You are here

Feed aggregator

Will the EU abolish the visa regime for Kosovars travelling to EU countries?

ELIAMEP - Mon, 13/06/2016 - 10:49

Briefing Note 44/2016 of ELIAMEP’s South East Europe Programme analyses the key parameters of  the EU decision to abolish the visa regime for Kosovars travelling to EU countries. This development can be seen as an important step in Kosovo’s efforts to come closer and eventually integrate in the EU.

Exercice Ardennes 2016 : Le 3 est dans la place

Il y a quelques semaines, le 3e régiment du génie a investi les rues de sa ville de garnison, Charleville-Mézières, pour l’exercice Ardennes 2016. Les compagnies de combat se sont ainsi relayées sur un scénario permettant aux militaires de s’entraîner aux multiples missions des sapeurs. Retour sur un exercice au cœur de la ville et au contact de sa population.
Categories: Défense

Így gyógyítottak Ugandában az AHU Medical Team orvosai

Afrikai Magyar Egyesület - Mon, 13/06/2016 - 10:40

{youtube}C4hrX9crFHU{/youtube}

Categories: Afrika

Les Néo-Zélandais ont aussi leur Defence White Paper 2016 (rires à Canberra)

Lignes de défense - Mon, 13/06/2016 - 10:39

 

Les Néo-Zélandais ont aussi leur Defence White Paper. Il a été diffusé le 8 juin et précise la stratégie nationale pour les années à venir ("au-delà 2030"). Le White Paper précédent date de 2010.

Ce document rappelle quelques chiffres sur les capacités militaires néo-zélandaises dont les effectifs totaux sont de 14 199 personnes. Les civils constituent 19,4% de cette force et les réservistes 16,3%, ce qui laisse une force d'active de 9 119 personnes (4 584 pour l'armée de terre au sein de la 1st NZ Brigade).

Par ailleurs, ce White Paper est avant tout un document doctrinal, qui ne détaille ni les besoins ni les moyens futurs des forces armées. Ce sera l'objet du futur Defence capability Plan. Toutefois, le ministre de la défense signale dans son introduction des investissements planifiés d'un montant de "20 milliards de dollars" sur 15 ans, sans que ce soit volume ne soit détaillé plus loin. Seule indication, ce tableau sur les intentions:

Ce Defence White Paper 2016 de 88 pages est à consulter ici.

Côté australien, on ne se prive pas pour dénoncer la pauvreté de ce White Paper (pauvreté budgétaire et stratégique). On lira ici un commentaire cinglant de Peter Jennings, directeur de l'ASPI.

Extrait: "New Zealand’s Defence White Paper 2016 (is) a policy statement that plumbs new depths of vacuity in its desperation to say nothing offensive to outsiders nor to commit Wellington to a precise course of action."

Autre extrait: "Paper that says nothing—zero, zip, nada—about Defence spending, not even mentioning the size of the current Defence budget."

 

 

Categories: Défense

Professor George Pagoulatos writes on reactions within the Greek society in the Sunday edition of Kathimerini, 12/06/2016

ELIAMEP - Mon, 13/06/2016 - 10:36

You can read here the article on reactions within the Greek society, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 12 June 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Jean-Michel Sévérino : « Les PME africaines doivent pouvoir peser sur les Etats »

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 10:33
L’ex-vice-président de la Banque mondiale a annoncé la création du Club africain des entrepreneurs pour permettre aux petites structures de se faire entendre.
Categories: Afrique

A l’agenda du Conseil des Affaires étrangères, le 20 juin

Bruxelles2 - Mon, 13/06/2016 - 10:32
(BRUXELLES2) Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'UE, lundi (20 juin), doit adopter la décision sur l'extension du mandat de l'opération maritime en Méditerranée (EUNAVFOR Med / Sophia) au contrôle de l'embargo sur les armes et la formation des garde-côtes. Le Conseil aura quatre sujets "politiques" à l'agenda : 1. la politique intégrée […]
Categories: Défense

OTAN/Russie : vers un accroissement des tensions ?

