Les joueurs de l’USM Alger soutiennent leur entraîneur Jamil Benouahi. Ce dernier, qui passera demain matin en conseil de discipline, devrait être limogé, en compagnie des membres de son staff. Un scandale a secoué la maison de l’USM Alger hier matin. En effet, l’entraîneur Jamil Benouahi et un groupe de joueurs ont fait l’impasse sur […]
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Written by Andrés García Higuera.
A recently published Panel for the Future of Science and Technology (STOA) study offers a bird’s eye perspective of the key societal and ethical challenges that can be expect as a result of the convergence of artificial intelligence (AI) and communication technologies, and proposes some policy options that can be considered to address them.
Ethical discussion about digital technologies in the past few years has frequently focused on AI. It is important, therefore, to note that the challenges extend well beyond those that are typically or usually discussed in the AI ethics literature. The convergence of digital technologies will lead to new technological applications, but will also contribute to the creation of new sociotechnical systems and systems of systems, which may raise their own challenges. The convergence will therefore most likely result in technological possibilities and features that extend beyond those of individual enabling technologies like AI, the internet of things (IoT) and blockchain. To address these challenges, we need to look for policy options and regulation that extend beyond the realm of AI and the concerns it has raised.
Supported by the arrival of 5G and, soon 6G, digital technologies are moving towards an AI-driven internet of robotic and bionano things. New acronyms reflect this blending of technologies: ‘AIoT’ (AI and IoT merging), ‘IoRT’ (IoT and robotics merging) and ‘IoBNT’ (IoT and bionano tech merging). Blockchain, augmented reality and virtual reality add even more technological options to the mix. Smart bodies, smart homes, smart industries, smart cities and smart governments lie ahead, with the promise of many benefits and opportunities. However, unprecedented amounts of personal data will be collected, and digital technologies will affect the most intimate aspects of our life, like the realms of love and friendship, more than ever. The STOA report offers a wide overview of the key societal and ethical challenges we can expect as a result of this convergence, and of the possible policy options to address them.
Many, if not all, new applications and sociotechnical systems will display one or more of the following features: interactive, long-distance, distributed, autonomous, intelligent, adaptive, reconfigurable, hybrid, fully connected, invisible, fast, precise in location, intimate, immersive, persuasive, and commercially exploitable. These features partly stem from the individual technologies ‘in the mix’. For example, features like interactivity, autonomy, intelligence and autonomy are typical characteristics of AI systems. However, some features also emerge due to new combinations of technologies. Moreover, it is often the combination of the features that creates new challenges for society, policy-making and regulation. Based on these features and inspired by the interviews with a number of experts, the STOA study identifies (and explains in more detail) a series of key opportunities and challenges. Using responsible research and innovation (RRI) as the overarching framework for developing policy options, an analysis then centres around four dimensions: inclusiveness, anticipation, reflexivity and responsiveness. Inspired by these dimensions, the report puts forward a variety of policy options in response to the challenges identified. These range from measures aiming to give digital innovation a clearer space in the Horizon Europe funding scheme and to stimulate industrial development in the sector, to fostering the development of critical infrastructures. The proposed measures also address the societal impact of these technologies in relation to specific issues such as digital literacy, privacy and digital rights for citizens.
Read the full report and STOA options brief to find out more. Some preliminary results of this analysis were presented by its authors to the STOA Panel at its meeting of 20 January 2022. A complete version of the study has now been released, incorporating the ideas provided at the time by the STOA Panel Members through their suggestions and comments.
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La Fondation Jack Ma a annoncé ce 1er août, les noms des 50 finalistes de la compétition Africa's Business Heroes (ABH) Prize, édition 2022.
Dans le but de mettre en lumière et de soutenir les entrepreneurs africains, la Fondation Jack Ma a organisé Africa's Business Heroes (ABH) Prize, édition 2022.
Le concours a attiré plus de 21 000 candidatures provenant des 54 pays africains. Les candidatures venant d'Afrique centrale sont en hausse de 20%, soit 9% du total des candidatures reçues. L'Afrique australe a présenté 17% des candidats, l'Afrique de l'Est 17% également et l'Afrique de l'Ouest 43%.
