The lifestyles of the growing middle classes in the Philippines have a potentially significant impact on the environment. To what extent and how this happens depends on the attitudes, aspirations and actual consumption practices of the middle classes. Environmental knowledge, environmental concern, wealth and international experience present the key concepts for the exploratory analysis of consumer behaviour. The contribution draws on a unique combination of quantitative and qualitative data, using national and city-level household surveys as well as insights from focus group discussions. The study finds that higher wealth levels and environmental concern influence reported energy saving behaviours. Younger, female and environmentally concerned consumer also tend to choose more sustainable modes of transport, but the correlation is weak. Overall, more carbon intensive, unsustainable consumption patterns can be expected as households move up the socioeconomic ladder. While the middle classes score fairly high on the measurement scales of environmental concern and knowledge, education, savings and income security matter more to them in day to day life. For prospective sustainable consumption policies, our results imply that more action that draws on behavioural insights is needed to overcome the knowledge-action gap.
The lifestyles of the growing middle classes in the Philippines have a potentially significant impact on the environment. To what extent and how this happens depends on the attitudes, aspirations and actual consumption practices of the middle classes. Environmental knowledge, environmental concern, wealth and international experience present the key concepts for the exploratory analysis of consumer behaviour. The contribution draws on a unique combination of quantitative and qualitative data, using national and city-level household surveys as well as insights from focus group discussions. The study finds that higher wealth levels and environmental concern influence reported energy saving behaviours. Younger, female and environmentally concerned consumer also tend to choose more sustainable modes of transport, but the correlation is weak. Overall, more carbon intensive, unsustainable consumption patterns can be expected as households move up the socioeconomic ladder. While the middle classes score fairly high on the measurement scales of environmental concern and knowledge, education, savings and income security matter more to them in day to day life. For prospective sustainable consumption policies, our results imply that more action that draws on behavioural insights is needed to overcome the knowledge-action gap.
Le ministre d'Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané a présidé ce vendredi 11 septembre 2020, les travaux de la première session ordinaire de la Commission Nationale Permanente de Concertation et de Négociations Collectives Gouvernement, Centrales et Confédérations Syndicales. L'objectif de cette rencontre entre le ministre d'Etat et les partenaires sociaux est de garantir une rentrée scolaire apaisée.
Le dialogue social et la négociation collective ont pour objectif de prévenir et de gérer les crises sociales, a rappelé le ministre d'Etat chargé du plan et du développement. A en croire Abdoulaye Bio Tchané, mener des concertations et négociations permanentes, c'est concourir à maintenir des relations professionnelles stables et garder le dialogue entre les partenaires sociaux et le gouvernement. Cela permet selon lui, de veiller à l'amélioration des conditions de vie des travailleurs de tous les secteurs d'activité.
Après avoir rappelé les différentes mesures prises par le gouvernement pour lutter contre la pandémie du Coronavirus, le ministre d'Etat a félicité les partenaires sociaux pour le rôle important qu'ils ont joué dans cette lutte.
Les travaux de cette session ordinaire vont se poursuivre la semaine prochaine.
F. A. A.
Selon le bulletin trimestriel des statistiques du commerce extérieur de l'Institut National de la Statistique et de l'Analyse économique (INSAE), les exportations du Bénin vers les pays de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) ont connu une hausse de 13,7% au premier trimestre de l'année 2020 par rapport au trimestre précédent.
Ces exportations selon les informations publiées sur le site ‘'Niamey ET LES 2 JOURS'', sont estimées à 13,9 milliards de FCFA (175 843,6 tonnes) au premier trimestre 2020 contre 12,2 milliards FCFA (107 858,7 tonnes) au dernier trimestre de 2019.
Parmi les pays de la CEDEAO, le Niger au cours de la même période, est resté le premier client du Bénin. C'est un pays qui achète au Bénin du ciment hydraulique (y compris les ciments non pulvérisés dits clinkers), des graines de coton, et de la farine de blé ou de méteil, etc.
Le Niger selon ‘'Niamey ET LES 2 JOURS'', représente 28,8% des ventes des produits béninois à l'extérieur. Il est suivi du Burkina Faso (23,9%), du Mali (14,5%), du Togo (12%) et du Nigéria (10,1%).