IRIS - Mon, 13/06/2016 - 10:28

L’OTAN mène depuis le lundi 6 juin l’opération « Anaconda », son plus grand exercice militaire depuis la fin de la guerre froide. Dans quel contexte géopolitique cette manœuvre s’inscrit-elle ? Quel est le message adressé à la Russie ?
Nous sommes dans une période de tensions accrues entre la Russie et les pays occidentaux depuis le début de la crise ukrainienne en 2014. Le référendum organisé en Crimée, hors des règles constitutionnelles, qui a conduit au rattachement de cette province ukrainienne à la Russie, et le conflit armé qui a été déclenché entre l’Ukraine et les rebelles de la région du Donbass, opposés au pouvoir central de Kiev et appuyés par les Russes, participent à ce regain de défiance.
Ces manœuvres se déroulent un mois avant le Sommet de l’OTAN, prévu début juillet à Varsovie. Elles ont pour objectif d’envoyer un message dissuasif en direction de la Russie, et de décourager les Russes de tenter une action militaire directe – très peu probable – ou du moins d’utiliser des moyens de guerres hybrides contre des pays de l’OTAN, les Pays baltes ou la Pologne. Mais le message n’est pas seulement destiné à la Russie. C’est aussi un message de réassurance vis-à-vis de la Pologne et des Pays baltes, inquiets de ce qu’ils considèrent comme une résurgence de la menace. Ce message est au moins aussi important que le premier.

Le renforcement du système de défense anti-missile en Roumanie, et bientôt en Pologne, constitue-t-il une menace pour la Russie ? Quelle est la stratégie américaine ?
Le projet de défense anti-missile date de la fin des années 90. À cette époque, les Américains avaient imaginé un système de défense qui puisse les protéger face à des pays proliférants et contre des tirs de missiles balistiques en nombre limité. Le projet a été repris par l’OTAN en 2005. En 2009, le système de défense anti-missile européen a été révisé par le président américain Barack Obama en faveur d’un déploiement en plusieurs étapes de la défense anti-missile, privilégiant d’abord la protection contre les missiles à courte et moyenne portée. La protection contre les missiles à plus longue portée, celle qui inquiète les Russes, devait venir ensuite.
Initialement, même si ce n’était pas écrit dans les textes et notamment dans le concept stratégique de l’OTAN de 2010, le bouclier anti-missile en Europe visait essentiellement le risque d’une prolifération balistique et nucléaire en Iran.
Il est vrai que, désormais, depuis l’accord sur le nucléaire de juillet 2015 avec l’Iran qui a permis de stopper le phénomène de prolifération en Iran, la défense anti-missile européenne a perdu de son intérêt. Or, le projet continue à être développé. Un nouveau stade d’opérationnalité sera d’ailleurs proclamé lors du prochain sommet de l’OTAN. Cela inquiète vivement les Russes. La Russie avait d’ailleurs engagé des négociations avec l’OTAN, et plus spécifiquement avec les Américains, pour être intégrée au projet de défense anti-missile afin d’avoir l’assurance qu’il n’était pas dirigé contre ses forces de dissuasion nucléaire. La révision du projet par Barack Obama en 2009 avait d’ailleurs pour objectif de limiter dans un premier temps le déploiement de la défense anti-missile aux instruments qui ne sont pas susceptibles de menacer la Russie. Mais aujourd’hui, les SM-3 Block IB qui seront déployés en Roumanie peuvent intercepter des missiles à plus longue portée, ce qui inquiète les Russes.
Il y a donc deux éléments à prendre en considération. Effectivement, les Russes perçoivent le bouclier anti-missile européen comme une menace dans la mesure où il pourrait, un jour ou l’autre, intercepter les missiles de la force de dissuasion nucléaire russe. Si les Russes ont donc le sentiment de voir leur protection être affaiblie, il ne faut pas voir pour autant le système de défense anti-missile comme étant dirigé uniquement contre la Russie. En effet, ce projet initialement porté par les Américains, et ensuite adopté par l’OTAN, a une portée qui va au-delà de l’Europe : il s’agit pour les Etats-Unis de se protéger de frappes nucléaires limitées sur l’ensemble de la planète. Les mêmes éléments de défense anti-missile sont déployés en Asie avec des frégates AEGIS, au Japon, tandis que les Etats-Unis encouragent les Indiens à se doter d’un bouclier antimissile et vendent des systèmes de défense élargis à tous les pays du Proche-Orient. C’est donc bien un projet qui vise à couvrir l’ensemble de la planète face aux pays potentiellement proliférants mais qui par ricochet tend à affaiblir la protection des pays qui disposent de l’arme nucléaire et qui ont développé ces armes dans une logique dissuasive.

