Les séminaires spécialisés démarrent cette semaine à l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN). Le premier numéro reçoit, vendredi 26 novembre prochain, à 9h sur le site d'Abomey-Calavi, M. Vito Codjo Cyrille, conseiller académique à l'Ambassade des Etats-Unis, et Dr Christian Brice Ahoyo, consultant-formateur.
« Opportunités d'études aux USA et importance de la maîtrise de l'anglais par les étudiants », et « Sensibilisation sur l'entrepreneuriat et la création d'entreprise sociale » sont les deux thématiques qui seront développées au cours de ce premier numéro des séminaires spécialisés à ESM-BENIN. Il sera animé respectivement par M. Vito Codjo Cyrille, conseiller académique à l'Ambassade des Etats-Unis, et Dr Christian Brice Ahoyo, consultant formateur.
Les étudiants au cours de ce rendez-vous d'échanges pourront s'informer davantage sur les possibilités/opportunités de poursuivre leur formation aux Etats Unis. L'importance de la langue Anglaise, une priorité à travers le laboratoire de langue de l'université, sera également exposée aux apprenants. Avec le consultant formateur, les échanges porteront essentiellement sur l'entrepreneuriat et la création d'entreprise, une priorité du gouvernement Béninois, et qui permet à la jeunesse, de s'auto-employer.
« Former des cadres compétents susceptibles de faire face à tous les enjeux », c'est la vision promue à l'Ecole Supérieure de Management.
Depuis sa création en 2007, elle s'est illustrée à travers des résultats très satisfaisants à la fin de chaque année. Ses nombreuses performances lui donnent le privilège d'étendre cette année 2021-2022, les offres de formations dans les filières Génie Civil, Eau et Assainissement ; Administration des Finances ; Administration Générale ; les Sciences Juridiques ; les Sciences Politiques ; et les Sciences Economiques et de Gestion.
Toutes ces nouvelles filières sont disponibles aussi bien en Licence qu'en Master, et en cours du jour comme en cours du soir.
Les diplômes délivrés à ESM-BENIN sont reconnus par l'Etat Béninois, et le Conseil Africain et Malgache de l'Enseignement Supérieur (CAMES).
ESM-BENIN est l'une des rares universités privées qui accompagnent les étudiants jusqu'à leur intégration professionnelle. Le partenariat avec les auto-écoles de la place permet à l'étudiant, d'obtenir au terme de sa formation, le permis de conduire catégorie B.
La rentrée 2021-2022 a déjà démarré ; et l'Ecole Supérieure de Management pour cette nouvelle année, accorde jusqu'à 50% de bourse aux étudiants.
ESM-BENIN, LE CHEMIN VERS L'EMPLOI !
Moins d’une semaine sépare les partis politiques du rendez-vous électoral du 27 novembre prochain. Outre une campagne électorale morne et sans contours, les élections locales anticipées ont été marquées cette fois par des vives critiques portées par les partis candidats aux élections envers l’ANIE.
Après le FFS et le MSP, voilà que c’est autour du RND de fustiger l’ANIE. Le parti réputé proche du système change de discours, et s’attaque à la gestion des élections, accusant même l’ANIE d’être nostalgique à des « temps révolus », ou l’administration avait la main mise sur le scrutin.
Zitouni s’en prend à l’ANIELe secrétaire général du RND, s’en est violemment pris à l’ANIE, l’Autorité Nationale Indépendante des Élections, présidée par Mohamed Chorfi. Le successeur de Ahmed Ouyahia, a notamment accusé certaines parties au sein de l’ANIE d’être nostalgiques au temps ou l’administration intervenait dans l’opération du vote. Zitouni a également invité Chorfi à corriger les lacunes dans le règlement de l’ANIE, et de nettoyer son institution de l’intérieur.
Selon Zitouni, le système a échoué dans la construction d’une économie nationale réussie. Le secrétaire général du RND ajoute qu’il est pourtant urgent de se retrousser les manches et d’instaurer des nouvelles lois qui vont amener l’Algérie sur la voie du développement.
