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Az Európai Tanács következtetései, 2021. december 16.

Európai Tanács hírei - Sat, 12/18/2021 - 10:57
Az Európai Tanács 2021. december 16-án következtetéseket fogadott el a Covid19-ről, a válságkezelésről és a rezilienciáról, a biztonságról és védelemről, a migráció külső vonatkozásairól és a külkapcsolatokról.

Enfance africaine et stagnation africaine

24 Heures au Bénin - Sat, 12/18/2021 - 10:47

(Par Roger Gbégnonvi)

​Selon le poète William Wordsworth, « L'enfant est le père de l'homme ». Enfant au sens latin de ‘‘infans'', « le tout enfant qui ne parle pas encore ». Et si l'on oublie les influences de l'extérieur sur le fœtus, ce ‘‘tout enfant'' serait le terrain de naissance de tout le caractère de la personne à venir. C'est donc environ durant les six premiers mois de sa vie hors du sein maternel que s'impriment sur l'ADN de l'enfant les traits majeurs de l'adulte.
​Or le médecin béninois, fort d'autres spécialités dont celle de la psychologie, feu Paul Tobossi, disait en substance à ceux qui aimaient à l'écouter : « Comment voulez-vous que l'Africain se développe, s'épanouisse, soit inventif, conquérant ? Le Bébé qu'il fut était, la journée longue, accroché à sa mère dont il n'a vu tout le temps que le dos, son seul univers à l'orée de la vie, au moment précis où doivent s'ouvrir toutes les fenêtres de son cerveau pour laisser entrer les aurores de tout l'univers. Passé ce moment déterminant de grande réceptivité, les fenêtres non sollicitées du cerveau s'ouvriront difficilement plus tard et trop tard, pour celles qui s'ouvriront, pendant que d'autre resteront définitivement fermées. »
​Et Paul Tobossi de prendre le cas de l'enfant européen. La plupart du temps, il est couché sur le dos dans un berceau, le regard tourné vers le regard de sa mère, qui lui fait des sourires, lui tend les bras, lui raconte mille et une histoires, n'a de cesse de le toucher, de le caresser. En haut du berceau sont suspendus des bibelots de couleurs variées. Ils dansent et tintinnabulent, et l'enfant s'amuse à les faire danser et tintinnabuler. Sollicitées, les fenêtres de son cerveau s'ouvrent. Cet enfant au berceau est préparé à s'épanouir, inventer, conquérir tous azimuts. Il est l'opposé diamétral du bébé africain dans le dos de sa mère.
​Et il est vrai que ce dernier, devenu adulte, se montre plus stagnant qu'entreprenant. Et pas très responsable. Il décrète que les maux qui l'accablent résultent de l'esclavage et du colonialisme. Bien sûr, il n'imagine pas que l'incapacité des pères à repousser naguère ces deux malheurs a pu prendre racine en eux dans le dos sans étoiles des mères. Il ne cherche pas, il ne crée pas. Il ressasse les ancêtres, il rumine les rabâchés de l'école coloniale. Un jour peut-être, il s'apercevra qu'il y a honte et déshonneur à n'être que spectateur et parasite. Alors l'auto néo-colonisé se dressera et voudra exister enfin dans le monde en marche sans lui. Il croira frapper un grand coup, et cela donnera, choses entendues, ce décret : la sorcellerie, toujours et partout négativement connotée, a du bon en Afrique et va contribuer au progrès de l'Africain. D'ailleurs tous les grands scientifiques occidentaux sont des sorciers. Et de citer Pythagore pour étayer le violent renversement sémantique. Suffocation dans le rang des rationalistes. Car l'on ne sache pas que la sorcellerie africaine ait sauvé l'Afrique ni de l'esclavage ni de la colonisation. Car Pythagore, philosophe et mathématicien, Einstein, physicien de génie, étaient des scientifiques et pas des sorciers. Mais, Hitler et Pol Pot et leurs affidés, politiciens et pas scientifiques, sinistres artificiers de la radicale méchanceté de l'homme contre l'homme, peuvent bien être assimilés à d'authentiques sorciers. Dont acte.
​Et fin de suffocation. Si la stagnation atavique de l'Africain n'a pas toute son origine là où la place le Dr Paul Tobossi, dans le regard immobile et voilé du bébé africain dans le dos sans étoiles de sa mère, alors que s'intensifie la vraie recherche pour dénicher les autres origines de la force d'inertie, afin que l'Africain cesse de « labourer la mer » (Bolivar) et sorte de l'impasse. Au jour de son dernier souffle, le professeur Jacques Monod, prix Nobel de médecine, confiait aux amis venus l'entourer : « Je cherche à comprendre ». Et c'est ce que doit faire maintenant tout Africain avant son dernier souffle. Conjuguer le biochimiste Monod et le poète Goethe, dont le mot ultime fut : « Mehr Licht », davantage de lumière.