Les incidents militaires entre la Russie et les Etats-Unis en Mer baltique préfigurent-ils un accroissement des tensions cet été, alors que l’OTAN tiendra son Sommet annuel à Varsovie, et que la Suède et la Finlande se rapprochent de l’Alliance ?
Dans cette période de tension, il est certain que les Russes testent la défense des pays européens. On l’a notamment vu lorsque la Russie a déployé des bombardiers en Syrie, et a étonnamment privilégié un parcours longeant les frontières des pays membres de l’OTAN avant de se déployer en Syrie, ce qui n’était pas forcément nécessaire. C’est une façon de tester les réactions de l’Alliance atlantique. L’OTAN répond de son côté par des manœuvres militaires afin de ne pas céder à ces intimidations.
Mais, parallèlement, le Conseil OTAN / Russie, une structure de dialogue créée à la fin des années 90 et qui ne s’était plus réunie depuis la crise en Crimée, a de nouveau tenu une réunion il y a deux mois. Il y a donc des canaux de discussion qui existent entre l’OTAN et la Russie et qui ont été rétablis. Il y a également le format Normandie (France, Allemagne, Ukraine, Russie) qui permet d’entretenir ce dialogue.
Le Sommet de l’OTAN à Varsovie sera l’occasion pour l’organisation de réaffirmer la réassurance vis-à-vis des Pays baltes et de la Pologne. Il est également probable que les canaux de communication avec la Russie soient développés car ce Sommet de l’OTAN, symboliquement situé en Pologne, devrait se traduire par une période de tension accrue entre les protagonistes.
Concernant la Suède, il faut rappeler que ce pays a privilégié une posture de neutralité armée durant la Guerre froide. Son rapprochement vis-à-vis de l’Alliance atlantique est progressif depuis la chute de l’Union soviétique. La perception de la résurgence de la menace russe contribue à accélérer le rythme de rapprochement de la Suède et de la Finlande avec l’OTAN.

Wochenplan von Präsident Donald Tusk

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 13/06/2016 - 10:12

Dienstag, 14. Juni 2016
11.00 Uhr Treffen mit dem VN-Generalsekretär, Ban Ki-moon (Fototermin)
13.00 Uhr Treffen mit dem Präsidenten der Europäischen Kommission, Jean-Claude Juncker (Berlaymont)
17.00 Uhr Treffen mit dem Präsidenten der Zentralafrikanischen Republik, Faustin Touadera (Fototermin)

Mittwoch, 15. Juni 2016
9.15 Uhr Treffen mit dem Präsidenten von Kenia, Uhuru Kenyatta (Fototermin)
10.30 Uhr Treffen mit dem Ministerpräsidenten von Timor Leste, Rui Maria de Araújo (Fototermin)
13.30 Uhr Treffen mit dem Präsidenten von Burkina Faso, Roch Marc Kabore (Fototermin)
14.15 Uhr Treffen mit dem Ministerpräsidenten von Äthiopien, Hailemariam Desalegn (Fototermin)
16.45 Uhr Treffen mit dem Präsidenten der Weltbankgruppe, Jim Yong Kim

