Après avoir éliminé le Maroc et arraché une belle victoire face au Qatar, les Fennecs devront affronter demain, samedi 18 décembre les Aigles de Carthage lors d’une finale 100% maghrébine. La rencontre qui aura lieu au stade Al Bayt, sera diffusé à 16 h (heure algérienne).
Les joueurs des deux équipes nord-africaines sont déterminés à décrocher le titre. Leurs entraineurs le sont encore plus, à l’instar du jeune Madjid Bougherra, devenu un bon entraineur après avoir été un excellent footballeur au poste de défenseur central.
De son côté, le sélectionneur de l’équipe tunisienne Mondher Kebaier n’a pas manqué à montrer sa motivation pour la rencontre de demain. Arrivé en finale avec la Tunisie, pour la première fois depuis sa nomination en 2019, Kebaier est plus que jamais déterminé.
Les déclarations de KebaierEn marge d’une conférence de presse organisée à la veille de la finale, l’entraineur tunisien explique que son équipe a traversé beaucoup d’obstacles et de difficultés depuis le début de cette compétition.
Malgré l’absence de Meriah, la Tunisie déterminée à remporter le titre
Parmi ses difficultés figure, l’absence de Yassine Meriah qui est considéré comme l’élément phare de l’équipe tunisienne. « Nous abordons cette finale avec la ferme intention de remporter le titre pour l’offrir à Yassine Meriah. Sa blessure nous attriste », a déclaré Mondher Kebaier.
L’intervenant poursuit : « nous avons d’autres pour le remplacer ». Selon lui, les Aigles de Carthage n’envisagent pas de s’arrêter en si bon chemin et souhaite soulever la Coupe Arabe.
« Nous ne nous sommes pas qualifié en finale depuis longtemps, raison pour laquelle les joueurs vont disputer ce match avec une grande concentration » ajoute l’entraineur tunisien avant de conclure : « la compétition a donné une belle image sur le monde arabe, j’espère qu’elle sera organisée chaque trois ou quatre ans ».
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Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation de Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.
Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.
Viol collectif d'une élève en classe de 1ère par plusieurs hommes à Allêgleta dans la commune d'Abomey-Calavi.
Cinq jeunes hommes auraient violé une élève en classe de première à Allêgleta. Selon l'Ong Famille Nutrition et Développement - Fnd, les faits remontent en juillet 2021. Après le viol, l'élève n'a rien dit à sa mère pour éviter les représailles. En octobre dernier, l'élève a découvert qu'elle était enceinte. « Elle fut conduite par sa mère au commissariat pour porter plainte contre les mis en cause. Le commissariat aurait délivré deux fois de suite des convocations qui sont transmis au délégué », informe l'Ong Fnd.
Les présumés violeurs ne se sont jamais présentés au commissariat. La même source renseigne que « les parents de la jeune fille se seraient rendus dans la maison où le viol a été commis et auraient appris avec amertume que les mis en cause ont quitté les lieux le jour même où ils ont reçu la première convocation et sont introuvables jusqu'à présent ».
Les présumés auteurs d'abus sexuels d'une élève en classe de 4ème dans la commune de Zè sont également en fuite. Cette mineure aurait été séquestrée et violée par deux hommes du 14 au 15 novembre 2021 dans le village de Watazounto.
Pour la présidente de l'Ong Fnd, Hélèna Capo-Chichi, « la délivrance des convocations joue une fonction d'alerte pour l'évasion des auteurs d'abus sexuels au grand dam des victimes plus meurtries ». « Il est temps d'agir en toute responsabilité pour lever toutes les insuffisances afin que la promptitude soit désormais effective dans la prise en charge des victimes de viol ou d'abus sexuels », soutient-elle.
A.A.A
Plus de mineures dans les hôtels et auberges dans le département du Couffo. C'est une décision du préfet Christophe Mègbedji qui vise entre autres à lutter contre les grossesses précoces en milieu scolaire.
Il est interdit aux mineures de fréquenter les auberges, les hôtels, les bars et autres lieux similaires. Pour veiller au respect de cette décision du préfet du Couffo, les policiers sont sur le terrain. Ils sont chargés de contrôler les identités et l'âge des personnes suspectes qui se rendront sur ces lieux. Selon le préfet Christophe Mègbedji au micro de Frissons Radio, son souhait est d'avoir « zéro grossesse en milieu scolaire et qu'il n'y ait plus de filles en apprentissage qui tombent enceintes ».
« Dans ces milieux interdits aux mineures, nous avons les observateurs, les policiers républicains, des artisans, les membres APE. C'est plusieurs équipes qui sont sur le terrain et qui surveillent », informe-t-il. Ceux qui vont enfreindre à la décision seront traduits devant la justice.
« Les propriétaires de ces lieux ne sont plus autorisés à accueillir ces mineures. Vous avez quitté Parakou, vous avez pris par le Couffo pour vous rendre à Cotonou, vous êtes surpris par la nuit. Vous ne voulez pas rouler nuitamment alors vous sollicitez quand même une chambre et là vous êtes avec une fille. Vous devez établir le lien de parenté, c'est-à-dire que vous devez avoir sur vous la carte d'identité scolaire de l'enfant. Vous devez avoir son acte de naissance. Vous devez avoir votre propre pièce d'identité vous-même et on doit vérifier », a précisé le préfet.
A.A.A