Categories: Afrique

Journée de ski fatale en Valais: Un skieur perd la vie dans une avalanche à Zermatt

24heures.ch - Sat, 12/18/2021 - 10:31
Malgré un déploiement important de sauveteurs, un septuagénaire n’a pas pu être sauvé après un accident de montagne vendredi en Valais.
Categories: Swiss News

Corruption : un autre projet entraine Ali Haddad devant la justice

Algérie 360 - Sat, 12/18/2021 - 10:30

Les affaires de corruption de l’homme d’affaires Ali Haddad semblent interminables. Il vient d’être cité comme principal mis en cause dans une autre affaire liée à la réalisation d’un tronçon autoroutier au niveau de la wilaya de Ain Defla.

Prévu initialement pour la fin de la semaine dernière, à savoir le jeudi 16 décembre 2021, l’examen de cette affaire, qui implique également plusieurs anciens ministres et anciens hauts responsables est renvoyé à la fin de l’année en cours.

En effet, le juge du pôle pénal spécialisé dans les affaires de corruption financière et économique près le tribunal de Sidi M’hamed a reporté l’examen de l’affaire impliquant l’ex-patron de l’ETRHB et d’autres ministres des Travaux publics au 30 décembre 2021, rapporte le quotidien Echorouk.

Le dossier en question, ouvert pour la première fois au niveau de la même juridiction, début février dernier, concerne le marché de réalisation de la double voie au niveau de la route de wilaya n° 42 à Ain Defla. Cet axe routier devant relier la pénétrante de l’autoroute Est-Ouest s’étend sur 9 km.

Retour sur les détails de l’affaire

À côté de l’ancien président du FCE, cette affaire implique également les deux anciens ministres des Transports et des Travaux publics Amar Ghoul et Abdelkader Ouali, d’anciens Directeurs du même département, en l’occurrence Khelfaoui Ali et Ben Chennan Mohamed ainsi que l’ancien Directeur de Société Nationale de Grands Travaux routiers, Berouak Slimane.

Il convient de noter que cette affaire dont les faits remontent à 2019 concerne « des instructions verbales et des ordres » à fin d’octroyer le projet à Ali Haddad, qui avait usé de son influence pour l’obtenir lors de deux visites de terrain de l’ancien ministre Amar Ghoul à Ain Defla.

Pour ce qui est des accusations, les mis en cause dans le cadre de cette affaire sont poursuivis pour « octroi d’indus avantages dans la conclusion de marchés publics, abus de fonction, conflit d’intérêts, abus de pouvoir, participation à la dilapidation de deniers publics ».

Il s’agit également, selon la même source, « de l’obtention d’indus avantages dans le cadre de marchés publics, incitation de fonctionnaire à l’abus de pouvoir dans le but de l’obtention d’indus avantages et rédaction de fausses attestations ».

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Categories: Afrique

L'artiste Jospinto en soins intensifs au CNHU

24 Heures au Bénin - Sat, 12/18/2021 - 10:22

L'artiste Jospinto est mal en point. Il est admis aux soins intensifs au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutougou Maga de Cotonou.

Dans un état critique, Jospinto a été évacué ce vendredi 17 décembre au CNHU de Cotonou sur instruction du ministre de la culture, Jean Michel Abimbola.

José Florent Alapini alias Jospinto aurait eu un malaise alors qu'il était au culte le dimanche 12 décembre 2021. Il a été conduit à l'hôpital de zone d'Abomey-Calavi. En raison de son état, il a été transféré aux soins intensifs du CNHU de Cotonou.

L'artiste musicien béninois, Jospinto, est auteur compositeur.

A.A.A

Categories: Afrique

Météo : les prévisions de ce samedi 18 décembre

Algérie 360 - Sat, 12/18/2021 - 10:21

Après plus d’un mois d’intempéries et de pluies diluviennes, l’accalmie s’installe en Algérie. La météo a été clémente ces derniers jours, avec un retour du soleil sur presque la totalité du territoire national.

En effet, l’Office National de la Météorologie a annoncé pour aujourd’hui, samedi 18 décembre 2021, un temps ensoleillé sur la majorité des wilayas du pays. Au nord, le ciel sera dégagé hormis quelques passages nuageux localement, notamment sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux.