Donnerstag, 16. Juni 2016
Helsinki
12.00 Uhr Treffen mit Ministerpräsident Juha Sipilä
13.00 Uhr Pressekonferenz
13.30 Uhr Arbeitsessen
15.00 Uhr Treffen mit Präsident Sauli Niinistö

Categories: Europäische Union

OSCE Parliamentary Assembly President condemns mass shooting in Orlando, Florida

OSCE - Mon, 13/06/2016 - 10:08

COPENHAGEN, 13 June 2016 – In response to this weekend’s deadly shooting in Orlando, Florida, OSCE Parliamentary Assembly President Ilkka Kanerva (MP, Finland) issued the following statement:

“The horrific attack at a nightclub in Orlando, Florida, was a cowardly and heinous act which I condemn unequivocally. There is no place for such violence and the fact that it was carried out against an LGBT establishment makes it both an act of terrorism and an act of hate.

“I offer heartfelt condolences to the families of the victims and express solidarity with the government and people of the United States, including the LGBT community.”
 

Related Stories
Categories: Central Europe

L'assemblée adopte la convention internationale de Kyoto pour simplifier les pratiques douanières

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 10:06

La convention internationale de Kyoto a été adoptée par la représentation nationale. Elle repose sur une série de principes de nature à moderniser constamment les régimes douaniers pratiques et d'améliorer leur rendement sans oublier leur efficacité.

La convention dont il est question, vise à éliminer les disparités entre les régimes douaniers et les pratiques douanières des parties contractantes qui peuvent le commerce international et les autres échanges internationaux. Elle apporte une contribution efficace au développement du commerce et des échanges en simplifiant et en harmonisant les régimes et pratiques douaniers. Les éléments constitutifs de cette convention ne sont rien d'autre que les principes qui organisent les obligations contractantes de ladite convention. Il s'agit de l'ensemble des programmes devant permettre une modernisation constante des régimes et pratiques douaniers pour plus d'efficacité par rapport au rendement. Comme principes, on peut noter l'application de manière prévisible, cohérente et transparente des régimes douaniers et pratiques douanières, la mise à disposition de toutes les informations, l'adoption des techniques modernes telles que les systèmes de gestion des risque, la mise en œuvre de normes internationales pertinentes et l'ouverture aux parties lésées de voies de recours. A ces principes, la convention révisée adoptée a ajouté de nouvelles directives. Il s'agit de la transparence des actions, la standardisation et la simplification des déclarations des marchandises et de leurs pièces justificatives sans oublier la simplification des procédures, l'utilisation maximale des technologies informatiques, les contrôles douaniers nécessaires pour assurer la conformité avec les règlements et la coordination des interventions avec d'autres agences. La nouvelle norme aidera notre pays à tirer des bénéfices comme l'agrément attestant les normes internationales en vigueur, la possibilité de participer à l'élaboration des normes futures et celle de s'impliquer davantage dans les négociations commerciales ou de jouir des activités relative au renforcement des connaissances et capacités.

Par Nicaise AZOMAHOU

Categories: Afrique

Singapour détruit 7,9 tonnes d’ivoire de contrebande venant d’Afrique

LeMonde / Afrique - Mon, 13/06/2016 - 09:57
Les autorités singapouriennes veulent envoyer un « message fort » pour condamner le commerce illégal d’espèces sauvages.
Categories: Afrique

L’Europe centrale à l’épreuve de l’autoritarisme

Politique étrangère (IFRI) - Mon, 13/06/2016 - 09:55

La rédaction a le plaisir de vous offrir un second article du numéro d’été 2016 de Politique étrangère : « L’Europe centrale à l’épreuve de l’autoritarisme », par Georges Mink.

Personne ne se souvient de la phrase prophétique de Bronislaw Geremek en 1990 : « La voie de la liberté est ouverte, celle de la démocratie reste incertaine. » À l’époque, on pardonnait le pessimisme chronique du professeur éprouvé par l’expérience traumatique de la Seconde Guerre mondiale. Ce qui dominait alors était l’idée que la marche vers la démocratie était aussi sûre que naturelle. Tout comme l’insertion dans les institutions garantissant la paix et la prospérité en Europe : l’OTAN et la CEE.

