Written by Jakub Przetacznik and Martin Russell.
Over the summer and autumn of 2021, in what is increasingly viewed as a hybrid warfare tactic aimed at destabilising Europe, Aliaksandr Lukashenka’s Belarussian regime has instrumentalised migrants, manipulating the organisation of flights from the Middle East to Minsk and deliberately orchestrating migrants’ onward travel to the EU-Belarus border. With weather conditions endangering migrants’ lives, the situation has also led to serious humanitarian consequences. This activity – which many argue also aims at distracting attention from the worsening situation of freedom in the country, with attacks against independent society, journalists and electronic media users – is only the latest in a string of events underlining deteriorating EU relations with Belarus.
The Lukashenka regime has been isolated since the falsified presidential elections of August 2020, and the brutal crackdown against peacefully protesting Belarusians. Instead of embracing dialogue with the democratic opposition and wider Belarusian society, Lukashenka chose another path, involving continued brutal repression of the country’s citizens. The worsening human rights situation and hijacking of Ryanair flight FR 4978, in June 2021, provoked a response from the EU. This includes a ban on Belarusian air carriers landing in or overflying the EU, a major extension of the list of people and entities already subject to sanctions, and the introduction of sanctions on key sectors of the Belarusian economy.
The European Parliament plays an active part in shaping this EU response. Parliament does not recognise Lukashenka’s presidency and has spoken out on human rights abuses in Belarus. Awarded Parliament’s 2020 Sakharov Prize, the Belarusian democratic opposition is frequently invited to speak for the Belarusian people in the European Parliament. Following the recent developments, Sviatlana Tsikhanouskaya will make a formal address to the European Parliament in plenary session, on 24 November 2021.
This Briefing updates a previous edition, published in July 2021.
Read the complete briefing on ‘EU-Belarus relations: State of play – Human rights situation‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
La campagne électorale prend fin aujourd’hui à minuit. Le silence électoral va donc être instauré pendant les trois prochains jours, avant de passer enfin aux urnes. Un silence qui ne met pas fin à grand-chose finalement, vu que les candidats ont opté pour une campagne très discrète.
Dans la capitale Alger, sur les 400 salles dédiées à la campagne électorale, seulement 100 ont été exploitées. À Constantine, seulement 45 salles ont été exploitées, alors que les autorités ont mis à la disposition des candidats plus de 200. Dans l’extrême sud, une seule salle a été exploitée à Djanet. En Kabylie enfin, la campagne se fait timidement, presque en cachette. Les candidats livrent une campagne de bouche à oreille.
Meeting et bains de foule : une ère révolue ?Certains candidats, profitant du nombre minime des votants, ont préféré concentrer leurs efforts sur leur proche entourage. Après avoir gagné les voix de leurs familles, ils passent aux amis puis aux proches. Une voix gagnée est plus précieuse que jamais, vu leur rareté sur le marché.
D’autres candidats optent pour des campagnes au sein des cafés populaires. Une campagne de proximité outre mesure, ou se mêlent ambitions politiques et parfums arabica, discours nationalistes et les cris demandant un café « bien serré ».
Ce qui est nouveau dans cette campagne électorale est sans doute l’utilisation des réseaux sociaux. Une méthode qui échappe au contrôle de la loi et qui risque de violer le silence électoral.
Des candidats ne vont surement pas se gêner à partager des anciennes publications concernant leurs campagnes, ou mêmes en créer d’autres. Tout est bon pour gratter une ou deux voix de plus après la date limite.
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Les Champions d’Afrique enchainent jusqu’à présent une série de 33 matchs sans défaite, et ce, depuis l’arrivée de Djamel Belmadi à la tête du staff technique des Verts, en 2018.
Avec ce lourd score, les Fennecs ne sont qu’à quatre matchs du record mondial, détenu par l’équipe italienne, avec 37 matchs sans défaite. Ainsi, les protégés de Belmadi ne sont pas aussi loin du record des deux grandes équipes, à savoir l’Espagne et le Brésil, qui détiennent une série de 35 matchs invaincus.
Ce résultat est le fruit d’une bonne performance des Guerriers du désert, mais aussi de la bonne stratégie du coach Belmadi, qui a su rendre sa sélection parmi les meilleures au monde.
Belmadi et ses joueurs insatisfaits de la pelouse de TchakerCependant, les Fennecs, ainsi que Djamel Belmadi avaient manifesté leur mécontentement face à l’état de la pelouse du stade de Blida, Mustapha Tchaker, qui a été qualifiée par ces derniers de « catastrophique ».
Selon Riyad Mahrez, son entraineur et ses coéquipiers, ladite pelouse n’est pas digne d’une grande sélection comme celle de Belmadi.
Suite à ces déclarations lors d’une conférence de presse, les autorités ont repris en main la pelouse de Tchaker pour le match de l’Algérie face au Burkina Faso, ce 16 novembre dernier.
