aurai tant souhaité que nous célébrions ensemble l’avènement de ce mois sacré par l’inauguration de la Grande mosquée d’Alger à El Mohammadia, hélas la volonté divine en […]
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Un mal qui répand la terreur, déstabilise l'humanité et fait valser les économies partout dans le monde. La COVID-19, puisqu'il faut l'appeler par son nom, décime des vies, des espoirs, tue des entreprises. Même si toutes n'en sont pas encore mortes, toutes ou presque en souffrent peu ou prou avec l'inévitable cortège de destruction d'emplois qui s'en suit et bien entendu l'explosion du chômage à travers la planète.
Pour stopper la propagation de la COVID 19, des stratégies sont mises en place par les Etats au nombre desquelles le confinement général adopté par les pays développés pour la plupart. Le Bénin a opportunément évité, du moins pour le moment la solution du confinement qui me semble être une solution extrême, pour une solution modérée, prudente, en tout cas mieux adaptée aux réalités socio-économiques du pays. Il s'agit de la mise en place d'un cordon sanitaire autour des agglomérations jugées à risques ou potentiellement des niches de la COVID 19. Il faut ajouter à cela les recommandations fortes du gouvernement à l'endroit des populations instamment invitées à adopter les mesures barrières à la COVID 19 et l'acquisition d'équipements et autres médicaments.
Au regard des derniers chiffres annoncés par le gouvernement, je ne peux que saluer l'efficience des mesures appliquées. Tant il est vrai, le confinement général en termes de coût à payer au plan économique, financier et social pourrait porter un coup fatal aux efforts de développement engagés par notre pays et plus particulièrement aux efforts qui se font dans le secteur de l'industrie, pourvoyeuse de richesses et d'emplois.
Il n'est aujourd'hui un secret pour personne, l'économie mondiale est entrée en récession. Certains spécialistes estiment même que la crise actuelle née de la propagation de la COVID 19 sera pire que celle de 1929. Dans ces conditions, quand bien même la pandémie ne sévit pas encore en Afrique avec la même virulence que celle en cours dans les pays occidentaux, il n'en demeure pas moins que les économies déjà fragiles des pays en voie de développement seront encore plus impactées.
Face à cette situation, je pense que les réflexions doivent être impérativement et urgemment engagées en vue de proposer des solutions à même d'amortir un tant soit peu le choc qui s'annonce comme inéluctable.
Le contexte qui est le nôtre est totalement défavorable, marqué d'une part par la transition économique que nous connaissons à travers les réformes engagées par le gouvernement et d'autre part par la fermeture des frontières déjà avec le géant de l'Est ajoutée à la fermeture totale des frontières du fait de la menace de la COVID 19.
Il apparait paradoxalement comme une occasion unique de mener des réflexions profondes sur le moyen de juguler la crise.
Pour ce faire, il urge que les autorités portent une attention particulière à l'autosuffisance alimentaire et à l'organisation de nouvelles filières qui serviront de base solide pur une politique agroalimentaire permanente.
Il est vrai qu'en 4 ans de gestion du gouvernement de la rupture, des progrès ont été enregistrés et il convient de louer la politique dynamique en la matière par les autorités. Cependant il faut noter que ce n'est qu'un début et il reste beaucoup à faire. Il reste que l'agroalimentaire dans notre pays est encore à ses balbutiements. Il apparait urgent qu'un coup de fouet soit donné à ce secteur afin qu'il puisse connaitre l'évolution nécessaire à une économie stable.
Pour ma part, il serait déjà pertinent de mettre en place des conditions favorables aux quelques unités agroindustrielles déjà en place. A l'effet de les consolider et les renforcer. Cela passe par la prise de décisions courageuses, par exemple les mesures de protectionnisme de l'industrie nationale en vue de la promotionner et de la rendre plus compétitive. Cela doit appeler qu'on se préoccupe de façon particulière de la formation des hommes et des femmes devant servir dans ce sous-secteur. Mais aussi dans tous les secteurs où l'ETAT aurait jeté son dévolu.
Il est heureux que la question n'ait pas échappé aux autorités qui ont mis sur les fonts baptismaux le Conseil National de l'Education. Pour résoudre les problèmes d'orientation entre autres solutions pourraient par exemple être la mise en place de conditions plus favorables dans tel secteur que l'Etat aurait choisi comme secteur favorable pour les élèves et les étudiants qui choisiront de s'engager dans lesdits secteurs. Je pense que la mise en place de condition d'attraction à l'instar des bourses de montant plus intéressant dans ces secteurs ciblés peut constituer une source de motivations sérieuses.
J'invite les autorités à se pencher sur la question.
Franck - Lévy AKANNI
Administrateur d'Industrie
Le Coronavirus poursuit sa progression exponentielle au Sénégal avec 66 cas positifs enregistrés en un seul jour, selon la situation faite ce 24 avril 2020. Ainsi le Sénégal a largement franchi la barre des 500 malades et se pose avec acuité la problématique des enfants de la rue, pendant que le pays a enregistré ce […]
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L'amélioration des conditions de vie des populations est au cœur des projets du gouvernement Patrice Talon depuis quatre années. Ce jeudi 23 avril 2020, la ministre Véronique Tognifode Mewanou a fait le point des actions menées dans le secteur des Affaires sociales et de la Microfinance.