Les transitologues s’appliquaient à mesurer la consolidation – Adam Przeworski définissait le régime démocratique « consolidé » par la répétition des alternances entre élites et partis opposés. La démocratie consolidée s’imposait quand elle était « the only game in town ». Les élites de consolidation devaient routiniser, pour que ses mécanismes deviennent des réflexes inconditionnels pour résoudre les conflits publics. Le 1er mai 2004 a clos symboliquement cette longue marche. Voix et mouvements europhobes et/ou antidémocratiques ne se sont certes pas éteints puisque les embryons de l’extrême droite ou droite anti-européenne ont persisté dans toute l’Europe centrale ; certains, après des succès électoraux, participant à des coalitions au pouvoir comme le parti national slovaque (SNS) de Jan Slota en Slovaquie ou la Ligue des Familles polonaises de Roman Giertych.

Les pays de Visegrad semblaient pourtant tracer leur chemin, certains même avec des succès forçant l’admiration à Bruxelles. Ce fut le cas de la Pologne, qui a traversé la crise de 2008-2009 sans récession, quasi seule en Europe. Avec une présidence de l’UE réussie, une politique étrangère proactive, elle passait en première ligue des pays européens. Ces succès ont été par deux fois couronnés par l’UE : la première fois quand Jerzy Buzek fut élu président du Parlement européen, puis avec la désignation de Donald Tusk au poste le plus prestigieux depuis le traité de Lisbonne, celui de président du Conseil européen.

Le virage autoritaire de la Hongrie en 2010 est apparu comme une première faille, estimée alors accidentelle et gérable par pressions, condamnations ou suspensions en droit européen. Elle s’est confirmée par la victoire du parti Fidesz en 2014. On s’interroge sur le populisme est-européen depuis le début de la transition vers la démocratie, mais c’est avec la Hongrie de Viktor Orban que le concept de régime démocratique illibéral s’impose. Le concept de populisme fait une carrière exceptionnelle, académique et journalistique. On lui reproche cependant sa polysémie : il désigne des phénomènes très différents. Le concept de régime démocratique illibéral n’a pas tout de suite été appliqué aux pays postcommunistes qui paraissaient échapper aux ambiguïtés d’une Russie ou d’une Turquie. Certains de ces pays ont basculé dans cette catégorie en faisant élire démocratiquement des leaders autoritaires dont la gouvernance tend au monopole du pouvoir par la neutralisation de certaines institutions (notamment les tribunaux constitutionnels). Tous les instruments de la gouvernance sont ainsi concentrés par ces leaders « illibéraux » pour la réalisation de leurs projets et leur garantir la durée. La soumission des médias publics, l’imposition d’une seule et unique narration historique réinterprétant le passé au bénéfice des nouveaux gouvernants, le bouleversement des priorités en matière de politique étrangère, le remodelage de la loi électorale mais aussi la refonte de la Constitution, surtout lorsque les gouvernants disposent d’une majorité constitutionnelle, voilà la panoplie des politiques « illibérales ». Tout ceci au nom de l’axiome mettant au-dessus du contrôle constitutionnel la volonté dite du « Souverain ».

Les inclinaisons pro-russes et la réanimation du Quadrilatère de Visegrad

Le Triangle de Visegrad (Hongrie, Pologne et Tchécoslovaquie) naît le 15 février 1991 et devient quadrilatère en janvier 1993 (V4). Longtemps, ses leaders ont évité toute institutionnalisation, se contentant à partir de 1994 d’un Accord de libre-échange centre-européen (CEFTA), pour créer finalement une structure légère de coordination politique et un Fonds International (en 2000). Le rôle du V4 a été important pour l’adhésion à l’UE et à l’OTAN, mais sa raison d’être est toujours mise à l’épreuve des intérêts contradictoires de ses membres. En 2002, Viktor Orban attaque la Slovaquie et la République tchèque pour la non-annulation des décrets Bénès, en vertu desquels les Hongrois ont été expulsés de la Slovaquie au lendemain de la Seconde Guerre mondiale…

Le 1er mai 2004, le V4 fête l’entrée dans l’UE. La raison centrale de la coopération – l’adhésion – disparaît ; ses activités se limitent alors à des concertations ministérielles avant les réunions à Bruxelles, à des activités académiques et culturelles. Le 20e anniversaire en 2011 ne revêt aucun éclat particulier.