Toutefois, la pelouse n’avait pas eu entière satisfaction des joueurs, même ceux du Burkina Faso, qui n’ont pas manqué à la critiquer.
L’état de la pelouse du stade d’Oran : le wali rassureA cet effet, les regards se sont dirigés vers le stade d’Oran, qui semble être prêt à accueillir les rencontres footballistiques officielles.
Aujourd’hui, le wali de la wilaya d’Oran s’est dirigé sur les lieux pour inspecter lui même l’état dudit stade, où il a révélé à la presse : » le terrain est au même niveau. J’invite officiellement Djamel Belmadi pour faire le constat lui même « , déclare le wali confiant.
Une déclaration qui peut rassurer les joueurs, mais aussi les amoureux du ballon rond, sur le bon état de la pelouse du stade d’Oran.
Par ailleurs, il convient de rappeler qu’un tirage au sort est prévu le 18 décembre prochain, afin de choisir l’équipe adverse des Verts pour le prochain match programmé le mois de mars de l’année prochaine, entrant dans le cadre des barrages de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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Twenty-six officers and managers of various border security and law enforcement agencies from fourteen countries across the OSCE region graduated from the fourth one-year Postgraduate Diploma in Border Security and Management for Senior Leadership Course on 19 November 2021.
Participants represented Afghanistan, Armenia, Egypt, France, Greece, Jordan, Lithuania, Moldova, the Netherlands, North Macedonia, Poland, Spain, Tajikistan, and Ukraine.
Following the conclusion of the final module of the course, participants prepared course work and defended their research findings to a panel of experts from 15 to 18 November online and face-to-face in Dushanbe, Tajikistan.
Ihar Kuzminich, Acting Director of the BMSC noted that despite the challenges induced by the pandemic and travel restrictions, the College still managed to conduct one session in an in-person format in Greece and the defense in Dushanbe, which allowed good opportunities for knowledge exchange and network building.
The course consisted of three modules namely: Modern Security Challenges and Border Management, Leadership and Management, Current and Emerging Trends in Border Security Management and Trade Facilitation.
Fua'd Suleiman Sayyah Al-hreishat, a course graduate from Jordan Customs said that the most exciting part for him was the session on risk management and analysis, where participants practiced all concepts and took part in different drills and exercises.
Each module of the course utilized a variety of training methods, such as self-learning in an electronic environment, lectures, and presentations, follow-up discussions and activities on the subject matter, discussions and exercises supported by experts, and study visits.
The OSCE Border Management Staff College (BMSC), in collaboration with the Geneva Centre for Security Sector Governance (DCAF), conducted the course aimed at intensifying the professional skills of border officers in the context of international standards.
The course is accredited by the Estonian Quality Assessment Council for Higher Education (EKKA) and equals an internationally recognized one-year postgraduate diploma course. After the successful defense of their course work, participants received 60 ECTS credits, equivalent to level 7 of the European Qualifications Framework.
Le hasard fait bien les choses, mais pas tout le temps. C’est une phrase que beaucoup de personnes en situation irrégulière à l’étranger se disent car leur vie « en noir » ne tient qu’à un fil, un petit détail leur fait prendre un autre tournant, c’est le cas de ce jeune algérien en France.
L’algérien a conduit son vélo vers la prison, puisque ce dernier roulait tranquillement sur le vélo électrique qui en réalité n’était pas le sien l’ayant volé, avant d’être surpris par la voiture de police qu’il a tenté d’esquiver, en vain. Le jeune a été arrêté par la police, juste avant, il avait jeté une carte bancaire suisse mais a gardé une arme blanche sur lui : un couteau.
La vraie révélation fut l’identité de ce jeune homme, qui, à cause de ses explications floues concernant le vélo, a été embarqué. En vérifiant son identité, il s’avère que le jeune fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Le tribunal de Mulhouse du département français du Haut-Rhin au Nord-Est de la France, l’a condamné à six mois de prison suite auxquels il sera expulsé vers l’Algérie.
Pour rappel, les personnes faisant objet d’OQTF en France doivent d’abord terminer leur peine de prison avant d’être renvoyées.
L’Europe envahi par les sans-papiersLe ministre de l’Intérieur Français, Gérald Darmanin, a déclaré hier dimanche, que la France a entre 600.000 et 700.000 personnes en situation irrégulière sur son sol. Il ajoute que l’Hexagone compte » beaucoup moins de clandestins que la plupart des grands pays d’Europe, à commencer par la Grande-Bretagne : entre 1 et 1,5 million contre 600.000 à 700.000 pour nous ».
Le même responsable a souligné et félicité le fait que son pays « expulse trois fois plus de personnes en situation irrégulière que les Anglais, deux fois plus que les Italiens et 50 % de plus que les Espagnols ».
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