F. A. A.
La liste des 26 œuvres à restituer au Bénin par la France est connue depuis quelques jours. Sur cette liste, un objet de grande valeur n'y figure pas. Il s'agit de la statue du dieu Gou.
La statue du dieu Gou ne retourne pas au Bénin. La France n'a pas sélectionné cet objet dans les 26 œuvres à restituer au Bénin. À en croire la présidente de la Fondation Zinsou, Marie-Cécile Zinsou, la statue a été saisie pendant l'expédition coloniale et a été rapportée par Eugène Fonssagrives. « On peut donc logiquement se demander pourquoi une œuvre de cette importance ne fait pas partie de la sélection des 26 œuvres », s'interroge-t-elle.
Les œuvres d'art notifiées dans le projet de loi nº 3221 relatif à la restitution de biens culturels à la République du Bénin et à la République du Sénégal déjà dans le circuit parlementaire en France sont entre autres : un métier à tisser, un pantalon de soldat, un siège tripode Kataklè sur lequel le roi posait des pieds, une tunique, un sac en cuir, porte du palais royal d'Abomey, des statues anthropomorphe des rois Ghézo, Glèlè et Behanzin ainsi que d'autres biens culturels.
« Nous pourrions renoncer à une tunique, un pantalon ou un sac en cuir en échange de cette œuvre qui aurait nettement plus d'impact sur les jeunes générations en quête de leur histoire (…) », a écrit la présidente de la Fondation Zinsou sur sa page Facebook.
La statue du dieu Gou a été fabriquée par l'artisan d'art Akati Ekplékendo vers 1860 en souvenir du roi Glélé. C'est une statue qui vénère le dieu de la guerre, de la forge et du fer. Exposée au musée du Louvre, elle a été saisie en 1892 lors de la conquête du Dahomey par les Français.
A.A.A
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A buddhista többségű ország de facto miniszterelnökével szemben hozott döntés indoklása szerint Aung Szan Szú Kjí szemet hunyt az országában élő, főként muzulmán rohingja kisebbséget érő támadások és jogsértések felett. Az EP-képviselők 2017 szeptemberében vették fontolóra az emberi jogok védelméért odaítélhető Szaharov-díj visszavonhatóságát olyan esetekben, amikor a díjazott a kitüntetését követően megsérti a díj feltételeit.
A képviselők elsősorban a mianmari rohingja kisebbséget érő támadásokkal kapcsolatban emelték fel a szavukat. Kijelentették: a mianmari vezetőnek határozottan el kell ítélnie a faji és vallási gyűlöletet, az érintett kisebbség tagjainak hátrányos megkülönböztetését, az ellenük folytatott tisztogatásokat. Véleményük szerint Aung Szan Szú Kji is felelős az országában kialakult, a kisebbség tagjait érintő diszkriminációért, a kissebség tagjainak üldözéséért, meggyilkolásáért.
Kiemelték, hogy a Szaharov-díjat 1988 óta minden évben olyasvalakinek ítélik oda, aki jelentős erőfeszítéseket tesz, nagy áldozatokat vállal az emberi jogokért, a gondolatszabadságért és a demokráciáért folytatott küzdelemben. Aung Szan Szú Kji 1990-ben kapta a kitüntetést. Egy évvel később Nobel-díjban részesült.
Az idén hetvenöt éves politikus évtizedekig a világ leghíresebb politikai foglya volt, miután az akkori Burmában ellenzéki pártot alapított és az országot uraló katonai junta elleni békés ellenállásra buzdított. 2016-tól az ázsiai ország tényleges vezetője.
Mianmar Arakán nevű államában több mint egymillió, főként muzulmán, kisebb részben hindu vallású rohingja él. A kormány a szomszédos Bangladesből származó illegális bevándorlóknak tekinti őket, nem hajlandó állampolgárságot adni nekik, így jogfosztottak, utazásukat korlátozzák. Az 56 milliós Mianmar lakosságának nagy része buddhista. Bangladesben is egyre ellenségesebben viszonyulnak az ott élő több mint 400 ezer rohingjához, akik az 1990-es években menekültek a szegény ázsiai országba.
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