La crise migratoire actuelle crée un réflexe de peur, alimenté par les propos dramatiques de leaders politiques en campagne, et provoque la convergence des pays du Quadrilatère de Visegrad dans le rejet d’une politique communautaire de solidarité. Et pourtant, cette unité ne va pas de soi. Un mois à peine après l’annexion de la Crimée par Moscou, Milos Zeman, président de la République tchèque, déclare que la péninsule ne reviendra jamais à l’Ukraine. Six mois plus tard, avec sa désinvolture coutumière, il compare la guerre à l’est de l’Ukraine, et le tir des séparatistes sur un avion civil transportant 298 passagers, à une simple poussée de fièvre. M. Zeman s’est distingué par une présence ostentatoire à Moscou, en mai 2015, aux cérémonies de commémoration du 70e anniversaire de la victoire sur les Nazis, malgré les sanctions décrétées par l’UE. Il a aussi participé à la réunion des « amis de la Russie » à Rhodes, organisée par Vladimir Jakounine, proche collaborateur de V. Poutine, placé sur la liste noire de l’UE et des États-Unis. C’est là que le président tchèque a parlé d’une Ukraine en déclin, et s’est prononcé contre les sanctions. De même, Viktor Orban a provoqué à Varsovie, lors de sa visite officielle en février 2015, un incident diplomatique sur le conflit russo-ukrainien, la Hongrie plaidant aussi pour la fin des sanctions imposées par l’UE. Il n’est pas sûr que la Pologne de 2016, gouvernée par un Parti Droit et Justice (PiS) fasciné par la Hongrie, soit rassurée par la politique étrangère de Viktor Orban vis-à-vis de la Russie, de la Chine ou de la Turquie. On rappellera que ce dernier a profité de l’instabilité ukrainienne pour revendiquer l’autonomie pour la minorité hongroise d’Ukraine subcarpathique.

Lire la suite en intégralité sur Cairn.info.

Accéder au sommaire complet sur www.ifri.org.

S’abonner à Politique étrangère.

IMF Balks at Serbian Government Promises to Increase Pensions

Balkaninsight.com - Mon, 13/06/2016 - 09:52
The International Monetary Fund is sceptical about Serbian government optimism on public sector salary and pension increases.
Categories: Balkan News

BEPC 2016 : 200.010 candidats composent ce jour

24 Heures au Bénin - Mon, 13/06/2016 - 09:46

(Le lancement officiel a lieu au lycée technique Coulibaly de Cotonou)

Par Amir NABIL

La phase écrite des compositions du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC) démarre officiellement ce lundi 13 Juin 2016 sur toute l'étendue du territoire béninois. Dès les premières heures de ce lundi 13 Juin 2016, 200.010 candidats dont 115.098 garçons et 84.912 filles iront à l'assaut de ce premier diplôme qui donne accès au second cycle de l'enseignement secondaire. Cette année, une augmentation de 12,47 % a été notée. Ce qui a entraînée la création de 19 nouveaux centres de compositions. Au total, les 200.010 candidats toute catégorie confondue seront répartis dans 267 centres de compositions sur toute l'étendue du territoire national, contrairement au 248 centres de compositions en 2015. A l'occasion de ces compositions, le ministre Lucien Kokou en charge des enseignements secondaire et de la formation technique et professionnelle exhorte les <> Il n'a pas manqué d'inviter les parents de ces candidats à couvrir leurs enfants d'attention en ces moments. Le ministre a adressé les mêmes messages d'exhortations aux responsables des différents centres de compositions ainsi qu'aux surveillants de salles et aux forces de l'ordre afin que toutes dispositions soient prises pour éviter d'éventuels cas de fraudes et/ou de tricheries. Il faut retenir que le plus jeune candidat à 9 ans et le plus vieux en a 66 ans. Par ailleurs, le lancement officiel des épreuves sera fait par le ministre Lucien Kokou au centre de composition du lycée Technique Coulibaly de Cotonou.

