Dans l’hexagone, un homme qui crie « Allah Akbar » est systématiquement interpelé peu importe le contexte. C’est ce qui s’est produit en juin dernier dans un hypermarché de Saint-Etienne où un quinquagénaire avait crié à pleins poumons « Allah Akbar » plongeant les clients dans une panique générale. Interpellé, il est aujourd’hui condamné à 8 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel.
Le mis en cause était accompagné d’un autre homme âgé de 38 ans au moment de l’incident. Tous deux sont poursuivis « pour violence en réunion avec préméditation ». La scène qui avait provoqué un mouvement de panique a coûté au quinquagénaire une peine de 8 mois de prison assorti d’une amande de 750 euros avec deux années d’inéligibilité. Quant à son comparse, celui-ci a été relaxé.
« J’étais en extase ! »Dimanche 7 juin en fin de matinée, les deux individus dont le plus âgé avait visiblement l’intention de créer une panique générale, déambulaient depuis une trentaine de minutes dans un hypermarché, lorsqu’il s’est agenouillé dans une allée, récitant des versets du coran en levant les bras et criant à trois reprises «Allah Akbar », selon Le Figaro.
La scène avait provoqué un tel mouvement de panique qu’un client s’était fracturé l’épaule en chutant lors de l’évacuation du magasin. Lors de leur comparution, en novembre dernier, le plus âgé avait soutenu qu’il s’était réjoui « que des églises du nord de la France rouvrent leurs portes » après les restrictions sanitaires liées au Covid-19 et que sa prière dans le magasin était « une réaction émotionnelle qui venait du cœur ». « J’étais en extase, c’était une invocation pas un cri de guerre », avait-il ajouté.
Par ailleurs, il semble que le quinquagénaire est un coutumier de fait. En décembre 2016, ce dernier avait provoqué une panique générale lors d’une cérémonie d’obsèques ayant entrainé l’évacuation d’une église à Lyon.
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Le ministère de l’Agriculture en collaboration avec le ministère du Commerce s’apprête à effectuer une nouvelle révision de la liste des produits agricoles importés. Cette démarche vise à préserver la production locale.
Intervenant lors d’une conférence le cadre de la Foire de la production nationale, le ministre de l’Agriculture Abdelhafidh Henni a annoncé que son département compte réviser la liste des produits agricoles importés pour la préservation de la production nationale.
Soulignant que cette démarche devra être réalisée en collaboration avec le ministère du Commerce, le ministre a précisé qu’il s’agit d’une démarche qui vise à protéger et à promouvoir ce qui est produit localement.
Sans ce sens, le ministre explique que « certaines filières agricoles ont besoin d’une protection contre les produits importés, d’où la nécessité de revoir la liste des produits agricoles importés ».
Quels sont les produits concernés ?Pour la mise en œuvre de cette démarche, le département ministériel en charge du secteur agricole compte proposer au ministère du Commerce l’interdiction d’octroyer les licences d’importation pour plusieurs produits agricoles.
Il s’agit selon le même responsable des produits agricoles de luxe, produits en quantité suffisante localement dont les amandes et le miel.
L’intervenant ajoute dans le même sillage que « la politique de développement du secteur s’appuie principalement sur l’encouragement de la production locale en la soutenant face au produit importé » insisté.
À côté de cela, l’interdiction de nouveaux produits à l’importation permettra également de réduire considérablement la facture d’importation des produits alimentaires, ajoute-t-il.
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