À l’est du pays, le ciel sera voilé notamment à Khenchla, Tébessa et Batna. À M’sila, Météo Algérie prévoit un temps nuageux avec quelques éclaircies. Cependant, le soleil dominera le ciel de la wilaya de Constantine

Les températures attendues

Au niveau des wilayas de l’intérieur, le ciel sera partiellement voilé avec quelques passages nuageux sans effet. Quant aux régions de l’ouest, Météo Algérie prévoit une journée bien ensoleillé notamment à Tlemcen, Mascara, Ain témouchent. En revanche, à Chlef, Mostaganem, Relizane et Oran, le ciel sera partiellement voilé.

Selon la même source, les températures oscilleront entre 13 et 16 degrés au Nord du pays. À l’ouest, il fera 10 degrés. La même température sera enregistrée à l’est.

Tandis qu’au sud, la température maximale sera de 28 degrés. 20 degrés seront enregistrés à Illizi, 18 degrés à Tindouf, 14 degrés à Adrar, 23 degrés à In Saalah et 28 degrés à Bordj Badji Mokhtar.

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Categories: Afrique

Mennyire elégedettek egészségükkel az emberek Szlovákiában?

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/18/2021 - 09:55
Mennyire tartják magukat egészségesnek a szlovákiaiak? Rosszabb az idősek egészségi állapota országunkban, mint az EU északi és nyugati tagállamaiban? Uniós viszonylatban Szlovákiában meglepően sokan vélik úgy, hogy rossz az egészségük. A 65 év felettieknél még siralmasabb a helyzet, egyharmaduk vallja magát betegnek.

Variant Omicron en Algérie : à quoi faut-il s’attendre ?

Algérie 360 - Sat, 12/18/2021 - 09:53

L’Institut Pasteur d’Algérie a annoncé, mercredi dernier, l’apparition d’un premier cas du redoutable variant du coronavirus ; l’Omicron. Face à une situation épidémiologique recrudescente, les mises en garde se multiplient, mais se diffèrent également.

Apparu pour la première fois début novembre dernier en Afrique du Sud, l’Organisation mondiale de la Santé avait aussitôt qualifié le variant Omicron « d’inquiétant ». Depuis, et après constat de son évolution, l’énorme panique qui s’est emparée de la planète commence alors à s’estomper.

Or, si les assurances portent notamment sur la véracité de ce nouveau mutant, on ne peut pas en dire autant quant à sa propagation. En effet, malgré qu’il garde beaucoup de secrets, Omicron à la faculté de se propager très rapidement au point où certains pays confirment qu’il commence à prendre le pas sur le variant Delta.

Pour l’Organisation planétaire en charge du domaine sanitaire, aucun variant du Covid-19 ne s’est propagé jusqu’à présent aussi rapidement qu’Omicron. Selon le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « 77 pays ont maintenant signalé des cas d’Omicron, mais la réalité est qu’Omicron se trouve probablement dans la plupart des pays même s’il n’a pas encore été détecté ».

À quoi faut-il s’attendre en Algérie ?

En Algérie, les mises en garde vont de pair avec les assurances concernant ce nouveau variant. En effet, lors de l’annonce du premier cas détecté en Algérie, l’Institut Pasteur a tenu à rassurer que sur le plan épidémiologique mondial, « la majorité des cas signalés jusqu’à l’heure actuelle pour ce variant, représentent des cas bénins ».

À ce propos, l’IPA explique « qu’un seul cas de décès et quelques cas d’hospitalisation ont été signalés au Royaume-Uni à ce jour ». Or, la situation « est appelée à évoluer dans le temps », indique-t-on encore.

Du côté des spécialistes et autres responsables du secteur sanitaire, l’on s’inquiète davantage quant à la situation, notamment après la détection du premier cas. Or, les alertes se font beaucoup plus sur le variant Delta, déjà en circulation dans le pays, que sur le nouveau mutant.

Pour le Pr Kamel Senhadji en sa qualité du président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, « ce sera une crise dans la crise. Car au moment où nous attendions la quatrième vague du variant Delta, nous avons le variant Omicron qui pointe son nez ».

Dans une déclaration rapportée par le quotidien Liberté, il affirme cependant que « ce qui est inquiétant maintenant, c’est le Delta, car les chiffres montent et nous connaissons tous ses caractéristiques ».

Quel risque en cas de collision entre les deux variants ?

Pour ce qui est de ce que pourra engendrer le chevauchement des deux variant (Delta et Omicron), il explique que certes, « Omicron pourrait arriver au cours de la vague Delta, peut-être au milieu ou bien après ». Mais « les résultats préliminaires sont assez encourageants, car même s’il est très contagieux, les observations cliniques ont montré qu’il est sans gravité ».