Le même intervenant assure cependant que les lois du moment et le système central ne permettent pas de construire une véritable économie, et c’est exactement pour cela qu’il faut désormais miser sur les pouvoirs locaux, et ce, en commençant par la révision de la loi électorale concernant les APC et les APC. C’est ainsi, soutient l’homme politique, depuis un meeting qu’il avait tenu à Tlemcen, que la parole sera donnée au peuple.
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The OSCE’s Border Management Staff College (BMSC) held a roundtable discussion on 19 November 2021 to examine the security and humanitarian situation in Afghanistan and the current and potential threats it poses to the Central Asian Region and beyond.
The event, held in a blended format, brought together more than sixty participants, representing government agencies, civil society, diplomatic missions, international organizations, experts, and mid-to-senior level officers of the 30th Staff Course from Azerbaijan, Belarus, Bulgaria, Jordan, Kazakhstan, Moldova, Mongolia, North Macedonia, Portugal, Tajikistan, Thailand, Tunisia, and Turkey.
In his opening remarks, Valeriu Chiveri, Head of the OSCE Programme Office in Dushanbe (POiD), stressed the timeliness of the discussions on increasing border security and management in the light of developments in Afghanistan. Valeriu Chiveri also named the projects of the OSCE POiD aimed at strengthening border control, capacity-building, management, and surveillance including unified budget project “Border Security Management” and extra-budgetary projects “Stabilization of Tajikistan's southern border region with Afghanistan”, “Patrol Field Capacity Building of the Tajik Border Troops through promotion of Regional Co-operation” and “Border Management Staff College”.
The roundtable event provided a platform to exchange views on strengthening national, regional, and international border security co-operation on identifying, combating, and mitigating possible cross-border threats, including illegal crossings, illicit drug and arms trafficking, the export of violent extremism, and the threat of terrorism. In parallel, emphasis was put on the protection of the rights of refugees and respect for the principle of non-refoulment and implementation of national referral mechanisms.
Ihar Kuzminich, Acting Director of the BMSC, highlighted that the BMSC regularly organizes roundtable discussions on the most pressing topics about threats to borders security and management (BSM) and this event was the last in a series of three roundtable discussions on the issue.
Keynote speaker Mulugeta Zewdie, Representative of the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) in Tajikistan, noted that borders are porous, but with proper co-ordination and a system, the large influx of refugees can be monitored and addressed. Zewdie also mentioned key commitments concerning the Afghan refugee situation in Tajikistan, which included a joint action plan, development of temporary accommodation, and identification of border crossing points.
Other contributors to the discussions included Kevin Allen, Principal Liaison Advisor at UNHCR, Mona Koehler-Schindler, Associate Human Rights Officer, Anti-Terrorism Issues at the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights, Stefan Wolff, Professor of International Security at the University of Birmingham, Luka Buhin, Project Support Officer at the OSCE Conflict Prevention Centre, Forum for Security Cooperation Support Unit and Dennis Cosgrove, Head of Border Security and Management Unit of the OSCE Transnational Threats Department.
Surpris en plein ébats sexuels avec une femme atteinte de maladie mentale dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 novembre 2021, un jeune homme a été placé en détention.
Un homme qui faisait son activité physique aux environs de 4 heures du matin, dimanche 21 novembre 2021, au quartier Zongo dans la commune de Lokossa (Mono), a été alerté par les cris d'une femme. Il se porte sur les lieux et découvre un jeune homme qui tenait des rapports sexuels forcés avec une femme atteinte de maladie mentale derrière une clôture.
L'homme administre une gifle au violeur qui prend la fuite. Mais l'individu sera rattrapé et conduit sur les lieux du viol. Le jeune violeur a été interpellé par l'équipe de patrouille de la police.
L'inculpé gardé en prison en attendant son procès.
