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A travers une déclaration rendue publique, ce mardi 28 octobre 2025, le président de l'ex Parti du renouveau démocratique (PRD), Me Adrien Houngbédji a annoncé son soutien au ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances, candidat des forces politiques de la mouvance à l'élection présidentielle de 2026 au Bénin. Le leader des Tchoco-Tchoco après avoir félicité Romuald Wadagni, a également annoncé son soutien actif pour la campagne électorale à venir.

La déclaration de Me Adrien Houngbédji

Le processus d'enregistrement des candidatures dans le cadre des élections communales et municipales de 2026 s'est achevé dans la nuit de ce mardi 28 octobre 2025 à la Commission électorale nationale autonome (CENA). Au total, 5 partis politiques ont déposé leurs dossiers de candidatures pour ces élections.

Fin du processus d'enregistrement de candidatures pour les élections communales et le municipales de 2026. Le processus lancé vendredi 24 octobre dernier est arrivé à terme dans la nuit de ce mardi 28 octobre 2025. Seuls 5 partis ont pu franchir le portail de la CENA avant 00h. Il s'agit de la Force cauris pour un Bénin émergent (FCBE) ; l'Union progressiste le renouveau (UP-R) ; le Mouvement des élites engagés pour l'émancipation du Bénin (MOELE-BENIN) ; Les Démocrates (LD), et du Bloc républicain (BR).
Après cette étape, suivra l'étude des dossiers et la publication des listes retenues par la CENA.

F. A. A.

La représentante adjointe de l’ONU-Femmes en RDC, Catherine Odimba, encourage différents acteurs à mener des actions concrètes en faveur du bien-être des jeunes filles en République démocratique du Congo.

Lors de la Journée internationale de la jeune fille célébrée chaque année le 11 octobre, mais dont l’activité officielle s’est tenue le 27 octobre, elle a souligné que les filles en RDC font face à de nombreux défis persistants.

Pour la première fois depuis la chute de la dictature des colonels en 1974, la Grèce autorise la création d'universités privées, Quatre établissements étrangers, dont la britannique Keele University, ont obtenu leur autorisation. Pour l'opposition de gauche, ce tournant violerait la Constitution.

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RFI vous propose une série de reportages tournée dans le Tanganyika, une province de l’est de la RDC, frontalière avec le Maniema et le Sud-Kivu. Cette dernière, tout comme le Nord-Kivu, est déchirée par un conflit qui oppose l’armée congolaise et ses alliés au groupe AFC/M23, soutenu par le Rwanda. Depuis 2022, ce conflit a provoqué d’importants mouvements de population qui fuient des zones de guerre. Des populations parvenues jusqu’au Tanganyika voisin. Ce qui ravive des blessures dans cette province secouée depuis 2016 par un conflit intercommunautaires entre les Bantou et les Twa. Conflit qui a baissé en intensité depuis 2023. Désormais, les deux communautés réapprennent à revivre ensemble.

L'agression mortelle d'un homme de 48 ans dans la nuit de vendredi à samedi à Novo Mesto, dans le sud-est de la Slovénie, a provoqué les démissions des ministres de l'intérieur et de la Justice, une surenchère de réactions politiques et une manifestation mardi soir.

- Articles / Slovénie, Une - Diaporama, Courrier des Balkans, Roms Balkans, Défense, police et justice, Populations, minorités et migrations

In today's edition: Energy Union, COP30, 2040 target, critical minerals

Citizens are calling on the European Union to boost the European railway sector. Many citizens have written to the European Parliament’s Transport Committee on this subject since October 2025, asking for more subsidies for railways, the development of high-speed rail networks and tax reductions for rail.

We replied to citizens who took the time to write to the Transport Committee.

EU support for rail travel

One goal of the European Union’s (EU) Green Deal is to reduce emissions in the transport sector by 90 % by 2050.

To achieve this, the EU has adopted a sustainable and smart mobility strategy and an action plan for rail to boost long-distance and cross-border travel. The action plan aims to double high-speed rail traffic by 2030 and treble it by 2050, using targeted investments, standardisation of European rail systems and better connectivity for rural and remote regions.

In 2023, the European Commission proposed new rules to better manage railway tracks, increase reliability and help reduce transport-related emissions. The European Parliament adopted its position on the proposal in 2024.

In 2025, the EU invested €2.8 billion through its Connecting Europe Facility programme, mostly for rail, to modernise the railways and improve cross-border transport across the trans-European transport network (TEN‑T).

In 2025, the Commission announced it would develop a sustainable transport investment plan to support cleaner transport in Europe. One of the aims is to encourage more people to use the railways.