En outre, le nombre de candidatures issues d'Afrique du Nord, qui s'affichent en hausse de 26% par rapport à la précédente édition, représentaient 7% du total. Cette année, le nombre de candidatures provenant de 34 pays a augmenté de plus de 50%. L'Égypte, le Burkina Faso, le Malawi et le Burundi, par exemple, affichent une formidable croissance de leurs participants, ce qui renforce la position de l'ABH en tant qu'initiative véritablement panafricaine.
Les femmes entrepreneurs sont bien représentées, avec 31% des candidatures. L'âge des participants varie de 19 à 72 ans, preuve qu'il n'y a pas d'âge limite pour être entrepreneur.
L'ABH, qui en est maintenant à sa 4e édition, est devenu un programme philanthropique incontournable en Afrique. La plupart des participants ont été informés de l'existence du concours par le bouche à oreille.
Un panel de plus de 60 juges vont à présent interviewer les 50 finalistes, issus de secteurs variés – agriculture, énergie, soins de santé, vente au détail et fabrication. Dix pour cent d'entre eux sont francophones, 42% sont des femmes et 60% sont actifs en zone rurale.
Pour la première fois, ce Top 50 compte des candidats du Burkina Faso, de Somalie, de Guinée et du Burundi.
« Nous sommes ravis de constater que, cette année, tous les pays et toutes les régions d'Afrique sont représentés au concours et que les participants sont plus diversifiés que jamais », a déclaré Zahra Baitie-Boateng, responsable partenariats et programmes, Africa's Business Heroes. Selon elle, « plus de 21 000 entrepreneurs de tous secteurs, genres et âges sont entrés en lice et c'est très encourageant ! ».
« Les 50 finalistes de l'ABH 2022 témoignent du potentiel et du talent considérables qui existent en Afrique. Nous nous réjouissons à la perspective de les mettre à l'honneur et de leur apporter le soutien dont ils ont besoin pour se développer et générer un impact positif sur leurs entreprises et leurs collectivités », a-t-elle ajouté.
Les 50 finalistes de l'ABH 2022 ont récemment participé à un séminaire virtuel d'entraînement à la prochaine série d'entretiens.
Le séminaire proposait des sessions animées par des partenaires et des membres du jury. Parmi les thèmes couverts, figuraient l'utilisation des données pour mieux comprendre les marchés, l'identification des possibilités de développement, la réalisation de campagnes de marketing numériques efficaces et la vente à l'ère du numérique.
Le Top 20 sera annoncé fin août. Enfin, le Top 10 sera connu en octobre, avant la grande finale ou chacun de ces dix meilleurs présentera son projet en direct à des célébrités internationales du monde des affaires pour décrocher leur part du prix de 1,5 million USD.
Cette année, le slogan officiel du concours est « It's African Time », un appel audacieux à l'action lancé à tous les talents de l'entrepreneuriat africain qui remettent en question les stéréotypes associés à « L'African time » en créant un impact local et en construisant un avenir meilleur et plus inclusif grâce à leurs activités.
Consulter la liste des 50 finalistes de l'ABH 2022 sur https://bit.ly/3PS0iqp.
À propos de l'Africa's Business Heroes
Le concours Africa's Business Heroes est la principale initiative philanthropique dirigée par la Fondation Jack Ma. Cette compétition a pour but de soutenir et inspirer la prochaine génération d'entrepreneurs africains de tous les secteurs d'activités qui construisent une économie plus durable et plus inclusive à l'échelle du continent.
Pendant dix ans, l'ABH récompensera 100 entrepreneurs africains et s'engage à fournir des subventions, des programmes de formation et un soutien au développement d'un écosystème entrepreneurial. Chaque année, le concours ABH sélectionne 10 finalistes qui ont l'opportunité de présenter leur activité et de remporter une part du prix de 1,5 million USD. Jack Ma, fondateur d'Alibaba Group et de la Fondation Jack Ma, a créé le concours après sa première visite en Afrique en 2017, durant laquelle il a été inspiré par l'énergie et le potentiel entrepreneurial des jeunes qu'il a rencontrés.