Or, ce qui inquiète le plus, selon le même intervenant, c’est le faible taux de vaccination », d’autant qu’elle « a montré ses effets bénéfiques ; le nombre de décès qui baisse chez les vaccinées et l’absence de formes graves même après 6 mois ».

Ainsi, force est de constater qu’à apriori, même si le nouveau mutant commence déjà à gagner du terrain à travers le monde et en Algérie, ses répercussions ne peuvent pas être aussi désastreuses que le Delta, d’au moins selon les données disponibles. En tout cas, le mieux c’est de garder la vigilance à son niveau le plus élevé en observant les gestes barrières afin d’en limiter la propagation.

Lors de sa dernière conférence tenue mardi dernier à Genève, le premier responsable de l’OMS affirme : « Nous sommes préoccupés par le fait que les gens considèrent Omicron comme bénin. (…) Même si Omicron provoque des symptômes moins graves, le nombre de cas pourrait une fois de plus submerger les systèmes de santé qui ne sont pas préparés ».

Que faut-il faire au niveau des frontières ?

Il convient de noter que le premier cas annoncé mercredi dernier par l’IPA était importé. Il s’agit, en effet, « d’une personne de nationalité étrangère, rentrée sur le territoire algérien le 10 décembre 2021 et qui a fait l’objet, dans le cadre des dispositions et protocoles sanitaires ».

Si l’on prend en considération ce fait, plusieurs interrogations se posent ; faut-il fermer les frontières ou emboiter le pas aux mesures décidées sur les traversées maritimes en rendant la vaccination obligatoire pour les voyageurs par avion ?

Si la première option est écartée par de nombreux spécialistes, la seconde pourra bien être entreprise prochainement. En effet, des spécialistes avancent qu’avec la fréquence réduite des vols, la situation est facilement maitrisable. Or, les voyageurs arrivant des pays où le nouveau variant circule fortement.

Ce qui nous ramène à l’importance d’instaurer le pass sanitaire pour les voyageurs à destination de l’Algérie par avion. Pour rappel, le ministère des Transports avait décidé, début décembre en cours, d’inclure le passeport vaccinal parmi les conditions de voyage par voie maritime. Faut-il s’attendre à ce que des mesures similaires soient prises concernant les vols vers l’Algérie ?

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Categories: Afrique

Taux de change du Dinar face aux principales devises ce 18 décembre

Algérie 360 - Sat, 12/18/2021 - 09:31

Suite à la réouverture des frontières aériennes et maritimes, les prix des principales devises ont flambé. Que cela soit sur le marché parallèle ou officiel, la monnaie nationale connait une chute inexorable face au dollar et à l’euro.

Sur le marché noir, un seul euro s’échange contre 214 dinars algériens à l’achat et 216 dinars algériens à la vente. L’unité de la monnaie étasunienne est par ailleurs cédé contre pas moins de 193 dinars algériens à la vente et 190 dinars algériens à l’achat.

En revanche, le dollar canadien s’échange au marché noir contre 143 dinars algériens à la vente et 146 dinars algériens à l’achat. La livre sterling quant à elle demeure indétrônable. Un seul pound est cédé par les cambistes du square port-saïd contre 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente.

Les cotations de la banque d’Algérie

Au niveau des guichets de la banque d’Algérie, un seul euro est cédé contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente. Pa ailleurs, un seul dollar est cédé contre 138.88 dinars algériens à l’achat et contre 138.90 à la vente.

Le dollar canadien quant à lui s’échange au prix de 108.45 dinars algériens à l’achat et 108.49 dinars algériens à la vente. Ainsi, un seul pound est cédé contre 184.19 dinars algériens à l’achat et contre 184.29 dinars algériens à la vente, selon les cotations commerciales de la banque d’Algérie.

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Categories: Afrique

Noël «sous de tristes auspices»: Les médias soutiennent les mesures du Conseil fédéral

24heures.ch - Sat, 12/18/2021 - 09:25
La règle des 2G et le retour au télétravail obligatoire font les choux gras de la presse helvétique.
Categories: Swiss News

Az EB egyedi megállapodást javasol Észak-Írország gyógyszerellátására

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/18/2021 - 09:25
Az EB egyedi megállapodást javasolt a gyógyszerellátási szabályok reformjára, hogy Észak-Írországban mindenki ugyanabban az időben férhessen hozzá ugyanazokhoz a gyógyszerekhez, mint máshol az Egyesült Királyságban - közölte Maroš Šefčovič, az Európai Bizottság intézményközi kapcsolatokért felelős tagja Brüsszelben.

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