European Parliament position

In June 2025, the European Parliament addressed railway transport in the EU in two separate resolutions.

In the first resolution, Parliament said that road, rail and maritime (sea) transport links needed to be developed through EU co-funded programmes, to reduce the isolation of rural areas and facilitate the sustainable mobility of people and goods. In the second resolution, Parliament regretted the shortage of viable cross-border measures, including high-speed railways, that are essential for completing the TEN‑T network.

In an earlier resolution adopted in 2022, Parliament recognised the crucial role of rail in decarbonising mobility. It supported the EU’s sustainable and smart mobility strategy and welcomed the Commission’s action plan.

Aviation fuel tax exemption

In 2021, as part of the Green Deal, the Commission tabled a proposal to review the Energy Taxation Directive. The proposal would remove the mandatory tax exemption for aviation (aeroplane) fuels.

The proposal is subject to the ‘special legislative procedure’, which means the European Parliament is only consulted, and national governments must reach unanimous agreement in the Council. So far, the national governments have not reached an agreement. Further information is available in this briefing from the European Parliament’s Research Service.

Background

Citizens often send messages to the European Parliament expressing their views and/or requesting action. The Citizens’ Enquiries Unit (AskEP) within the European Parliamentary Research Service (EPRS) replies to these messages, which may sometimes be identical as part of wider public campaigns.

Tíz ember munkáját végzi el egy jól edzett keresőkutya, ezért fontos, hogy a hegyimentők akcióiban az erre alkalmas ebek is részt vegyenek a csapatban. Számuk megduplázódott az utóbbi öt évben de még így is messze elmarad például az osztrák nívótól. Kovács Zoltán Róbert 11 évig dolgozott Tassal, most új társsal gyakorol a Fogarasi havasokban. A […]

Articolul Nélkülük jóval nehezebb apare prima dată în Kolozsvári Rádió Románia.

Depuis le 3 juin dernier, le gouvernement néerlandais est aux affaires courantes. La responsabilité en incombe au leader populiste Geert Wilders. Il a décidé que son Parti pour la Liberté (PVV) se retirerait de la coalition gouvernementale. Le Premier ministre Dick Schoof n’a eu d’autre choix que de remettre sa démission. Quatre mois ont passé et les Néerlandais sont appelés aux urnes ce mercredi 29 octobre. Vingt-sept partis se disputent les 150 sièges du Parlement, dans un système à la proportionnelle. Les sondages semblent dessiner une autoroute pour l'extrême droite de Geert Wilders.

Nem lehet pusztán adóemelésekkel és költségcsökkentéssel megoldani a költségvetéshiányt, gazdaságserkentő intézkedéseket kell találni – magyarázta Kelemen Hunor tegnap este az Antena 1 műsorában. Az RMDSZ elnöke szerint semmilyen formában nem lehet tovább emelni az adókat és illetékeket, ugyanakkor a kiadások csökkentésével sem lesz több mint 38 milliárdos megtakarítás. Kelemen Hunor szerint bárki kiléphet a koalícióból, […]

Articolul Kelemen Hunor: gazdaságserkentő intézkedések kellenek apare prima dată în Kolozsvári Rádió Románia.

Le ministre des Sports et Loisirs, Didier Budimbu, a échangé, mardi 28 octobre à Kinshasa, avec plusieurs opérateurs sportifs au sujet de la création d’une académie nationale de football.

Selon les discussions, cette école sera le fruit d’un partenariat entre la RDC et le club français de l’AS Monaco.

Dimanche et lundi, plusieurs images et messages de groupes appelant à la haine envers les Turcs ont circulé. Cette vague d'hostilité fait suite à une agression au couteau, sans blessure vitale, d'un citoyen monténégrin, dont les auteurs présumés seraient des ressortissants turcs.

- Articles / Relations régionales, Populations, minorités et migrations, Turquie Balkans, Monténégro, Turquie

Dimanche et lundi, plusieurs images et messages de groupes appelant à la haine envers les Turcs ont circulé. Cette vague d'hostilité fait suite à une agression au couteau, sans blessure vitale, d'un citoyen monténégrin, dont les auteurs présumés seraient des ressortissants turcs.

- Articles / Relations régionales, Populations, minorités et migrations, Turquie Balkans, Monténégro, Turquie

The 91-year-old Nobel laureate in literature has been a critic of Trump's immigration policy.