Categories: Afrique

Loi Travail : Martinez et El Khomri font monter la pression

LeParisien / Politique - Mon, 13/06/2016 - 09:46
A la veille d'une nouvelle journée de mobilisation contre la loi Travail, que les syndicats promettent « énorme », le patron de la CGT et la ministre du Travail ont, ce lundi matin, fait monter la pression...
Categories: France

Munkácsy-kiállítás lesz Szentpéterváron

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Mon, 13/06/2016 - 09:41

Nagyszabású, 70-80 alkotást felvonultató Munkácsy-kiállítást rendeznek 2018 őszén a szentpétervári Ermitázsban a Magyar Nemzeti Galéria anyagából és Pákh Imre New Yorkban élő magyar műgyűjtő képeiből.

Mint Pákh Imre az MTI-nek elmondta, a héten Baán Lászlóval, a Szépművészeti Múzeum-Magyar Nemzeti Galéria főigazgatójával együtt keresték fel Mihail Piotrovszkijt, az Ermitázs igazgatóját, akivel megállapodtak a kiállítás megrendezéséről.

Baán László az MTI-nek nyilatkozva példaértékűnek nevezte a legnagyobb Munkácsy-gyűjteményt őrző közgyűjtemény, a Nemzeti Galéria, és a legnagyobb Munkácsy-gyűjteménnyel rendelkező magángyűjtő, Pákh Imre eddigi és most tervezett együttműködését, amely jelentős mértékben hozzájárul a neves magyar festő külföldi újrafelfedezéséhez.

Pákh Imre fontos célnak nevezte, hogy a hazai elfogadottság után Munkácsy Mihály az őt megillető helyre kerüljön külföldön is. A bécsi, a sanghaji, a pekingi és a moszkvai Munkácsy-kiállítások után a szentpétervári bemutató azt jelenti majd, hogy betörtek az élvonalba. Az Ermitázs után megnyílhat Munkácsy előtt Párizs és a New York-i Metropolitan Múzeum is – vélte a műgyűjtő.

Mint Baán László hangsúlyozta, ez a tervezett kiállítás jól illeszkedik a Szépművészeti Múzeum-Magyar Nemzeti Galéria azon törekvésébe, hogy a világ legjelentősebb kiállítóhelyein mutassák be a meghatározó magyar művészek alkotásait. Az idén Párizsban, a Musée du Luxembourgban, jövőre Madridban, a Thyssen-Bornemisza Múzeumban rendeznek ilyen kiállításokat, 2018-ban pedig az Ermitázs Munkácsy-kiállításával folytatják a sort.

Mehet a trilógia is

Pákh Imre az MTI kérdésére azt mondta: támogatná, hogy a szentpétervári kiállítás része legyen Munkácsy Krisztus-trilógiája is, amely óriási sikert aratott korábban Bécsben és Budapesten. Mint kijelentette: hozzájárulna, hogy a tulajdonában lévő képet, a jelenleg egy jogvita miatt a debreceni Déri Múzeumban lefüggönyözve tartott Golgotát is bemutassák az Ermitázsban.

Baán László erre a felvetésre azt mondta: a nagyméretű vásznak rendkívül érzékenyek a szállításra, ezért meg kell vizsgálni, milyen állapotban van a trilógia, és azt követően lehet dönteni az esetleges kiszállításról. Ha a képek szállíthatóak, örömteli lenne bemutatni az életmű ezen kiemelkedő értékű darabjait is az Ermitázsban – fűzte hozzá a főigazgató.

Pages