À son arrivée au pouvoir en avril 2016, le président Patrice Talon a décidé de faire du social autrement en menant des actions qui permettent aux populations de sortir de la précarité.
L'un des projets phares du Programme d'Actions du Gouvernement est l'Assurance pour le renforcement du capital humain (ARCH) qui englobe plusieurs volets à savoir : l'assurance-maladie, le crédit, la formation et l'assurance retraite.
Le volet assurance-maladie vise à offrir des soins de qualité et accessibles aux pauvres extrêmes et non extrêmes du Bénin. La phase pilote a été lancée dans les zones sanitaires Abomey-Calavi-So Ava, Dassa-Glazoué et Djougou-Ouaké-Corpago.
Selon la ministre des Affaires sociales et de la Microfinance Véronique T. Mewanou, ces communes ont été choisies compte tenu de la zone géographique, la qualité du plateau technique et le taux de pauvreté des populations.
Plus de 100.000 bénéficiaires détenant les cartes biométriques ont accès aux soins de santé gratuitement. « Nous sommes toujours dans la phase pilote suivra une phase d'évaluation au mois de juin qui va nous permettre de réajuster s'il y a besoin et de nous diriger vers la phase de généralisation », a indiqué la ministre.
A l'en croire, de façon générale la population est très satisfaite et l'enquête d'identification pour la généralisation est déjà en cours.
En ce qui concerne le volet microcrédit, le gouvernement a opté pour la digitalisation. « Maintenant on est en train d'améliorer encore le système surtout par rapport au taux, pour que les femmes puissent davantage bénéficier de ces microcrédits », a annoncé la ministre Véronique T. Mewanou.
Le nouveau système sera relancé d'ici peu avec un décaissement de 10 milliards de FCFA pour 200.000 bénéficiaires à un taux de prêt de 4% contre 1 milliards de FCFA décaissé en 2019 pour 20.000 bénéficiaires avec un taux de 8,5%. Chaque année environ, 30.000 personnes bénéficient de formation en éducation financière.
Promotion de la micro finance
D'après la ministre des Affaires Sociales, au Bénin le taux de bancarisation est de 22,5%. « Quand on rajoute les services de microcrédits aux finances, on se rend compte qu'on s'en va à 68, 7%, ça veut dire que le taux de bancarisation élargie est vraiment maximal », explique Véronique T. Mewanou. Ça prouve poursuit-elle, l'intérêt de la microfinance pour améliorer l'accès des populations aux services de banque.
« Quand on prend dix personnes, on se rend compte qu'il n'y a que deux qui ont accès aux banques. Il faut aider les autres aussi et donc promouvoir la microfinance », ajoute la ministre des affaires sociales.
Avec, l'aide du ministère de l'Economie et des Finances, le milieu des systèmes financiers décentralisés a été assaini à travers la fermeture d'environ deux tiers de ces systèmes illégaux.
Selon les chiffres de l'INSAE, de 720 systèmes financiers décentralisés en 2016, le Bénin en compte 150 en 2019. Les capacités d'environ 25 responsables des systèmes financiers décentralisés sont renforcées chaque année.
La stratégie nationale de l'inclusion financière en cours de finalisation permettra également de pouvoir poser les bases des priorités sur les prochaines années.
Soutien aux couches vulnérables
Le gouvernement de Patrice Talon a mené plusieurs actions en faveur des couches vulnérables. S'agissant des personnes en situation de handicap, 2.600 enfants ont bénéficié de réadaptation. 500 personnes handicapées ont bénéficié d'appui en vivres et autres.
Durant ces dernières années, 90 apprentis des centres d'apprentissage et de formation professionnelle ont pu être libérés. Dans les centres pour les élèves aveugles, 400 apprenants sont encadrés avec de très bons résultats aux différents examens. Plus de 100 étudiants handicapés non boursiers sont appuyés chaque année. Les personnes âgées bénéficient aussi de consultations sanitaires (4000 personnes âgées) et d'interventions chirurgicales (600 personnes âgées).
Le ministère des Affaires Sociales a apporté son aide à une vingtaine de communautés victimes de sinistres (incendie, inondation et autres). D'après Véronique Mewanou, le ministère essaie de résoudre le problème relatif aux sinistres à travers des sensibilisations.
En décembre 2019, le ministère des Affaires Sociales a lancé la campagne de récupération des personnes malades mentales dans les rues de Cotonou. Une cinquantaine de personnes malades mentales ont été conduites dans les centres psychiatriques. Selon la ministre, la plupart de ces personnes se portent mieux. Il s'agira de voir comme les aider à se réinsérer dans la vie active. L'opération va s'étendre aux autres villes du Bénin.
Dans ses actions, le gouvernement a aussi mis en place le Système Intégré des données relatives à la famille, à la femme et l'enfant-Nouvelle génération (SIDOFFE-NG). Il s'agit d'une base de données en rapport avec une application Web qui permet la production et la diffusion de données fiables sur les actions menées à l'endroit des cibles de l'action sociale.
De nombreuses actions ont été également menées ces quatre dernières années dans le cadre de la protection et la promotion des droits de l'enfant ainsi que l'autonomisation financière des femmes.
Le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a exprimé, ce vendredi, sa colère, sur sa page Facebook, contre les éleveurs et les maquignons qui n’ont pas tenu leur promesse de vendre les viandes à des prix raisonnables. « Une question me préoccupe qui est celle de savoir où sont les 28 millions de moutons dont les […]
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