Kinder von Eltern mit Wohneigentum haben höhere Chancen, eigene Immobilien zu besitzen, als Kinder von Mieter*innen – Zusammenhang schwächt sich aber in jüngeren Generationen ab: Immer mehr wohnen zur Miete – Abbau von Eigenkapitalhürden könnte sinnvoll sein Junge Menschen in Deutschland besitzen ...

Bachir Ben Barka, fils aîné de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka, est l'invité de RFI ce 29 octobre. Il y a 60 ans, le 29 octobre 1965, le leader de l'opposition marocaine Mehdi Ben Barka est enlevé en plein Paris. On ne l'a jamais revu. Soixante ans après, sa famille espère toujours obtenir la vérité sur sa disparition et son assassinat.

Le Parlement a entériné mercredi l'intégration de la notion de consentement à la définition pénale du viol, fruit d'un long processus législatif transpartisan concrétisé par un ultime vote du Sénat, ce qui permet à la France de rejoindre plusieurs pays ayant déjà procédé à cette évolution du droit. 

In today’s edition: Dutch voters head to the polls as Rob Jetten’s progressive D66 gains momentum, a probe reveals the EU kept paying a convicted neo-Nazi MEP, and Brussels and New Delhi inch closer to a trade deal after ‘constructive’ talks

Credit: UN Photo/Loey Felipe

By I. R. King and Janeel Drayton
UNITED NATIONS, Oct 29 2025 (IPS)

In June 2025, the international community celebrated the 80th anniversary of the signing of the United Nations Charter. On October 24, we celebrated UN Day, commemorating its ratification. This is an opportune moment to reflect on how far we have come, and the ground we have yet to traverse.

Countries of the Global South particularly find themselves at a critical juncture, as we experience firsthand the shifts of the multilateral system and bear the brunt of its effects.

The UN Charter, as the foundational document of the United Nations (UN), affirmed belief in a multilateral system and formally established an international organization aimed at curtailing future suffering in a post-World War context. The UN’s Security Council, one of the principal organs created by the Charter, which is primarily tasked with the maintenance of peace, became the cornerstone of the international peace and security framework.

Comprised of five permanent members (China, France, Russia, the United Kingdom, and the United States) with veto power, and 10 non-permanent members elected for two-year terms, the Council has locked into place a power imbalance, which perpetuates the historical injustices of a bygone era.

Today, the world is not as it was in 1945. We are witnessing escalating conflicts in real time – from Ukraine to Gaza to Sudan, unprecedented global security threats, and rapidly shifting geopolitics – all challenging the lofty ideals and aspirations that underpinned the UN’s founding.

In light of the critical mandate of the UN Security Council, and the far-reaching consequences of its decisions, (and its paralysis), it is necessary to ask: is the United Nations Security Council currently equipped to meet these evolving challenges and retain its legitimacy?

There may be varied views on the way forward, but for a majority the short answer to this question is “No.” It is not equipped in its current form.

The L.69, a diverse pro-reform coalition of developing countries from Africa, Latin America and the Caribbean, Asia and the Pacific, views reform as both urgent and essential. Our group is united by the call for comprehensive reform of the Security Council, specifically by expanding the membership in both the permanent and non-permanent categories of membership.

We believe that we must confront the reality that developing countries, which are home to the majority of the world’s population and are often on the frontlines of global crises, remain unrepresented and underrepresented on the Council.

The power to influence war and peace, to enforce international law, to decide where injustice is condemned or overlooked, and where humanitarian aid is delivered, should not continue to rest in the hands of a few powers, which includes those with a colonial past, who once held dominion over the very nations now seeking representation.

The exclusion of the perspective of those populations most affected by the conflicts is not only unjust, but also dangerous.

There is now a kind of ennui around the discussions on Security Council reform, which may be inevitable in a conversation that has been ongoing in various forms for decades. However, though the road to reform may be difficult we cannot afford to give up. The cost of inaction for the peoples of the world is a weighty matter that states will have to answer for.

There are pathways that have been identified for how the United Nations can go forward. The process can build on the only successful reform achieved in 1965, when the Council, in response to the growth of the UN membership, expanded from 11 to 15 members with the addition of four non-permanent seats.

The case is simple. Just as the world has changed, so too must the Security Council evolve. This is not only necessary to reflect today’s geopolitical realities, but to create a world where every voice counts. Security Council reform is about the global community fulfilling their commitment to the foundational promise of the United Nations: to uphold peace, dignity, and equality. Time is running out.

The question is not whether the Security Council will be reformed, but whether it will be reformed in time to remain relevant.

IPS UN Bureau

 

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Excerpt:

Ambassador I.R. King is Permanent Representative of Saint Vincent and the Grenadines and Chair of the UN Security Council Reform Group L69