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Tous les moyens sont bons d’après certaines voix pour arriver à en finir avec la pandémie de la covid-19. La vaccination des enfants reste cependant parmi les sujets sensibles qui sont loin de faire consensus au sein des spécialistes en Algérie.
En effet, et alors que pas plus de 20 % de la population algérienne est vaccinée contre le coronavirus, la vaccination des moins de 18 ans se repositionne aux devants des préoccupations des experts. Pendant que certains trouvent cette approche est « loin d’être logique », d’autres, au contraire, affirment que cela relève du « non sens » de refuser de vacciner les enfants.
Faut-il vacciner les enfants ?Selon le Dr Derrar, directeur de l’Institut Pasteur Algérie, « il n’est pas logique » de vacciner les enfants pendant cette période. Ce responsable estime que les enfants sont certes un vecteur important qui permet la propagation du virus, mais qu’ils sont très peu touchés par des symptômes graves de la maladie.
Le directeur de l’IPA a déclaré, aujourd’hui, sur les ondes de la radio nationale, que les enfants ne sont pas exposés à des formes graves de la covid-19 ni au décès. Il affirme toutefois que les enfants « jouent un grand rôle dans la transmission de l’infection et c’est pour ça qu’il faut durcir les mesures de protection ».
Le Pr Djenouhat quant à lui s’est montré plus catégorique. Dans une déclaration faite à nos confrères du Soir d’Algérie, le président de la Société algérienne d’immunologie et chef de service du laboratoire central EPH Rouiba a affirmé qu’il propose de vacciner les plus de 6 ans.
« Pour ma part, je propose la vaccination à partir de 6 ans », lâche le Professeur au moment où le Conseil scientifique a entamé des réflexions sur ce sujet. M. Djenouhat ajoute que « cela n’a aucun sens » de cibler les plus de 18 ans seulement.
Le même intervenant explique « qu’on ne peut imposer directement la vaccination », tout en saluant la démarche du pass sanitaire qui, affirme-t-il, « un synonyme d’obligation ». Le même intervenant a également fustigé les travailleurs du secteur de la santé qui déclarent aux malades qu’ils ne sont pas vaccinés. « C’est anti-éthique et cela s’oppose à la déontologie médicale, quand on entend un médecin déclarer à un patient qu’il n’est pas vacciné », déplore-t-il.
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À la veille de la rencontre footballistique, qui réunira l’équipe nationale A’ à son homologue soudanaise, dans le cadre de la Coupe Arabe 2021 au Qatar, plusieurs noms dans le monde du ballon rond, à savoir des footballeurs et des entraineurs, ont donné leur mot.
Parmi ces derniers, figure l’ancien international algérien Rafik Saifi. L’ex-attaquant des Verts a parlé des chances des protégés de Bougherra dans la compétition arabe, qui débute aujourd’hui, mardi 30 novembre à Doha, au Qatar.
Le natif d’Alger a révélé, lors d’un entretien accordé à une chaine qatarie, que le capitaine Rais M’bolhi et ses coéquipiers seront sans doute couronnés du titre de cette Coupe Arabe.
» Je suis heureux de pouvoir affronter l’Algérie » (Hubert Velud)De son côté, l’entraîneur Français de l’équipe soudanaise, Hubert Velud, a déclaré aujourd’hui à la presse que le choc de demain contre l’Algérie sera génial. Ce dernier a même exprimé son bonheur et sa joie avant cette confrontation.
» Je suis heureux de pouvoir confronter l’Algérie demain. Nous savons aujourd’hui que l’Algérie est plus forte que le Soudan, surtout avec l’équipe de Madjid Bougherra qui est venue à Doha « .
Par ailleurs, ledit entraineur a ajouté : » ils ont des footballeurs qui jouent avec l’équipe première et n’ont pas été battus pendant 33 matchs. Nous allons donc faire tout ce que nous pouvons pour gagner « .
Il est également utile de rappeler que les protégés de Bougherra vont jouer leur premier match, en affrontant le Soudan, demain 1e décembre à 13 heures (heure algérienne), au Stade Ahmed-ben-Ali de Doha.
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Alors que la stabilité sanitaire en Algérie touche à sa fin, de nombreuses voix s’élèvent et appellent les citoyens à aller se faire vacciner. Ces appels font écho à des craintes du variant Omicron, qui pourrait receler une résistance aux vaccins anti-covid.
Cependant, pour le moment, le nombre des contaminations au coronavirus en Algérie reste gérable. Aujourd’hui, le bilan du ministère de la Santé fait état de 187 nouveaux cas d’infection à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 192 enregistrées lors de la journée d’hier.
Outre le nombre des cas de contamination, les mêmes chiffres indiquent que le pays a enregistré 7 nouveaux décès causés par des complications liées au virus, 155 nouvelles guérisons et 14 nouveaux patients dont l’état de santé a nécessité leur admission aux services de réanimations.
Ces chiffres dévoilés par le département de Benbouzid font grimper le bilan total des contaminations à plus de 210.531 cas depuis le mois de mars 2020. Les décès enregistrés en Algérie depuis le début de la crise sanitaire dépassent les 6071 cas.
Le variant Omicron : aucun cas en AlgérieL’Institut Pasteur Algérie a affirmé aujourd’hui qu’aucun cas du nouveau variant de la covid-19, baptisé Omicron et détecté pour la première fois en Afrique du Sud, n’a été enregistré en Algérie. Cette affirmation ne veut cependant pas dire que l’Algérie soit à l’abri de ce variant.
Selon le directeur de l’IPA, le Dr Fawzi Derrar, il est très probable que le variant « Omicron » fasse son apparition en Algérie dans les prochains jours. Cela ne va pas manquer de compliquer la situation sanitaire indique le même intervenant.
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A férfit életveszélyt okozó testi sértés kísérletében és rablásban találta bűnösnek a Szombathelyi Törvényszék, a Győri Ítélőtábla pedig helybenhagyta az elsőfokú ítéletet.
A tényállás szerint 2018 novemberében a férfi az engedély nélkül tartott gáz- és riasztófegyverével egy szombathelyi dohánybolthoz ment, maszkot húzott a fejére, a fegyvert az eladónőre szegezte és a bevétel átadását követelte. A nő átadta a pénzt és azt kérte a vádlottól, hogy ne bántsa, de a férfi többször arcon lőtte és megütötte, súlyos sérüléseket okozva ezzel.
A vádlott mintegy 185 ezer forinttal menekült el.
A férfit 1989-ben többszörösen minősülő emberölés és kifosztás bűntette miatt halálra ítélték, majd kegyelemből életfogytig tartó fegyházbüntetésre változtatták a büntetését. A büntetéséből 2009-ben feltételes szabadságra bocsátották, de újabb bűncselekmények elkövetése miatt kétszer is börtönbüntetésre ítélték.
A férfinek az életfogytig tartó fegyházbüntetés végrehajtásának folytatására 2018. október 29-én kellett volna jelentkeznie, amit nem tett meg, a következő hónapban pedig kirabolta a győri trafikot.
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This paper investigates linkages between trade and climate policies by examining commitments made in preferential trade agreements (PTAs) and Nationally Determined Contributions (NDCs) under the Paris Agreement. While environmental protection and economic growth are often perceived as conflicting policy goals, PTAs and NDCs have the potential to encourage mutually supportive approaches to climate and trade governance.