Le ministre de la santé, le professeur Abderrahmane Benbouzid, a invité les directeurs de la santé à travers toutes les wilayas à s’armer en prévision de toute urgence, et ce à cause de l’augmentation du nombre de contaminations à la Covid-19 en Algérie ces dernières semaines. Selon un communiqué du ministère, rendu public sur la […]
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Autrefois grand pourvoyeur de ressources halieutiques, le lac Ahémé, un des plus importants plans d'eau de la zone ouest du Sud-Bénin a vu ses ressources s'amenuiser au fil des années. Le dragage, l'ultime solution pour soulager les peines des populations riveraines, pêcheurs pour la plupart, n'a jamais été effectif. Il a fallu l'engagement du gouvernement du président Patrice TALON pour que le dragage du lac Ahémé, un projet vieux de plusieurs décennies, prenne corps avec une phase pilote sur le carrefour de Djondji-Houncloun. Le ministre du cadre de vie et du développement durable, et les responsables en charge du projet expliquent le bien-fondé du choix porté sur Djondji-Houncloun, qui est un carrefour stratégique.
Le jeudi 27 janvier 2022, le ministre du cadre de vie et du développement durable avait procédé au lancement des travaux de dragage du lac Ahémé, la phase pilote du carrefour de Djondji-Houncloun dans la commune de Ouidah. Il s'agit de la première phase du vaste projet de réhabilitation du lac Ahémé et ses chenaux longtemps attendu par les populations.
« Depuis plus de 50 ans, tout le monde connait la solution. La solution, c'est le dragage du lac Ahémé et de ses chenaux. C'est pour cette raison que l'ADELAC (Agence pour le Développement intégré de la Zone Économique du Lac Ahémé et ses Chenaux) a été mis sur pied, c'est pour cette raison que dans le cadre du PAG (Programme d'actions du gouvernement), l'ADELAC a été maintenue, que ses capacités ont été renforcées. Et donc, le dragage du lac Ahémé a été maintenu parmi les projets prioritaires du PAG », a expliqué le ministre du cadre de vie dans un entretien à la presse.
Selon José TONATO, Djondji-Houncloun est « un point critique qu'il faut draguer en urgence comme point prioritaire pour déclencher ensuite tout le phénomène d'écoulement naturel ».
« Toutes les espèces, et les espèces les plus importantes qui partent de la mer et viennent grandir et nourrir le lac, passent nécessairement par le carrefour de Djondji avant de venir dans le lac Ahémé », a expliqué Martin GBEDEY, DG de l'ADELAC.
Le carrefour de Djondji pour lui, est un carrefour critique, le lieu où s'opère « la migration des espèces entre la mer et le lac ».
Les travaux de dragage en cours selon le DG de l'ADELAC, constituent la toute première phase de l'ensemble de dragage qui va s'opérer sur l'ensemble du plan d'eau. « On ne s'arrêtera pas à Djondji », a-t-il rassuré.
Au-delà des opérations de dragage, deux passerelles seront aménagées pour faciliter les conditions de transit des populations d'une berge à une autre, notamment à Hata, et à Mecko, a expliqué, Christian VIAHO, directeur technique de l'ADELAC.
A cela s'ajoute l'aménagement des débarcadères prévus pour faciliter le transport fluvial et l'accostage des pirogues de pêche.
Selon le directeur technique, le volet environnement du projet n'a pas été occulté. Il prend en compte, la plantation de 10 ha de palétuviers, a informé Christian VIAHO.
Sur le terrain tout se déroule bien. Les deux dragues installées par l'entreprise en charge des travaux tournent à plein régime sur la lagune côtière dans le but de débarrasser le plan d'eau des sédiments qui encombrent son lit. Ces dragues aspirent lesdits sédiments depuis les profondeurs, les transitent via des canaux installés à l'occasion, avant de les écouler dans la zone de refoulement.
En plus des travaux d'assainissement et de dragage, le gouvernement a prévu des aménagements touristiques sur le lac, et à ses alentours avec au cœur, l'île historique de Mitogbodji.
Cette première phase de dragage permettra de réhabiliter environ 208 hectares sur le plan d'eau avec une profondeur maximale de 6 mètres. Le coût global des travaux est estimé à plus de 21 milliards de francs CFA, financé sur le budget national.
F. A. A.