M. M.
Le corps sans vie d'un ressortissant chinois a été retrouvé, vendredi 19 novembre2021, sous le pont de la dépression de la Lama à Allada, département de l'Atlantique.
Les sapeurs-pompiers du Centre de secours d'Allada ont repêché le corps sans vie d'un homme âgé de 45 ans et de nationalité chinoise. L'homme a été retrouvé mort la corde au cou sous le pont, dans la dépression de la Lama à Allada, vendredi 19 novembre 2021.
Le corps a été déposé à la morgue de l'hôpital de zone d'Allada sur instruction du tribunal. Les causes et les circonstances du décès ne sont pas encore connues. La police a ouvert une enquête.
M. M.
C’est depuis deux jours que les réseaux sociaux en Algérie sont ébullition suite à la suspension, par le directeur d’un lycée, d’un enseignant de Sciences islamiques. Entre ceux qui crient au scandale, et ceux qui trouvent que cela est tout à fait « normal », l’affaire divise, et les chacun campe sur ses positions.
Mais que s’est-il passé ? En fait, cela dépend des versions, et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’une enquête a été dépêchée par la direction de l’éducation nationale de la wilaya de Mascara. Un comité dont la tache est de lever le voile sur les tenants et les aboutissants de cette affaire s’est rendu hier dimanche au lycée Abi Rass Al Naciri, situé au chef-lieu de la wilaya même wilaya.
Suspendu car il a « conseillé » des lycéennes ?Il s’agit d’un enseignant qui a été engagé dans ledit lycée il y a moins de 40 jours. Jeune, barbe hirsute, l’enseignant affirme devant les caméras de la télévision que la raison de sa suspension par le directeur de l’établissement est le fait qu’il eut voulu bien faire en « conseillant » quelques écolières de « porter le voile ».
« Le directeur m’a suspendu pour seule raison, comme vous l’avez surement entendu, c’est parce que j’ai conseillé deux filles, ou deux ou trois ou quatre, je ne sais pas combien, de s’habiller plus pudiquement », a déclaré l’enseignant désormais interdit de franchir le seuil du portail du lycée.
Le jeune enseignant affirme aussi qu’il distribuait des « dépliants » pendant les cours à ses élèves. Ces dépliants dont on ignore le contenu, ne s’inscrivent toutefois pas dans le programme établi par le ministère de l’Éducation nationale. L’enseignant indique toutefois que cela est tout à fait légal, vu que « ça l’aidait dans ses cours ».
Il a également parlé d’un livre dont « le titre est effrayant, mais dont le contenu parle d’histoire ». Selon lui, ce livre est loin d’être en contradiction avec « les préceptes du 1er novembre ». D’après les déclarations de cet enseignant, il est clair qu’il était loin de se conformer au programme fixé par le ministère, et que ses « conseils » controversés n’étaient que la goute qui a fait déborder le vase de la direction du lycée.
Harcèlement : les graves accusations du directeurBien que les aveux de l’enseignant soient suffisants, vis-à-vis de la loi, pour acter son limogeage, le directeur de l’établissement scolaire enfonce le clou, et affirme que cet enseignant constitue un danger sur les élèves.
En effet, le premier homme au sein de l’établissement affirme que plusieurs élèves et parents d’élèves se sont plaints de l’inacceptable comportement de cet enseignant. Certains lycéens ont affirmé que le prof « délaissait son cours et nous parlait de Hijab, de Niqab et de choses encore plus dangereuses », confie le directeur.
Le responsable ajoute que le professeur démis de ses fonctions parlait aux élèves de ce qu’il appelait « les origines du bérberisme en Algérie », ce qui n’a absolument aucun lien avec la matière qu’il est censé enseigner.
Mais il y a encore plus grave, soutient le directeur, qui avoue qu’il détient des « preuve solides » qui confirment que l’enseignant s’adonnait à des harcèlements envers les lycéennes. Ces preuves ont été présentées par les élèves et leurs parents, et le directeur assure qu’il compte entamer une procédure judiciaire.
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